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MELRAND

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La commune de Melrand (bzh.gif (80 octets) Melrant) fait partie du canton de Baud. Melrand dépend de l'arrondissement de Pontivy, du département du Morbihan (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de MELRAND

Melrand vient, semble-t-il, de saint Méloir.

Le nom en « rann » fait penser que Melrand est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Bieuzy.

Ville de Melrand (Bretagne).

Vers le Xème siècle, un village se développe au lieu dit Lann-gouh (autour d'un monastère, semble-t-il). La paroisse de Melrand dépendait autrefois du doyenné de Kemenet-Guégant.

Ville de Melrand (Bretagne).

On trouve les appellations suivantes : Melrand (en 1427, en 1464, en 1477, en 1481), Melrant (en 1448, en 1514) et Melran (en 1536).

Ville de Melrand (Bretagne).

Note : Melrand, arrosé par le Blavet, la Sarre et d'autres cours d'eau, est borné au nord par Guern, à l'ouest par Bubry, au sud par Quistinic et à l'est par Saint-Barthélémy, Pluméliau et Bieuzy. Sa superficie est de 4045 hectares, dont un quart seulement est sous landes ; l'agriculture y fait des progrès marqués, et l'on peut dire d'une manière générale que les terres qui ne sont pas cultivées ne méritent pas de l'être. Le froment y est peu répandu, mais le seigle, l'avoine, le mil, le blé noir y viennent bien. En 1891, la population comprend 3421 habitants, tous bretons. Le bourg, situé sur un plateau peu élevé et presque au centre de la paroisse, est à 16 kilomètres de Baud et à 17 de Pontivy. Auprès de Saint-Fiacre il existe un énorme tumulus, qui, sondé en 1883, a laissé voir des traces d'une exploration antérieure. Une grosse pierre plate qu'on y a trouvée a pu appartenir à un dolmen ruiné. A Lann-er-mar, on a fouillé, en 1887, un autre tumulus, dépourvu de dolmen intérieur et on y a rencontré des cendres, des charbons et quelques haches en pierre non polie. M. l'abbé Mahé mentionne aussi un dolmen, situé en Melrand, mais il n'en précise pas la place. La voie romaine de Castennec à Carhaix traverse ce territoire, en passant près de Kerhoury, Kerprat, Sant-Fiacre, et entre ensuite en Guern (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Ville de Melrand (Bretagne).

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PATRIMOINE de MELRAND

l'église Saint-Pierre (XV-XVIIIème siècle). Reconstruite au XVII-XVIIIème siècle, elle comprend une longue nef (XVème siècle), terminée par un sanctuaire à chevet plat, accostée au Nord de trois chapelles, au Sud, de deux chapelles entre lesquelles s'ouvre un porche carré. Le 18 juin 1690, sur l'ordre de Mgr d'Argouges, évêque de Vannes, on posa la première pierre d'une tour lanterne qui devait s'élever sur le sanctuaire : elle ne fut sans doute jamais achevée, car, le 12 avril 1733, fut posée la première pierre du clocher actuel, carré, terminé par une flèche polygonale. On lit sur ce clocher le distique suivant : "Principium vidit, finem videt unicus, annus - Discite, Melrandi, quid potuere patres". Le porche date de 1661. Le choeur et la toiture datent du XVIIIème siècle. La chapelle des fonts a été construite en 1774 et celle de saint Georges remonte au XVIème siècle, mais elle est reconstruite en 1881. L'un des confessionnaux date de 1808 ;

Eglise de Melrand (Bretagne).

Nota : Au mois de septembre 1592, les auxiliaires espagnols pillèrent toutes les paroisses voisines de Guémené, et Melrand dut payer la valeur de quatorze fouages d'un coup (Registre paroissial). L'église paroissiale, dédiée à saint Pierre, a été construite à diverses époques ; elle comprend actuellement une longue nef, accostée de cinq chapelles et d'un porche. Le 18 juin 1690, on posa la première pierre de la lanterne au-dessus du maître-autel, avec les armes de Kervéno et de Baud ; cet édifice, construit par ordre de Monseigneur d'Argouges, n'existe plus. Le 12 avril 1733, fut bénite la première pierre de la tour actuelle, qui coûta 3,000 livres, charrois et matériaux non compris. Cette tour de forme carrée est surmontée d'une flèche polygonale. Le travail n'ayant duré qu'un an, on inscrivit triomphalement sur le frontispice ce distique : Principium vidit, finem videt unicus annus : Discite, Melrandi, quid potuere, patres. (" L'année qui a vu le commencement en voit aussi la fin : apprenez par là, Melrandais, ce qu'ont pu faire vos pères "). Les chapelles de la paroisse sont : — 1° Sainte-Madeleine, près du bourg, jadis aux cordiers. — 2° Sainte-Prisque, au sud, au village de ce nom. — 3° Saint-Laurent, au bourg. — 4° Saint-Rivalain, au sud-est, au village du même nom. A quelques pas de là, près du confluent de la Sarre et du Blavet, se trouve une grotte de dix pieds environ de profondeur : c'était, suivant la tradition, l'ermitage de saint Rivalain. On s'y rend en procession, dans les temps de sécheresse, pour obtenir de la pluie par l'intercession du saint. — 5° Notre-Dame-de-Toute-Aide, ou du Quelhoet, vers l'ouest ; on y honore particulièrement saint Isidore. — 6° Locmaria, au nord-est, au village du même nom. C'est une magnifique chapelle, en grand et moyen appareil, en forme de croix latine, avec une grande tour carrée, surmontée d'une flèche polygonale. Le style est ogival, avec quelques détails de la Renais­sance : c'est donc une oeuvre du XVIème siècle. Elle a du être construite par les soins du seigneur de Kervéno, dont l'écusson, à 10 étoiles, 4, 3, 2, 1, se voit sur la tour et au pignon du choeur. La fenêtre, au fond du sanctuaire, masquée en partie par un retable de 1680, représente en douze tableaux la vie et la passion de Jésus-Christ. La fenêtre du transept nord figure l'arbre de Jessé et celle du transept sud la salutation angélique. On voit en divers endroits les armes de Rohan et de plusieurs bienfaiteurs. A quelque distance de la chapelle se trouve la fontaine, avec l'écusson de Kervéno, et la date de 1574. — 7° Saint-Fiacre, au nord-nord-est, sur la voie romaine. C'est une belle construction, en grand et moyen appareil, de forme rectangulaire, de 26 mètres sur 8 environ. Les portes sont en ogive à retraits ; les fenêtres de même, avec des meneaux flamboyants et des restes de vitraux. Dans la nef, près du choeur, se trouve un jubé en bois, à panneaux sculptés en flammes et trilobes à jour ; on y a peint les douze apôtres. Près de la chapelle, se voit la fontaine, surmontée d'une anse à panier et d'un pignon à crochets. Nulle part on ne rencontre d'écusson, qui puisse mettre sur la trace des fondateurs. Les frairies étaient, selon l'habitude, groupées autour des chapelles, puisqu'on rencontre en 1756 la mention expresse de la Madeleine, de Saint-Laurent, de Saint-Rivalain, de Quelhoet de Locmaria et de Saint-Fiacre. Quant aux chapellenies, on n'a trouvé trace d'aucune. Le recteur, outre son casuel, percevait la dîme à la 33ème gerbe sur toute sa paroisse. En 1756 son revenu net était évalué à 1500 livres. Au bord de la route de Melrand à Guern, au pied d'une croix, on lit l'inscription suivante en capitales romaines : ICY FUT TUÉE MAURICETTE JAFREZO, POUR LA DÉFENCE DE SA VIRGINITÉ, LE 23 DE MAY 1727. Melrand était du doyenné de Guémené, du vicomté puis duché de Rohan et de la sénéchaussée de Ploërmel. En 1790, il fut érigé en commune et même en chef-lieu de canton, avec Guern et Bieuzy pour dépendances et entra dans le district de Pontivy. En 1791, M. Duparc, son recteur, qui venait d'être pourvu au concours, refusa le serment schismatique et dut s'exiler l'année suivante en Espagne. Pendant les troubles, on ne vendit ici que les arbres de la chapelle Saint-Fiacre. Les acquéreurs du reste, n'y auraient pas été à l'aise : tout le pays était révolté par la persécution religieuse et la tyrannie républicaine ; aussi fournit-il de nombreux partisans à la Chouannerie. En 1801, Melrand perdit son titre de canton, et fit partie de celui de Baud ; l'autorité ecclésiastique a accepté en 1802 cette situation nouvelle (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Voir aussi   Ville de Melrand (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Melrand et ses recteurs"

Ville de Melrand (Bretagne).

la chapelle Notre-Dame-du-Guelhouit (1663 ou 1683), située au village du Guelhouit et dédiée à saint Isidore, patron des laboureurs. Elle comprend une nef de forme rectangulaire qui se termine par un pignon à trois pans. On y trouve un clocheton à double étage. Le retable se compose de vingt-quatre panneaux représentant la vie de saint Isidore. Les lambris en bois de la voûte datent de 1640. A noter, qu'à l'extérieur, deux escaliers conduisent en contrebas à deux fontaines. On y trouve aussi, à proximité, un autel de plein air ;

Chapelle de Melrand (Bretagne).

la chapelle Saint-Rivalain (XVII-XVIIIème siècle), située au village Saint-Rivalain, au confluent de la Sarre et du Blavet. Il s'agit d'un édifice de forme rectangulaire entièrement reconstruit dans le dernier quart du XVIIIème siècle. La porte occidentale est datée de 1776. On y trouve les statues de saint Cornély, de saint Louis, de saint Mathieu, de saint Rivalain et de saint Cado ;

la chapelle Sainte-Prisque (XVème siècle), restaurée au XVIIIème siècle et située au village de Sainte-Prisque. L'autel de bois et le retable en lambris sont ornés des statues de sainte Prisque (martyre romaine) et de la Vierge. Un autre autel en pierre est dédié à saint André ;

Chapelle de Melrand (Bretagne).

la chapelle Saint-Fiacre (fin du XVème siècle). Il s'agit d'un édifice de forme rectangulaire avec clocheton en ardoises sur le milieu de la nef. Les portes en tiers-points ont plusieurs voussures : celle de l'Ouest s'inscrit sous une accolade décorée, flanquée de pilastres à pinacles. Les fenêtres ont des réseaux flamboyants ainsi qu'un des deux oculus circulaires du mur gouttereau Sud. Dans la chapelle est un jubé en bois du XVIème siècle (vers 1500), à panneaux ajourés dans leurs parties hautes, auquel on accède par un escalier en pierre. Les panneaux donnant sur la nef sont peints d'assez bonnes grisailles représentant les douze apôtres avec leur symbole respectif et la messe de saint Grégoire est reproduite au centre. Le choeur renferme des fragments de fresques datées du XVème siècle : il est difficile de reconnaître les scènes (on y distingue tout au plus un saint Fiacre) ;

la chapelle Notre-Dame de Locmaria (XVIème siècle), située au village de Locmaria. Il s'agit d'un édifice en forme de croix latine avec choeur à chevet plat. A l'Ouest, un porche carré, avec naissances d'ogives, ouvrant à l'extérieur par une grande arcade moulurée, en tiers-point, surmontée d'une accolade et d'un faux pignon, supporte un grand clocher carré, étayé de hauts contreforts, de deux étages, couronné d'une galerie ajourée et amorti d'une flèche polygonale, ornée de crochets et flanquée de quatre clochetons. Les baies de la flèche et du clocher, en plein cintre ou trilobées, sont surmontées de frontons triangulaires et flanquées de pilastres Renaissance. Une tourelle polygonale, accolée au Sud, contient l'escalier. Le croisillon Sud est percé d'une double baie en anse de panier inscrite sous un grand arc en tiers-point avec accolade. Le tympan est ajouré de meneaux flamboyants. La chapelle est couverte d'une charpente à entraits à têtes de crocodiles et sablières sculptées. Par contre les fenêtres, à réseau flamboyant, ont conservé de beaux vitraux du XVIème siècle. Le vitrail du chevet raconte la Passion du Christ en douze tableaux et date du XVIème siècle. Le retable, encadrant la verrière du chevet, date de 1680. Au croisillon Nord, on voit un arbre de Jessé avec la signature "Yvon Jan". Au croisillon Sud, à la fenêtre, on voit le Christ mort entre les bras de sa mère, l'Annonciation et divers personnages, et, au tympan, du portail, on voit le Jugement dernier. Le retable du maître-autel, en pierre polychrome, date de 1680 : il abrite la Sainte Famille et des statues de sainte Anne et de saint Joachim. On peut remarquer encore un curieux bénitier en granit de la fin du XVIème siècle et une belle chaire à prêcher en bois de style Renaissance ;

Chapelle de Melrand (Bretagne).

l'ancienne chapelle Saint-Laurent, reconstruite au bourg de Melrand au XIXème siècle et mentionnée encore en 1930 ;

l'ancienne chapelle Sainte-Madeleine ;

Chapelle de Melrand (Bretagne).

le calvaire de Kerlay (XIXème siècle). Ce calvaire marque le lieu de la mort de Jean Jan (né à Jugon en Baud), l'un des chefs chouans avec Cadoudal et Guillemot. Il est tué à Kerlay le 24 juin 1798 ;

le calvaire de Mlle Jaffrezo (1894), situé route de Pontivy. Il est édifié à la mémoire de Mauricette Jaffrezo tuée le 27 mai 1727. On peut y lire une inscription "Ici fut tuée Mauricette Jaffrezo pour la défense de sa virginité" ;

le calvaire de Kerdrain (1821), situé au village de Kerdrain ;

le calvaire de Kerguelen (1667), situé au village de Kerguelen ;

le calvaire de Talroc'h (1821), édifié par la famille Ezouannic et dédié à saint Isidore ;

le calvaire de Saint-Fiacre (1891), situé au carrefour de la route de Guern et de Saint Fiacre ;

le calvaire (1827), situé route de Guémené ;

Calvaire de Melrand (Bretagne).

les calvaires de la Salle du Patronage (1866), de Saint-Rivalain (1809), de Kerentrech, de Kervalo, de Kerguillerme, de Rongoëd ;

les croix de Kervihan (1671), Locmaria, de Noguello, de Toulmelin (XVIIème siècle), de Kergroix, Croix Rouge (XVIIème siècle), Ty Neue, Pennec, Kerguillerme, Bleun-Brug, ... ;

la fontaine de Locmaria (1574). On y trouve gravé le blason des Kerveno (de Pluméliau) ;

les fontaines de Saint-Laurent (1642), Saint-Prisque (1642), Saint-Fiacre, Saint-Méen, Saint-Turlo, Saint-Laurent, Saint Rivalain, Er Blei, Kergaro ;

le manoir de Kerhoh (XVIIème siècle), agrandi en 1828 par la famille Le Pen. Un bas-relief daté de 1669 indique le constructeur du manoir primitif qui se nomme Le Pabic. On y trouve un cadran solaire. Un puits daté de 1832 est décoré de bas-reliefs représentant un ostensoir, des calices et des angelots ;

le four à pain de Kercloarec (1896 et 1913). Les dates sont gravées sur deux pierres de la façade ;

les moulins de Boterff, de Kerevin, de Coetpossen, de la Madeleine, de Talroch, du Poul, de Maneguen ;

Ville de Melrand (Bretagne).

A signaler aussi :

le tumulus Saint-Fiacre (âge du bronze) ;

le pont-Mérian, sur le cours d'eau Brandifout et situé à Coëtsulan ;

le site de Lann-Gouh (ou Lanngouh). Il s'agit, semble-t-il, d'un ancien établissement monastique abandonné ;

Ville de Melrand (Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de MELRAND

Au moyen-âge, Melrand faisait partie de l'immense territoire du Porhoët, et quand, vers 1116, toute la partie occidentale en fut détachée, pour constituer le vicomté de Rohan, il fut naturellement enclavé dans cette nouvelle seigneurie et lui resta fidèle jusqu'à la révolution. Dès 1125, Alain I, vicomte de Castel-Noëc, en fondant un établissement monastique auprès de son château, donna aux moines de Redon, entre autres choses, la moitié de Guilleric et de Botbenalec, en Melrand, et deux parties des dîmes de ces moitiés (Cartulaire de l'abbaye de Redon, 330). Vers 1184, Constance de Bretagne, femme d'Alain III de Rohan, donna à l'abbaye de Bonrepos cinq boisseaux de froment sur les dîmes de Melrand (Pr. I. 848). Les seigneuries secondaires étaient les suivantes :

1° Boterbley.

2° Le Boterf, aux Cado, puis au Tère.

3° Cabocèn, vers l'est.

4° Coetsulan, à la pointe sud-est.

5° La Fosse, près du bourg.

6° Kergaro.

7° Kerjoli.

8° Le Lain, au nord-est.

9° Manéguen, au nord-est.

10° Le Nénec, au sud-sud-est.

11° Quenetevec.

12° La Salle, aux Callac en 1530, aux Gourvinec en 1620.

(de Joseph-Marie Le Mené).

 

A la réformation de 1427, on comptabilise la présence de 6 nobles à Melrand : Allain Le Picart, Jehan Le Quellenec, Allain Johan et Guillaume Johan son père, Catherine Kermenou, Aliz Thomelin, Jehan Le Quellennec.

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 2 nobles de Melrand :

Bertrand de ST NOUAN (400 livres de revenu) : excusé par mandement du Duc ;

Guillaume GOR (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 4 nobles de Melrand :

Guillaume GOR (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Allain de LA VILLENEUFVE (10 livres de revenu), remplacé par Guillaume de la Villeneufve : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Bertrand ST NOUAN (40 livres de revenu), remplacé par Ollivier Le Merlus : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Jehan DERIEN (100 soulz de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

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