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LA FAMILLE DE RONSERAY

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NOTES SUR LA FAMILLE DE RONSERAY.

ARMES de la MAISON DE RONSERAY : d'azur au chevron d'argent accompagné de trois étoiles du même, deux en chef, une en pointe. SUPPORTS : depuis le XVIIIème siècle, deux sauvages de carnation armés de massues. COURONNE : de comte. DEVISE : Progredi.

Cette Maison tire son nom de la terre du RONSERAY, RONCERAY, RONZERAY, ou de la RONSERAYE, ancienne seigneurie du Comté de Maure, paroisse de Carentoir (aujourd'hui Morbihan, limite d'Ille-et-Vilaine), évêché de Saint-Malo. La forme latine du nom a été : Roncerium, Roncerii.

La terre patrimoniale sortit de la famille dès le commencement du XVème siècle.

La famille de RONSERAY, d'origine chevaleresque, est mentionnée dans les anciennes reformations de l'évêché de Saint-Malo de 1426, 1513, etc., comme noble de tous temps (Ancienne réformation de Bretagne, évêché de Saint-Malo. B. Nat. Mss 22320 p. 844 et 846).

1193 : Mathurin de RONSERAY, chevalier croisé (1193), à son retour de la Croisade, en exécution d'un voeu, fit édifier dans sa terre du RONSERAY une chapelle dédiée à saint Mathurin, son patron (Histoire de Carentoir, par l'abbé Le Claire. Article : Ronceray, p. 71. Cette chapelle existe encore aujourd'hui).

1219 : Damoiselle Luce de RONCERAY épouse messire Alain Goyon, seigneur de la Roche Goyon et de Lanquenan (B. Nat. Imp. Généalogies du P. Anselme. t. V, p. 376 et B. Nat. Geslin de Bourgogne, L3K t. III, p. 116, 122, 123, 177).

1281 : En 1281, Ameline de RONZERAY avait une maison en la paroisse de Savenay, contiguë à celle de Guarin de Moyré (Nantes. Archives départementales, H1).

1350 : Marguerite de RONSERAY épouse Gervais de Rougé, écuyer seigneur des Rües (Titres de la Restauration, par le Vicomte Révérend Art. Rougé, Vol. 6, p. 148).

1381 : En 1381, Jehan de la RONSERAY figure parmi les chevaliers et écuyers rassemblés pour recouvrer la personne du duc Jehan V (B. Nat. mss. 11531. Monstre du sire de Rieux).

Au commencement du XVème siècle, en la paroisse de Maure (évêché de Saint-Malo), messire Jehan de RONSERAY était seigneur de la maison noble de l'Abbaye, juridiction de la Lardais (Dictionnaire de Bretagne, par Ogée. B. Nat. imp. L2K 416 t. IV, p. 774 ; t. II, p. 19. — La Lardais, terre appartenant au comte de Beaumont et dans laquelle est aujourd'hui enclavée le Ronseray et sa Chapelle).

1481 : Landais, trésorier de François II, duc de Bretagne, fit remettre à Philippe de RONSERAY, Lieutenant-Gouverneur du Château d'Auray, le chancelier Chauvin pour l'y emprisonner. Il le lui retira peu après parce qu'il le traitait avec bonté et le nourrissait trop délicatement (B. Nat. imp. Histoire de Bretagne, p. D. Lobineau, vol. II, p. 737 et B. Nat. imp. Histoire de Bretagne par d'Argentré, Livre VII, chap. 427, p. 1063 et B. Nat. imp. Histoire de Bretagne, p. Morice, vol. II, p. 141).

1484 : Ce même Philippe est institué capitaine-gouverneur du château de Pornic en 1484 (B. Nat. mss. 16818, p. 98, vol. B et B. Nat. mss. 11549. p. 183 et B. Nat. mss. 22318, p. 198).

1492 : Pierre de RONSERAY est témoin dans un baptême à Châteaubriant et commence la filiation suivie jusqu'en 1600 (Châteaubriant reg. paroissiale).

1505 : Françoise du RONCERAY est demoiselle d'honneur de la reine Anne de Bretagne (B. Nat. D. Lobineau, Histoire de Bretagne, t. II, p. 1594. Etat de la maison de la reine).

1513 : En 1513, paroisse de Maure, sont nobles de tous temps.... Philippe de RONSERAY (Ancienne reformation de Bretagne, B. N. t. mss 22320, pp. 844-846).

1520 : Damoiseile Mathurine de RONSERAY, qui vivait encore en 1560, épouse messire René de Cornulier, premier secrétaire de Monseigneur François de Laval, baron de Châteaubriant (Généalogie de la Maison de Cornulier, édit. 1834, p. 32 ; Edit. de 1860, pp. 46-47).

1522 : Le 15 avril, Très Haut et Très Puissant Seigneur Jehan, comte de Laval, baron de Châteaubriant, est parrain de Jehan de RONSERAY, fils de messire Michel de RONSERAY, chevalier, et de Jeanne Grandin (Châteaubriant, reg. par.).

Joanne mentionne, parmi les curiosités de la ville de Châteaubriant une pierre tombale avec l’inscription : Math. de RONSERAY, miles, obiit  1535, à côté de celle de Robert de Dinan et provenant du prieuré de Saint-Michel en Châteaubriant. Ces pierres servaient de bancs sur la promenade des Terrasses jusque vers 1873 (Guide Joanne, édit. 1867, Bretagne, Châteaubriant).

1553 : Baptême de Louis de Ronseray, fils de messire Mathurin de RONSERAY, écuyer, et de Marguerite du Tertre d'Acigné (Châteaubriant, reg. par.).

1560 : Dans l'aveu établi à cette date pour le connétable Anne de Montmorency, héritier de la baronnie de Châteaubriant, les RONSERAY sont fréquemment mentionnés dans la ville de Châteaubriant et environs, et notamment dans la paroisse d'Erbray où ils étaient seigneurs de : la Haute-Haye, la Faisantière, La Belle, Préberte, du Boissuzain de la Bricardière, de la Tousche, du Hade, de Launay, de Saint-James, de la Lande, de la Haye d'Erbray, etc. (Archives Nationales Châteaubriant, reg. 521, q 1, aveu de 1560).

1573 : Rôle de gens d'armes, gentilshommes harquebusiers à cheval. — Jehan du RONSERAY, seigneur du dit lieu (B. Nat., mss 22310. Bret. p. 262, évêché de Rennes, arrière-ban).

1583 : Messire Jehan de RONSERAY, époux de Guillemette Brossault, était seigneur de Palluel en Châteaubriant. Il fut député de la ville auprès du prince de Dombes, sous la Ligue (Histoire de Châteaubriant, par l'abbé Goudé, p. 136).

1584 : Messire Gilles de RONSERAY, seigneur de Caillabeu en Ercé en la Mée est parrain d'une cloche de la paroisse de Teillay (Pouillé du diocèse de Rennes, par Guillotin de Corson, t. VI, pp. 365-366).

1590 : Guy de RONSERAY, seigneur du Teilleul (de la branche des RONSERAY de Vitré, où ils étaient établis dès 1530), fit partie des seigneurs ligueurs emprisonnés par ordre du sénéchal de Rennes (Histoire de Bretagne par Dom Morice, B. Nat. mss. 5981, 3ème vol. p. 1507).

 

FILIATION SUIVIE DEPUIS 1608.

1608 : Noble homme Mathurin de RONSERAY, seigneur de la Veuquais en Saint-Aubin-des-Châteaux, près de Châteaubriant, était né en 1608. Son acte de baptême n'a pu être retrouvé. Il paraît être le fils de noble Gilles de RONSERAY, ci-dessus écuyer, seigneur de Caillabeu et de la Boisselaye en Ercé en la Mée en 1600 et le petit-fils de messire Jehan de RONSERAY, seigneur de Palluel, qui vivait encore à Châteaubriant en 1580 et dont la filiation remonte sans interruption jusqu'en 1490 (Châteaubriant, reg. par.).

1617 : Il assiste en 1617 au mariage de damoiselle Jehanne de RONSERAY avec messire Thomas Le Tort à Saint-Aubin des Châteaux ; il est cité en 1622 le 1er août dans un autre acte (Reg. par. de Saint-Aubin des Châteaux).

1635 : Il épouse vers 1635 noble damoiselle Michelle de Baye, fille de François, écuyer, seigneur de la Gohardière, la Jannière, la Russonnière et Cassemichères, et de haute et puissante dame Renée d'Hommes (Archives Notariales, Nantes, rue Duguesclin, v. contrat de mariage de son fils du 25 mai 1664. Lemerle, notaire royal).

1689 : Il mourut le 16 août 1689 dans sa terre de la Veuquais et fut ensépulturé à Saint-Vincent des Landes, en présence d'un nombreux concours de membres du clergé. Il avait un frère, François de RONSERAY, époux de Julienne de Derval de la Veuquais, mort avant 1679 (Saint-Vincent-des-Landes, reg. par.).

Il laissa entre autres un fils, Louis de RONSERAY, né vers 1636, qui suit, et une fille, Gillette de RONSERAY.

Noble H. Louis de RONSERAY, né probablement à la Veuquais en Saint-Aubin près de Châteaubriant, en 1636, fut envoyé très jeune à Nantes, et, en 1654, était clerc commis aux Finances attaché à messire J.-B. Babin, conseiller du Roi, Trésorier de France, général des Finances de Bretagne (Archives de la Loire-Inférieure, Chambre des Comptes, dossier de Ronseray).

Une procuration est signée en 1664 par le sieur de la Veuquais, son père, chargeant ses parents Claude de Baye, seigneur de la Gohardière, et René de Langle, seigneur de la Trionnaye, de négocier son mariage (Nantes, Archives Notariales, rue Duguesclin Lemerle, notaire royal, 10 mai.).

Le contrat de mariage fut dressé par Lemerle, notaire royal à Nantes, le 25 mai 1664. Il stipule que messire Louis de RONSERAY, fils de messire Mathurin de RONSERAY, sieur de la Veuquais et de deffunte damoiselle Michelle Baye, sa femme, épouse damoiselle Françoise Bonnet, fille de H.-H. Laurent Bonnet, sieur de Chambardet, et de damoiselle Marguerite Savary, dame des Hammonières. Les témoins de Louis de RONSERAY étaient ses oncles, nobles gens Claude de Baye, seigneur de la Gohardière, et René de Langle, seigneur de la Trionnais et messire J.-B. Babin, général des Finances de Bretagne, bienveillant du futur époux ; ceux de la damoiselle Bonnet, nobles gens Mathurin Savary, sieur des Hammonières, Maurice Catveux, sieur de la Fleuriais, ses oncles, et Philippe de Casaly, sieur du Souzay, avocat au Parlement, syndic de la ville de Nantes, son cousin (Nantes, Archives notariales, rue Duguesclin. Contrat de mariage du 25 mai 1664. Lemerle, notaire royal).

Le 23 novembre 1664, messire Louis de RONSERAY est reçu solennellement en la Chambre des comptes de Bretagne, comme procureur, toutes Chambres réunies. Il succédait à messire François Simon ; messire Pierre Le Gouvello, chevalier, conseiller du Roy, était procureur général (Archives départementales, Nantes, Chambre des Comptes, 2ème semestre, 36ème reg. des mandements, f° 98 et Archives départementales, Nantes, Catalogue des Arch. B. 1599. Liasse p. 24).

En 1676, il fut nommé échevin de Nantes et sous-maire en 1678 (Livre Doré de l'Hôtel de Ville de Nantes).

Le 4 novembre 1679, il prend possession de la terre et maison noble de Ranzay en Saint-Donatien dont il devient seigneur (Archives notariales, Nantes, rue Duguesclin. Lecourbe, notaire royal).

Le 28 mars 1684, atteint d'une grave maladie, Louis de RONSERAY résigne son office de procureur en la Chambre des comptes ; il le vend à M. Symon Vacher (Archives départementales, Nantes).

1684 : Le 15 septembre, il meurt et est enseveli dans l'église Saint-Laurent. Le 6 décembre 1687, meurt sa femme, damoiselle Françoise Bonnet (Nantes, par. Saint-Laurent).

Il laissa : (Nantes reg. par.)

- 4 fils :

Simon de RONSERAY, né en 1668 (décédé en 1739), seigneur de la Simonière, substitut du Procureur du Roi à Nantes qui épousa, le 4 septembre 1703, Geneviève Gicqueau, fille de Noble H. Antoine, seigneur des Sorinières et de Marie Hillériau, dont postérité éteinte à la Révolution.

Louis de RONSERAY, né en 1669 (décédé en 1738), prêtre licencié ès Lois, promoteur de l'évêché de Nantes, décédé recteur de la Chapelle-Basse-Mer le 27 septembre 1738.

Briand de RONSERAY, né en 1674 (décédé en 1728), avocat en Parlement, épouse le 14 avril 1711 damoiselle Julienne Marie Jullo, fille de messire Jean Julio et de damoiselle Jane Landelle, remariée en secondes noces avec le sieur de la Marsollays (sans postérité). 

Joseph de RONSERAY, né en 1681 décédé à Saint-Domingue en 1740, qui suit.

- 9 filles :

Marguerite de RONSERAY, née à Nantes, en 1665.

Claude de RONSERAY, née à Nantes, en 1666.

Claude Françoise de RONSERAY, née à Nantes, en 1667, religieuse aux Ursulines de Nantes, décédée vers 1740.

Marguerite de RONSERAY, née à Nantes, en 1673 décédée en 1678.

Charlotte de RONSERAY, née à Nantes, en 1674 décédée en 1677.

Marie de RONSERAY, née à Nantes, en 1676 décédée en 1677.

Anne de RONSERAY, née à Nantes, en 1678 décédée en 1683.

Thérèse de RONSERAY, née à Nantes, en 1680.

Marie de RONSERAY, née à Nantes, en 1683.

En 1688, il restait quatre fils et trois filles.

1681 : Noble homme Joseph de RONSERAY naquit à Nantes, paroisse Saint-Laurent, le 9 décembre 1681 (Nantes, reg. par.).

Il eut pour tuteur messire Charles Louis Bérault, écuyer, seigneur de la Haye de Riou et de la Gauvrière, puis son frère, noble et discret messire Louis de RONSERAY ; il fut émancipé le 3 février 1699 [Sentence de la Prévôté de Nantes (1690-1699). Archives départementales].

1703 : Il se marie le 14 juillet 1703. Il est dénommé : Noble Joseph de RONSERAY, écuyer, lieutenant dans les troupes, fils mineur de deffunts nobles gens Louis de RONSERAY et de Françoise Bonnet (Nantes. Archives Communales, par. Saint-Nicolas).

Il épousait damoiselle Anne Le Coq fille mineure de feu Denys Le Coq, vivant sieur de la Martinière, et de damoiselle Renée Oudaille, sa veuve.

En 1710, il était capitaine d'armes. A partir de cette date il n'est plus fait mention de lui à Nantes, ni en Bretagne. Il est donc vraisemblable que son départ pour l'île de Saint-Domingue se place à cette époque (Nantes, Archives Communales, par. Saint-Clément - 1710).

 

ILE DE SAINT-DOMINGUE.

1741 : On retrouve Joseph de RONSERAY dans cette île, comme capitaine aide-major de la compagnie d'infanterie de L'Acul, avec commission délivrée le 1er avril 1741 [Voir Archives des Colonies, Ministère de la Marine (aujourd'hui Archives Nationales à Paris), reg. Milices. Archives de Saint-Domingue, minutes du notaire Casamajor à Aquin (1739)].

La date de son décès se place vers 1742.

Sa veuve, Anne Le Coq, vivait encore au Petit Goave en 1743, date à laquelle elle assiste au mariage de son fils cadet Claude Denys.

Joseph de RONSERAY laissa :

- 3 fils :

Briand de RONSERAY, né à Nantes, en 1705, décédé à Nantes 1707.

Pierre de RONSERAY, né à Nantes, en 1706 qui suit.

Claude Denys de RONSERAY, né à Satín-Domingue en 1718, au Petit Goave décédé en 1781, cornette de cavalerie puis conseiller du Roi. Il épousa le 27 avril 1743, à Aquin (Saint-Domingue) damoiselle Geneviève Radoux, fille de messire Laurent, commandant des milices et damoiselle G. Rousseau, dame Pasquier de Marsy en deuxièmes noces. Il fut l'auteur de la branche dite de Bordeaux, éteinte en 1852 en la personne de Louis-Auguste de RONSERAY.

- 2 filles :

Françoise de RONSERAY, née à Nantes, en 1708.

Renée de RONSERAY, née à Nantes, en 1710, décédée en 1710.

Noble homme Pierre de RONSERAY était né à Nantes le 14 août 1706 (Saint-Domingue, reg., par.).

Il fut nommé capitaine d'infanterie en 1743 et il était commandant pour le Roi, du quartier du Petit Goave, île de Saint-Domingue (Saint-Domingue, reg. milices).

Le 22 avril 1743, il assiste au mariage de son frère Claude Denys de RONSERAY, à Aquin (Minutes de Casamajor, notaire à Aquin, - 1730).

Il avait épousé en premières noces en 1730, damoiselle Catherine Grellier, dame de la Jalousière, de la Bodinière et de la Noë, décédée vers 1746.

Vers 1748, il épouse en deuxièmes noces, damoiselle Marie Elisabeth Simon, fille de messire Jean François Simon, Major commandant des milices au Petit Goave et de damoiselle Anne La Porte (Archives de Saint-Domingue, par.).

1758 : Il assiste au mariage de son fils aîné Pierre Michel de RONSERAY, le 18 juillet (Archives de Saint-Domingue, par. de Fond-des-Nègres. f° 74).

De son premier mariage il laissa (Archives des Colonies) :

- 3 fils :

Pierre Michel de RONSERAY, né au Petit Goave 1731, qui suit.

Joseph de RONSERAY, né au Petit Goave 17 …

Louis Antoine de RONSERAY, né au Petit Goave en 1733, lieutenant dans les milices, revient en France à Clisson (Bretagne) où il épouse, le 24 novembre 1762, sa cousine issue de germaine, Marie Anne de RONSERAY, née à Clisson le 13 septembre 1732, fille de Noble H. Simon de RONSERAY, seigneur de la Simonière et de damoiselle Anne Agathe Bureau, dame de la Chardonnière (Clisson de Bretagne, reg. par. N. D.).

- 3 filles :

Geneviève Claude de RONSERAY, née au Petit Goave en 1743, décédée en 1785. Elle épouse, le 8 août 1763, au Petit Goave, en premières noces Noble H. François Budan, seigneur des Roches, de Nantes (dont postérité).

Et en secondes noces messire Pierre Arnous, colonel d'infanterie, né à Libourne (Guyenne) (dont postérité).

Anne Félicité de RONSERAY, née au Petit Goave en 1746, décédée en 1786. Elle épouse, le 11 mai 1762, au même lieu, messire Laurent Radoux, officier des milices, frère de sa cousine madame Claude Denys de RONSERAY, et fils de messire Laurent Radoux, commandant des milices et de Geneviève Rousseau, dame de Marsy (dont postérité).

De son second mariage, il laissa (Voir Archives des Colonies, L'Anse-à-Veau, reg, par.) :

- 3 fils :

Jean-Baptiste Simon de RONSERAY, né au Petit Goave en 17… décédé en 1778.

Jean Claude de RONSERAY, né au Petit Goave en 17… , officier des milices.

Claude Alexis de RONSERAY, né au Petit Goave 1750, décédé vers 1800, capitaine de dragons, qui épousa, le 13 novembre 1784 à l'Anse-à-Veau, damoiselle Ange Marie Louise Poinsot du Moussel, née à Nippes, fille de feu messire Ange Louis Poinsot du Moussel, chevalier de Saint-Louis, capitaine d'infanterie et de feue damoiselle Marie Madeleine Le Gardeur, dame de Tilly et de Repentigny (dont postérité et d'où pourrait provenir la branche actuelle des RONCERAY de Washington et de Baltimore) (Archives des Colonies).

- 4 filles :

Jeanne Elisabeth de RONSERAY, née au Petit Goave en 1757, épouse en 17… messire Bernard de Tauzin, capitaine de navires, commandant des milices au Grand Goave, fils de messire Michel de Tauzin et de dame Suzanne de St-Gaudens de Largade, de Salies-de-Béarn (dont postérité) (Archives des Colonies, L'Anse-à-Veau, reg. par.).

Marie Françoise de RONSERAY, née au Petit Goave en 1749, décédée en 1790, épouse de messire Pierre Thuret, commandant des milices des Cayes de Jacmel (dont postérité).

Jane de RONSERAY, née au Petit Goave en 17… mariée à messire N. Bodin, officier des milices ; veuve, elle se remarie en 1773 à Mre. Jean Barbe.

Magdeleine Geneviève de RONSERAY, née au Petit Goave en 17.., mariée vers 1776 à messire Antoine Reynaud, receveur de S. A. S. Monseigneur le Comte de Toulouse au Petit Goave (dont postérité).

1731 : Noble homme Pierre Michel de RONSERAY naquit au Petit Goave (Saint-Domingue) en  1731. Il fut commandant des milices de cette ville et trésorier de la marine (Archives des Colonies, par. de Fond-des-Nègres, f° 78).

1758 : Il épousa, le 18 juillet dans la paroisse de Fond-des-Nègres, damoiselle Françoise Marie Catherine Elisabeth Colin, née au Petit Goave en 1729, morte au Fond-des-Nègres, le 18 juin 1799, fille de Noble H. Jean Colin, sieur de Briselaine, écuyer, ancien Procureur du Roi et Sénéchal de Saint-Louis, et de damoiselle Marie Elisabeth Régnier (Archives des Colonies, par. de Fond-des-Nègres, f° 78).

1759 : Le 10 mai il baptise au Petit Goave, son fils Pierre Denys (Archives de famille, orig 1759).

Il fut désigné pour commander la compagnie des mulâtres infanterie (Archives des Colonies, reg. milices et Petit Goave, reg. par.).

1781 : Il mourut au Petit Goave le 9 février 1781.

De son mariage avec Elisabeth Colin il laissa :

- 2 fils :

Pierre Denys de RONSERAY, né au Petit Goave 1759, qui suit.

Pierre Charles de RONSERAY, né au Petit Goave 1763.

Noble H. Pierre de RONSERAY naquit au Petit Goave (Saint-Domingue) le 10 mai 1759 (Archives de famille, par. du Petit Goave, 1759).

1767 : En 1767 envoyé en France pour faire son éducation, il arriva à Nantes avec un précepteur, fut reçu et accompagné à Paris par MM. de Montaudouin de Nantes, oncles de MM. de la Villeboisnet et placé au Collège de Navarre où il avait pour correspondant le Président Brisson (Archives de famille).

1782 : Il fut nommé assesseur au Conseil supérieur de Saint-Domingue, à Port-au-Prince (Archives de famille).

1784 : Il est nommé premier substitut du procureur général (Archives de famille).

Puis procureur général au même Conseil (Archives des Colonies, minutes d'Ollivier, notaire au Petit Goave, 1785).

Sous la domination anglaise il devient deuxième président du Conseil supérieur et membre du Conseil privé du gouverneur général sir Adam Williamson (Archives de famille orig. 1791).

1796 : Messire Pierre de RONSERAY chevalier, deuxième Président du Conseil supérieur, épouse le 7 juin 1796, Marie Mélanie Gauvain de la Béhinière, fille de feu noble André Gauvain, capitaine de navires et de noble dame Françoise Rondineau, native de Paimbeuf (Bretagne) (Archives de famille, orig. 1796).

Pierre de RONSERAY est nommé à Jérémie, où s'est transporté le Conseil supérieur à cause de la révolution, lord chief justice et premier président du Conseil sous le gouverneur général Maïtland (Archives de famille, orig. 1798).

1800 : Pour fuir la révolution après l'évacuation de l'Ile par les Anglais, il se retire à la Jamaïque à Kingston (Archives de famille, orig. 1800).

1832 : Il rentre en France à Paris. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur. Il meurt en 1837 à Paris.

Sa veuve meurt en 1853 à Chatou (Seine-et-Oise, à 89 ans).

De son mariage avec Mélanie Gauvain il ne laissa qu'un fils, Arnold de RONSERAY, qui suit.

1797 : Arnold de RONSERAY naquit le 29 juin 1797 à Port-au-Prince (Archives de Saint-Domingue).

Ses parents réfugiés à la Jamaïque à Kingston l'envoyèrent faire son éducation en Angleterre au collège de Penn près Beaconsfield (Archives de famille).

Rentré en France à la Restauration, il fut désigné pour être élève écuyer du Roi et proposé pour devenir écuyer cavalcadour de S. A. R. Madame la Duchesse d'Angoulême (Archives de famille).

1825 : Forcé par les circonstances à renoncer à cette situation, il se tourna vers la magistrature et fut nommé substitut du Procureur du Roi à Mantes, puis à Melun.

1831 : Il mourut à Chaumont (Haute-Marne) le 15 octobre 1831.

Il avait épousé à Paris, paroisse de Saint-Louis d'Antin, le 5 mai 1821, demoiselle Marguerite Zélie Reynaud de Barbarin, née à Trenton (Etats-Unis), en émigration, le 5 juillet 1798, décédée à Paris le 10 mars 1878, fille de messire Jean-Baptiste Reynaud de Barbarin, chevalier de Saint-Louis, du Lys et de la Légion d'honneur, capitaine de dragons et de Mélanie d'Aquin.

Madame de RONSERAY épousa en deuxièmes noces le 3 décembre 1843 Léon Pétros Pharamond Blanchard, chevalier de la Légion d'honneur et de Saint-Stanislas de Russie, Conseiller d'Etat de S. M.  Alexandre II, Empereur de Russie, arrière petit-fils de Blanchard de Saint-Martin, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis, Gouverneur des Invalides à la fin du règne de Louis XIV (Sans postérité).

Il laissa :

1822 : Henri Arnold, qui suit :

Denys Auguste, né le 18 février 1829, décédé le 18 Juin 1843.

Charlotte Mélanie, née à Mantes en juillet 1823, décédée à Paris le 20 décembre 1912, mariée à Victor Bonnet, né à Maintenon en 1815, décédé à Lucerne (Suisse) le 23 juillet 1885, chevalier de la Légion d'honneur et de l'Etoile polaire de Suède, membre de l'Institut. (Voir appendice) dont :

Edgar, Inspecteur des Finances, Directeur Général de la Compagnie du Canal de Suez, officier de la Légion d'Honneur, marié à Louise Le Cesne, dont postérité. (Voir appendice).

Henry, Avocat à la Cour d'Appel de Paris, membre du Conseil de l'Ordre, marié à Fernande Mathias. en 1905, dont postérité. (Voir appendice).

Hélène, mariée à Louis Homolle, ingénieur chef de l'exploitation de l'Ouest-Etat, dont postérité (Voir appendice).

Henri Arnold de RONSERAY naquit à Nogent-le Rotrou le 25 février 1822.

Il fut nommé :

Chef du contentieux et du domaine du chemin de fer du Nord en 1852.

Chevalier de la Légion d'honneur en 1865.

Chevalier de l'Ordre de Léopold de Belgique en 1873.

Administrateur des Compagnies d'assurances du Soleil et de L'Aigle en 1866.

Directeur général de la Compagnie du Soleil en 1883.

1903 : Président du Conseil de la Compagnie du Soleil.

1906 : Le 25 mai, il meurt à Paris.

Il épousa le 8 juillet 1848 Zénobie Victorine de la Sablière des Hayes née à Paris le 6 septembre 1818, décédée à Paris le 9 novembre 1873, fille de Joachim Gaspard de la Sablière des Hayes, originaire de Romans en Dauphiné, directeur aux Finances, et de Clarisse Turcas.

Il en eut :

- 4 fils :

Arnold Auguste, qui suit :

André Cyprien, né le 2 février 1852 à Paris, capitaine d'artillerie breveté d'état-major, décédé le 13 décembre 1883, marié le 5 juillet 1877 au château de Tour, près de Bayeux, à Marie Sophie Gosset, née à Villers-sur-Mer le 4 juillet 1855, fille de Théophile Gosset du Taillis et de Marie Pâris d'Illins, dont postérité (Voir appendice).

Charles Marie, né à Chatou (Seine-et-Oise, le 18 août 1854, sous-officier de chasseurs à pied, décédé à Séville (Espagne) le 11 novembre 1876.

Louis Victor Maurice, né à Paris le 12 novembre 1863, capitaine de cavalerie, marié le 14 octobre 1889 à MarieThérèse Le Roux, née à Parthenay (Deux-Sèvres) le 9 mars 1867, fille de Ferdinand Le Roux, sous-Préfet, chevalier de la Légion d'honneur, et de Marie Raby, dont postérité. (Voir appendice). 

- 1 fille :

Marie Marguerite, née le 12 novembre 1858 à Paris, mariée le 4 avril 1883 à Paul Louis Edouard Brame, né en 1850, décédée à Saint-Beatemberg (Suisse), le 6 juillet 1908, commandeur de l'ordre de Léopold de Belgique, chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand, dont postérité. (Voir appendice).

Mariée en deuxièmes noces le 4 Novembre 1916 à Amable Charles de Franquet, comte de Franqueville né en 1840, officier de la Légion d'honneur, membre de l'Institut.

1849 : Arnold Auguste de RONSERAY, né à Chatou (Seine-et-Oise) le 24 mai 1849, comte romain par bref de S. S. le Pape Léon XIII de 1880. Capitaine d'artillerie de réserve, chevalier de la Légion d'honneur, médaillé militaire de 1870 (engagé volontaire), chevalier de Sainte-Anne de Russie, de Charles III d'Espagne commandeur de l'ordre de Danilo, décoré de la Croix pro ecclesia et pontifice, directeur de la Compagnie d'assurances contre l'Incendie L'Aigle. (Voir appendice).

1875 : Epouse le 18 février 1875 à Paris Frasquita dite Ita, Thomas de Bojano née à Paris le 7 janvier 1856, fille de Louis Thomas, duc de Bojano et de la duchesse Livia Carafa des ducs de Noja. (Voir appendice)

Dont :

- 5 fils :

Arnold Louis, né à Paris le 9 novembre 1875 qui suit :

Raymond Léon Gaston, né au château de Champfleury, à Carrières-sous-Poissy (Seine-et-Oise), le 15 juin 1877, marié le 2 décembre 1903 à Anne Delarue, née à l'Abbaye de Mortemer (Eure), en 1879, fille du colonel et de Mlle. Delarue. (Voir appendice).

Pierre Yves Edmond, né à Paris le 11 décembre 1878, épouse le 9 juillet 1908 à Paris, Charlotte Gay-Lussac, née à Paris en 1882, fille d'Albert Gay-Lussac et de Julie Hachette, dont postérité. (Voir appendice);

Pierre Charles Horace, né à Chatou (Seine-et-Oise), le 31 octobre 1887. (Voir appendice).

Philippe André Roger, né à Paris le 26 mars 1894, épouse à Paris le 4 août 1914, Magdeleine Wessbecher, fille de Eugène Wessbecher et de Marie Menet, dont postérité. (Voir appendice).

- 4 filles :

Livia Marie Vittoria, née à Paris le 22 décembre 1880. (Voir appendice).

Renée Marie Magdeleine, née à Paris le 28 mars 1883. (Voir appendice);

Jehanne Marie Louise Zénobie, née à Paris le 15 décembre 1888. (Voir appendice).

Simone Livia Frasquita, née à Paris le 31 janvier 1900.

Arnold Louis, comte de RONSERAY, né à Paris le 9 novembre 1875, capitaine au 7ème régiment de chasseurs à cheval, (Voir appendice).

Marié le 13 novembre 1906 à Simone de la Brosse, née à Riom lé 24 mars 1885 fille de M. Gustave de la Brosse et de Anne de Toucy, épouse en deuxièmes noces de M. Gabriel Dervault. (Voir appendice).

Dont :

- 2 fils :

Arnold Marie, né à Moulins le 21 février 1908.

Jean, né à Moulins le 6 mai 1911.

- 2 filles :

Christiane, née à Moulins (Allier), Noël 1909.

Nicole, née à Sézanne (Marne), le 25 août 1912.

 

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APPENDICE FAITS SE RAPPORTANT A LA GUERRE DE 1914 - MEMBRES DE LA FAMILLE MOBILISÉS.

Comte de Ronseray (Arnold Auguste de Ronseray), Capitaine d'Artillerie Territoriale, mobilisé le 4 août 1914 au Parc d'Artillerie de Place de Versailles, puis Adjoint au Général Coudret, commandant l'Artillerie de la zone avancée sur le front de l'Aisne.

ENFANTS DU COMTE DE RONSERAY.

— Capitaine Louis de Ronseray du 10ème Chasseurs à cheval, batailles de la Woëvre, de la Marne, de Belgique et de la Somme ; détaché à Mirecourt, à l'Ecole d'Etat-Major, affecté à l'Etat-Major du 1er corps de cavalerie, puis à l'Etat-Major de l'Infanterie de la 56ème D. I.

— Sous-Lieutenant Gaston de Ronseray, Maréchal des logis territorial au 22ème d'Artillerie, passé dans l'active, assiste à la Bataille de Charleroi, nommé Sous-Lieutenant au 11ème d'Artillerie en Champagne, envoyé en Artois, passe dans l’aviation ; tué à l'ennemi le 30 septembre 1915 dans un combat d'avion audessus de Fampoux (Pas-de-Calais) ; cité à l'ordre de l'armée, décoré de la Croix de Guerre.

— Edmond de Ronseray, engagé volontaire, service automobile, détaché à Nieuport (Belgique) avec les batteries de 100 T. R.

— Pierre de Ronseray, cavalier au 18ème Chasseurs à cheval, combats de Lorraine, entré à Mulhouse et à Sarrebourg, passe au Corps des interprètes anglais, envoyé en Belgique, en Artois, puis au front anglais dans la Somme. Cité à l'ordre de l'armée anglaise, décoré de la croix de guerre anglaise.

— Philippe de Ronseray, auxiliaire classé au Service Automobile, détaché à Nieuport (Belgique) avec les batteries de 100 T. R.

— Comtesse de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge à l'hôpital auxiliaire de Poissy.

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Livia de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge à l'hôpital de Poissy, puis à l'hôpital des Alliés à Paris.

— Renée de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge à l'hôpital de Poissy.

— Jehanne de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge aux hôpitaux de Luxeuil, puis de Gérardmer, décorée de la médaille d'argent pour les épidémies.

— Comtesse Louis de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge, hôpital de Luxeuil.

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Comtesse Gaston de Ronseray, infirmière-major de la Croix-Rouge à Luxeuil, pais à Salonique.

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Maurice de Ronseray, capitaine de réserve au 5ème Dragons, à Compiègne, désigné comme Commandant de la place de Reims, en août 1914.

ENFANTS MAURICE DE RONSERAY.

— Guy de Ronseray, cavalier au 11ème Cuirassiers, puis Sous-Lieutenant à l'escadron à pied, batailles de Belgique, d'Artois, de Champagne ; cité à l'ordre de l'armée, blessé, décoré de la Croix de Guerre.

— Yves de Ronseray, cavalier au 2ème Cuirassiers, passé au service automobile comme auxiliaire dans les autos-canons.

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Madame André de Ronseray, infirmière de la Croix-Rouge aux hôpitaux de Villers-sur-Mer et de Dijon.

ENFANT D'ANDRÉ DE RONSERAY.

— Vicomte Henry de Ronseray, Maréchal des logis, porte-étendard au 3ème Chasseurs à cheval, Adjudant, puis Sous-Lieutenant commandant la section de Mitrailleuses, batailles de Lorraine, de la Marne, de Picardie, de Belgique, de la Somme.

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ENFANTS DE MARIE DE RONSERAY-BRAME.

— Henry Brame, Sous-Lieutenant au train des équipages, passe au service automobile chef de convoi ; batailles de la Marne, de Champagne, d'Orient, comme adjoint au Commandant du service automobile affecté à l'Armée Serbe ; cité à l'ordre de l'Armée Serbe, décoré de la Croix de l'Aigle blanc de Serbie.

— Louis Brame, soldat au 102ème régiment d'Infanterie, disparu à l'attaque de Péronne, en septembre 1914.

— Edouard Brame, Caporal d'Infanterie, détaché au service automobile Etat-Major du Général de Castelnau, batailles de la Marne, Lorraine, Somme, Verdun, designé pour l'Armée d'Orient.

— Geneviève Brame de Fromentel, infirmière de la Croix-Rouge à Nogent-sur-Seine ; Infirmière-Major à Roanne.

— Thérèse Brame, infirmière de la Croix-Rouge à Nogent-sur-Seine ; Infirmière-Major à Roanne ; entrée en religion, Ordre de Marie Réparatrice.

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ENFANTS D'EDGAR BONNET.

— Georges Bonnet, cavalier au 7ème Chasseurs, passé au corps des interprètes près de l'Armée Anglaise, Maréchal des logis affecté au 1er Royal Dragons, passé dans l'aviation.

— William Bonnet, Adjudant stagiaire au corps des interprètes anglais, affecté à la division Indienne, Sous-Lieutenant puis Lieutenant, cité à l'ordre de l'armée, décoré de la Croix de Guerre.

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ENFANTS D'HENRY BONNET.

— Jacques Bonnet, Enseigne de vaisseau, détaché au bataillon des Fusiliers Marins, immortalisés par la bataille de l'Yser, tué à l'ennemi le 4 juin 1915. Chevalier de la Légion d'Honneur, plusieurs fois cité à l'ordre de l'Armée, décoré de la Croix de Guerre, Chevalier de la Couronne de Belgique.

— Raoul Bonnet, Ingénieur engagé volontaire, affectéau service automobile.

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ENFANTS D'HÉLÈNE BONNET-HOMOLLE.

— Michel Homolie, Sous-Lieutenant puis Lieutenant au 44ème d'Artillerie, puis au 244ème d'Artillerie, blessé en 1914, cité à l'ordre du corps d'Armée puis de l'Armée, décoré de la Croix de Guerre.

(Arnold de Ronseray).  

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