Retour page d'accueil          Retour Canton d'Ancenis  

ETYMOLOGIE et HISTOIRE de LA ROCHE-BLANCHE

La Roche-Blanche vient certainement de la couleur blanche du silex, très abondant sur le site.

Au Moyen-Age, des moines de l'abbaye de Saint-Florent-le-Veil de Saumur (en Anjou) édifient sur le territoire de La Roche-Blanche un prieuré dont il ne reste que des vestiges. La Roche-Blanche est un démembrement de Saint-Herblon et s'en détache en 1843, date à laquelle Monseigneur Jean-François de Hercé, évêque de Nantes, autorise la construction d'une église locale. La paroisse de La Roche-Blanche est érigée en commune indépendante en 1951 (le premier maire se nomme Alexandre Bernard).

PATRIMOINE de LA ROCHE-BLANCHE

l'église Notre-Dame-de-l'Assomption (1846-1936-1955). En 1925 l'église s'effondre en partie. Elle est reconstruite. Les deux autels latéraux sont dédiés à saint Joseph et à sainte Thérèse de l'Enfant Jésus ;

la chapelle Saint-Michel-du-Bois (XIIème siècle – 1849). Un premier oratoire est édifié au IXème siècle. Un lieu de culte y est attesté au XIIème siècle. La chapelle est dévastée durant la Révolution. Un nouveau sanctuaire est construit en 1840 puis abandonné suite à la construction de l'église. La chapelle est restaurée en 1948-1949 grâce au comte Brossaud de Juigné, châtelain de Juigné. Les vitraux, œuvre du maître verrier B. Campin de Chartrex, datent de 1951. Le haut-relief, œuvre du sculpteur Desmarchix, date du XXème siècle : il représente saint Michel terrassant le dragon ;

la ferme des Mares (XVIIIème siècle). Il s'agit de la maison natale de l'abbé Souffrand, né le 27 mars 1755. Persécuté, il meurt dans son presbytère le 29 avril 1828. L'abbé Soufrand, de tendance royaliste, avait prédit en 1817 que "les grands généraux français déposeront les armes dès que le Grand Monarque se sera montré" ;

A signaler aussi :

plusieurs haches en pierre polie (époque néolithique) ;

ANCIENNE NOBLESSE de LA ROCHE-BLANCHE

(à compléter)

© Copyright - Tous droits réservés.