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IRODOUER

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La commune de Irodouër (bzh.gif (80 octets) Irodouer) fait partie du canton de Bécherel. Irodouër dépend de l'arrondissement de Rennes, du département d'Ille-et-Vilaine (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de IRODOUER

Irodouër vient de la famille Irodouër. 

Irodouër semble être un démembrement de la paroisse de Miniac. La paroisse d'Irodouër est mentionnée pour la première fois en 1123 sous l'appellation "Irodor". Donoal ou Donoald, évêque d'Alet (Saint-Malo) fait alors don aux moines du couvent de Saint-Melaine de Rennes, de l'église Saint-Pierre d'Irodouër. La paroisse d'Irodouër dépendait jadis de l'ancien évêché de Saint-Malo. La maison seigneuriale d'Irodouër était le Plessis-Giffart.

Ville d'Irodouër (Bretagne).

L'an 1123, Donoald, évêque d'Aleth, se trouvant à Rennes, au couvent de Saint-Melaine, donna aux moines de cette abbaye l'église de Saint-Pierre d'Irodouër, « ecclesiam Sancti Petri de Isrodor », sauf tous les droits épiscopaux. Il accorda en même temps à l'abbé de Saint-Melaine le privilège de lui présenter le recteur d'Irodouër, et il investit cet abbé par le livre des Evangiles, sur lequel le prélat et son archidiacre jurèrent de maintenir cette donation (Cartulaire de l'abbaye Saint-Melaine, 169). Plus tard, le pape Luce III confirma, en 1185, Gervais, abbé de Saint-Melaine, dans la possession des églises d'Irodouër, « ecclesias de Irrodor ». Vers le même temps, une contestation s'éleva entre Pierre Giraud, évêque de Saint-Malo, et les Bénédictins de Saint-Melaine, au sujet du recteur ou chapelain d'Irodouër et des revenus de son église ; les parties se soumirent au jugement d'Anger, abbé de Saint-Serge, d'Herbert, archidiacre d'Angers, et de Gilbert, chantre de la même église, qui réglèrent ce qui suit en 1187, à Angers même : L'abbé et les moines de Saint-Melaine, renonçant à la présentation du recteur d'Irodouër, la nomination de celui-ci appartiendra désormais à l'évêque de Saint-Malo et à ses successeurs ; les religieux de Saint-Melaine continueront toutefois de recevoir à Irodouër la part qui leur appartient dans les dîmes et dans les oblations de cette église ; le chapelain ou recteur nouvellement institué prêtera serment devant l'évêque de Saint-Malo et en présence de l'abbé de Saint-Melaine de fournir aux moines ce qui leur est dû à Irodouër (Cartulaire de l'abbaye Saint-Melaine, 185). La portion de dîmes et d'oblations à laquelle avaient droit les religieux de Saint-Melaine n'étant point déterminée dans cet acte, de nouvelles difficultés s'élevèrent à ce sujet ; cette fois, Pierre Giraud et l'abbé de Saint-Melaine prirent pour arbitre Herbert, évêque de Rennes de 1184 à 1198, qui rendit la sentence suivante : Désormais tout chapelain ou recteur pourvu de la cure d'Irodouër devra, avant d'en prendre possession, prêter serment, devant l'évêque de Saint-Malo et l'abbé de Saint-Melaine réunis, de fournir exactement aux moines de Saint-Melaine 3 quartiers de froment à la mesure d'Irodouër, quelle qu'elle soit, livrables à la Nativité de la Vierge, et de leur abandonner la moitié des offrandes faites à Noël et à Pâques dans l'église d'Irodouër (Cartulaire de l'abbaye Saint-Melaine, 185). Les Bénédictins de Saint-Melaine unirent ce qu'ils avaient à Irodouër à leur prieuré de Miniac, et ce dernier établissement ayant été supprimé en 1411, ils abandonnèrent leurs droits au recteur de Miniac, qui recevait encore chaque année, avant la Révolution, 4.8 boisseaux de froment, dus le 2 novembre par le recteur d'Irodouër. Le Pouillé ms. de Saint-Malo (1739-1767) nous apprend qu'à cette époque le recteur d'Irodouër levait un tiers des dîmes de sa paroisse et que les deux autres étaient partagés entre divers gentilshommes. Le recteur Jean Rastel déclara en 1790 cependant qu'il dîmait alors « à la trente-sixième gerbe dans toute sa paroisse, divisée en cinq traits nommés le Val, la Haye, la Chapelle, les Bois-Millon et la Garenne ». Il affermait les trois premiers traits 1 311 livres, et il estimait 900 livres les deux autres traits où il recueillait lui-même; c'était donc un total de 2 211 livres de revenu brut. Mais il avait 834 livres de charges, savoir : 48 boisseaux de froment dus au recteur de Miniac-sous-Bécherel, estimés 226 livres ; décimes et droits synodaux, 133 livres ; pension d'un vicaire, 350 livres , et entretien du chanceau et du presbytère, 125 livres ; de sorte qu'il ne lui restait que 1 377 livres de revenu net (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 V, 29, et Pouillé de Rennes).

Ville d'Irodouër (Bretagne).

Lorsque vers 1152 fut fondée l'abbaye de Montfort, Geoffroy, fils d'Ulric, donna à ce nouveau monastère la terre de la Chapelle, en Irodouër, « in Irrodoir terram Capellœ » (D. Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 614). Les chanoines réguliers de Montfort avaient encore en 1679 un bailliage dans la paroisse d'Irodouër. C'est peut-être là l'origine des maisons nobles des Chapelles-Valoyses et des Chapelles-Mauvoisin, signalées en Irodouër en 1513. Ces terres tiraient vraisemblablement leur nom d'anciens sanctuaires disparus depuis bien des siècles (Pouillé de Rennes).

On rencontre les appellations suivantes : Isrodor (en 1123), Irrodor (en 1185), Irrodoir (en 1187), Errodoer (en 1250), Yrodouez (en 1513).

Ville d'Irodouër (Bretagne).

Note : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse d'Irodouër : Geffroy Michel (« Gaufridus Michaelis persona de Errodoer » en 1250). Thomas Faverel (résigna en faveur du suivant). René Le Vayer (prit possession le 22 novembre 1609 ; il fut aussi prieur de la Lande, en Bruc ; décédé vers 1626). Claude Gérault (résigna vers 1627). Jean Breillet (prit possession le 27 juin 1627). René Le Songeur (résigna vers 1634). Jean Le Chapelier (fut pourvu le 21 février 1634). Robert Rousson (prêtre du Mans, résigna en faveur du suivant). Jacques Le Maire (prêtre de Séez, fut pourvu en Cour de Rome et prit possession le 11 novembre 1641). N... de la Fosse (décédé vers 1687). Sébastien-Joseph de Faramus de Trahideuc (chanoine de Saint-Malo, fut pourvu le 26 avril 1687). Georges-Alexis Becdelièvre du Bouëxic, (décédé en 1699). Philippe Thobye (fut pourvu le 9 septembre 1699 ; décédé en 1713). Claude Le Quémener (fut pourvu le 17 juin 1713 ; décédé en 1719). Augustin de la Pommeraye de Kerambar (pourvu le 23 août 1719, était en 1730 syndic du clergé du diocèse ; décédé en 1750). François de la Fosse (fut pourvu le 4 octobre 1750 ; décédé en 1757). Jean Eveillard (fut pourvu le 26 octobre 1757 ; décédé en 1778). Simon Rolland (fut pourvu le 2 mai 1778 ; décédé le 4 mai 1784). Pierre-Marie Launay (pourvu le 23 juin 1784, ne prit point possession). Julien Rastel (pourvu le 8 juillet 1784, gouverna jusqu'à la Révolution, émigra et fut réinstallé en 1803 ; décédé en 1818). Louis Genestay (1818-1860). François Gougeon (1860, décédé en 1870). Frédéric Lefeuvre (1870-1880). Victor Derennes (à partir de 1880), ....

Voir   Ville d'Irodouër (Bretagne) " Le cahier de doléances d'Irodouër en 1789 ".

Ville d'Irodouër (Bretagne).

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PATRIMOINE de IRODOUER

l'église Saint-Pierre (1826-1827), édifiée à l'emplacement de l'ancien sanctuaire qui datait du Moyen Age : elle conserve un retable à baldaquin. On ne voit plus rien de l'ancienne église Saint-Pierre d'Irodouër, mentionnée, comme nous l'avons vu, dès l'an 1123. Elle a été remplacée en 1827 par un vaste édifice à trois nefs, avec ouvertures en plein cintre. Les seigneurs de Montfort, de qui relevaient les plus im­portants manoirs d'Irodouër, étaient originairement regardés comme seigneurs supérieurs dans l'église d'Irodouër, et en 1682 M. Ferron de Villandon, seigneur du Quengo, prétendait avoir acquis leurs droits de « supériorité, fondation et prééminence » en cette église. Mais, au XVIIIème siècle, M. du Bouëxic de Pinieuc était réellement le seigneur de la paroisse, à cause de son antique seigneurie du Plessix-Giffart, à laquelle, dit Du Paz, étaient attachés « les prééminences en l'église d'Irodouër, les intersignes et écussons en la grande vitre et autres, lisière et ceinture à l'entour de ladite église, dedans et dehors, armoiée de leurs armes, avec enfeu prohibitif au chanceau, tombeaux armoiez de leurs armes, épitaphes et superscrigtions et toutes marques de supériorité » (Histoire généalogique de Bretagne, 680). La confrérie du Rosaire était érigée au XVIIIème siècle dans l'église d'Irodouër, et l'on y desservait un certain nombre de fondations, entre autres celle d'une messe matinale chaque dimanche. Le maître-autel, oeuvre d'Alexis Commereuc, date de 1844. La chaire date de 1840 ;

Eglise d'Irodouër (Bretagne).

 

Eglise d'Irodouër (Bretagne).

la croix (XIVème siècle), située à Villeneuve ;

la croix (1862), située au lieu-dit La Cardière ;

le château du Quengo (XVI-XVIIIème siècle), situé route de Romillé. Assiégé et incendié durant les guerres de la Ligue, il est reconstruit vers 1830. On y trouve deux écussons du XVIème siècle aux armes de la famille de la Haye. La chapelle actuelle remplace une chapelle plus ancienne : la porte d'entrée (XV-XVIème siècle) est celle de l'ancien manoir de Villeneuve et on y voit les armes de la famille Fournier, seigneurs de Trélo. Propriété de Bertrand de La Haye en 1480. Propriété successive des familles de la Haye (en 1513), de Ferron (en 1682 et au XVIIIème siècle), Botherel (XIXème siècle), du Crest de Lorgerie (au XXème siècle) ;

Château d'Irodouër (Bretagne).

la chapelle du château de Quengo (XVIIème siècle) ;

Chapelle d'Irodouër (Bretagne).

le château de la Ville-au-Sénéchal (XVIIème siècle), situé route de Bécherel. Il possédait jadis une chapelle démolie en 1827. La chapelle de la Ville-au-Sénéchal dépendait de ce manoir, appartenant en 1513 à Pierre d'Irodouër. En 1774, Louis de la Forest, seigneur de la Ville-au-Sénéchal, présenta François Demay pour desservir cette chapellenie, unie alors à celle de la Ville-Lieu, en place de Julien Poulnay, décédé (Pouillé de Rennes). Il n'a été conservé qu'un bénitier et une pierre tombale gravée des armes des de la Forest. La Ville-au-Sénéchal avait un droit de haute justice. Propriété de Guillaume d'Irodouër en 1480. Propriété successive des familles Irodouër (en 1513), Martin (en 1645), la Forest (en 1670) ;

Château d'Irodouër (Bretagne).

5 moulins dont les moulins à eau du Plessix-Giffard, de la Roche, de Rabaté, de Bouvet, de Quengo ;

Ville d'Irodouër (Bretagne).

A signaler aussi :

l'ancien manoir du Plessis-Giffart, situé route de Bécherel. Il avait un droit de haute justice. Propriété successive des familles Giffart (en 1471), la Marzelière (en 1513), du Bouëxic (au XVIIIème siècle). Propriété d'Olivier Giffart en 1480 ;

l'ancien manoir du Pont de Nieul. Propriété de l'abbé de Paille-Levé (Pailvé) au XVIIIème siècle ;

l'ancien manoir de Rigour. Propriété de la famille la Chapelle, seigneurs de Trégomain en 1513 ;

l'ancien manoir du Boisjean. Propriété de la famille Ginguené au XIVème siècle ;

l'ancien manoir de la Noë, situé route de Romillé. Propriété de la famille Urceau, puis des familles Chefdemail et Fourni (en 1513) ;

l'ancien manoir du Clos-Bossart, situé route de Romillé. Propriété de la famille Giffart-Mauvoysin en 1513 ;

l'ancien manoir des Chapelles-Mauvoysin, situé route de Bédée. Propriété successive des familles Mauvoysin (en 1513). Les Chapelles-Valoyses, situées dans le voisinage, appartenaient à la famille Bourgneuf, puis à la famille Vaucouleur de Lanjamet (en 1513) ;

l'ancien manoir du Breil-Rond, situé route de Bédée. Propriété de la famille Breil en 1370 et en 1513 ;

l'ancien manoir de la Chaussonnière, situé route de Bédée. Propriété de la famille de la Haye en 1513 ;

l'ancien manoir du Frost ou du Frau. Propriété de la famille Frost (en 1460), puis de la famille Mauvoysin (en 1513) ;

l'ancienne Chapelle de l'Aubaudière, située route de Bédée. Elle était frairienne. La chapelle de l'Aubaudière était fondée d'une messe pour tous les dimanches. En 1790, elle avait 60 livres de rente, consistant en terres sises autour du village de l'Aubaudière ; ces terres relevaient des seigneuries du Plessix-Giffart et du Lou à devoir de 30 sols de rente féodale (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 V, 29) ;

l'ancien manoir de la Ville-Lieu, situé route de Bédée. En 1513, Joachim Le Gac, fils de Jehan Le Gac, sieur de Pontelain, possédait la maison noble de la Ville-Lieu. C'est probablement à l'un ou l'autre de ces seigneurs qu'est due la fondation de la chapellenie de la Ville-Lieu, « fondée, est-il dit en 1699, de trois messes par semaine, par les seigneurs de Pontelain ». Dès 1563, en effet, Amaury Blanchet fut pourvu de ce bénéfice en place de Jean de Burond, décédé ; Pierre Callouet en 1698, et Jean de l'Espinay en 1699, lui succédèrent, ce dernier présenté par Jeanne de la Provoté, femme de Jacques de l'Espinay, habitant le manoir de Pontelain, en Landujan. En 1719, Louis de la Forest, seigneur de la Ville-Lieu, présenta à François de la Fosse cette chapellenie. En 1790, les deux fondations unies de la Ville-au-Sénéchal et de la Ville-Lieu valaient 252 livres de rente (Archives départementales d'Ille-et-Vlaine, 1 V, 29, et Registre des insinuations ecclésiastiques de l'évêché de Saint-Malo). Propriété de la famille le Gac, seigneurs de Pontelain (en 1513) et de la famille la Forest (en 1719) ;

l'ancien manoir de Villeneuve, situé route de Montauban-de-Bretagne. Propriété du Contôleur de Rennes (en 1513), puis des familles Trogoff (au XVIIIème siècle) et Ferron (au XIXème siècle) ;

l'ancien manoir de l'Hôpital, situé route de Montauban-de-Bretagne. Propriété de la famille Raymond en 1513 ;

l'ancienne Chapelle de l'Aubriotière, située route de Montauban-de-Bretagne. La chapelle de l'Aubriotière, située au village de ce nom, dépendait à l'origine du prieur de Saint-Lazare de Montfort, mais au XVIIIème siècle elle était considérée comme frairienne. Elle était desservie en 1790 par Jean Maudet, qui jouissait d'un revenu de 30 livres pour deux messes hebdomadaires dues le dimanche et le vendredi. Les terres formant le fonds de cette chapellenie relevaient toutefois encore de Saint-Lazare à devoir de 2 livres 12 sols de rente (Pouillé de Rennes) ;

l'ancien manoir de Bouvet, situé route de Landujan. Propriété de Marguerite de Goulaine (en 1513), puis des familles Sesmaisons (en 1566) et Botherel (au XVIIIème siècle) ;

l'ancien manoir de la Garenne, situé route de Landujan. Il possédait jadis une chapelle privée. La chapelle de la Garenne était bâtie auprès du manoir de ce nom. Par acte du 20 mars 1645, Guy Martin et Julienne de Launay, seigneur et dame de la Ville-au-Sénéchal et de la Boultrie, y fondèrent une messe pour tous les dimanches ; cette fondation fut approuvée par l'évêque le 30 mai 1653. Louis de la Forest, seigneur des Chapelles et de la Ville-au-Sénéchal, présenta en 1706 Joseph Broc pour la desservir ; mais en 1790 le service de cette chapellenie, ayant alors 54 livres de rente, se faisait à l'église (Pouillé de Rennes). Propriété de la famille Mauvoysin en 1513 ;

l'ancien manoir de Launay, situé route de Landjan. Propriété de la famille de Beaulieu (en 1513) ;

l'ancien manoir de la Chauverais, situé route de Landujan. Propriété de Marguerite de Goulaine, dame de Bouvet (en 1513) ;

l'ancien manoir de Carouët, situé route de Landujan. Propriété de la famille de la Houssaye (en 1513) ;

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ANCIENNE NOBLESSE de IRODOUER

Dans la liste des feudataires (teneurs de fief) des évêchés de Saint-Malo et Dol en 1480, on comptabilise la présence de 17 nobles de Irodouër :

Guillaume d'YRODOUER de Villausénéchal (40 livres de revenu) : excusé comme appartenant à la maison du duc ;

Guillaume d'YRODOUER de la Palleraye (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;

Raoul d'YRODOUER de la Pruparaye : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;

Olivier DE BRERONT de Breront (120 livres de revenu), capitaine de Combourg en 1484 : défaillant ;

Olivier DE BRERONT de la Garaine (60 livres de revenu) : défaillant ;

Bertrand DE LA HAYE du Quengo (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan DE LA HAYE de la Chaussonnière (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;

Pierre DE LOURME (10 livre de revenu) : défaillant ;

Pierre DE PARTENAY (20 livres de revenu), notaire en 1473 : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;

Jehan DE QUEBRIAC des Chapelles (300 livres de revenu) : défaillant ;

Guyon DU FROST (160 livres de revenu) : à pied ;

Edouard FOURNIER (10 livres de revenu) : défaillant ;

Olivier GIFFART de Plessis-Giffart (70 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;

Bertrand MAUVOISIN (50 livres de revenu) : défaillant ;

Jehan RESMONT de l'Hôpital (15 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;

Bertrand THOMAS (15 livres de revenu) : défaillant ;

Jehan URSEAN de la Noë (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;

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