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PLUHERLIN |
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La commune de Pluherlin ( Pluhernin) fait partie du canton de Rochefort-en-Terre. Pluherlin dépend de l'arrondissement de Vannes, du département du Morbihan (Bretagne). |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de PLUHERLIN
Pluherlin vient de "Plou" (paroisse) et de "Hernim", moine ayant immigré en Armorique au VIème siècle.
Pluherlin, paroisse primitive, est mentionnée dès 833 dans le cartulaire de l'abbaye de Redon sous le nom de "Plebs Huiernim" ou "Hoiernin". On y apprend qu'un certain Rethwalart, malade et "la fin du monde approchant", donne aux moines de l'abbaye de Redon une propriété. Dès le IXème siècle et le Xème siècle, l'histoire de Pluherlin se mêle à celle de Rochefort.
Pluherlin est érigé en commune en 1790 et voit son territoire amputé de sa trève Rochefort en 1802.
Note 1 : Pluherlin touche, au nord, la vaste lande de Lanvaux, qui le sépare de Pleucadeuc et de Saint-Congard, à l'est Saint-Gravé et Malansac, au sud Questembert, et à l'ouest Molac. En 1891, sa superficie est de 3540 hectares, sans compter les 126 hectares de Rochefort, son ancienne trêve. C'est un pays très accidenté, traversé de l'ouest à l'est par la rivière d'Arz. On y trouve des terres bien cultivées, des prairies, des ardoisières, mais aussi quelques landes, surtout vers le nord. En 1891, sa population est de 1688 habitants. Le bourg, situé dans la partie sud, est à 2 kilomètres de Rochefort et à 32 de Vannes. Les Celtes ont laissé sur ce territoire une forte empreinte. Leur principal monument se trouve sur la lande du Haut-Branbien, au nord de Rochefort. « Ce lieu, fort peu visité et par conséquent peu connu, est véritablement remarquable par le nombre, les dimensions et la disposition des blocs énormes qui en jonchent le sol. On estime à deux mille le nombre de ces pierres ; peu d'entre elles sont verticales ; presque toutes sont renversées, ou n'ont peut-être même jamais été debout. On y trouve en grande quantité de ces pierres excavées, qui sont si nombreuses sur certains points de la lande de Lanvaux. Les parties les plus élevées du terrain sont celles où les blocs sont le plus pressés. Il est impossible de rendre l'aspect de ces innombrables pierres en désordre. Il suffit de parcourir leurs groupes, pour se convaincre qu'il y eut là, comme à Carnac, un immense lieu consacré, avec cette différence que, en général, les blocs sont de dimensions plus considérables dans la plaine du Haut-Branbien. Ce lieu mérite d'être soigneusement étudié » (Cayot-Delandre). On trouve en outre un beau menhir de 5 mètres de hauteur sur la lande de Lanvaux, au bord de la route de Pleucadeuc ; puis plusieurs petits tumulus, fouillés en 1864, dont deux renfermaient de tout petits dolmens ; et enfin dans le bois au nord de Talhoët un grand dolmen ruiné (Bull. 1864, p. 97). Les Romains de leur côté ont laissé de nombreuses traces de leur passage. En 1845 et 1846, M. Marot, curé de Rochefort, a pratiqué quelques fouilles intéressantes. A 100 mètres au sud du bourg de Pluherlin, dans un champ nommé le Météno, il a mis à découvert une villa de 16 mètres de longueur sur 10 de largeur et divisée en six chambres. A la Ville-Julau, vers le nord, il a trouvé une suite d'appartements à aires en ciment. Enfin à la Grée-Mahé, il a découvert un temple octogone, dont la fouille a été reprise en 1866 par M. Fouquet. (Bull. 1866, p. 34). Ce dernier a signalé au même lieu quelques vestiges de constructions gallo-romaines, les restes d'un retranchement, et le tracé d'un vieux chemin, peut-être d'une voie romaine secondaire, traversant le territoire de Pluherlin du nord au sud et passant à Talhoët, au Pont-de-l'Eglise, à la Grée-Mahé, à Carnoguen, au bourg, à Cargilay et aboutissant à la voie romaine de Vannes à Rieux. — D'autres vestiges romains ont été signalés aussi à Kerfériou, à Carnoguen, à Careven et à Talhoët. Les Bretons occupèrent en grand nombre ce pays au VIème ou au VIIème siècle, comme le prouvent les noms des villages de Kergibon, Kerpena, Kermoisan, Coëtdaly, Talhoët, Bodevrel, etc. Le nom de Pluherlin lui-même est breton : on le trouve écrit, dans le Cartulaire de l'abbaye de Redon, Plebs Huiernim en 833, et Plebs Hoiernin en 866. On y reconnaît facilement le Plou ou le Plu breton, suivi d'un nom propre, Huiernim ou Hoiernin. — Mais quel était ce personnage ? On l'ignore absolument ; on peut supposer que c'était le chef des émigrés établis dans ce quartier, car on ne peut guère le confondre avec saint Gentien, patron de la paroisse. Le 9 février 833, un certain Rethwalatr, se trouvant malade à Redon, donna au monastère naissant la villa de Wigniau, située en Plou-Huiernim ; une trentaine d'années plus tard, l'abbé et les moines la donnèrent à ferme à un particulier et en dressèrent l'acte dans une forêt située sur la rivière de l'Aff (Cartulaire de l'abbaye de Redon, 7,70) (Joseph-Marie Le Mené - 1891).
Note 2 : Liste non exhaustive des maires de la commune de Pluherlin : Jean Tetu (1790-1793) ; Joseph Morice (1793-1794) ; Jean Tetu (1794-1795) ; Joseph Morice (1795-1799) ; Olivier Provost (1799-1800) ; Paul Malen (1800-1802) ; Joseph Normand (1802-1808) ; Jean-Marie Duval (1808-1816) ; Jean Le Barre (1816-1826) ; Pierre Berthy (1826-1846) ; François Provost (1846-1848) ; Yves Hazo (1848-1865) ; Guillaume Jollivet (1865-1871) ; Joachim Guillaume (1871-1885) ; Jean-Marie Caté (1885-1893) ; François Lanoë (1894-1896) ; Pierre Bléher (1896-1904) ; Jacques de Dannes (1904-1925) ; Pierre Bléher (1925-1947) ; Albert Allain (1947-1977) ; Alain Mille (1977-1983) ; Pierre Fréoux (1983-2001) ; Alain Richard (2001-2014) ; René Danilet (2014-?), etc ....
PATRIMOINE de PLUHERLIN
l'église Saint-Gentien (1902), restaurée à partir des plans réalisés par l'architecte M. Leray de Redon. Les travaux s'échelonnent de 1886 à 1902. L'édifice a la forme d'une croix latine. En 1930, les vitraux sont restaurés par M. Rault, peintre verrier à Rennes ;
Nota : L'église paroissiale, dédiée à saint Gentien, martyr, décapité vers 286, auprès d'Amiens, appartenait à diverses époques. Le plan primitif semble avoir été une croix latine, à laquelle on a ajouté une chapelle de chaque côté du choeur. La tour, placée sur l'inter-transept, comme dans beaucoup d'églises romanes, avait été refaite en 1616, avec une flèche en ardoises. A la nef, petit appareil irrégulier jusqu'à une certaine hauteur, puis moyen appareil. Les portes de l'église et les arcs du clocher et des collatéraux étaient en ogive. Les fenêtres étaient garnies de meneaux en trilobes, en flammes, et quelquefois en quatrefeuilles. On y voyait des restes de vitraux : saint Gentien portant sa tête, saint Sébastien, sainte Barbe, Jésus crucifié …. Anciennement on voyait dans la maîtresse vitre les armes de Rochefort, et au-dessous celles de Botevrel et celles de Clergerel. La chapelle du côté de l'épître était propre aux seigneurs de Clergerel ; celle du côté de l'évangile, aux sieurs de Botevrel et la suivante aux sieurs de Talhoët ; celle-ci était dédiée à sainte Anne. Outre les trois autels du fond, il y avait deux autels adossés aux piliers de la tour, et deux autres dans la nef. En 1888, on a refait le choeur et les deux bras de la croix sur le même emplacement, et l'on se propose de reconstruire la nef, et de placer le clocher sur le portail occidental, aussitôt que les ressources le permettront. Les chapelles de Pluherlin, en laissant de côté celle de Rochefort, son ancienne trêve, sont les suivantes : — 1° Notre-Dame, à Cartudo, à l'ouest du bourg. — 2° Saint-Pabu, au village de ce nom, depuis longtemps ruinée. — 3° Notre-Dame de la Barre, au N.-N.-O. près de la lande de Lauvaux, siège d'une chapellenie, appelée improprement prieuré, fondée et présentée par les seigneurs de Rochefort, mentionnée dès 1516, chargée d'une messe par semaine, unie en 1751 à la collégiale de Notre-Dame de la Tronchaie, et donnant alors un revenu de 68 livres. — 4° Saint-Jean de la Bande, au N.-N.-E. près de la lande de Lanvaux, siège d'une chapellenie, appelée parfois prieuré, bien qu'elle ne dépendit d'aucun monastère, mentionnée dans le pouillé de 1516, citée encore en 1619 comme rapportant 60 livres par an, et éteinte plus tard. La chapelle est aujourd'hui en ruines. — 5° Notre-Dame de Bon-Réconfort, vers le nord, au village de ce nom, construction de style ogival, à meneaux en flammes et trilobes aigus à la fenêtre. En 1639, Alain Bonno y fonda une chapellenie, à raison d'une messe chaque mercredi et la dota de quelques revenus. Les chapelles privées étaient celle de Sainte-Anne à Boisbréhan, et celle de Saint-Jean à Talhoët, qui subsiste encore en 1891. Les chapellenies étaient, outre les trois précédentes : 1° Celle de Talhoët, fondée en 1437 par dom Jehan de Talhoët, à l'autel de Sainte-Anne dans l'église paroissiale, et éteinte longtemps avant la Révolution. — 2° Celle de Clergerel, fondée sans doute par les seigneurs de ce lieu et desservie à leur autel dans l'église paroissiale, existait encore en 1715. — 3° Celle du prêtre Julien Denis, fondée en 1670 et chargée de deux messes par semaine. — 4° Celle du prêtre Guy Fleury, desservie dès 1710 au moins dans l'église paroissiale. — 5° Celle des Bours, mentionnée en 1756. Les dîmes ecclésiastiques appartenaient primitivement au recteur, mais en 1453, un décret de l'évêque Yves de Pontsal, appuyé sur une bulle du pape Nicolas V, de 1451, les annexa au chapitre de la cathédrale, en réservant un tiers pour la portion congrue du recteur. Plus tard, dès 1580 au moins, ces conditions furent modifiées, et les dîmes anciennes se partagèrent par moitié : il en fut de même jusqu'à la Révolution. Le recteur avait en outre les novales, le casuel et le presbytère. En 1757, son revenu net était de 600 livres et celui du chapitre de 235. Ce partage des fruits n'avait rien changé à la collation du rectorat, qui, après comme avant, resta soumise aux lois du droit commun. Pluherlin dépendait de la seigneurie de Rochefort, du doyenné de Péaule et de la sénéchaussée de Vannes. En 1790, il perdit sa trêve, et fut érigé en commune, du canton et du district de Rochefort. En 1791, son recteur, M. Maury, refusa le serment à la constitution civile du clergé, et resta ensuite caché dans le pays. Un assermenté, désigné pour le remplacer, ne paraît pas avoir pris possession. La population était très opposée aux idées nouvelles ; aussi fournit-elle de nombreux volontaires pour la prise de Rochefort en 1793 ; et plus tard elle prit une part active à la chouannerie. Pluherlin passa en 1800 dans l'arrondissement de Vannes, et fut maintenu en 1801 dans le canton de Rochefort. A la réorganisation du diocèse en 1802, la séparation de son ancienne trêve fut consommée sans retour (J-M. Le Mené - 1891).
Voir aussi " L'histoire de la paroisse de Pluherlin et ses recteurs"
la chapelle Notre-Dame-de-la-Barre (XVème siècle), située au lieu-dit Gué-de-la-Barre et édifiée par les seigneurs de Rieux-Rochefort. Robert et Ysabeau de Talhouët prennent en charge la restauration de l'édifice au XVIème siècle et font graver leurs armes sur le linteau de la baie au Nord. Elle est annexée en 1751 à la collégiale de Rochefort. De forme rectangulaire, elle n'est éclairée que par trois petites baies ;
la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Réconfort (XVI-XIXème siècle), située au lieu-dit Notre-Dame-de-Bon-Réconfort et réaménagée au XIXème siècle. Il s'agit d'un édifice rectangulaire de 12,70 mètres de long sur 7,80 mètres de large. Elle possède des fenêtres et portes flamboyantes et une piscine à accolade. Le clocheton en granit date de 1906. Le Christ en croix, en bois polychrome et apposé sur le mur Nord, date du XIII-XIVème siècle ;
la chapelle Notre-Dame-de-Cartudo (XVIIème siècle). Il s'agit d'une chapelle frairiale. Le porche Ouest est surmonté d'un clocheton de granit ;
la croix du cimetière ;
la croix du puits, située place de l'église. Il s'agit d'une croix monolithe avec un fût polygonal ;
la croix du Pont de l'église (1843 et 1930). Le piédestal situé sur le socle en granit est rajouté en 1930 ;
le calvaire dit Croix de la Motte (XIX-XXème siècle), situé rue du Calvaire. Il est édifié en 1821 et remanié en 1903 et en 1941. Un escalier mène à la croix ;
le château de Talhouët (XVI-XVIIème et XIXème siècles), berceau de la famille Talhouët (mentionnée au milieu du XIVème siècle). Propriété de Jehan Talhouët en 1427, de Jamet Talhouët en 1464 et de Jehan Talhouët en 1481. Suite au mariage d'Isabeau de Talhouët, en 1531, il devient propriété de la famille Du Bot (de La Ville-Pelotte). A noter que le domaine est toujours mentionné comme étant la propriété d'Isabeau de Talhouët en 1536. Une première demeure existait, semble-t-il, déjà au XIVème siècle. En 1579, Alain Du Bot, marié à Briande de la Chapelle, écuyer et capitaine de la vicomté de Rohan fait construire le château. Ce château est agrandi au XVIIème siècle, par leur fils Henry. Propriété successive des familles Rado de Courson, Huchet de La Bédoyère, Juchault de Lorme et Quénétain. En 1814, le château passe entre les mains de la comtesse de Danne qui l'agrandit au XIXème siècle en édifiant le pavillon en saillie à l'Ouest. Il possède une chapelle, dédiée à Saint-Jean, qui date comme le château du XVIIème siècle ;
le château de Gournava (1895), édifié par le marquis de Béru ;
l'ancien château de Kerfériou ;
le manoir du Boisbréhan. Siège d'une ancienne seigneurie ayant appartenu successivement aux familles Mordant, Carné et Le Meignan. Il possédait autrefois une chapelle privée dédiée à Sainte-Anne ;
le manoir de Carcado ;
la fontaine (1776) de Cartudo ;
la grange de la Grée Mahé ;
la maison (XVIIème siècle), située place du Puits ;
le moulin à eau de Boisbréhan ;
A signaler aussi :
la découverte de plus de 50 statuettes de Vénus et de Junon ;
le site de Brambien, avec plus de 2000 menhirs et dolmens (époque néolithique) ;
le menhir (5 mètres de hauteur, 6 mètres de circonférence) situé sur la lande de Lanvaux ;
la découverte de haches de bronze, tombelles et souterrains artificiels ;
un temple ou fanum situé à la Grée Mahé ;
des villa gallo-romaines (entre autre dans un champ nommé le Méteno (au sud du bourg), à Ville-Julo et au village de la Grée-Mahé);
ANCIENNE NOBLESSE de PLUHERLIN
Après les ravages des Normands au Xème siècle, et après la restauration politique et religieuse qui suivit, on voit apparaître les premières seigneuries. La principale fut celle de Rochefort, berceau de la petite ville de ce nom, et dont l'histoire se trouvera à l'article Rochefort.
Les autres seigneuries étaient :
1° Botvrel ou Bodevrel, au nord, moyenne justice.
2° Boisbréhan, au nord-ouest, vers Lanvaux, aux Mordant, Carné, Le Meignan.
3° Carmois ou Kermoël, au nord, près de Lanvaux.
4° Clergerel, à l'ouest, haute justice, aux sieurs de Pluherlin, de Loyon, de Trécesson, Peschart, Couessin et du Bot.
5° Pont-au-Roux, au nord-est.
6° Talhoët ad nord, moyenne justice, berceau de la famille de ce nom, passée en 1531 aux du Bot.
7° Trébrun, au nord-ouest, près de Lanvaux.
8° La Ville-au-Mai, vers le nord-est.
9° La Ville-Boury, au nord-est.
Par une singularité frappante, ces fiefs ne relevaient pas tous du même suzerain. Les uns, et c'était la majeure partie, Clergerel à leur tête, dépendaient du seigneur de Rochefort ; deux seulement, Talhoët et Trébrun, rendaient hommage au sire de Molac, et plus tard au seigneur de Largoët (J-M. Le Mené).
Lors de la réformation de 1427, on comptabilise la présence de plusieurs nobles à Pluherlin : Geffroy du Perier (Trébrun), Jehan de Talhoet (Talhouët), Kermoel (Carmoy), Ollivier de St Guedas (village de Bois-Bréhant), Jehanne de Kermoel (Couëder), Jehan de Boulac (Bodevrel, Villetrouve), Pierre Boschet (Penant), Margot et Raoul de Monstrect (Penant), Eon Mahaud (la Ville Boury), Pierre de Ploerlin (Carades), Ollivier Boulart, Collin Le Comte, Perrin Madart, Guillaume Rouxel, Eon Mahaud, le sieur du Hendreu (Rochefort-en-Terre).
A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 4 nobles de Pluherlin :
Jamet de TALHOUET, remplacé par son fils : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;
Guillaume du HENDREU (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une épée et d'une vouge ;
Eonnet MEHAUD : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge et portant des harnois de jambes ;
Jamet DANBON (30 livres de revenu) : excusé ;
A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 6 nobles de Pluherlin :
Jehan de TALHOET (800 livres de revenu) : comparaît en archer, avec Jehan Le Charron armé d'une vouge ;
Guillaume LE HENDREUFF (30 livres de revenu) ;
Jehan MEHAUD (800 livres de revenu) : comparaît en archer ;
Guillaume LE COMTE, fils de Nicolas (20 livres de revenu) ;
Jehan MANDART (30 livres de revenu), remplacé par Allain Mandart : porteur d'une brigandine ;
Jamet DAMBON ;
Lors de la réformation de 1536, on recense plusieurs propriétaires et manoirs à Pluherlin :
Trebrun (Trébrun), à Jehan Coetregal ;
Bobrehan (Bois-Bréhant), à Guillaume du Boisdelasalle ;
Talhouet (Talhouët), à Ysabeau de Talhouet ;
Boteverel (Bodevrel), au sieur de Baulac (en Goven) ;
Kermoel (Carmoy), à la nommée Le Comte ;
Kerglerech (Clergerel), au sieur de Loyon (en Ploeren) ;
Penant (Penant), au sieur de la Villeboury (la Ville Boury), surnommé Mahault;
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