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Etablissements charitables et hospitaliers de la ville de Rennes |
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Note sur la fondation et l'histoire des établissements charitables et hospitaliers de la ville de Rennes.
— 1141. Hospice de Saint-Sadre sous l'invocation de saint Lazare et de sainte Magdeleine. On y logeait les lépreux. (Faubourg de la Magdeleine).
— 1213. Hospice Saint-Jacques (place du Palais), fondé par le chapitre pour les pèlerins qui revenaient de Saint-Jacques de Compostelle.
— 1340. Hospice Sainte-Anne sous la direction de frère Nicolas, abbé de Saint-Melaine. Robin de France en fut le premier administrateur. Cet hospice devait recevoir, tout à la fois, les malades et les pauvres.
— 1358. Hospice Saint-Yves, fondé par Jean Lebouteiller pour mettre les malades à l'abri des ravages de la guerre.
— 1412. Chapelle Sainte-Marguerite (rue Haute), fondée par les sires de la Mote et du Meiffray, dotée de 30 livres de rente à prendre sur les fiefs nobles de Saint-Médard, Saint-Germain et Melesse.
— 1535. Le prieuré de Saint-Thomas ; d'abord hôpital, devient lieu d'école, puis maison des Jésuites, en 1604, et enfin un collége.
— 1619. Hospice des pestiférés sur les levées de la Santé (arsenal actuel). Cet hospice devient la maison des pauvres valides ayant six ans de domicile dans la ville.
— 1653. Hospice Saint-Méen (tertre de Joué), fondé par M. Megnier, prêtre, pour les aliénés ainsi que pour les malades qui se rendaient à Saint-Méen.
— 1675. Hospice général, fondé par M. Rocher du Portail, en place de l'hospice des pestiférés. Le principal logis fut construit par M. de Labourdonnaie de Montluc pour y loger douze prêtres pauvres. La ville y annexe le lieu des incurables qu'elle achète de M. Breron, conseiller au parlement. L'hospice général fut, pendant la révolution, transféré aux Catherinettes, près le Thabor.
— 1796. Hospice militaire établi dans l'ancien grand séminaire.
— 1830. Mademoiselle Mesnard fonde un établissement pour les vieillards, près le Colombier.
— 1835. M. Toëdro, supérieur des missionnaires, établit une maison pour les orphelines.
— 1840. M. Goupil, ancien négociant, reçoit chez lui les petites soeurs des pauvres (actuellement à la Piletière).
— 1845. Monseigneur Saint-Marc établit, près son collége, une maison pour les orphelins.
— 1852. M. Meslé établit les soeurs de l'Espérance.
(abbé Fouquet, 1857).
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