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On appelle kénanais ce qui se rapporte à cette commune (J O, 24 août 1977).
La parrochia de Sancto Ke, Trecorensis diocesis, est citée dans le procès de canonisation de saint Yves [Note : Il y avait une autre paroisse du nom de Saint-Quay (Saint-Quay-Portrieux) au diocèse de Dol, tandis que Saint-Quay (-Perros) appartenait, comme on l'a vu, au diocèse de Tréguier]. On trouve cette paroisse appelée Saint-Qué dès 1426 (Arch. de la Loire-Atl., B 2980) et Sainct Quay dès 1596 (Arch. des C-du-N, G év. de Tréguier, rôle des décimes), enfin Saint-Quay au XVIIIème siècle. Cette paroisse a élu sa première municipalité au début de 1790, donnant ainsi naissance à la commune actuelle, qui a pris officiellement le nom de Saint-Quay-Perros (pour être distinguée de Saint-Quay-Portrieux) par le décret du 28 décembre 1921 authentifiant le dénombrement [Note : Le nom de Saint-Quay-Perros apparaît déjà, comme nom postal, dans le Dictionaire des postes de l’Empire de 1860].
Les principaux édifices anciens de Saint-Quay-Perros sont les suivants :
1) l'église Saint-Quay (1672), inscrite avec le cimetière sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 18 juin 1946 ;
2) le presbytère inscrit le même jour ;
3) la chapelle Saint-Méen (peu avant 1538). Près de cette chapelle, il y a des restes de voie romaine ;
4) le château de Keringant (XVIème-déb. XVIIème s.) ;
5) le manoir de Keregat (1629-fin XVIIIème s.) avec une tourelle de 1625 ;
6) le moulin de Bouscao (1778) et sa grange (XVIIème s.) ;
7) le moulin de Goazabas (1758) ;
8) le presbytère de Saint-Méen à Ar-Vénec-(mais la ferme de ce nom est en Louannec) ;
9) la sépulture mégalithique de Crech-Quille ;
10) le puits de Kerliviec ;
11) les fermes de Crech-Hervé (1725-1775), Run-ar-Marec (crèches XVIIème s.), Roudoualen (v. 1662), Crech-Quille (un bâtiment de 1640) et Roudouanton (un bâtiment de 1642).
Quelques événements ayant rapport avec le territoire de cette commune méritent d'être évoqués ici :
1) l'ordonnance du 29 juin 1841 érigea Saint-Quay-Perros en paroisse succursale de la cure de Perros-Guirec ;
2) le 19 novembre 1880, la foudre détruisit le campanile de l'église, qui fut reconstruit en 1882.
(Bulletin d'informations des maires).
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