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PLOEREN

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La commune de Ploeren (bzh.gif (80 octets) Ploveren) fait partie du canton de Vannes. Ploeren dépend de l'arrondissement de Vannes, du département du Morbihan (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de PLOEREN

Ploeren vient du breton « Plou » (paroisse) et semble-t-il de saint Even, Meren, Erin ou saint Martin.

Ploeren est une ancienne paroisse primitive qui englobait autrefois les territoires actuels d'Arradon et de l'Ile-aux-Moines.

Sous l'Ancien Régime, on compte plusieurs seigneuries sur le territoire de Ploeren : celle de Le Garo, Le Maezo, Le Pargo, Brementec, Culéac, Loyon, Kervérec, Plesterven, Propiando, Penhoët. La seigneurie du Garo dépasse les 500 hectares, soit le quart de la commune, jusqu'au début du XIIIème siècle, où les Kermeno du Garo, totalement ruinés, doivent vendre.

On rencontre les appellations suivantes : Ploerren (en 1427, en 1444, en 1464), Ploeren (en 1448, en 1536), Ploueraien (en 1477), Ploerran (en 1481).

Ville de Ploeren (Bretagne).

Note 1 : Ploeren est borné au nord par Plescop, à l'ouest par Plougoumelen, au sud par Baden et Arradon, et à l'est par Vannes. Sa superficie est de 2043 hectares ; mais jadis elle était plus considérable, car Arradon lui a pris, pour le civil seulement, Culéac et le Vincin, tandis que Vannes lui a pris, pour le civil et le spirituel, Kergrain, Keranguen et Le Pargo. Les landes occupent la moitie presque de ce territoire ; le reste est bien cultivé et produit du seigle, de l'avoine, du foin, du cidre, etc... En 1891, la population de la commune est de 1126 habitants. Le bourg, situé vers l'ouest, est à 9 kilomètres de Vannes, son chef-lieu de canton, d'arrondissement et de département. De la période celtique il ne reste plus ni menhir, ni dolmen, ni tumulus connus. La période romaine est plus favorisée : outre la voie, qui sert de base à la route de Sainte-Anne, et qui sépare Ploeren de Plescop, on trouve à l'ouest de Cliscoet une enceinte carrée de 50 mètres de côté, entourée d'une douve, puis à Kermurier un retranchement en forme de parallélogramme, dont les côtés ont plus de 150 mètres. Les Bretons s'établirent ici dès le commencement du VIème siècle et donnèrent des noms tirés de leur langue à divers villages, tels que Kervèrec, Lescran, Plesterven, Penhoet, Luscanen, Lescoëdec, Bocoan, etc... Le nom de Ploeren lui-même se décompose en deux mots Plo, peuple, paroisse, Eren, nom propre, rappelant soit la verte Erin, soit le patron saint Martin, soit un chef d'émigrés (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Note 2 : Liste non exhaustive des maires de la commune de Ploeren : Le Priellec (1790-1792) ; Gille Le Hebel (1792-1796) ; M. Le Delaizir (1796-1797) ; Joachim Gillet (1797-1809) ; Mathurin Le Hebel (1809-1821) ; Julien Le Meitour (1821-1833) ; Martin Laine (1833-1848) ; Julien Madec (1848) ; P.-M. Le Mellec (1848-1867) ; A.-L. Le Mellec (1867-1884) ; Pierre Le Treste (1804-1904) ; J. Le Menajour (1904-1935) ; Joseph Le Lan (1935-1945) ; Joseph Cloerec (1945-1947) ; Jules Gillet (1947-1969) ; Joseph Cloerec (1969-1971) ; Pierre Le Douarin (1971-1983) ; Rémy Tual (1983-1995) ; Joseoh Allano (1995-2001) ; Corentin Hilly (2001-2012) ; Gilbert Lorho (2012-?) ; etc .....

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PATRIMOINE de PLOEREN

l'église Saint-Martin (XVème siècle), agrandie en 1753 et 1776. L’église est modifiée ensuite par des restaurations successives : par la construction du transept Nord en 1834, du transept Sud en 1838 et de la sacristie en 1869. Son clocher est restauré en 1855, 1927 et 1957-1959. Le lambris et les stalles du choeur datent de 1831. L'église abrite les statues de saint Martin, saint Joseph et une Vierge de la Congrégation (oeuvre de Le Brun, 1871). Le Crucifix sculpté, situé au fond du choeur, semble remonter au XVIIème siècle ;

Eglise de Ploeren (Bretagne).

Nota 1 : L'église paroissiale est sous l'invocation de saint Martin, évêque de Tours, dont la fête arrive le 11 novembre. C'est un édifice, en forme de croix latine, auquel on a récemment ajouté un semblant de bas côté vers le nord. Les chapelles latérales sont dédiées, l'une au Rosaire, l'autre à saint Jean-Baptiste. Les portes sont ogivales ; mais le plan général est de la Renaissance, avec des additions faites en 1753. La tour carrée, placée à l'ouest, est surmontée d'une flèche en ardoises. La chapelle du nord, dite du Garo, présente dans sa fenêtre deux écussons peints sur verre, à savoir : 1° d'argent à deux fasces de sable (Le Garo) ; 2° parti au 1er de sinople, à la fasce d'argent, et au chef d'argent chargé d'un maillet de gueules (Le Meilleur?), au 2ème de gueules à 6 besants d'or, au chef d'hermines (Camarec). Dans le pavé l'on voit une pierre tombale, présentant une grande croix, avec une épée d'un côté, et de l'autre un poignard et un greslier. Près du cimetière se trouve un lech bas, arrondi et mutilé ; un autre est encastré dans le mur même du cimetière. La seule chapelle de la paroisse est celle de Notre-Dame de Bethléem, et par corruption Béléan, située sur le bord de la route de Sainte-Anne, à 4 kilomètres de Vannes. Une autre chapelle, non paroissiale, est celle de Notre-Dame du Vincin, dans laquelle se desservait jadis une chapellenie, qualifiée quelquefois de prieuré. Elle est dédiée à Notre-Dame de la Victoire, et le mot latin vincere rappelle ce titre et donne l'étymologie du nom du Vincin. Le clergé de Ploeren s'y rendait jadis en procession chaque lundi de Pâques. La chapelle est en forme de croix latine, mais la nef a été transformée. La fenêtre du choeur, à meneaux flamboyants, parait appartenir au XVème siècle. L'intertransept est formé par quatre grandes arcades ogivales, reposant sur des piliers polygonaux, et supporte une tour restaurée à une époque moderne. A l'autel latéral se voient d'intéressants bas-reliefs en marbre, se rapportant à la sainte Vierge. Cette chapelle, avec ses dépendances, fut unie au séminaire de Vannes, par acte épiscopal du 31 décembre 1706. Confisquée à la Révolution, et achetée le 28 septembre 1791 par le sieur Gillat, d'Auray, moyennant le prix de 24,000 livres, elle a été depuis rachetée par le séminaire avec toutes ses terres. Les chapelles privées de Ploeren étaient celles du Mézo, de Propriando et du Pargo. Les frairies étaient celles du bourg, de Bethléem et de Propriando. Les chapellenies étaient : — 1° Celle de Notre-Dame du Vincin, dite aussi prieuré, quoiqu'elle ne dépendît d'aucun monastère ; elle existait dès le XVème siècle, et peut-être avant, car on ne connaît pas le fondateur. Ses charges étaient d'une messe basse, à dire au Vincin, tous les dimanches et toutes les fêtes de la sainte Vierge. Sa dotation consistait dans les maisons, prairies, bois et terres du voisinage. — 2° Celle de Notre-Dame de Bethléem, desservie dans la chapelle de ce nom, et fondée par les seigneurs du Garo à une date inconnue ; elle jouissait de deux demi-tenues à Béléan, d'une maison et jardin à Kermorio, et d'une rente de 18 perrées de seigle. — 3° Celle de Notre-Dame de Ploeren, fondée par Jean de Lanouan, chanoine, mort en 1492, chargée de deux messes basses par semaine au maître-autel, et dotée de deux maisons et de deux prés, paraît s'être éteinte vers 1611. — 4° Celle de Saint-Martin, fondée en 1637 par Jean Le Madec, curé de Ploeren, chargée d'une messe par semaine au maître-autel, et dotée de divers immeubles. — 5° Celle du Rosaire, fondée à l'autel de ce nom par Amaury Le Marouil, du village d'Assenac, et dotée de plusieurs immeubles. — 6° Celle de la Noué, peut-être la même que celle de Lanouan, chargée de deux messes à l'autel du Rosaire et dotée de divers immeubles. Le recteur levait la dîme sur toute sa paroisse, et avait la jouissance du casuel et du presbytère. En 1757, son revenu net était évalué à 650 livres ; celui du Vincin à 223, et celui de Béléan à 60. Ploeren était du territoire ecclésiastique de Vannes, et de la sénéchaussée d'Auray. En 1700, il fut érigé en commune, du canton d'Arradon et du district de Vannes. Son recteur, M. Le Lain, refusa le serment en 1791, prit un passeport pour l'Espagne en 1792, et resta caché dans le pays. La Révolution vendit les biens des chapellenies, quelques terres appartenant à la fabrique, une maison à Trihornec, dépendant des Chartreux d'Auray, et deux maisons appartenant aux Carmes déchaussés de Vannes. La réaction politique et religieuse de la Chouannerie trouva dans la commune un bon nombre de volontaires. En 1801, Ploeren passa dans le canton de Vannes (ouest), et y est resté depuis. C'est en 1851 qu'on lui a retiré les villages voisins de Vannes, et qui étaient par trop éloignés du bourg (J-M. Le Mené).

Voir aussi   Ville de Ploeren (Bretagne) " L'histoire de la paroisse de Ploeren et ses recteurs"

la chapelle Notre-Dame-de-Béléan (XVème siècle), située au village de Béléan. On la surnomme encore la chapelle Notre-Dame de Bethléem. Une inscription sur une sablière nord porte la date de 1457. Cette chapelle a sans doute été construite sur les ruines d'une autre, car la première fondation se rattache, suivant la tradition, à l'aventure d'un croisé, le sire Du Garo. C'est un édifice rectangulaire avec petit clocheton carré sur le pignon occidental. Les rampants du toit sont décorés de crochets de feuillages et d'animaux. La porte septentrionale, à belle décoration flamboyante, est ornée de deux écussons aux armes d'un seigneur du Garo, fondateur de la chapelle, et d'Yves de Pontsal, évêque de Vannes de 1444 à 1475 et originaire de la paroisse voisine de Plescop. La fenêtre en tiers-point du chevet est divisé en deux par un énorme meneau formant contrefort : le réseau, dont les arrachements sont encore visibles, a été remplacé par de disgracieuses arcatures en plein cintre superposées. La chapelle, avec banc de pierre intérieur le long des murs, est couverte d'une charpente aux entraits ornés de têtes de crocodiles. L'inscription de la sablière intérieure révèle que la charpente est réalisée par Jehan Thébaud, du Moustoir en Radenac, en 1457, avec des arbres de la forêt de Trebimoël, sous la direction du chanoine d'Arradon, Nicolas Crouse : "Lan mil IIIc L VII Nicolas Crouse Ch. de Aradon, procureur de la chapelle Nre Dame de Bethléem, a fayt faire le boys de ceste chapelle qui est de la forest de Trebimoel, par Jehan Thebaud, du Mouster-Radunac". Le vitrail date du XVIème siècle. On retrouve dans la baie du Sud à demi-bouchée des fragments de vitraux portant les blasons des Kermeno du Garo. Deux tableaux sur bois, du XVIème siècle, rappellent la légende d'après laquelle la chapelle aurait été fondée, au temps des Croisades, par un seigneur du Garo, miraculeusement sauvé par l'intercession de la Vierge, peu de temps avant la date fixée pour son exécution par des Turcs qui l'avaient fait prisonnier. Dans le pavement de la chapelle, une grande pierre tombale est probablement celle de René de Kermeno. On y trouve de nombreux ex-voto. Une peinture intitulée "Jean du Garo" date du XIXème siècle. Une peinture intitulée "Saint Michel d'Auray" date de 1861 ;

Chapelle de Béléan en Ploeren (Bretagne).

Nota 2 : La seule chapelle de la paroisse est celle de Notre-Dame de Bethléem, et par corruption Béléan, située sur le bord de la route de Sainte-Anne, à 4 kilomètres de Vannes. Elle rappelle une très curieuse légende. Un seigneur du Garo, ayant pris part à une croisade, fut fait prisonnier par les Sarrasins, dans les environs de Bethléem, et renfermé avec son écuyer dans une espèce de coffre, pour être mis à mort le lendemain. Dans cette extrémité, il fit voeu de bâtir une chapelle à la sainte Vierge, si elle voulait bien le délivrer du péril dans lequel il se trouvait. Pendant la nuit, le coffre fut transporté miraculeusement à l'endroit où se trouve actuellement la chapelle de Béléan. Dès l'aurore, l'écuyer crut distinguer les arbres de son pays, à travers une fente du coffre, et reconnaître le chant du coq du Garo. Bientôt des villageois, se rendant à Vannes, s'arrêtèrent devant le meuble, l'ouvrirent et rendirent la liberté aux captifs. Quand le sire du Garo se mit en mesure de construire la chapelle votive près de son manoir, les matériaux accumulés par lui disparurent, emportés par une force invisible, ou transportés spontanément par les boeufs, jusqu'au lieu où le coffre avait été déposé. La Providence désignait ainsi le lieu précis où elle voulait voir bâtir la chapelle. Ce détail secondaire, qui se retrouve dans d'autres localités, a bien pu être ajouté par la tradition. Quant au fait principal, " on cite, disait M. l'abbé Mahé, en 1825, le coffre qui a subsisté dans la chapelle jusqu'à notre temps, et qui n'a enfin disparu que sous les mains des pèlerins, curieux d'en avoir les fragments vermoulus. J'ai vu moi-même une partie des ferrements de ce vieux meuble chez un fermier du Garo ". La chapelle primitive de Notre-Dame de Bethléem a fait place, au XVème siècle, à celle que nous voyons aujourd'hui. C'est un édifice de forme rectangulaire, en grand et moyen appareil, mesurant environ 18 mètres sur 7. A la porte du nord, se voient sculptés les écussons du seigneur du Garo et de l'évêque Y. de Pontsal (1449-1475), ce qui donne déjà une date approximative. A l'intérieur, une inscription gothique, gravée sur une sablière, est plus précise : Lan mil IIIIc . L . VII, Nicolas Crouse : ch. de Aradon, procurur de la chapelle Nre Dame de Bethléem, a fayt faire le boys de ceste chapelle, qui est de la forest de Trébimoel, par Jehan Thébaud, du Moustoer-Radunac. L'autel est de 1619, avec l'écusson écartelé de Kerméno et du Garo. Deux tableaux sur bois rappellent la légende ci-dessus mentionnée, et une toile moderne, d'une bonne exécution, donnée par un pèlerin, représente le même sujet (J-M. Le Mené).

les croix de Luscanen, du cimetière, du bourg ;

l'ossuaire de l'ancien cimetière, situé jadis au Sud de l'église paroissiale de Ploeren et désaffecté en 1969. L'ossuaire a disparu, mais il subsiste encore un mur à trois arcades ;

le château du Mézo ou Maezo (XIXème siècle), propriété successive des familles Le Douarain (du XVème au XVIIème siècle), Goyon de Vaudurand (ou Gouyon), Felix-André Lafosse (en 1855) et Cremer. Propriété de Perrot Kermarquer en 1427 ;

Château de Ploeren (Bretagne).

le manoir de Kervérec (XV-XVIème siècle). Propriété de la famille Kerverec (Olivier Kerberrec ou Kerverret en 1427, Guillaume de Kerverrec en 1481), de la famille Collédo (de 1522 à 1611), de Paul Tristan Joannic, seigneur d’Assénac (en 1683), puis de la famille Rougé (XVIIIème siècle) ;

l'ancien château du Garo, encore visible en 1863. On y trouvait les écussons de Kermeno et de Garo. Il ne subsiste aujourd'hui qu'une cave et un four à pain. La famille du Garo est citée au XIème siècle. Propriétaire de Pierre du Garo en 1427. Son château et sa seigneurie sont vendus vers 1500 à la famille Kermeno de Moréac ;

le manoir de Porh-Priendo. Siège de l'ancienne seigneurie de Propiando appartenant successivement aux familles Baud, Launay et Touzé. Propriété de Guillot Droillard et Jehan Le Pil en 1427. Le manoir possédait autrefois une chapelle privée ;

le puits (XVIIIème siècle), situé à l'Est de l'église de Ploeren ;

la tombe de Louis Cadoudal (1853), située dans l'ancien cimetière ;

les moulins à vent du Palan, Louyon ou Loyon, Ploeren, et les moulins à eau de Louyon ou Loyon, Vieux ;

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ANCIENNE NOBLESSE de PLOEREN

Sous le rapport féodal, les seigneuries de Plœren étaient :

1° Brementec.

2° Le Garo, au nord-est, berceau de la famille de ce nom, passé vers 1500 aux Kerméno de Moréac. Ou trouve encore les écussons de ces deux familles dans les ruines du château, et quelques pans de murs.

3° Keralbaud, vers le nord, a donné son nom à une famille qui a fourni plusieurs chanoines à Vannes.

4° Kergrain, possédé par les Thuomelin, ...

5° Kervérec, au sud, manoir du XVIème siècle.

6° Culéac, à l'est, aux Cambout et aux Cléguennec.

7° Loyon, au nord-est, berceau de la famille de ce nom.

8° Le Mezo, vers le sud, aux Douarain et Goyon de Vaudurand.

9° Le Pargo, à l'est, aux du Théno, et aux Gibon du Grisso.

10° Penhoet, remarquable par une butte féodale.

11° Plesterven, à l'est.

12° Poulic, vers le nord-est.

13° Propriando, à l'est, aux de Baud, Launay, Touzé.

14° Troguer, à l'ouest.

(de J-M. Le Mené).

 

A la réformation de 1427, on comptabilise la présence de plusieurs nobles à Ploeren : Ollivier Kerberrec (Kerverec, frairie d'Assenac), Perrot Kermarquer (le Mézo), Guillot Droillart et son fils Jehan (Propiendo, frairie de St Jacques), Perrot Kerpezron (Plesterven), Jehan Le Mahiet et Ollivier du Thuou (le Pargo), Pierre du Garo (le Garo, frairie de Notre-Dame), Pregent de Coetlagat (Quelescoet ou Coloret), Guillaume Le Crech et son fils Ollivier (Lescoedec), Jehan de Kerlouenan (manoir de Loyon, village de Bocoan), Guillaume de Keralbaud (manoir de Keralbaud, frairie de Guignolay).

Dans une autre réformation de 1427, on comptabilise la présence de plusieurs nobles à Ploeren : Ollivier du Thuou (le Pargo), Perrot de Kerpezron (Plesterven), Ollivier du Coaidic (Culéac), Ollivier Kerverret (Kerverec), Perrot Kermarquer (le Mézo), Ollivier Le Crech et son fils Ollivier (Lescoedec), Guillaume Kerelbaud (Keralbaud), le sire du Garu (le Garo), Jehan de Kerlouenan (Loyon), Jehan Le Pil (Propiendo), Perrot Conan et Perrot Melrant (Lestréhan), Prigent de Coetlagat (Quellescoet).

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 9 nobles de Ploeren :

Jehan de KERELBAUD (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît en archer et armé d'une épée ;

Jehan du GARV (300 livres de revenu) : comparaît en homme d'armes ;

Ollivier du THENOU (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une sallade (casque), comparaît armé d'un arc et d'une épée ;

Eon LE DOUARRAIN (40 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une sallade (casque), comparaît armé d'une hache et d'une épée ;

Eon LESCOUBLE (30 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une sallade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Guillaume de KERVERRET (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une sallade (casque), comparaît armé d'une épée et d'un arc ;

Guillaume KERPEZRON (30 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une sallade (casque), comparaît armé d'une épée ;

Jehan de LOYON (300 livres de revenu) : excusé par lettre du Duc ;

Pierre KERPEZRON : porteur d'un paltoc et d'une sallade (casque), comparaît armé d'une épée ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 11 nobles de Ploeren :

Ollivier du THUO (40 livres de rvenu) : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Jehan, sieur du GRAFF (ou du Garo) (200 livres de revenu) : comparaît en homme d'armes ;

Guillaume KERPEZRON (25 livres de revenu), remplacé par son fils Guillaume : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Jehan, seigneur de Loyon (500 livres de revenu), de la maison du Duc ;

Jehan de KERELBAUT (100 livres de revenu) : comparaît armé d'une vouge ;

Guillaume de KERVERREC (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Eon LESCOUBLE (10 livres de revenu) : comparaît armé d'une vouge ;

Pierre KERPEZRON (100 livres de revenu) ;

Jehan GUILLAR et sa mère (100 livres de revenu) : comparaît en arbalétrier;

Artur LE CRECH ;

Guyon LE DOUARAIN (10 livres de revenu) : porteur d'un paltoc, comparaît armé d'une vouge ;

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