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MOREAC

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La commune de Moréac (bzh.gif (80 octets) Mourieg) fait partie du canton de Locminé. Moréac dépend de l'arrondissement de Pontivy, du département du Morbihan (Bretagne). 

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de MOREAC

Moréac désigne un ancien domaine gallo-romain.

Moréac est certainement une fondation pré-bretonne et une ancienne paroisse primitive qui englobait autrefois le territoire actuel de Moréac et l'actuel bourg de Locminé. En 1038, Moréac perd Locminé, érigée en paroisse par l'évêque de Vannes.

Ville de Moréac (Bretagne).

Aux XIIème et XIIIème siècles, Moréac est détenu par les seigneurs de Lanvaux. Geoffroy de Lanvaux entre en conflit avec le duc de Bretagne en 1273 et se fait confisquer ses biens à savoir les paroisses de Moréac, de Remungol et de Melrand. Ces dernières sont vendues au vicomte de Rohan en 1274.

La paroisse de Moréac dépendait autrefois du doyenné de Porhoët.

Avec la Révolution française, Moréac devient une commune du canton de Locminé et du district de Pontivy.

Ville de Moréac (Bretagne).

Note 1 : Territoire étendu, limité naturellement au nord par l'Evel, à l'est par un ruisseau, et au sud par le Tarun, Moréac est limitrophe de Naizin, Réguiny, Radenac, Saint-Allouestre, Bignan, Locminé, Plumelin et Remungol. En 1891, sa superficie est de 6002 hectares, dont la moitié environ est inculte, et sa population est de 3111 habitants, parlant breton. Le bourg est à 4 kilomètres de Locminé, à 23 de Pontivy, et à 32 de Vannes. Les Celtes ont laissé un menhir, d'environ 2 mètres de hauteur, près de la chapelle Saint-Jean. Les Romains ont construit un retranchement, vers le sud, près des Châteliers ; il se compose de forts parapets et de larges douves, et occupe une position entre la voie romaine de Vannes à Corseul, et l'embranchement de Goh-Iliz à Castennec. On y a trouvé, en 1852, une amphore et des instruments en fer. Les Bretons occupèrent ce territoire au VIème siècle, et imposèrent à presque tous les villages des noms tirés de leur langue, comme on peut le constater encore aujourd'hui. Vers le VIIème siècle, les disciples de saint Gildas de Rhuis fondèrent à l'extrémité méridionale de cette paroisse, l'abbaye de Moréac, qui, après le passage des Normands, fut relevée comme prieuré, sous le nom de Locminé, et qui depuis a donné naissance à une paroisse distincte (Joseph-Marie Le Mené - 1891);

Note 2 : Liste non exhaustive des maires de Moréac : Le Toquin Yves (1790-1801, tué par les Chouans) ; Colleter Jean-Marie (1801-1808) ; Audo Y. (1808-1819) ; Le Gal Louis (1819-1843) ; Martin Louis (1843-1848) ; Josso (1848-1854) ; Le Bras Pierre (1854-1866) ; Cobigo Joseph (1866-1891) ; Martin Mathurin (1891-1899) ; Le Gal Jacques (1903-1919) ; Lecuyer Joachim (1919-1935) ; Coetmeur Joseph (1935-1953) ; Le Jeune Emmanuel (1953-1965) ; Le Biavant Alfred (1965-1983) ; Le Houezec Michel (1983-1989) ; Fontaine Yanic (1989-1995) ; Allioux André (1995-2014) ; Roselier Pascal (2014-...), etc ....

Ville de Moréac (Bretagne).

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PATRIMOINE de MOREAC

l'église Saint-Cyr (XVIIIème siècle), édifiée entre 1718 et 1730. L'église, qui est restaurée en 1640, tombe en ruines au début du XVIIIème siècle. Le clocher est édifié en 1718. La nef, le transept et le choeur sont édifiés entre 1720 et 1750. Le retable du maître-autel, en pierre et marbre, date de 1750 : il abrite un groupe de la Sainte Famille et les statues de saint Patern et saint Nicolas. La chapelle située au Nord est dédiée à l'ange gardien et abrite un retable, en bois polychrome, marbre et plâtre, daté du XVIIIème siècle : le retable abrite un tableau représentant l'ange gardien, et sur l'autel se trouve une statue en bois de saint Joseph. Le confessionnal date de 1808 et avait été commandé par le recteur Blanchard dont on voit le nom gravé sur un médaillon ;

Eglise de Moréac (Bretagne).

Nota : L'église paroissiale est sous l'invocation de saint Cyr, qui fut mis à mort à Tarse, le 16 juin 304. Cette église, menaçant ruine, fut réparée en 1640, " le clocher rassuré, tant pour le maçonnage que pour le boisage, une sacristie esligée soubz la sonnerie, et le létrin transporté en la chapelle de Saint-Julien " (Registre paroissial). Un siècle après, il fallut se résigner à une reconstruction complète ; les travaux commencèrent en 1730, et 19 ans plus tard on mit la dernière main à la tour et au retable du maître-autel. C'est un édifice construit en beaux matériaux, en forme de croix latine ; les autels latéraux sont dédiés au Rosaire et aux Saints-Anges. Les chapelles de la paroisse sont : — 1° La Sainte-Vierge, chapelle de la congrégation, au bourg. — 2° Saint-Jacques, au village de Bourgneuf, aujourd'hui démolie. — 3° Saint-Ivy, au hameau de ce nom, édifice ogival de 1545, dans lequel on a conservé des fenêtres romanes. On vient de le reconstruire (1888) à 400 mètres plus loin, parce que l'ancien emplacement était trop marécageux. — 4° Saint-Jean, ou Lojean, près du château de Roscoët. — 5° Le Saint-Esprit, au village du Faouët, fondée en 1644 par Jean Nicol, curé de Moréac, pour le quartier de Millero. — 6° Sainte-Anne, construction ogivale, où se trouve conservée une vieille fenêtre romane. Sainte-Madeleine, qualifiée chapelle privée en 1756, n'existe plus aujourd'hui. Au nord du bourg, à une distance de deux kilomètres, se trouve un champ, où les fidèles, de plusieurs lieues à la ronde, vont en pèlerinage de temps immémorial. Il n'y a plus de chapelle, mais on y vénère dans un tronc d'arbre l'image d'une sainte, qu'on appelle communément sainte Geneviève. On l'implore pour faire marcher les petits enfants, et pour obtenir la guérison de la fièvre. On y obtient souvent du secours. Les frairies étaient celles du bourg, de Bourgneuf, de Saint-Ivy, de Lojean, du Faouët et de Sainte-Anne. Les chapellenies étaient les suivantes : — 1° Celle de Saint-Jacques du Bourgneuf, appelée quelquefois prieuré, mentionnée en 1516, était à la présentation du seigneur de Moréac, et rapportait 484 livres en 1760. — 2° Celle du Saint-Esprit du Faouët, fondée le 27 mai 1644 par le prêtre Jean Nicol, chargée de messes à dire dans cette chapelle et dotée de divers immeubles dans le voisinage. — 3° Celle du Saint-Sacrement, dans l'église paroissiale, fondée par le prêtre Jean Le Breton en 1644, unie à la précédente dès son origine et dotée aux mêmes lieux. — 4° Celle de Saint-Ivy, fondée le 2 septembre 1718 dans la chapelle de ce nom, présentée par le seigneur de Moréac, et dotée d'une métairie au village de Talvern. — 5° Celle de Saint-Jean ou de Lojean, desservie dans la chapelle de ce nom et dotée d'une métairie à Talhoet-Lojean. — 6° Celle du Roscoet, desservie dans la même chapelle, et dotée d'une seconde métairie à Talhoet-Lojean. — 7° Celle de Kerdréan, fondée probablement par les seigneurs de Kerdréan-Boyer. — 8° Celle de Saint-Julien, dans l'église paroissiale, sur laquelle les renseignements font défaut. Les dîmes de la paroisse appartenaient au recteur, mais de bonne heure le trésorier de la cathédrale y eut une pension annuelle de 22 livres équivalant à 88 perrées de seigle, pour entretenir le service de la cathédrale. En 1419, ce dignitaire renonça à cette pension et à ses prétentions sur une part des oblations faites à Saint-Vincent, et les céda à la fabrique de la cathédrale, à la condition d'être déchargé de toute fourniture à faire à l'église, et de jouir, sans aucune charge, de la moitié des dîmes de Plouay (Arch. chap.). Malgré cette pension, et quelques dîmes prélevées par l'abbaye de Lanvaux et la chapellenie du Bourgneuf, le recteur, grâce à son casuel, jouissait d'un revenu net, évalué, en 1756, à 1200 livres. Moréac était du doyenné de Porhoët et de la sénéchaussée de Ploërmel. En 1790, il fut érigé en commune, du canton de Locminé et du district de Pontivy. Son recteur, Vincent Le Gac, refusa le serment schismatique en 1791, se réfugia en Espagne en 1792, et mourut en Portugal en 1797. Ses paroissiens prirent une large part à la guerre de la Chouannerie. C'est peut-être pour cela qu'on ne vendit qu'en 1800 la dotation des chapellenies de Saint-Ivy, de Saint-Jean et du Roscoet. Moréac fit partie, en 1800, de l'arrondissement de Pontivy, et fut maintenu, en 1801, dans le canton de Locminé, ce qui fut accepté par l'Eglise en 1802. Depuis ce temps, on a reconstruit le presbytère en 1858 (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Voir aussi   Ville de Moréac (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Moréac et ses recteurs"

Ville de Moréac (Bretagne).

la chapelle du Saint-Esprit (1644), située au Faouët-d'En-Haut. Cette chapelle a été construite au milieu du XVIIme siècle après la fondation d'une chapellenie le 27 mai 1644 par Jean Nicol alors curé de Moréac. La chapelle a été restaurée en 1826 (date située sur la porte Ouest, près des armoiries des Kerméno) et en 1920 ;

Chapelle de Moréac (Bretagne).

la chapelle Saint-Jean-Baptiste (1627), située à Lojean. L'édifice possède une unique fenêtre en arc brisé qui éclaire le choeur. La chapelle était jadis le siège d'une chapellenie relevant du manoir de Roscoët. La date de 1627 et le nom de G. Joubin sont gravés sur la clef du linteau cintré de la porte ;

la chapelle Saint-Ivy (1887-1888). Une ancienne chapelle romane, dont il reste, dans la nef, de petites fenêtres très ébrasées à l'intérieur, a fait place au XVIème siècle à une chapelle plus vaste, en forme de croix latine, avec choeur polygonal percé d'une fenêtre dont le réseau dessine une fleur de lis. Au croisillon Nord, deux colonnes cylindriques engagées étaient sans doute destinées à recevoir une arcade. Une inscription nous apprend que la charpente, à sablières et entraits sculptés, a été faite en 1545 par Jehan Le Layec. On peut y voir quelques fragments de vitraux du XVIème siècle et un grand bénitier hémisphérique sans pied à coupe circulaire. En 1888, la chapelle fut démontée pierre par pierre et remontée dans le voisinage à cause de l'humidité ;

l'ancienne chapelle de la Vierge, située au bourg et de construction récente ;

le calvaire (XVIème siècle), situé Croëz-er-lis ;

le calvaire (XVIème siècle), situé rue du Bourg-Neu (ou Bourgneuf). On y lit la date de 1844. Au pied du Christ en croix, se trouve deux personnages sculptés ;

le calvaire de l'église (XVIIIème siècle). Le Christ est flanqué de deux larrons. Le socle porte les dates de 1770, 1880 et 1932 ;

le manoir de Croëz-er-lis (XVIIème siècle), restauré au XIXème siècle. Ce manoir est situé à l’emplacement de l’abbaye primitive de la paroisse avant son transfert au Loc-Menech (aujourd’hui Locminé) et dépendance de l’abbaye de Saint-Gildas-de-Rhuys ;

la fontaine (1834-1835), située à Lojean-en-Moléac et dépendant de la chapelle Saint-Jean-Baptiste. Il s'agit d'un édifice rectangulaire portant le nom de "Le Breton" ;

la fontaine (1835), située à Lojean-en-Moréac. Derrière son bassin se trouve une stèle datée de 1835 où figure, en bas-relief, saint Jean-Baptiste ;

les moulins à eau de Bolant, du Bourgneuf, de Bernac, de Roscouet et les moulins à vent de Féran, de Bergeron, de Bernac , du Roscouet ;

A signaler aussi :

l'ancien château de Brenouët, propriété de Guillaume de Lanvaux au XVème siècle. Ce château a aujourd'hui complétement disparu ;

l'ancien manoir du Roscoët ou Roscouet. La seigneurie du Roscoët est mentionnée dès 1248. Le manoir échoua en 1606 par alliance à la famille Visdelou, puis il passa entre les mains de la famille La Villéon. Les vestiges de l'ancien manoir ont été démolis en 1976. Le manoir possédait autrefois une chapelle privée située près de Saint-Jean ou Lojean, un colombier, un four à pain, un moulin à eau et un moulin à vent ;

l'ancien château de Sulniac, aujourd'hui disparu ;

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ANCIENNE NOBLESSE de MOREAC

Au point de vue féodal, Moréac a été le berceau d'une illustre famille. Geoffroi de Moréac fut témoin, vers 1125, du don de l'église de Bréhant à l'abbaye de Saint-Mélaine de Rennes. Plus tard, Henri de Moréac donna une rente annuelle de 12 sous, sur son moulin de Brangolo, pour entretenir la lampe du maître-autel de l'abbaye de Bonrepos. Son fils Alain, voyant le moulin ruiné, transféra et assit, en 1230, sur son moulin d'Octel, une rente annuelle de 8 sous (Pr. I. 552, 866). En 1301, Thibaud de Moréac remplaça cette rente de 8 sous par une redevance de 10 boisseaux de seigle sur ses revenus de Langonnet et de Malguénac (Ib. 1173). La même année, un autre Thibaud de Moréac fut élu évêque de Dol et gouverna cette église jusqu'à sa mort arrivée le 15 janvier 1312 (N. S.). La seigneurie de Moréac fut plus tard divisée entre les sires de Molac et du Bois-du-Lié (J-M. Le Mené).

Les autres seigneuries étaient :

1° Le Roscoet, au nord, berceau d'une famille qui a donné un chevalier croisé en 1248, trois conseillers au parlement depuis 1577 et un brigadier d'infanterie en 1770. Le château passa par mariage, vers 1606, à J. Visdelou, puis aux Villéon.

2° Bourgneuf, au nord-est.

3° Le Fou, à l'ouest.

4° Kerabus, au sud-ouest.

5° Kerdréan-Boyer.

6° Kergohlay, à Eon de Réan en 1420.

7° Kerméno, au sud-est, berceau d'aune famille qui portait : de gueules à trois macles d'argent ; qui a possédé Kerguennec en Bignan, le Garo en Ploeren, Lannouan en Landévant, etc, ... et qui a produit des sénéchaux de Vannes, des conseillers au parlement, des gouverneurs de place, et deux abbesses de Saint-Georges.

8° Kermoy, au sud-est, aux Ruault.

KERMOËL ou KERMOUEL. Métairie noble, autrefois manoir, en la paroisse de Moréac, évêché de Vannes. Ce fief relevait de la vicomté de Rohan et appartenait en 1426 à Eon de Kermoy ; en 1448, à Emmanuel de Kermouel ; en 1536, à Jean de Kermouel ; ensuite aux Ruault, puis aux Lantivy par leur alliance avec les Ruault vers 1646 ; à Pierre Ruault, sénéchal de Locminé, en 1666. Le 11 mai 1772, Jean-Louis de Lantivy, chevalier, vicomte de Trédion, en rendit aveu au duc de Rohan. Vendue en 1894 par la famille de Lantivy (Théodore Courtaux, 1899).

9° Kerhoret, au sud-ouest.

10° Kerotebert, au sud-ouest, aux Malliaud.

11° Kersalio, au nord-est.

12° Lairenn, au nord, aux Morice.

13° La Lande.

14° Penguily, à J. de Bréac en 1420.

15° Restian, au sud-est, aux Ruault en 1633.

RESTIAN ou RESTIEN. Métairie noble en la paroisse de Moréac, évêché de Vannes. En furent seigneurs et dames : Olivier de Lanvaux et Perrine de Montauban, sa femme, 1536 ; Jacques de Trégranteur et Madeleine de Lanvaux, sa femme, fille des précédents, 1550 ; Henriette Le Baillif, 1623 ; Jacques de la Roue et Renée Madic, sa femme, 1623 ; aux Ruault depuis 1631 ; puis aux Lantivy, par le mariage en 1646 de Louis de Lantivy, chevalier, seigneur de Kergoff, avec Françoise Ruault. En 1772, Jean-Louis de Lantivy, chevalier, seigneur, vicomte de Trédion, en rendit aveu au duc de Rohan. Vendue en 1894 par la famille de Lantivy (Théodore Courtaux, 1899).

Toutes ces seigneuries relevaient du vicomte de Rohan ; dès 1280 on voit Pierre de Tronchâteau vendre à Geoffroi de Rohan tous les droits qu'il avait à Moréac et dans les paroisses voisines (Pr. I. 1052).

KERNEVENEN : Métairie noble en la paroisse de Moréac, évêché de Vannes, possédée par la famille de Lantivy, depuis Vincent de Lantivy de Talhouet qui la laissa à son neveu, Michel de Lantivy, seigneur de Kergoff (1655-1697). Appartient vers 1899 à Madame Collin de la Contrie, née de Lantivy (Théodore Courtaux, 1899).

Durant la période féodale, trois familles dominent la paroisse. Il s’agit des Lanvaux, des Rohan et des Kerméno.

 

A la réformation de 1427, on comptabilise la présence de 4 nobles à Moréac : Jehan de Kermeno, Guillemette Berto, Jehanne de Barlagat, Eon Derian.

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 4 nobles de Moréac :

Pierre du BOYER (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine ;

Jehan de KERMENO (300 livres de revenu) : excusé ;

Eon BERTHO (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque) ;

Guillaume DERIAN (15 livres de revenu), remplacé par Eon Derian : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 6 nobles de Moréac :

Pierre LE VOYER (600 livres de revenu), remplacé par son fils Jehan : comparaît en archer ;

Yvon du ROSCOET (30 livres de revenu), remplacé par son fils Barnabé : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Guillaume PANDOUL (10 livres de revenu) : porteur d'un paltoc, comparaît armé d'une javeline ;

La dame de KERMENO : défaillante ;

Jehan LORET : comparaît en archer ;

Jehan LE GOUEFF : pauvre ;

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