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FAY-DE-BRETAGNE |
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La commune
de Fay-de-Bretagne ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de FAY-DE-BRETAGNE
Fay-de-Bretagne vient du nom "fagus" (hêtre).
Fay (Fay-de-Bretagne) englobait jadis le territoire de Bouvron. La motte du Châtel (ou Chastel), aujourd'hui disparue et jadis sur le territoire de Bouvron, et celle de la Violaye (ou Violais ou Violaie) datent probablement du Haut Moyen Age. A noter qu'un prieuré dédié à saint André était jadis situé au village du Chastel.
En 1871, le territoire de Fay est diminué de 2 525 hectares pour former une partie de la nouvelle commune de Notre-Dame-des-Landes.
Launay est une terre noble possédait en 1445 par Pierre Saint-Aubin. La propriété passe ensuite à la famille Blanchard puis à la famille Bedeau.
Note 1 : Instruction publique à Fay-de-Bretagne. - Une somme de 60 livres de rente avait été léguée à la paroisse par N. Billy, sieur du Chastel, pour la personne qui se chargerait d'instruire la jeunesse. Le fondateur imposa en retour aux écoliers l'obligation de répondre à la messe, célébrée le dernier samedi de chaque mois, sur sa demande, et de réciter un libéra, avant de sortir de l'école (Livre de visites du climat de la Mée, 1638 - Archives du chapitre de Saint-Pierre). (L. Maître).
Note 2 : liste non exhaustive des maires de la commune de Fay-de-Bretagne : Chevalier, Jean Baptiste Mélu, Barraud des Perrières, Isidore Charette de Thiersent, Berthou de La Violaie, Tournier, Georges Sicard, ...
PATRIMOINE de FAY-DE-BRETAGNE
l'église
Saint-Martin (1859-1891-1895). L'ancienne église du XVIIème siècle possédait
des parties romanes datées du XIème siècle. Le clocher date de 1859 ;
la
chapelle Saint-Apollinaire (XVIIIème siècle) ;
la
chapelle Sainte-Madeleine (XIXème siècle), édifiée sur le site d'une
ancienne léproserie du Moyen Age ;
la
croix (1758), située à La Meignelais ;
plusieurs
autres croix : la croix de la Feuilletais, de la Courbe, du Latais, du Chêne
des Perrières, du Châtel ;
le
château de La Joue (XIXème siècle). Cette seigneurie, qui possédait
jadis une haute justice, appartient à Jean de La Jou (en 1362), à René de
Kerboudel, sieur de La Cour-Péan (en 1679), à la famille Berthou (en 1775) et
à la famille Charette du Tiercent
ou Thiersent (au XIXème siècle), cousins de ceux de La Colinière et de La
Gascherie. La chapelle privée de La Joue date du XIXème siècle : elle est dédiée
à saint Lambert ;
le
château du Chêne-des-Perrières (1807), reconstruit en 1807 par Raymond
Barrau (ou Barraud) du Verger ;
le
manoir de la Violais ou Violaie ou Violaye (XIXème siècle), édifié près de la motte féodale
de La Violais. Il ne subsiste que le pigeonnier. Propriété de la famille
Crocelay (du XVème au XVIIIème siècle), de la famille Berthou (au début
du XVIIIème siècle) et de la famille Charette du Tiercent ou Thiersent (au XIXème siècle),
cousins de ceux de La Colinière et de La Gascherie ;
le
manoir du Houssais-de-Brie (XVI-XVIIème siècle). La tour date du XVI-XVIIème
siècle. Propriété de Pierre Blanchard et de son épouse Françoise
Bonfils en 1639. La propriété est vendue en 1786 par René Athanase
Bonnaventure des Touches à Emmanuel Alexandre Rivière de Vauguérin,
seigneur de La Mordelais ;
la
maison (XVIIème siècle - 1774), située à La Duranderie. Propriété de
la famille Durand alliée à la famille Blanchard de Launay. Cette maison
est la propriété de la famille Mabilais et de ses descendants depuis le début
du XVIIème siècle et elle a été restaurée en 1774 par Mathurin Mabilais ;
la
maison (XVIIIème siècle), située à La Meignelais. Le linteau de la porte
est gravé d'une croix et de la date de 1757 ;
l'ancien
manoir du Launay, propriété des Bedeau, officiers des armées royales ;
les
anciens manoir de Blaudouet et de La Mordelais, propriétés des Rivière de
Vauguérin, membres de la Chambre des Comptes de Nantes ;
l'ancien
manoir du Halquetier, propriété des Fourché de Quéhillac, puis des
Bourgault-Ducoudray ;
l'ancien
manoir du Thiemmaye ou Thiémay, propriété de la famille Rohan, puis des familles
Maès et Say, planteurs et raffineurs ;
l'ancien
manoir du Châtillon, propriété de la famille Godet de Châtillon ;
la
mairie (XIXème siècle), située rue de la Mairie. Cet édifice accueillait
jadis le presbytère ;
le
pont de Vilhouin (Moyen Age), qui enjambe le ruisseau du Pont-aux-Meuniers ;
8
moulins
dont le moulin de La Violais (XIXème siècle) ;
A signaler aussi :
la
tour du Thiemay (XIXème siècle), ancienne propriété de la famille Say ;
ANCIENNE NOBLESSE de FAY-DE-BRETAGNE
(à compléter)
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