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ISSE |
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La commune d'Issé ( Izeg) fait partie du canton de Moisdon-la-Rivière. Issé dépend de l'arrondissement de Châteaubriant, du département de Loire-Atlantique. |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de ISSE
Issé vient de "Iciacum", peut-être du latin "exire" (sortir).
En 1123, la commune s'appelait Isiacum et a été conquise sur l'antique forêt de Gâtines. Au XII-XIIIème siècle, le nom évolue vers Ice puis vers Saint-Pierre de Isse.
Dans la paroisse d'Issé, on voit les ruines d'un château appelé le Buron. Le Buron était le chef-lieu de la châtellenie d'Issé, donnée en apanage avec d'autres seigneuries à un chevalier nommé Le Boeuf, fils de Tihern et d'Ynnoguen, et frère de Briant, premier baron de Châteaubriant. Tous ces personnages vivaient au XIème siècle. Un peu plus tard nous trouvons un Brient Le Boeuf, témoin de donations faites à Buzay en 1189 et à Melleray en 1214. Ce seigneur donna même à cette dernière abbaye, en 1230, une partie de sa terre d'Abbaretz. Il fut inhumé en 1250, dans le cloître de ce monastère où l'on voyait encore son tombeau au XVIIème siècle. Les familles de Rieux (suite au mariage de Nicole le Boeuf avec Geoffroy de Rieux), Laval, Montmorency et Condé se succèdent comme seigneurs d'Issé et barons de Châteaubriant. Issé, châtellenie d'ancienneté, s'étendait en cinq paroisses : Issé, Louisfert, Saint-Vincent des Landes, Abbaretz et Treffieux. Le plus considérable des fiefs de la seigneurie, celui d'Issé, rapportait en 1680 environ "109 boisseaux d'avoine, 44 l, 15 s. et 11 d. 17 poules et une paire de gants blancs". Les fourches patibulaires, à trois piliers seulement, se dressaient en 1560 près du bourg d'Issé où s'exerçait à l'origine la haute juridiction seigneuriale.
La paroisse d'Issé comprend plusieurs seigneuries ou terres nobles, notamment le Buron, Beaumont, la Martinière, Coëtreux et Gâtine.
Issé était jusqu'à l'époque du Consulat chef-lieu de canton et regroupait les communes d'Abbaretz, Treffieux et Saint-Vincent-des-Landes.
Note 1 : Jacques Defermon, propriétaire de la Gâtine, président de l'Assemblée nationale constituante, devient ministre de Napoléon Ier. L'abbé Orthion (ou Orhion) fonde un collège à Issé, dans l'actuelle mairie : il va durer de 1828 à 1844.
Note 2 : liste non exhaustive des recteurs d'Issé : François Bouchet (de 1773 à 1790), Jean Baptiste Rohart (de 1790 à 1792, avec pour vicaire François Guillard). A noter que c'est le vicaire Guyard qui rédige en 1789 le cahier de doléances qui est signé par Eluère, Rodrigue de La Garenne, Rossignol et Le Gouais. Après la Révolution, on trouve René Derennes, Le Coq, Bioret, Orthion, Rousset, Ménoret, ....
Note 3 : liste non exhaustive des maires de la commune d'Issé : Jean Eluère, Ruffel, Pasty, Louis Rodrigue, puis Guillaume Guérin, Gautier et Morel (sous la Restauration), Boutard (en 1830), Louis Eluère, Julien Bougué (en 1848), Bigot, Louis Guérin, Louis Bouchet, Bourdaud, Bernier, ....
PATRIMOINE de ISSE
l'église Saint-Pierre (1844). Cette église est édifiée à partir des plans de Séheult sur les vestiges de l'ancienne église datée de 1447 et fondée par Béatrix ou Béatrice de Rieux (fille de Jean de Rieux, maréchal de France, et seigneur d'Issé, et de Jeanne de Rochefort), dame de Buron et épouse de Jean de Rougé, décédé seigneur de Derval et de Rougé en 1415. Cette dame qui n'avait pas d'enfants semble s'être retirée dans son veuvage en sa seigneurie d'Issé. Au sire d'Issé appartenaient "les droits de coutumes et trépas au bourg d'Issé et ceux de seigneur supérieur et fondateur des églises d'Issé, Abbarets et Louisfert, ainsi que la présentation de deux chapellenies fondées par Béatrice de Rieux. Ces chapellenies étaient celles de Notre-Dame d'Issé, fondée par acte du 24 juillet 1447, dans l'église paroissiale Saint-Pierre d'Issé et consistant en trois messes par semaine - et celle de Sainte-Catherine fondée dans la chapelle Sainte-Catherine du Buron et consistant aussi en trois messes hebdomadaires, plus une grand'messe chantée, précédée la veille des premières vêpres, à la fête Sainte-Catherine" (Déclaration d'Issé en 1560). Les blasons des principales verrières de l'ancien édifice : "A la vitre principale du maistre-autel sont les armes de Châteaubriant ; à la vitre de la chapelle du Rosaire, au côté de l'Evangile, est un écusson portant d'azur à neuf besants d'or, que l'on nous a dit estre les armes de Rieux". Un seul tombeau ornait l'église d'Issé : "Au-dessous du crucifix, au costé droit, est un monument élevé de hauteur de trois pieds que l'on nous a dit estre celui de Béatrix de Rieux". Il y avait un certain nombre de bancs dans cette église : 1- "Proche le balustre du maistre-autel, un petit banc clos sur lequel il n'y a aucunes armes, ledit banc appartenant à Monseigneur", 2- "Au-dessous du monument de Béatrix de Rieux est un banc en accoudoir, prétendu par la dame de la Galmelière", 3- "Du costé de l'Epistre, à l'entrée de la nef, est un banc clos de quatre pieds et demy en carré, sur l'accoudoir duquel est un écusson qui porte : d'azur à trois fers de mulet d'argent, qui est de la Ferrière, prétendu par le sieur de Gastines", 4- "Au milieu de la nef est un banc en accoudoir, appelé vulgairement le banc des commères", 5- "Enfin dans la nef du costé gauche et au-dessous de l'autel de Sainte-Marguerite, est un petit banc en accoudoir, prétendu par le sieur de Coëttreux, près duquel est une fausse chasse, prétendue de même par ledit sieur de Coëttreux" ;
la chapelle Sainte-Catherine du Buron (XVème siècle), fondée en 1447 par Béatrix de Rieux, épouse de Jean de Rougé. La chapellenie fondée par Béatrice de Rieux en 1447 consistait "en trois messes hebdomadaires, plus une grand'messe chantée, précédée la veille des premières vêpres, à la fête Sainte-Catherine" . Sur le mur de ladite chapelle "il y avait un écusson portant d'azur à neuf besants d'or qui est Rieux, et plusieurs cartouches peintes sur ledit mur, en forme de lizière, dans chacune desquelles cartouches il y a une croix d'argent en champ de gueules, qui est Rougé". Lors d'une visite des officiers du prince de Condé il est dit que : "dans ladite paroisse d'Issé, il y a une chapelle dédiée à sainte Catherine qui estait dépendante et à la présentation de S.A.S., laquelle par la négligence du sieur de Bellestre-Oultremer qui en est pourvu (elle valait 300 livres par chacun an), tombe en décadence et est ruinée manifestement, faute de l'avoir entretenue particulièrement de couverture, et à laquelle a été interdite depuis l'an 16.. à la dernière visite qui y fut faite ; ce qui cause une incommodité et préjudice notables aux paroissiens, à l'église et au public, et ce qui fait d'ailleurs que les coustumes dévotes du pays sont abrogées, parce que de temps immémorial l'on avait coustume d'y porter le Saint-Sacrement le jour du sacre, joint que l'on y allait en procession et pèlerinage plusieurs fois l'an" ;
le calvaire (1894), édifié en souvenir de mission donnée par les capucins de Nantes ;
le château (XIXème siècle), situé à La Gâtine (ou Gastines). Cette ancienne terre noble appartient d'abord à la famille de La Ferrière (alliée à la famille Bellot) au XV-XVIIème siècle (on mentionne un Bernard de la Ferrière en 1400), puis au XVIIIème siècle au seigneur Defermon. A la fin du XIXème siècle, l'ancien manoir est réformé et Raoul Ginoux de Fermon fait construire le nouveau château néo-gothique. A noter que Ginoux de Fermon (ou Defermon) achète aussi le domaine de la Galmelière (en Moisdon-la-Rivière) en 1860. Sur les façades figurent les armoiries des De Fermon et de leurs alliés. Les haras, œuvre des architectes Libaudière et Raoul Ginoux de Fermon, datent de 1903. A noter que dès 1777, René de Fermon, époux de Marie Barbe, du Breuil, est dit sieur de Gastine ;
l'ancien manoir (XV-XXème siècle), situé au lieu-dit Le Buron. Le Buron est la première châtellenie à l'origine de la paroisse. La motte féodale, qui avait 25 mètres de diamètres, a été arasée en 1976. La dame du Buron, Béatrix de Rieux, se retire en 1447 en son château de Buron édifié en 1440 et fonde en 1447 deux chapelles à Issé : Saint-Pierre qui est devenue l'église paroissiale et sainte Catherine au Buron. Cette terre passe de la famille Rieux à la famille Laval, puis de la famille Montmorency à la famille Condé et reste dans cette famille jusqu'à la Révolution ;
l'ancien manoir de la Martinière (XIXème siècle). Propriété des familles Roul et Eluère, hommes de loi, alliés aux Gobbé, de Louisfert et d'Arbray. Jean Eluère est le premier maire de la commune en 1790 ;
l'ancien manoir de Coëtreux. Propriété jadis des familles Bonnelle et Rodriguez puis Bazille. En 1772, il y eut contrat de mariage d'Anselme Rodrigue, membre du Présidial de Nantes, avec demoiselle Fresnel, fille de Jean et de Monique Bonamy (signent en outre les Bonnelle, Laurencin, Sengstack, de Nantes). Claude Rodrigue, frère du précédent, était parent des Péniguel, du Bouëxic et Guisnel, du Buron ;
l'ancien manoir de Boisanger, fraction du Buron. Propriété des familles Cotelle, Arondel des Hayes, puis Narbonne et de Vauborel ;
la ferme de Beaumont (XIII-XXème siècle). Cette seigneurie appartient à des protestants en 1594 et l'église paroissiale est à cette époque entre leurs mains. Les Guérin, de Beaumont, ont donné un maire de Nantes au XVIIIème siècle. Au temps de la famille noble de La Hunaudaye, on disait le Tertre-Beaumont ;
le logis de Villeville (XVIII-XIXème siècle), lieu de rendez-vous de plusieurs prêtres réfractaires ;
la minoterie (début du XIXème siècle) de la ferme de Beaumont ;
plusieurs moulins dont le moulin à vent du Fretais ou Fretay (XIXème siècle), et les moulins de Montbarraon, de la Rochette ;
A signaler aussi :
on aurait trouvé, autour de Coëtreux, des haches en pierre polie ;
ANCIENNE NOBLESSE de ISSE
La châtellenie d'Issé : Dans la paroisse d'Issé on voit les ruines d'un château appelé le Buron. Ces ruines consistent en une vieille tour avec les attaches d'un pont-levis et, à quelque distance de là, en une motte féodale élevée de 6 à 7 mètres et entourée d'une large douve (Ogée, Dictionnaire. historique de Bretagne, nouv. édit. I, 392).
Le Buron était le chef-lieu de la châtellenie d'Issé, donnée en apanage avec d'autres seigneuries à un chevalier nommé Le Boeuf, fils de Tihern et d'Ynnoguen, et frère de Briant, premier baron de Châteaubriant. Tous ces personnages vivaient au XIème siècle ; un peu plus tard nous trouvons un Brient Le Boeuf, témoin de donations faites à Buzay en 1189 et à Melleray en 1214. Ce seigneur donna même à cette dernière abbaye, en 1230, une partie de sa terre d'Abbaretz ; il fut inhumé en 1250, dans le cloître de ce monastère où l'on voyait encore son tombeau au XVIIème siècle. Sur cette tombe était sculptée l'effigie d'un homme couché, revêtu de son armure et portant un écu sur lequel était gravée une croix cantonnée de quatre lions ; « aux deux costés de la figure (étaient) deux aultres escussons, dans chacun desquels (on voyait) la figure d'un bœuf ». Sur les bords de la pierre tombale on lisait : Cy gist Monsor Brient Le Bouf, le Vieil, seignor de Nozei et d'Icé, qui transit au mois de mars, l'an de grâce MCCL. Priez pour luy. Dex li face pardon. Amen (Les églises de la baronnie de Châteaubriant en 1663). Une autre dalle du cloître de Melleray datée de 1285 recouvrait la sépulture de la femme d'un Brient Le Boeuf, soit de Brient le Vieux, soit de Brient son fils. L'inscription ne portait, en effet, que ces mots : Cy gist dame Perronnelle de Rogé, femme (de) Monsor Brient Le Bouf et seur (de) Monsor Olivier de Rogé, qui trespassa MCCLXXXV. Priez pour elle (Les églises de la baronnie de Châteaubriant en 1663). Cette famille Le Boeuf portait pour armes : de gueules à un bœuf passant, regardant d'or, la queue entre les jambes remontant en pal et fourchée. Mais Brient Le Boeuf, le Jeune, avait en 1275 dans son sceau la croix cantonnée de quatre lions qui figure ainsi que le boeuf sur le tombeau de son père. Ce Brient Le Boeuf, le Jeune, seigneur d'Issé, prit part à la guerre de Flandre en 1304 et laissa de sa femme Belle-Assez Chabot un fils Barnabé Le Boeuf décédé sans postérité. La succession de ce dernier seigneur fut recueillie par le sire de Rieux, probablement Jean Ier, fils de Guillaume de Rieux et petit-fils de Geoffroy sire de Rieux et de Nicole Le Boeuf, mariés en 1235. Jean Ier, sire de Rieux et d'Issé, épousa : -1° Isabeau de Clisson, -2° Jeanne de Sion et décéda à Paris en 1357. Son fils, sorti du premier lit, Guillaume, sire de Rieux, fut tué à la bataille d'Auray en 1364, sans avoir contracté d'alliance. Jean II de Rieux, autre fils de Jean Ier, succéda alors à son frère, fut maréchal de France et de Bretagne et mourut en 1417. Il avait épousé Jeanne de Rochefort qui lui donna neuf enfants. Au nombre de ceux-ci se trouva Béatrice de Rieux, femme de Jean de Rougé, décédé seigneur de Derval et de Rougé en 1415. Cette dame qui n'avait pas d'enfants semble s'être retirée dans son veuvage en sa seigneurie d'Issé. En 1440 le duc Jean V l'autorisa, en effet, à avoir « garenne en toute la paroisse d'Issé, tant par eau que par terre », et à tenir audit lieu « hostel clouant à pont-levis et fort » (Lettres de Jean V, V. 270). On peut avec vraisemblance attribuer à cette époque et à Béatrice de Rieux la construction du château du Buron, pour lequel cette dame rendit aveu au duc en 1445. Après la mort de Béatrice de Rieux la châtellenie d'Issé passa à son petit-neveu Jean IV, sire de Rieux. C'était encore un adolescent mineur lorsque sa mère Jeanne de Rohan, veuve de François seigneur de Rieux, rendit aveu en son nom pour la seigneurie d'Issé le 24 janvier 1460 (Archives de Loire Inférieure, B, v. Issé).
Plus tard, en 1470, Jean IV de Rieux fit lui-même au duc de Bretagne une nouvelle déclaration de sa terre d'Issé. Ce seigneur laissa de sa première union avec Françoise Raguenel, une fille Françoise de Rieux, mariée en 1488 à François de Laval, baron de Châteaubriant, et décédée en 1532. Le fils de cette dame fut Jean de Laval, sire de Châteaubriant, qui donna en 1539 au connétable Anne de Montmorency sa baronnie de Châteaubriant, sa châtellenie d'Issé et plusieurs autres belles seigneuries, s'en réservant seulement l'usufruit jusqu'à sa mort. Aussi est-ce en qualité de simple usufruitier que Jean de Laval rendit une dernière fois aveu en 1541 pour la seigneurie d'Issé (Archives de Loire Inférieure, B, v. Issé) ; il mourut d'ailleurs deux ans plus tard.
En 1554, Anne de Montmorency obtint du roi l'union à la baronnie de Châteaubriant de toutes les terres voisines de cette ville que lui avait données Jean de Laval. La châtellenie d'Issé perdit par suite son autonomie, et sa juridiction se confondit avec celle de Châteaubriant. Nous n'avons donc plus à nous occuper ici des seigneurs d'Issé qui furent successivement les ducs de Montmorency et les princes de Condé barons de Châteaubriant et que nous avons déjà fait connaître.
Issé, châtellenie d'ancienneté, s'étendait en cinq paroisses : Issé, Louisfert, Saint-Vincent des Landes, Abbaretz et Treffieux. Le plus considérable des fiefs de la seigneurie, celui d'Issé, rapportait en 1680 environ 109 boisseaux d'avoine, 44 livres 15 sols et 11 deniers, 17 poules et une paire de gants blancs. Les fourches patibulaires, à trois piliers seulement, se dressaient en 1560 près du bourg d'Issé où s'exerçait à l'origine la haute juridiction seigneuriale.
Au sire d'Issé appartenaient les droits de coutumes et trépas au bourg d'Issé et ceux de seigneur supérieur et fondateur des églises d'Issé, Abbaretz et Louisfert, ainsi que la présentation de deux chapellenies fondées par Béatrice de Rieux. Ces chapellenies étaient celles de Notre-Dame d'Issé, fondée par acte du 24 juillet 1447, dans l'église paroissiale Saint-Pierre d'Issé et consistant en trois messes par semaine — et celle de Sainte-Catherine fondée dans la chapelle Sainte-Catherine du Buron et consistant aussi en trois messes hebdomadaires, plus une grand'messe chantée, précédée la veille des premières vêpres, à la fête Sainte-Catherine. Dans la première moitié du XVIIème siècle les princes de Condé afféagèrent « l'emplacement de l'ancien chasteau du Buron avec sa chapelle et sa motte eslevée de terre, son pourpris, ses bois et autres dépendances, avec aussi ses fuie et garenne, les métairies du Buron et du Boisanger et l'emplacement de l'étang de Maujouan et de son ancien moulins ».
Le domaine proche de la châtellenie d'Issé, comprenait, en outre de ces biens, en 1460 : la vigne des Quatre-Oeufs et les prairies de la Fresnaye sur le bord du Don, — le moulin à eau du bourg d'Issé et le moulin à vent de Montbaron, — la forêt d'Issé contenant 200 journaux de terre — les bois de la Brosse de Rieux et de Villescot en Abbaretz, contenant ensemble 150 journaux, etc. (abbé Guillotin de Corson).
Lors de la Réformation faite en 1427, dans l'évêché de Rennes, par les commissaires Jamet Baude et Alain Le Jambu, plusieurs nobles sont mentionnés à Issé (74 contribuants, 14 pauvres) :
le sire du Pan, sr. du manoir du Plesseix Douste ;
Jean de Monbeille, sr. du manoir des Grées.
(à compléter)
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