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CADEN

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La commune de Caden (bzh.gif (80 octets) Kaden) fait partie du canton de Rochefort-en-Terre. Caden dépend de l'arrondissement de Vannes, du département du Morbihan (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de CADEN

Caden vient de "plebs catin" (lieu de bataille). Catin vient, semble-t-il, de Kadvan. 

La paroisse de Caden est mentionnée en 835 dans le cartulaire de l'abbaye de Redon sous l'appellation de "Plebs Catin". Il s'agit d'une ancienne paroisse primitive qui englobait autrefois le territoire de Limerzel.

On trouve un Lescaden sur le territoire de la paroisse. Caden passe en 1801 dans le canton de Rochefort.

Ville de Caden (Bretagne).

Note 1 : Caden est parfaitement délimité, au nord, par la route de Redon, qui le sépare de Malansac, à l'ouest et au sud par le ruisseau de Trévelo, qui le sépare de Limerzel et de Péaule, et à l'est par le ruisseau de la Bouloterie, qui touche Saint-Gorgon et Béganne. Sa superficie est de 3809 hectares, arrosés par plusieurs cours d'eau, et partagés entre les céréales, les prairies et les landes. En 1891, sa population est de 2371 habitants. Le bourg, situé vers le sud-est, est à 10 kilomètres de Rochefort et à 40 de Vannes. Les Celtes ont d'abord occupé ce territoire, et y ont laissé quelques traces. Auprès du Matz, on voit un tumulus à large base et d'une hauteur de 2 mètres. On a trouvé dans ce pays une pointe de lance en bronze, une monnaie gauloise et des coins en plomb munis d'anneaux. Les Romains, venus plus tard, ont laissé une voie allant de Vannes à Rieux, et se confondant ici avec la route moderne de Redon. Il est à présumer que les conquérants ont eu dans ces parages, sinon des camps, au moins des villas, dont il est possible de retrouver les vestiges. Les Bretons, à leur tour, y ont envoyé quelques colonies, comme l'indique les noms encore subsistants de Coetmenah, Coeteret, Carcado, Trévelo, la Grée, Botmélo, Pouléno, etc. Ce territoire fut érigé de très bonne heure en paroisse : son étendue, sa richesse, et le patronage de saint Pierre en sont de sûrs indices. On en trouve mention, dès 835 et 857, dans le Cartulaire de Redon, sous le nom de Plebs Catin (p. 138, 22). Les Normands ont dû traverser ce pays, en suivant la voie romaine, lorsqu'ils allèrent, en 888, se faire écraser à Questembert par Alain Ier, comte de Vannes. Les pirates prirent une terrible revanche, en 919, en mettant à feu et à sang tout le territoire depuis la Vilaine jusqu'au Blavet. Après l'expulsion définitive des hommes du nord, l'abbaye de Redon reçut plusieurs terres situées en Caden : ainsi, en 991, Gurdiern et Glast lui donnèrent la moitié de la villa de Treffingar ; vers 1030, un chevalier nommé Haéloc lui octroya la moitié de la villa de Trefwredoc ; et à une date inconnue, un certain Tréhanton lui céda la villa de Tretgruuc dans le quartier de Resac (p. 309, 311, 285). Tous ces noms de lieux sont bretons, mais ils ont été changés depuis longtemps. Le monastère perdit graduellement ces biens ; les terres de Resac, qui lui appartenaient encore en 1289 (Pr. I. 1088), furent aliénées à leur tour (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Note 2 : Liste non exhaustive des maires de Caden : François Boulo (1792-1794), Jean Guiho (1799-1817), François Guillotin (1817-1827), Jacques Quistrebert (1827-1830), Joseph Catrevaux (1830-1832), Sébastien Lambert (1832-1868), Yves-Marie Louer (1869-1881), Jean-François Cléro (1881-1887), Jean-Marie Guégan (1888-1896), François Crété (1896-1900), Julien Guillouche (1900-1929), Isidore Brohan (1929-1952), Joseph Clodic (1952-1971), Ange Brohan (1971), François Hervieux (1989-2008), Bernard Chauvin (2008-2020), etc ....

Ville de Caden (Bretagne).

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PATRIMOINE de CADEN

l'église Saint-Pierre-aux-Liens (1889-1894), édifiée en remplacement d'un ancien édifice religieux. On y voit un cadran solaire réalisé en schiste gravé et daté de 1637. Ce cadran représente une crucifixion et deux personnages au pied de la croix ;

Eglise de Caden (Bretagne).

Nota : L'église paroissiale de Caden est sous le vocable de saint Pierre-aux-Liens, dont la fête arrive le 1er août. C'est un vaste édifice, de forme rectangulaire, partagé en trois nefs par deux rangées de piliers. Une chapelle de l'église, dédiée à sainte Madeleine, appartenait aux seigneurs de Bléhéban, qui y avaient leurs sépultures. Les autels latéraux sont ceux de Notre-Dame, de la Trinité, de saint Sébastien, de Saint-Jean. A la porte de l'église on voit un bénitier en forme d'oeuf tronqué, et dans le cimetière un fragment de lech arrondi, reste d'une antique sépulture. Le 8 septembre 1889 on a bénit la première pierre d'une nouvelle église. Cet édifice, de style ogival, est en forme de croix latine, avec des bas côtés, séparés de la nef par d'élégantes colonnes. C'est une reproduction de l'église d'Arradon. Les chapelles frairiennes de Caden étaient : — 1. Sainte-Marie, au nord-ouest, près de la route de Redon. — 2. Saint-Vincent, au nord-ouest, près du Maunay. — 3. Saint-Nicolas, à 3 kilomètres vers l'ouest. — 4. Saint-Armel, à 1 kilomètre vers le sud-ouest. — 5. Saint-Guillaume, depuis longtemps démolie. — 6. Saint-Gildas, qui subsiste encore. Les chapelles privées étaient celles de Bléhéban, de la Béraye, du Hindreuff, et de la Ville-ès-Cars. Les chapellenies étaient : — 1. Celle de Saint-Georges de Bléhéban, dans la chapelle du château. — 2. Celle de Sainte-Madeleine de Bléhéban, dans l'église paroissiale. — 3. Celle de Saint-Pierre, desservie au maître-autel. — 4. Celle de Notre-Dame, fondée en 1554 par Y. Serain, prêtre. — 5. Celle de Saint-Guillaume, fondée en 1637 par J. Boullo, prètre. — 6. Celle de Saint-Sébastien, fondée par N. Caro. — 7. Celle de la Ville-ès-Cars, desservie dans la chapelle de ce nom. — 8. Celle de la Béraye, desservie dans la chapelle du château. A ces fondations il faut ajouter les prestimonies des Guyon, des Danilo, des Duval, et des Prévost-Goupil. Le recteur était à la libre nomination du pape ou de l'évêque, suivant les mois de la vacance. Il jouissait de la dîme sur toute la paroisse, sauf quelques quartiers, réservés à des seigneurs et au chapelain de Bléhéban. En 1757, son revenu net était évalué à 1,500 livres. L'un des recteurs de Caden, M. Pierre Garel, originaire de Bignan et chef des missions françaises, y mourut en odeur de sainteté le 14 avril 1711. Caden était du doyenné de Péaule et de la sénéchaussée de Vannes. En 1790, il fut érigé en commune, du canton et du district de Rochefort. En 1791, son recteur, Julien Gatinel, refusa le serment à la Constitution civile du clergé, et partit, l'année suivante, pour l'Espagne. Pendant la tourmente révolutionnaire, on vendit, comme biens nationaux, une maison et deux prés, dépendant de la cure, et, de plus, le clos de la Noë et la moitié d'un pré, appartenant à la fabrique de Rochefort. En 1793, le 16 mars, Caden fournit son contingent d'insurgés pour la prise de Rochefort. Peu après, Pierre Lecars, dit Pelo, se mit à la tête d'une bande de chouans de cette commune et des environs. A la suppression des districts, en 1800, Caden passa dans l'arrondissement de Vannes, et au remaniement des cantons en 1801, il fut maintenu dans celui de Rochefort (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Voir aussi   Ville de Caden (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Caden et ses recteurs"

la chapelle Sainte-Marie, située à La Houssaie, près de l'ancien tracé de la voie romaine Rieux-Vannes. Elle est érigée au XIXème siècle sur un ancien lieu de culte, dont le lec'h serait un vestige. Son clocher, situé au centre du faîtage, est couvert d'ardoises. En mars 1793, les chouans y entendent une messe avant de marcher sur Rochefort ;

la chapelle Saint-Armel (XVIème siècle), située à Saint-Armel. Cette chapelle est mentionnée dès 1579 et a été remaniée à plusieurs reprises. Une dalle porte la date de 1772. Le porche Ouest porte la date de 1838 ;

la chapelle Saint-Antoine (XVIIème siècle), située au village de Bourg-Maria. Cette chapelle est aussi dédiée à Notre-Dame. Cet édifice a été restauré à plusieurs reprises comme le stipulent les nombreuses dates : 1689 sur une pierre d'angle du soubassement côté Nord, 1773 sur le dallage et 1833 sur le linteau de la porte Sud ;

la chapelle Saint-Vincent (XVIIIème siècle), située au village du Maunay. La porte Sud est datée de 1756. Cet édifice est agrandi en 1956 par l'adjonction d'un transept ;

l'ancienne chapelle Saint-Nicolas. Il s'agissait d'un petit édifice du XVIIème siècle dont la charpente avait des entraits à têtes de crocodiles. On y trouvait quelques statues du XVIIIème siècle ;

l'ancienne chapelle Saint-Gildas. Il s'agissait d'un petit édifice du XVIème siècle à fenêtres flamboyants ;

la croix de Carlahoux, située près de l'Hôtel Macé ;

le manoir ou château de Bléhéban (XIVème siècle). Siège d'une ancienne seigneurie ayant appartenu à la famille Bléhéban (vers 1340). Cette seigneurie jouit d'un droit de haute justice. Propriété de la famille Carné en 1340-1350. Le domaine s'accroît en 1691 suite au mariage de Perrine de Carné avec le seigneur de Trellé en Assérac. Le domaine est vendu en 1743 à la famille Larlan (comtes de Rochefort). On y trouve une chapelle privée qui faisait office autrefois de chapellenie de Saint-Georges. Ce manoir est remanié, semble-t-il, au XVIIIème siècle ;

le château de la Berraye (XV-XVIIème siècle). Propriété successive de la famille Bodrual (au XVème siècle), de Guillemette du Hindreuff (en 1427), puis de la famille Bodrual, et Couessin (en 1574-1580) qui le conserve jusqu'à la Révolution. Le château actuel semble daté du XVI-XVIIème siècle, puis remanié au XVIIIème siècle. A signaler que Jean de Couessin fut décapité à Nantes à la suite de la conspiration de Cellamare et le château fut un repère de chouan à l'époque de Cadoudal. La tour d'angle est munie d'une meurtrière ;

Château de Caden (Bretagne).

le château du Matz (XVème siècle), propriété d'Olivier Du Mars (ou Du Matz) et de son épouse Perrine de Brésséan (vers 1450), puis des familles Rado (de 1480 à 1784, suite au mariage d'Annette Du Mars avec Jean de Rado) et l'Estourbeillon (suite au mariage de Renée Gabrielle Rado avec Joseph Claude de l'Estourbeillon). Les descendants de ce dernier revendent le château en 1866. Ce château est reconstruit au XXème siècle ;

le château du Hindreuff (XVIIème et XVIIIème siècles). Siège d'une ancienne seigneurie du nom de Hindreau ayant appartenu à la famille Hindreau ou Hindreuff (Pierre de Hendreff en 1427), à la famille Gouvello (en 1721, suite au mariage de François Vincent Le Gouvello, sieur des Forges et sieur du Hindreuff), puis à la famille Guillard des Aulnays (en 1766, suite au mariage de Charles François Guillard des Aunays avec une petite fille Gouvello). A signaler que dès le XIVème siècle, existe à Caden un manoir, propriété de Jean Du Hindreuff (ou Hindreau). Il possédait autrefois une chapelle privée ;

Château de Caden (Bretagne).

le manoir de la Ville-ès-Cars. Siège d'une ancienne seigneurie ayant appartenu à la famille Guillart, puis Coetlogont. Il possédait autrefois une chapelle privée ;

la fontaine Saint-Roux (1750). Elle abrite une statue de saint Roux ;

A signaler aussi : 

des traces de la voie romaine "Rieux à Vannes", près du village de La Houssaie ;

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ANCIENNE NOBLESSE de CADEN

Au point de vue féodal, Caden faisait partie de la grande seigneurie de Rochefort. Les seigneuries particulières de la paroisse étaient :

1.        Le Ballo, vers l'ouest.

2.        Barniquel, aux Barniquel.

3.        La Béraye, aux Bodrual, et en 1580 aux Couessin.

4.        Bléhéban, aux Bléhéban, et dès 1350 aux Carné.

5.        Coeteret, aux Bodrual, et aux Couessin.

6.        Coetmenah, aux Bochay.

7.        La Guitonnaye.

8.        La Héligaye, aux Hindreuff.

9.        Le Hindreuff, à la famille de ce nom, et, en 1721, aux Gouvello.

10.       Les Landes.

11.       Launay, aux Rado.

12.       Le Matz, aux Matz, et dès 1480 aux Rado.

13.       Le Matz (Bas), aux Rado, Hindreuff et Le Gouvello.

14.       La Randelle.

15.       Le Ruault, aux Valoys en 1544.

16.       Saint-Guédas, aux Rado.

17.       La Ville-ès-Cars, aux Guiliart, puis aux Coetlogon.

18.       La Ville-Alys, aux Corno en 1557.

(de Joseph-Marie Le Mené).

 

Lors de la réformation de 1427, on comptabilise la présence de plusieurs nobles à Caden : Ollivier Gressart (le Réaux), Eon Bochet (Coimena), Perrot de Bernesquel (Barniquel, la Ville Tanguy), Pierre du Hendref (le Hindreuf), Pierre du Beisit et Johannet Noel (Coateret, frairie de St Gildas), Ollivier de St Guedas, Ollive Camson, Geoffroy Raoul (St Gildas), la dame de Marzen et Jehan Le Fevre (le Loch), Perrot Gambaut (le village de Loch), le sieur de Blehehan et Jehannet Mallabuf (Pusal, la Touche Bernier), Jehan Le Barbier et Guillaume Corno (au bourg de Caden), Guillaume Bodrual (Bodrual, frairie de Bourg Maria, village de Ringalo), Allain de Coeterect (Coateret), Guillemette du Hendreff (la Béraye), Ollivier de St Guedas et Guillaume Vaillant (Trévoyan, frairie de Lécaden, le Chesnedréan), le sire de Blehahan et Denis Eliot (Bléhéhan, frairie de Lécaden), Jehan de Bocero (le Bossero).

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 13 nobles de Caden :

Ollivier PERRIGOT (20 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Guillaume COETERET (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Ollivier du MARS (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une jusarme ;

Jehan BERNARD (20 livres de revenu) : défaillant ;

Guillaume DESRAME (600 livres de revenu) : défaillant ;

Jehan CAR (10 livres de revenu), excusé par Ollivier Perrigot ;

Pierre BOCERO (20 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et d'une javeline ;

Jehan THUBOUC (40 livres de revenu), remplacé par Jehan Salarun : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et d'une vouge ;

Perrot BERNIQUEL (15 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et d'une vouge ;

Guillaume de BODRUAL (15 livres de revenu), remplacé par Eon Danno : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et d'une vouge ;

Jehan du HENDREU (100 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et portant des harnois de jambes ;

Morice CORNO (6 livres de revenu), fils de Pierre : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Ollivier BOCHET : porteur d'un paltoc, compaaît armé d'un arc et d'une épée ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 13 nobles de Caden :

Jehan DESRAME (500 livres de revenu), seigneur de la paroisse de Vigneux ;

Ollivier PERRIGOT (30 livres de revenu), remplacé par son fils Eonnet : comparaît en archer ;

les héritiers Pierre BOCERO (20 livres de revenu) ;

Jehan du HENDREUFF (600 livres de revenu), remplacé par son frère Pierre ;

Jehan RADO (30 livres de revenu) : comparaît armé d'une vouge ;

Ollivier BOSCHET (15 livres de revenu) : porteur d'un paltoc, comparaît armé d'une vouge ;

Jehen BERNARD (10 livres de revenu) : excusé pour raison de peste ;

Jehan TUBOUC ;

Guillaume de BODRUAL (5 livres de revenu), remplacé par Eon de Bodrual : comparaît armé d'une vouge ;

Pierre de BRENESQUEL (400 livres de revenu) : excusé pour raison de peste;

Guillaume de COETERECT (20 livres de revenu), remplacé par son fils Jehan : comparaît en archer ;

Pierre CORNO (20 livres de revenu) : excusé pour la peste ;

Jehan CAR : comparaît armé d'une vouge ;

 

Lors de la réformation de 1536, on recense plusieurs propriétaires et manoirs à Caden :

St Guedad (St Gildas) et Trévoyan (Trévoyan), tenus par le sieur de Lanoedic (en Sarzeau) ;

le Halgoet (le Halgouet), tenu par le sieur de Carné ;

le Ruaud (le Réaux), tenu par Jacques de Bezic ;

le Henfreuc (le Hindreuf) et la Hellegaye (le Héligué), tenus par François du Hendreuc ;

Couesmenac (Coimena), tenu par Antoine Jolly ;

Barnesquel (Barniquel) et Branbelien (Brambelien), tenus par Barnesquel ;

Trevic (Trévic), tenu par Pierre Corno ;

la Beraye (la Béraye) et Coesqueret (Coeteret), tenus par Bodrual ;

la métairie du Haut Coesqueret, tenu par le sieur de Bezic ;

la Landelle (la Randelle), tenu par Michau des Landes ;

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