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Abbaye La Joie Notre-Dame de CAMPENEAC - Campénéac

La communauté de trappistines venues de Laval s'installe d'abord à Sainte-Anne-d'Auray en 1920 sous le nom de Notre-Dame de Bonne-Garde. Le lieu est érigé en prieuré le 8 décembre 1921. Comme les bâtiments loués s'avèrent mal adaptés à la vie monastique, l'abbé Immédiat et la communauté de Timadeuc se décident alors d'acheter une propriété : il s'agit du château de la Villa Aubert qui possède une grande ferme, et qui se situe à Campénéac dans le diocèse de Vannes. Le transfert est autorisé le 4 mai 1947. Un monastère est alors édifié, une partie en adaptant le château, et l'autre partie entièrement neuve. La communauté est transférée le 30 septembre 1953 et prend le nom de La Joie Notre-Dame "Gaudium Dominae Nostrae", qui est celui d'un ancien monastère d'Hennebont aujourd'hui disparu. Les abbesses successives de cette abbaye de Campénéac sont : Marie du Sacré-Coeur Perney (1921-1938), Lutgarde Masson (1938-1941), Gertrude Trébault (1941), Vincent de Paul Chapleau (1941-1942), Lutgarde Masson (1942-1954), Bernard Moal (1954-1971), Madeleine Cabillic (1971-1989), Geneviève-Marie Fravalo (1989-1996), Michael Le Tendre (1996).