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SAINT-MOLF

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La commune de Saint-Molf (bzh.gif (80 octets) Sant-Molf) fait partie du canton de Guérande. Saint-Molf dépend de l'arrondissement de Saint-Nazaire, du département de Loire-Atlantique.

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de SAINT-MOLF

Saint-Molf vient du patronyme irlandais "Maidulphus", moine irlandais, fondateur du couvent de Malmesbury. Son nom est ensuite orthographié Maiduff puis Saint-Molf.

Le village primitif de Saint-Molf est fondé par saint Germain l'Auxerrois, entre 430 et 448, lors de son évangélisation de la Bretagne. Le culte de saint Molf, apporté par les Bretons, s'est juxtaposé à celui de saint Germain. La première église, construite par saint Germain, abrite alors le culte des deux saints. L'élément gallo-romain ayant presque disparu ou du moins se trouvant noyé dans la population bretonne, le culte de son saint passe alors au second rang. On construit ensuite une nouvelle église sous l'invocation unique de saint Molf. Cependant l'église primitive de Saint-Molf persiste sous le vocable de Saint Germain, comme chapelle accessoire du cimetière qui, suivant l'usage, était établi autour d'elle.

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

La haute justice du marquisat de Becdelièvre s'exerçait au bourg de Saint-Molf : là se trouvaient ses ceps et collier pour punir les malfaiteurs, son auditoire et sa prison.

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

  

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

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PATRIMOINE de SAINT-MOLF

l'église Saint-Molf (1850-1851). Cette église remplace une ancienne église déclarée insalubre en 1846. Le marquis de Becdelièvre avait toutes les prééminences dans l'ancienne église de Saint-Molf. La reconstruction est due à l'initiative de Léon Biré (1805-1880), curé de Saint-André-des-Eaux de 1834 à 1870. On y trouve une statue en bois de Saint Molf (moine irlandais, fondateur du couvent de Malmesbury). La peinture sur bois sculpté intitulée "Agonie" et qui représente le Christ au jardin des Oliviers, date du XVIIème siècle ;

Eglise de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

la chapelle Saint-Germain (1875-1880), édifiée en remplacement d'une ancienne chapelle dédiée à saint Germain. Il s'agit à l'origine d'une église entourée d'un cimetière. Ni l'église, ni le cimetière ne subsistent aujourd'hui. Le porche est celui de l'ancien édifice. Le retable date du XVII-XVIIIème siècle et provient de l'ancienne église. Le vitrail, qui représente saint Molf, date du XIXème siècle. On y voit une statue, en bois polychrome, de saint Corneille (patron des bêtes à cornes) ;

Chapelle Saint-Germain de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

la chapelle (XVIIIème siècle) de l'ancien manoir de Kerguenec ;

Chapelle du manoir de Kerguenec à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

la croix de Trébrézan (Moyen Age), restaurée en 1958 ;

Croix de Trébrézan à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

la croix (1852), située au Pont-Clin ;

l'ancienne maison seigneuriale (XV-XVIème siècle). Elle aurait été construite en 1411. On y trouve les armes de la famille Deno. L'édifice a servi de presbytère de 1550 à 1956 ;

Presbytère et ancienne maison seigneuriale à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

le manoir de Kerguenec (1730), édifié par la famille Le Chauff. A la suite du don du manoir de Mme Le Chauff à l'évêché, l'école ménagère de Guérande s'y installe en 1951 ;

Manoir de Kerguenec à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

Nota 1 : Né au château de la Berrangerais en Saint-Malo-de-Phily, le 8 septembre 1696, François Le Chauff, le créateur de la propriété, était venu s'établir à Guérande où résidait son frère Isaac. Son mariage avec Anne Cady de Praderoi, célébré à la Collégiale le 6 juin 1730, lui ouvrit les portes de l'aristocratie guérandaise et sa promotion en 1732 au grade de Major garde-côte de la Capitainerie, contribua à asseoir son autorité locale. La mort de son épouse survenue en 1738, l'ayant laissé veuf avec six enfants, il songea à abandonner la carrière militaire et fit l'acquisition de la " tenue aux Guenec ", bien roturier dépendant de la châtellenie de Quilifistre, ansi que la métairie voisine de Kerio. Sur cette tenue, il édifia un manoir, créa un parc, éleva une chapelle. Lorsqu'il décéda le 22 juin 1763, sa noblesse venait d'être confirmée par un certificat du duc d'Aiguillon. L'un de ses deux héritiers, François-Marie, allié à Catherine Mare d'Azincourt, fille de riches colons sucriers établis alors à Saint-Domingue, s'installa à Guérande, rue Bizienne, d'où il continua à surveiller la gestion de ses biens afféageant, pour les défricher, de nombreuses landes incultes voisines de Kerguenec. Il acheva la construction du manoir en y ajoutant une aile aujourd'hui disparue et des communs ; dans ses trois métairies il pratiquait surtout l'élevage, plantant beaucoup d'arbres, s'intéressant aux affaires de sa paroisse dont il était marguillier, à celles aussi de sa province. Il était assidu aux sessions des Etats de Bretagne. Nous le voyons signant la pétition qui réclame l'élargissement des douze délégués de la noblesse incarcérés à Paris sur les ordres du roi. Le 14 novembre 1789, il était nommé par ses concitoyens, maire de Guérande. Ses difficultés commencèrent avec la création du district et la confiscation des biens du clergé et il dut abandonner sa charge. En 1792, il cherchait refuge à Nantes. Compromis par une correspondance avec Amsterdam, découverte sur le cadavre de son gendre, F. de Derval, tué à Stenay, dans les rangs de l'armée de Condé, il dut se cacher. Découvert et emprisonné au Bouffay, il réussit à s'enfuir. Le 17 mai 1805, les Le Chauff reprenaient possession de leurs biens à Kerguenec et à Guérande, un moment confisqués, tandis que son fils François continuait à combattre dans les rangs des chouans jusqu'en 1802. Ayant pris la suite de son père après sa mort en 1809, l'ancien émigré demeura à Kerguenec sous la surveillance de la police impériale jusqu'en 1815. Sous la Restauration, il fut installé maire de Saint-Molff, charge qu'il abandonna en 1830 ; quatre Le Chauff se succédèrent à la municipalité tout au long du XIXème siècle. A cette époque, Saint-Molff comptait 207 fermiers et métayers, 60 familles de paludiers, 11 marins, 2 meuniers, 4 charpentiers et quelques commerçants. Les Le Chauff soutiennent le curé Biré, très populaire et se vouent aux oeuvres scolaires et hospitalières, secourant et enseignant une population pauvre et volontiers frondeuse. La Séparation de l'Eglise et de l'Etat vint compromettre les relations entre la cure et l'école. Les religieuses de Saint-Gildas ne tardèrent pas a y remplacer celles du Sacré-Coeur d'Issoudun. C'est à elles que la veuve du dernier des Le Chauff, ancien officier, légua la propriété de Kerguenec où elles demeurent encore en 1978 (Association bretonne - 1978).

Manoir de Kerguenec à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

le manoir de Quifistre ou Quilfistre (XIXème siècle), édifié par la famille Dion à l'emplacement d'un ancien château. Seules subsistent les innombrables coquilles d'huîtres fossilisées au pied du château de Quifistre auquel elles ont donné son nom : " Quitistre " veut dire " banc d'huîtres " en breton. Quifistre (ou Quilfistre) faisait jadis partie de la baronnie de La Roche-Bernard. Il conserve sa chapelle privée et son moulin (le Kerhue). On prétend qu'un souterrain aurait relié jadis le manoir de Faugaret (à Assérac) au château de Quifistre ;

Manoir de Quifistre ou Quilfistre à Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

Nota 2 : Le 10 juin 1400, décéda Olivier de Quilfistre, seigneur dudit lieu ; son fils Jean de Quilfistre lui succéda. Mais la seigneurie passa bientôt aux mains de Riou de Rosmadec, sire dudit lieu, qui mourut en 1480, laissant une veuve Jeanne du Juch et un fils nommé comme lui Riou de Rosmadec qui décéda lui-même le 24 mai 1496 (Archives de Loire Inférieure, Saint-Molf).
Marie de Rosmadec, en épousant Jean de Malestroit, seigneur de Pontcallec, lui apporta la seigneurie de Quilfistre ; elle mourut en 1508. L'année suivante Jean de Malestroit, son fils, fournit au roi le minu de cette châtellenie. Mais Quilfistre revint aux Rosmadec car en 1570 Marc de Rosmadec, sire de Pontcroix, et Jeanne de Montbourcher sa femme firent hommage au roi pour cette terre. Mme de Rosmadec étant morte en 1580 eut pour héritier Jean Papin, seigneur de la Thévinière en Anjou, descendant de René Papin mari d'Anne de Malestroit. Jean Papin rendit aveu au roi pour Quilfistre en 1581 et lui prêta hommage trois ans plus tard ; mais en 1624 il vendit cette châtellenie à Prégent de Kermeno, gouverneur de Guérande. Vint ensuite Pierre de Kermeno seigneur de Quilfistre en 1640 et décédé le 9 mai 1656. Le frère et héritier de ce dernier Guillaume de Kermeno vendit à son tour la châtellenie de Quilfistre, le 4 novembre 1672, à. Hilarion de Sesmaisons, seigneur de Trévaly. Celui-ci rendit aveu en 1680 et 1702 pour cette seigneurie qui échut après lui à sa parente Mme de Becdelièvre.

3 moulins dont le Petit Moulin, le Grand-Moulin et Bolas. Le moulin Marchand (XVIIIème siècle) est situé à Gouer ;

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

A signaler aussi :

la fontaine Saint-Venant, située à Brohogand ;

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

  

Ville de Saint-Molf (anciennement en Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de SAINT-MOLF

Le marquisat de Becdelièvre fut érigé en 1717 et composé de trois principales terres seigneuriales : Tréambert, Quilfistre et Quindéniac. Il nous faut donc tout d'abord parler de ces trois seigneuries.

Tréambert, érigé en châtellenie en 1643, est en la paroisse de Saint-Molf et relevait de la baronnie de Campzillon. C'était au XVème siècle la propriété de la famille de Muzillac à laquelle appartenait Thomasse de Muzillac mariée en 1450 à Jean de Sesmaisons, seigneur dudit lieu. Mais cette dame n'apporta pas Tréambert à son mari ; ce fut au siècle suivant que Jeanne de Muzillac laissa à ses neveux Christophe et Jacques de Sesmaisons la terre de Tréambert. Ce Jacques de Sesmaisons, devenu après son frère aîné seigneur de Tréambert, fit hommage au roi en 1553 de ce qu'il possédait sous son domaine de Guérande (Archives Loire Inférieure, B1008). Il avait épousé Anne Eder de Beaumanoir dont il eut Christophe et François de Sesmaisons successivement après lui seigneurs de Tréambert. Ce dernier fit hommage en 1577 et son fils autre François de Sesmaisons lui succéda. Celui-ci avait épousé en 1616 Renée de Kermeno ; au mois de juin 1643 il obtint du Roi des lettres érigeant Tréambert en châtellenie ; mais ces lettres ne furent enregistrées au Parlement de Bretagne qu'en 1659 à la prière de son fils René de Sesmaisons devenu seigneur de Tréambert (Archives du Parlement de Bretagne, 22e reg. 58). Du mariage de ce dernier avec Françoise Juchault naquit une fille, Renée de Sesmaisons, qui épousa en 1677 Jean- Baptiste de Becdelièvre, seigneur de la Busnelaye. Celui-ci eût ainsi la seigneurie de Tréambert et son fils Guillaume-Jean fut le premier marquis de Becdelièvre.

Quilfistre, châtellenie d'ancienneté, sise comme Tréambert en la paroisse de Saint-Molf, était une juveignerie de la Roche-Bernard. Elle appartint longtemps à la famille de Quilfistre portant d'argent à trois fasces d'azur. Le 10 juin 1400 décéda Olivier de Quilfistre, seigneur dudit lieu ; son fils Jean de Quilfistre lui succéda. Mais la seigneurie passa bientôt aux mains de Riou de Rosmadec, sire dudit lieu, qui mourut en 1480, laissant une veuve Jeanne du Juch et un fils nommé comme lui Riou de Rosmadec qui décéda lui-même le 24 mai 1496 (Archives de Loire Inférieure, Saint-Molf).
Marie de Rosmadec, en épousant Jean de Malestroit, seigneur de Pontcallec, lui apporta la seigneurie de Quilfistre ; elle mourut en 1508. L'année suivante Jean de Malestroit, son fils, fournit au roi le minu de cette châtellenie. Mais Quilfistre revint aux Rosmadec car en 1570 Marc de Rosmadec, sire de Pontcroix, et Jeanne de Montbourcher sa femme firent hommage au roi pour cette terre. Mme de Rosmadec étant morte en 1580 eut pour héritier Jean Papin, seigneur de la Thévinière en Anjou, descendant de René Papin mari d'Anne de Malestroit. Jean Papin rendit aveu au roi pour Quilfistre en 1581 et lui prêta hommage trois ans plus tard ; mais en 1624 il vendit cette châtellenie à Prégent de Kermeno, gouverneur de Guérande. Vint ensuite Pierre de Kermeno seigneur de Quilfistre en 1640 et décédé le 9 mai 1656. Le frère et héritier de ce dernier Guillaume de Kermeno vendit à son tour la châtellenie de Quilfistre, le 4 novembre 1672, à. Hilarion de Sesmaisons, seigneur de Trévaly. Celui-ci rendit aveu en 1680 et 1702 pour cette seigneurie qui échut après lui à sa parente Mme de Becdelièvre.

Quant à Quindéniac en Assérac, troisième membre du marquisat de Becdelièvre, c'était encore une juveignerie de la Roche-Bernard. Cette seigneurie appartenait en 1412 à Riou de Rosmadec et en 1460 à son fils portant le même nom : elle suivit ensuite la fortune de Quilfistre et fut achetée avec cette dernière terre par Hilarion de Sesmaisons. Guillaume-Jean premier marquis de Becdelièvre était premier président à la Chambre des comptes de Bretagne. Il avait épousé en 1705 Françoise Le Nobletz et il mourut en 1733, à son château de Tréambert, âgé de quarante-sept ans. Son fils Hilarion-François, marquis de Becdelièvre, également premier président à la Chambre des comptes — comme le fut plus tard son propre fils — s'unit en 1740 à Marie-Anne d'Anviray, dont il eut Hilarion-Anne marquis de Becdelièvre après lui ; ce dernier épousa en 1773 Marie-Emilie de Coutance et mourut à Nantes en 1792.

Les lettres patentes du roi érigeant le marquisat de Becdelièvre sont datées de février 1717 ; mais elles ne furent enregistrées au parlement de Bretagne qu'en 1730 (Archives du Parlement de Bretagne, 36e reg. 67). Ces lettres, conçues dans les termes les plus honorables pour la famille de Becdelièvre, unissent les trois seigneuries de Tréambert, Quilfistre et Quindéniac et plusieurs autres terres nobles moins importantes telles que le Pordo, la Noë-Blanche, Crémeur-en-Saint-Molf, Villejeune, Keredin et le Pinier, et forment du tout une seule juridiction sous le nom de marquisat de Becdelièvre « attendu qu'il ne se trouve aucune terre de ce nom ». Ceci n'était pas étonnant puisque le nom de Becdelièvre était un sobriquet donné très anciennement à l'auteur de la noble famille qui le porte.

La haute justice du marquisat de Becdelièvre s'exerçait au bourg de Saint-Molf : là se trouvaient ses ceps et collier pour punir les malfaiteurs, son auditoire et sa prison. Cette juridiction s'étendait dans une demi-douzaine de paroisses : Saint-Molf, Mesquer, Piriac-sur-Mer, Saint-Lyphard, Guérande et Assérac. Parmi les devoirs féodaux lui appartenant remarquons « un gant senestral, une livre de cannelle, une once de safran, une demi-livre de gingembre blanc, une livre de prisure et une paire de sonnettes d'oiseau » (Aveu de Tréambert en 1662).

Le Marquis de Becdelièvre avait toutes les prééminences dans l'église de Saint-Molf. En ce même bourg, il tenait quatre foires par an : aux deux fêtes de Saint-Germain, à la Saint-Molf et à la Saint-Jacques ; une cinquième foire lui appartenait le jour de Sainte-Magdeleine près de la chapelle de ce nom au village de Brécar. De plus il levait la moitié des coutumes de la foire de Saint-Lyphard et avait droit de prendre un pot de terre sur chaque charretée amenée par les potiers et mise en vente par eux sur la chaussée de Brécar.

Quant au domaine proche de Becdelièvre c'était : le manoir ou château de Tréambert avec toutes ses dépendances, — le « vieil et ancien chasteau de Quilfistre tout ruisné, avec de vieux fossez couverts de halliers » (Aveu de Quilfistre en 1692), — les anciens manoirs du Petit-Quilfistre, de Couëdic et de Quindéniac, — plusieurs métairies, — trois moulins à vent, — des clos de vignes et quelques salines, — enfin une partie des dîmes des paroisses de Saint-Molf, Saint-Lyphard et Piriac (abbé Guillotin de Corson).

Cramezel (originaire d'Angleterre), sr. de la Ville-Brenoguen, en Saint-André-des-Eaux, — de la Salle-Branguen et de Kerhué, en Saint-Molf, — de la Touche, en Guérande, — de la Haye, — du Minihy, — de la Bernardière, en Saint-Dolay, — de Kergérault. Extraction. — Arrêts du Parlement de 1741 et 1745. — Neuf générations. Blason : D'azur (alias : de gueules) à 3 dauphins d'argent. Devise : Fidelis patrioe. Jean Cramezel épouse, vers 1470, Jeanne Bouchard, de la maison de Kerbouchard, en Saint-Guénolé de Batz. — Jean, petit-fils du précédent, gendarme à la bataille de Dreux, en 1562, épouse : 1° Jeanne de Kerpoisson ; 2° Jeanne de Keralan (J. Kersauson).

(à compléter)

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