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LA CHAPELLE-SAINT-SAUVEUR |
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La commune
de La Chapelle-Saint-Sauveur ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de LA CHAPELLE-SAINT-SAUVEUR
La Chapelle-Saint-Sauveur est une ancienne trève de la paroisse de Montrelais qui prend le nom de la chapelle Saint-Sauveur.
La Chapelle-Saint-Sauveur est un démembrement de Montrelais. Montrelais est mentionné pour la première fois en 1123 dans une charte de Louis VI. La Chapelle-Saint-Sauveur dépend, à l'origine, de la paroisse de Montrelais dont elle n'est qu'une chapelle jusqu'à la Révolution. La chapelle est attestée dès 1196 par une donation du seigneur André de Varades (dernier seigneur de Varades) à l'église de la chapelle de Montrelais. Le seigneur de Montrelais était patron et fondateur des églises paroissiales de Saint-Pierre de Montrelais et de la Chapelle Saint-Sauveur sa trêve. Au XVIIème siècle, cette chapelle dépend de l'abbaye bénédictine de Dol (dans le diocèse de Bordeaux).
La Chapelle-Saint-Sauveur est érigée en paroisse en 1767 et en commune indépendante durant la Révolution. La Chapelle-Saint-Sauveur prendra le nom de Lauréole durant quelques années.
Nota : exploitation des mines de charbon sur la territoire de La Chapelle-Saint-Sauveur par la compagnie des mines de Mouzeil-Montrelais.
PATRIMOINE de LA CHAPELLE-SAINT-SAUVEUR
l'église
de la Transfiguration (vers 1870). Il ne subsiste pas grand chose de l'édifice primitif où plusieurs écussons
brillaient jadis dans les verrières : "dans la vitre derrière le
grand autel un écu d'or fretté de gueules qui est de Montejean dont il y a
un fief uni à la terre de Montrelais ; et ailleurs bandé d'or et d'azur
qui est de Montrelais". Les Anges adorateurs, en bois
polychrome et œuvre du sculpteur Henri Hamilton Barrême, datent de 1817. La
statue de la Vierge, en bois polychrome et œuvre du sculpteur Henri Barrême,
date du XIXème siècle. La peinture, représentant Sainte Barbe, date du XIXème siècle ;
la
chapelle de La Jallière (1820). Il s'agit d'une chapelle funéraire,
dépendant du château de la Jallière ;
la croix (vers 1870), située à La Brillère.
Cette croix est édifiée par le propriétaire du château de La Jaillière ;
le château de la Jaillière (vers 1830-1870), édifié
par M. Lebel ou Le Bel à son retour d'exil. La famille Rougé restaure la demeure en
1870. L'orangerie est édifiée par M. Lebel ou Le Bel vers 1820. La chapelle de La Jaillière,
édifiée vers 1820, abrite les tombeaux des membres de la famille d'Anthenaise.
Les anciennes dépendances, où logeait le personnel du château, datent du XIXème
siècle. C'est à partir de 1830, la propriété de la famille d'Anthenaise. Les
travaux de restauration, datés de fin XIXème siècle, sont l'oeuvre de
Thérèse de Perrusse des Cars d'Anthenaise, épouse de Charles d'Anthenaise ;
le manoir de La
Basse-Jaillière (XVI-XVII-XIXème siècle), édifié à l'emplacement d'une ancienne forteresse. L'édifice primitif,
propriété de la famille Lebel, est brûlé durant la Révolution ;
l'ancien
manoir de La Sorerie. Propriété des Fleuriot, détenteurs d'Omblepied, la
Freulière, la Raingeardière et quantité d'autres terres ;
le manoir du Haut-Molé (XIXème siècle). Cette
demeure possédait, semble-t-il, jadis une chapelle privée, aujourd'hui disparue ;
la Rotte-aux-Bécheux (XVIIème siècle). Le
village date du XVI-XVIIème siècle ;
la maison (XIXème siècle), située à La
Grande-Mine. Dans la partie nord de la commune de Montrelais, se trouvait jadis
des gisements houillers importants. On extrayait de la houille aux
Berthaudières, à 4 km et demi nord-nord-ouest, en assez grande quantité.
L'exploitation avait lieu à environ 300 mètres de profondeur.
Il s'agit de l'ancienne résidence de l'un des directeurs de la
mine de Montrelais. A la Grande-Mine se trouvait aussi jadis une chapelle dédiée
à sainte Barbe, patronne des mineurs ;
5
moulins
dont ceux de la Jallure (ou Jaillière), du Bois et les Trois moulins ;
ANCIENNE NOBLESSE de LA CHAPELLE-SAINT-SAUVEUR
(à compléter)
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