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SAINT-VINCENT-DES-LANDES |
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La commune
de Saint-Vincent-des-Landes ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de SAINT-VINCENT-DES-LANDES
Saint-Vincent-des-Landes vient, semble-t-il, du nom du fondateur de la première chapelle du village.
L'histoire connue nous dit que la paroisse existait au XIIIème siècle. Une légende stipule qu'un certain Therron aurait construit une chaumière vers 1300 sur le chemin appelé le Blé-Ayes. C'est cette maison qui serait à l'origine du bourg.
La maison seigneuriale de Saint-Vincent-des-Landes était le Val de Catarel, situé à trois kilomètres et demi au Nord-ouest, sur la commune de Louisfert (ou territoire de Louisfer à Carathel). La commune comptait trois autres maisons nobles : Créneux, la Treffiache (dont les douves subsistent encore) et la Sinerais, ancien manoir de XVIème.
Ogée affirme qu'en 1594 "l'église fut polluée par les calvinistes et que, l'évêque de Nantes n'étant pas sur les lieux, il fallut attendre, pour qu'elle soit réconciliée, un indult de Rome".
On rencontre les appellations suivantes : "Sanctus Vincentius" dans le Pouillé (en 1287) et "Sanctus Vincensius de Landis" (au XIVème siècle).
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PATRIMOINE de SAINT-VINCENT-DES-LANDES
l'église
Saint-Vincent (XIXème siècle), ouverte au culte en décembre 1876. Cette
église remplace un ancien sanctuaire trop vétuste du XVème siècle et qui
possédait plusieurs chapelles seigneuriales : Saint Vincent, Notre-Dame de
la Pitié, Notre-Dame du Rosaire. Le tableau de Crucifixion date du XVIIème
siècle. Les vitraux, qui représentent le martyre de saint Vincent, datent
du XIXème siècle ;
la
chapelle Sainte-Madeleine (fin XVème siècle –XIXème siècle). Cette
chapelle est restaurée à la fin du XIXème siècle. Le chœur date du XIXème
siècle. On y trouve sainte Madeleine, sainte Germaine et saint Mainboeuf ;
l'ancienne
chapelle de Seule (ou Seul) encore surnommée Sainte Marie-à-Seul, fondée
par Guillaume Davy et dédiée à Notre-Dame de Pitié. Cette chapelle est
édifiée en 1415, puis restaurée en 1639 par l'abbé Guillaume Davy (bénie
à nouveau le 25 mars 1639) avant de disparaître ;
le
calvaire (1875), élevé par Michel Blais ;
le
manoir (XV-XVIème siècle), situé à La Mouesserie. Propriété de Jean
Nicolas Méaule en 1793 ;
la
Grange (XV-XVIIème siècle), située à La Griolais. Propriété de la
famille Le Grand fondatrice d'une chapelle dans l'ancienne église paroissiale.
En 1728, sont mentionnés Estienne Le Grand, sieur de la Griolais ou
Griolaye, et son épouse Magdelaine Gabrielle Pélagie Larrey. Cette famille était
aussi propriétaire du manoir de Creneux, aujourd'hui disparu ;
la
Pietà (1958), œuvre du sculpteur Fréour, érigée par Mlle A. M. Roiné.
Elle est dédiée à Notre-Dame des Sept-Douleurs et bénie par l'abbé
Vinet le 15 août 1958 ;
le
moulin
des Tertres (XXème siècle) ;
A signaler aussi :
la
découverte de haches en pierre polie, de menhirs et de monnaies de l'époque
celtique et romaine ;
ANCIENNE NOBLESSE de SAINT-VINCENT-DES-LANDES
(à compléter)
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