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INFORMATIONS DIVERSES SUR LA VILLE DE PLUMAUGAT |
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L'adjectif ethnique est plumaugatais (J O, 13 mars 1935). Dans le nom de Plumaugat, le t se prononce.
Dès le 24 avril 863, Roiantdreh, dont il a été question à l'article de Sévignac, demeure in plebe Maelcat (dans le plou Maugat). C'est la plus ancienne mention connue d'une localité des Côtes-du-Nord [Note : L'année où ce document a été écrit peut être 846 ou 857 ou 863 (La Borderie, Chronologie du cartulaire de Redon, Annales de Bretagne, t. XIII, p. 35)].
La paroisse de Plomagoat (sic) est mentionnée dans le cartulaire de Saint-Aubin-des-Bois dès 1282. Plumaugat appartenait au diocèse de Saint-Malo. Il a élu une municipalité au début de 1790 et fut dès lors chef-lieu d'un canton jusqu'en l'an X.
Aucun monument n'y est classé, ni inscrit, mais il faut cependant signaler les suivants :
1) La chapelle de la Bonne-Encontre, construite en 1585 (inscription) ;
2) La chapelle Saint-Yves de Bénin, datée de 1609 ;
3) Une croix du XVIème siècle, située près de l'église ;
4) La croix de Bénin (1605) ;
5) Le presbytère (1678) avec son cadran solaire (1713) ;
6) Le château de l'Hozier (XVIème - XVIIème siècles) et sa chapelle (XVIIème siècle) ;
7) Le manoir du Chesnay (1573), avec lucarne (1666) et souche de cheminée (1672) ;
8) Le manoir de la Gaudésière (début du XVIème siècle) ;
9) Le colombier et la chapelle du manoir de l'Epinay ;
10) L'enceinte de la maison seigneuriale de Plumaugat, entourée de douves ;
11) Le manoir des Touches, avec souche de cheminée (1696) et escalier à balustres ;
12) Une maison au sud de l'église (1802), avec porte en plein-cintre réemployée.
(Bulletin d'informations des maires).
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