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LA FAMILLE CHEVALIER de la TEILLAIS.

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CHEVALIER de la TEILLAIS. Armes : de gueules à un cheval gai, effaré d'argent ; au chef échiqueté d'or et d'azur.

Famille de Haute-Bretagne sur laquelle on trouvera quelques renseignements dans le Répertoire de biobibliographie bretonne de Kerviler.

Un Julien Chevalier exerça de 1660 à 1674 les fonctions de sénéchal du lieu de la Teillais. Sa descendance posséda le domaine de la Havardière et produisit plusieurs procureurs du Roi à Bazouges-la-Pérouse.

Jean-Baptiste Chevalier, né à Tremblay le 8 août 1794, fils d'Anne-François Chevalier et de Jeanne-Marie Mignot, avocat à Fougères, décédé à Vitré en 1832, avait épousé dans cette ville en 1823 Anne Bénigne Loychon. Leur fils, Jules Chevalier, né à Vitré en 1825, maire d'Acigné en 1868, décédé en 1878, fut autorisé par décret du 25 juillet 1860 à joindre à son nom celui de : DE LA TEILLAIS et à s'appeler CHEVALIER DE LA TEILLAIS. Il avait épousé d'abord Mme Perrot de Chazelle, née Gallois, puis Mlle de Poléon, aujourd'hui connue sous le titre de comtesse de la Teillais. Il a laissé de ces deux unions plusieurs enfants.

Principales alliances : Pascaud de Poléon, du Chesne de Lamotte 1892, Gravier, etc.

Les armoiries adoptées par la famille Chevalier de la Teillais sont a peu de chose près les mêmes que celles d'une famille Chevalerie, puis de la Chevalerie, possessionnée dans la même région, à laquelle divers ouvrages contemporains, notamment le Dictionnaire biographique d'Ille-et-Vilaine, ont cherché à la rattacher. Cette famille portait, en effet, le blason suivant : de gueules à un cheval gai, effaré d'argent. Elle était originaire de l'Anjou et possédait aux XVIème et XVIIème siècles d'importants domaines dans les environs de Vitré et de Laval. Son auteur, Georges Chevalerie, riche marchand de Vitré, fut anobli par lettres de 1547. Il fut père de Georges Chevalerie, Sgr de l'Éperonnière, en la paroisse de Livré, et grand-père de Michel de la Chevalerie, Sgr de l'Éperonnière, décédé en 1597, qui furent des huguenots militants. Les divers membres de cette famille furent maintenus dans leur noblesse le 18 septembre 1668 par jugement de Voisin de la Noiraye, intendant de Tours, et le 27 août 1669 par arrêt de la Chambre de réformation de Bretagne. La famille de la Chevalerie paraît avoir eu pour derniers représentants François-Daniel de la Chevalerie, marié vers 1690 à Élisabeth-Charlotte du Buat, et sa sœur Françoise-Charlotte, mariée en 1704 au sieur Davrillé, négociant.

(Chaix d'Est-Ange).

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