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SEIGNEURIE DES CHAPELAYS

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LES CHAPELAYS dans le pays de Redon

Terre noble située autrefois entre Brillangaut et Bocudon et dont le manoir se voyait sur le bord de la route reliant le grand Pâtis à la route de La Gacilly. De ce manoir, il ne reste que quelques décombres au sud de cette route ; les terres en dépendant sont réunies aujourd'hui à celles de la Porte-Pilart.

L'origine du mot Chapelays est évidemment le nom de famille Chapel. Le domaine des Chapelays contenait 11 journaux 40 cordes, y compris les fossés (vente de 1748), et était exempt de fouages comme Bahurel et Brillangaut.

En 1536, Bertranne Guéguen, dame de Bahurel, est dite également dame des Chapelays et de Brillangaut. Et, de ce fait, l'histoire des Chapelays est intimement liée à celle de Brillangaut (voir Brillangaut) jusqu'au milieu du XVIIème siècle.

On a vu que Alain Gérard, sieur de Bocudon acquit Brillangaut vers 1670. Il eut deux fils. L'aîné, François, fut sieur de Bocudon et des Chapelays ; le second, Jean, eut Brillangaut et devint seigneur de Beaumont par son mariage, en 1670, avec Jeanne Gicquel, héritière de cette terre.

Michelle Gérard, fille de François et de Claude Le Mercier, fut dame de Bocudon et des Chapelays. Elle épousa le 23 janvier 1691, Jean Primaignier, avocat en la cour, fils de nobles gens Nicolas et Gillette Laisné, de la paroisse de Toussaints de Rennes.

Puis nous trouvons les Chapelays compris dans les ventes de Bocudon du 11 août 1711 et du 28 novembre 1748. Le 30 janvier 1751, René Dumoustier, le dernier acquéreur, rend aveu pour les Chapelays. Son fils, Julien-Jean Dumonstier, baptisé à Redon le 18 juillet 1728, entra dans les ordres et mourut en odeur de sainteté à Redon le 16 mai 1781 ; il avait eu dans sa part les Chapelays et la Porte-Pilart qui passèrent alors à sa cousine, Mlle Gardié. A la mort de celle-ci, ces deux terres échurent à M. et Mme Fleury, son beau-frère et sa sœur, habitant Quintin. (R. de Laigue). 

Nota : texte actualisé et modifié par rapport au texte original. 

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