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Plan de la ville de Ploërmel (Bretagne)

RUE DES DOUVES et PERTUIS AU CHAT, longeant à l'Ouest les anciennes douves d’enceinte.

1° Maison de Lantivy : aux Lantivy, puis par alliance en 1570 aux Audren, et de ceux-ci vers 1650 aux Jaga, propriétaires en 1679 ;

2° Maison, au Sud de la précédente, aux Guillaume, qui la vendirent en 1654 aux Gourel, qui la possédaient en 1679 ;

3° Maison, au Sud de la précédente, aux Moro, qui la portèrent en 1637 aux Labbé, et qui appartenait en 1679 par alliance aux Bougis ;

4° Maison, au Sud de la précédente, vendue par les Henry, seigneurs de la Motte, en 1672, à Arthur Lamisse, apothicaire ;

5° Maison, à l’encoignure de la rue des Douves et de la place du Marchix, aux Ruaud, et par alliance vers 1660 aux Houeix.

 

RUE DE LA BASSE-VILLE, allant de la porte Saint-Armel au couvent des Carmes.

1° Maison de la Houlle, joignant à l'Ouest la porte Saint-Armel, aux la Houlle en 1550, puis en 1590 aux Audren, qui la vendirent en 1667 aux Bonno ;

2° Maison, joignant la porte Saint-Armel, avec tourelle, vendue en 1661 par les d'Andigné aux Le Valois, puis par alliance aux Charpentier du Harda en 1679 ;

3° Maison, avec jardin, aux de l'Age de Frémur, qui la vendirent en 1664 aux Davenet, seigneurs de la Ville-Mulot ;

4° Maison aux Poulvy en 1679 ;

5° Maison aux Esnu, puis en 1679, par alliance aux Jedé.

 

PLACE DU MARCHIX, puis PLACE ROYALE ; nunc : PLACE LAMENNAIS.

1° Maisons et terrain aux la Bourdonnaye et aux Picaud en 1679 ;

2° L’on donne parfois le titre d’ « Hôtel des ducs de Bretagne » à la maison située à l’angle Nord-Est de la place La Mennais, jadis « Place du Marchix ». Or, cette maison, située en dehors des anciennes murailles et des douves de la ville, n’a été bâtie que plus de cent ans après la mort de la dernière duchesse de Bretagne, notre bonne duchesse, Anne de Bretagne, devenue Reine de France en 1492. En réalité, cette maison semble avoir été construite vers 1610 par Raoul de la Houlle, lequel l’avait portée, ou vendue, à Pierre Audren, sieur des Petits-Prés, ayeul de Pierre Audren, sieur des Costeaux, qui la vendit le 30 octobre 1667 à Jean Bonno, époux d'Yvonne Tréballet, laquelle y demeurait, veuve, avec sa fille, Geneviève Bonno, quand, en 1676, elle en fit déclaration, lors de la réformation du domaine royal de Ploërmel : « Maison, appelée autrefois " Raoul de la Houlle ", située en la basse ville, entre la place du Marchix, le pertuis au chat, et la rue qui mène de la Porte-d’en-Bas au couvent des Carmes ». — Raoul de la Houlle, seigneur de la Villenart, né vers 1575, fils de Pierre, seigneur de la Villenart, et de Guillemette de Bellouan, dame de Boussac, vivait à Ploërmel en 1620, et mourut sans postérité. Il avait vendu ou cédé sa maison au bas de la place du Marchix à Pierre Audren, sieur des Petits-Prés, député royaliste de Ploërmel aux Etats de 1595, époux de Hélène le Doüarain, et père de Michel Audren, dame des Costeaux, dont : Pierre Audren, sieur des Costeaux, vendeur le 30 octobre 1667 de ladite maison à Jean Bonno, époux d’Yvonne Trébalet.

3° Maison, entre la rue des Douves et la place du Marchix, aux Houeix en 1679 (voir : rue des Douves, n° 5) ;

4° Maison aux Esnu (voir : rue de la Basse-Ville, n° 5) ;

5° Jardin de la Chapelette, à l'Ouest, avec cabinets, aux l'Espine, et par acquêt 1648 et 1679, aux Houet et aux Labbé ;

6° Couvent des Ursulines, au Sud ;

7° Couvent des Carmes, au Nord-Ouest.

En 1783, nous voyons parmi les habitants de la place Royale :

M. Labigne de Villeneuve, médecin ;

Mme veuve Gaillard de Kerbertin et son fils, avocat ;

M. Maillet, chirurgien ;

M. Dumay, notaire et procureur ;

M. de Préaudeau ;

M. Mahot de la Quérantonnais ;

L'Auberge du « Roi d'Espagne ».

 

RUE DE L'HOPITAL, nunc : RUE DE LA GARE, allant de la place du Marchix à l'Hôpital d’en-Bas et à l’abreuvoir de la ville.

Du côté Sud, une quarantaine de maisons, parmi lesquelles l'Auberge du Croissant.

Du côté Nord, une quarantaine de maisons, parmi lesquelles, de l'Ouest à l'Est, la Maison Moisan, le Logis Pesvoir, le Logis Joubaud, Auberge Saint Pierre, Maison Peltier, Eglise et Couvent des Carmes, Auberge de la Grand'Maison.

 

RUE DU FOUR et FAUBOURG ROUILLAUD ; nunc : RUE DUBRETON, allant de la rue des Douves à la Croix-Guibourg et à la chapelle Saint-Michel.

A l'Ouest :

1° Couvent des Ursulines ;

2° Maison, à l’angle de la place du Marchix, et joignant les Ursulines, aux Thiéry, d’ancienneté et en 1679 ;

3° Maison aux Charué en 1679 ;

4° Maison aux Quého en 1679.

A l'Est :

1° Maison avec jardin, aux Yver, 1679 ;

2° Maison avec jardin, joignant la rue du Four et la venelle allant de cette rue à la place Saint-Nicolas, aux Thomas, en 1679 ;

3° Maison avec jardin, aux de Couétus, en 1679 ;

4° Maison avec jardin, aux Rozé, puis en 1609 et 1679 aux Janvier ;

5° Maison avec jardin, aux Jarno, en 1507, puis aux Rolland, aux Mouillard, et en 1679 aux le Floc'h ;

6° Maison et jardin, aux Jarno en 1507, et en 1675 aux Thétiot ;

7° Maison de la Barrière, ou Maison Jacques Joulneaux, avec portail, dépendances et jardins, aux de l'Espine en 1600, qui la portèrent aux Abillan, seigneurs de Quéjau, par alliance en 1665, et ceux-ci par alliance en 1679 aux Tuault ; là demeurait en 1783 Joseph-Golven Tuault de la Bouverie, sénéchal de Ploërmel, avec ses enfants et cinq domestiques ;

8° Maison Besnard, aux Besnard, puis aux Janvier en 1679 ;

9° Maison aux Besnard, puis aux Moisan ;

10° Maison du Pignon, anciennement jardin Bécheton, aux Janvier, 1679 ;

11° Trois jardins, aux Abillan, aux Guimart et aux Berthelot, en 1679 ;

12° Maison, près la Croix Saint-Michel, aux Hobbé, en 1679 ;

13° Terrain, joignant au chemin allant de la chapelle Saint-Michel à la Croix Favigot, aux Naschebout, puis aux le Goaësbe, en 1679 ;

14° Chapelle et Prieuré Saint-Michel ; nunc : le Presbytère.

Du côté Ouest de la rue :

Huit maisons, appartenant en 1679 aux Tardif, Thétiot, Roullet, Bizeul, Eon, Tramieux et Dupré.

 

RUE DES FORGES, allant de la rue du Four à la communauté des Carmélites et au village de Saint-Denis.

Au Nord :

Les murs d’enceinte, démolis en 1758 ;

La Porte Saint-Nicolas, ou Porte du Sud, flanquée de deux tours, dont l’une fut démolie en 1758, et l’autre en 1901, à la suite d’un incendie.

 

La PLACE D'ARMES, longeant à l'Est les fortifications ; elle servait autrefois de Jeu de Paulme ; en 1758, on l’entoura de murs et on lui donna accès par un large perron, dont les matériaux furent pris dans les démolitions du mur d’enceinte du Sud ; on l’appela, depuis 1764, Place d'Aiguillon. Le perron et les murs qui entouraient la place furent démolis vers 1880 ; on abattit les arbres qui la décoraient, et on nivela le terrain. On a élevé sur cette place, en 1896, une statue au docteur Guérin.

1° Jardin du Bois-du-Loup, enclos de murs, situé près de la Porte Saint-Nicolas, qui appartenait en 1620 aux Maubec, seigneurs du Bois-du-Loup, qui le vendirent en 1666 aux Jégondais ;

2° Maison, à l’angle du Marché à l'Avoir, aux Houet, puis par alliance en 1679 aux Fouaye, seigneurs de la Drévallaye ;

3° Maison aux Abillan de Quéjeau, en 1679 ;

4° Maison aux Sebille, en 1679 ;

5° Maison et jardin aux Havart, en 1679 ; nunc : Sous-Préfecture ;

6° Maisons et terres du Bignon, aux Regnaud, seigneurs du Tay, en 1590 ; aux la Touche, en 1608 ; aux du Beysit, en 1648 ; aux Richard, seigneurs de la Ville-aux-Tenours, en 1656 et 1679 ; aux Gaillard, en 1710, qui la portèrent par alliance vers 1750 aux Regnaud, et ceux-ci, également par alliance, vers 1774, aux la Bigne-Villeneuve ; acheté nationalement par les Robert, le Bignon fut vendu vers 1890 aux Religieuses Ursulines qui l’ont vendu à l’abbé des Clos de la Fonchais, vers 1900 ;

7° Jardin des Lauriers, anciennement terrain de la Forge, appartenant par acquêt aux Carmélites en 1679, depuis Auberge de la Pointe, où Mme Peschard a fait bâtir l'Hotel Peschart en 1909, dit Ker-ar-Beg ;

8° Terres de la Morissais, ou de la Morinais, aux Morin, qui les portèrent vers 1590 aux le Goaësbe, ceux-ci par alliance en 1649 aux Dumay, desquels par alliance en 1786 aux Gaillard.

Au Sud :

1° Maison, à l’encoignure de la rue du Four, avec jardin, allant jusqu’à la Venelle de Rieux, ou Rue Pinochet, appartenant en 1679 à dom Laurent Bigarré, prêtre-chapelain, par fondation faite en 1622 par Raoulette Morice ;

2° Maison aux Pellerin, et par acquêt, en 1679, aux Perret, propriétaires en 1783 ;

3° Maison aux Pellerin, et par acquêt aux Dupré, en 1679 ;

4° Maison aux Rozé, et par succession aux Berthelot, en 1679 ; dite Hôtel de l'Ecu, en 1783 ; nunc : Hôtel de France ;

5° Jardin, avec cabinet, aux Houet, en 1679 ;

6° Jardin, aux Saulnier, en 1679 ;

7° Maison aux Rozé, et par acquêt aux le Cazdre, en 1679 ;

8° Maison, faisant l’encoignure Nord-Est de la rue des Patarins et de la rue des Forges, bâtie en 1668 par les Georget, et venue aux Houeix, qui la portèrent par alliance aux Fablet, propriétaires en 1675 ; aux Houeix, en 1783 ;

Ce fut cette maison qui fut achetée par les Ermar, seigneurs de Beaurepaire, qui y firent bâtir un hôtel, dit Hôtel de Beaurepaire, et y créèrent un si beau jardin, qu’on le surnomma « le Petit Versailles » ; il vint par alliance en 1743 aux de Farcy, qui le vendirent vers 1850 aux de Savignhac, desquels il est venu par héritage en 1889 à Mme de Farcy, née du Boisbaudry.

9° Maison aux Mahé de la Bretonnière ;

10° Maison aux Longuespée, qui la vendirent en 1659 aux Chamaillart, lesquels la portèrent par alliance aux Garjal, propriétaires en 1679 ;

11° Maison, aux Rigon ;

12° Maison, joignant à l'Est les Carmélites, aux Rozé, en 1679 ;

13° Communauté des Carmélites ;

14° Plusieurs terres et jardins ;

15° Terres et seigneuries de la Porte-Bergaud et Croix de Boutteville, aux Havart, en 1427 ; aux Gombert, seigneurs de Malleville, en 1435 ; aux Bégasson, en 1565, qui la portèrent par alliance en 1686 aux Grignart de Champsavoix, qui la vendirent peu après aux le Douarain de Lemo, lesquels la cédèrent en 1694 aux Boisgeslin, seigneurs de Malleville, desquels elle vint par acquêt vers 1740 aux Orieulx ;

16° Maison, joignant la Chapelle de l'Aumônerie de Saint-Denis, aux Houeix, qui la vendirent en 1667 aux Boullard ;

17° Maladrerie et chapelle de Saint-Denis.

 

RUE DES PATERINS, allant de la porte du Sud à la place Saint-Nicolas, et dite rue des Patarins (Huguenots) depuis que les Protestants y établirent un prêche, en 1562.

A l'Est :

1° Maison, à l’encoignure Nord-Est (voir rue des Forges, n° 8) ;

2° Maison aux Bécel, et par héritage aux le Tertre, en 1679 ;

3° Maison aux Roulleau, en 1679 ;

4° Maison aux Malinge, puis aux Jouan, en 1679 ;

5° Maison des prêtres de la communauté et chapitre de Saint-Armel, à Messire Pierre Jarno, prêtre de choeur et communauté de Saint-Armel, en 1628 ; Messire Jean Croizil, en 1645 ; à Messire Guy Bocquého, en 1660 ; à Messire Yves Gaudaire, en 1679 ;

6° Maison aux Lancien, en 1679 ;

7° Maison aux Thomas, en 1679 ;

8° Maison aux Morice, puis aux Guériff, en 1679 ;

A l'Ouest : du Sud au Nord :

1° Maison avec jardin, aux Jaga, en 1679 ;

2° Maison avec jardin, aux David, en 1679 ;

3° Maison joignant la Venelle de Rieux, ou Rue Pinochet, Chapellenie, fondée en 1660 par Messire Pierre Touzé, prêtre, appartenant en 1679 à Messire Armel Auger, prêtre-chapelain ;

4° Maison des Quatre-Vents, à l’encoignure de la rue des Patarins et de la place Saint-Nicolas, aux Mahé, en 1679 ;

5° Maison aux Mesnage, en 1679 ;

6° Jardin avec cabinet, aux Rozé, puis aux Fablet en 1679 ;

7° Maison aux Chantrel, en 1679 ;

8° Maison avec jardin aux Maillard, et par alliance aux Oryo, en 1679 ;

9° Maison aux Ruaud, puis aux Morfouace, en 1679 ;

10° Maison aux Maubec, puis aux le Malliaud, en 1679 ;

11° Maison aux Rozé et par acquêt aux le Cazdre, en 1679 (voir rue des Forges, n° 7).

 

PLACE SAINT-NICOLAS. Sur cette place était l’église et le prieuré Saint-Nicolas.

Vers l'Est :

1° Maison aux Restif, en 1679 ;

2° Maison aux Mahé, en 1679 ;

3° Maison et jardin aux Ruaud, et par acquêt en 1622 aux Rouillé, en 1679 ;

4° Champ des Rues-Havart, entre le chemin de Ploërmel à Malestroit et de Ploërmel à Caro, contenant un journal, aux Duchesne, en 1650 et 1679 ;

5° Jardin aux Saulnier, puis par alliance aux le Cazdre, qui le vendirent en 1666 aux Taillandier, propriétaires en 1679 ;

6° Jardin aux Lantivy, et par acquêt en 1627 aux Mesnage, en 1679 ;

Au Sud de la place :

Maison aux Pellerin, et en 1679 aux Guyhot, seigneurs de Réhel.

A l'Ouest de la place :

1° Maison et jardin aux Bily, en 1679 ;

2° Maison aux Marcadé, en 1679 ;

3° Maison aux Desgrées, en 1679 ;

4° Maison aux Noblet, en 1679 ;

5° Maison aux Thomas, en 1679 ;

6° Maison aux Texier, en 1679 ;

7° Maison aux Lancien, en 1679 ;

8° Maison aux Collin, en 1679 ;

9° Maison aux Mahé, en 1679 ;

10° Maison, à l’angle de la place Saint-Nicolas et de la Venelle de Rieux, ou Rue Pinochet, aux Leray, en 1679.

En 1783, il y avait sur la place Saint-Nicolas une fabrique qui employait onze ouvriers.

 

RUE DE LA SOIE, allant de la place d'Armes au Marché à l'Avoir.

Maison, à l’angle Sud-Ouest, aux Rogier, qui la vendirent en 1655 aux Ruaud, propriétaires en 1679 ;

Et cinq maisons, appartenant, en 1679, aux Mignot, aux Robert, aux Druays, aux Lancien et aux Mahé.

 

PLACE ET RUE DU MARCHÉ-A-L'AVOIR, allant de la rue des Forges à la petite rue Porte–d’en–Haut (Avoir, en vieux français, signifiait Volaille).

1° Maison, à l’angle de la rue des Forges, aux Lebras, en 1679 ; au XIXème siècle, aux Larcher, puis aux la Motte du Portal ;

2° Jardin aux Charpentier et par acquêt en 1631 aux le Cazdre, en 1679 ;

3° Maison aux Rozé, en 1679 ;

4° Maison Jocet du Pas-aux-Bisches, avec cour et jardin, aux Jocet, en 1640 et 1679 ;

5° Maison aux Bouczo, en 1679 ;

6° Maison aux Macé, en 1679 ;

7° Maison aux Simon, en 1679 ;

 

PLACE ET RUE DU MARCHÉ AUX MOUTONS, allant du Marché-à-l'Avoir à la rue du Bignon.

1° Maison, sûr la place du Marché aux Moutons, aux Guymart, puis aux Lenoir, en 1679 ;

2° Maison aux Préaudeau, en 1679 ;

3° Maison aux Joubelot, en 1679 ;

4° Maison aux Bocquého, puis aux de la Houlle, en 1679 ;

5° Maison aux Bocquého, puis aux Doutté, en 1679 ;

6° Jardin aux Rouet du Chesnevert, en 1679 ;

7° Maison du Lion d'Or, aux Maillart, en 1679 ;

8° Jardin de Mocque-Fouris, aux Jocet, en 1679 ;

9° Maison des Trois-Rois, aux Roullet, en 1679.

 

RUE DU BIGNON, allant de la Porte–d’en–Haut à la fontaine du Bignon.

1° Maison au Nord, près de l’hôtel de Malleville (n° 2 de la rue Porte-d’en-Haut) et des douves, aux Bragier, seigneurs de la Combe, en 1679 ;

2° Maison, à l'Est de la précédente, aux Pellerin, puis aux Perrinet, en 1679 ;

3° Maison, à l'Est de la précédente, aux Jarno, qui la vendirent en 1643 aux Marion, et par acquêt, en 1679, à Vincent Digouère, chirurgien ;

4° Maison, à l'Est de la précédente, aux Jehannot, et par acquêt en 1651 aux Martin, en 1679 ;

5° Maison, au Nord, près de la Porte–d’en–Haut, aux Rozé de Trémaudu, et, par acquêt en 1644, à Jacques des Marchix, horloger et arquebusier, en 1679 ;

6° Maison, près du pont-levis de la Porte-d’en-Haut, aux des Marchix, en 1679 ;

7° Maison, entre les douves et le Jeu de longue Paulme, vendue le 12 janvier 1654 par les Le Douarain aux Le Clavier ;

8° Maison et jardin, aux Taupin, d’ancienneté, et en 1679 ;

9° Maison aux de la Houlle, d’ancienneté, et en 1679 ;

10° Maison et jardin, aux Gault du Tertre, en 1630 et 1679 ;

11° Portail et terres du Bignon (voir : rue des Forges, n° 6) ;

12° Maison près de la Venelle de la Fontaine du Bignon, aux Maillart, d’ancienneté, et en 1679.

 

FAUBOURG GRIMAUD, de la rue du Bignon à l'Hôtel-Dieu : dans les douves de ce faubourg étaient le Jeu de Paulme et le Papegaut.

1° Maison du Jeu de Paulme, aux Mérel, en 1679 ;

2° Cabinet du Jeu de Paulme, aux Audren, et, par acquêt en 1649, aux Bigaud, en 1679 ;

3° Maison aux l'Hospitalier, seigneurs du Bois-Aubin, en 1679 ;

4° Maison aux Brunel, en 1679 ;

5° Maison aux Houeix, en 1626 et 1679 ;

6° Maison aux Robert en 1615, et en 1679 à Yves Sébille, chirurgien ;

7° Jardin, près du Papegaut, aux Maillard, en 1679 ;

8° Maison aux Pellerin, en 1679 ;

9° Maison aux Cheroupvrier, en 1679 ;

10° Maison aux Morice, en 1679 ;

11° Maison aux Leliepvre, en 1679.

 

CARREFOUR DE LA CROIX-BÉCHETON et VENELLE AUX BELLES-FILLES. Au Nord des douves, entre le faubourg Grimaud et la rue du Val, contenant la Maison Maugouais et la Fontaine des Fontilles.

Plusieurs jardins, à dix propriétaires différents, en 1675, et anciennement aux Coëtlogon.

 

RUE DU VAL, allant de la communauté des Carmes vers Loyat ; ce quartier était dit anciennement « Quartier du Thabor », à cause du voisinage des Carmes ; il relevait de la seigneurie de Camayon et du Crévy ; il contenait la Maison du Four-à-ban, et, devant, un Sep et Collier, aux armes des Rogier du Crévy.

Vers l'Ouest, quarante-neuf maisons, entre autres :

Maison avec jardin, entre la rue du Val et la Venelle aux Belles-Filles, dite anciennement Venelle Pouice ou Venelle Trouicet ; aux Houet en 1666, et par acquêt aux Caumont en 1679 ;

Maison du Four-à-ban, aux Rogier du Crévy et de Villeneuve, qui la vendirent en 1667 aux Charpentier, seigneurs de Camayon.

Maison avec jardin, près de la Venelle et de la Fontaine des Fontilles, aux Perret, en 1679.

Vers l'Est, quarante-huit maisons, à divers.

En 1783, il y avait à Ploërmel, en dehors des fonctionnaires royaux : neuf procureurs, six avocats, trois notaires, six miliciens, quatre médecins, un apothicaire, huit boulangers, quatre perruquiers, deux bouchers, trois serruriers, un armurier, un forgeron, neuf cabarets et trois auberges (celles de « l'Ecu », dans la rue des Forges ; du « Roi d'Espagne », sur la place Royale ; de la « Grand'Maison », dans la rue de l'Hôpital) (M. de Bellevue).

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