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Bienvenue chez les Saint-Yviens

SAINT-YVI

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La commune de Saint-Yvi (pucenoire.gif (870 octets) Sand-Ivi) fait partie du canton de Rosporden. Saint-Yvi dépend de l'arrondissement de Quimper, du département du Finistère (Bretagne). 

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de SAINT-YVI

Saint-Yvi vient de saint Ivi (ou saint Divy, fils de sainte Nonne), moine breton.

Selon la tradition, la paroisse de Saint-Yvi serait fondée à l’emplacement où est enterré saint Yvi. Saint-Yvi, trève de la paroisse de Elliant, est érigé en commune en 1790. En 1792, Saint-Yvi absorbe la commune de Locmaria-an-Hent (avec sa chapelle Notre-Dame de la Route), qui est elle aussi une ancienne trève de la paroisse de Elliant.

Ville de Saint-Yvi (Bretagne).

Le nom de Loc-Maria-an-Hent, (du chemin), lui vient du fait que la paroisse est située sur le bord du chemin de l'antique pèlerinage de Tro-Breiz, tour de Bretagne suivi par les fidèles pour vénérer les sept Saints fondateurs des sept évêchés de Bretagne : saint Patern, à Vannes ; saint Corentin, à Quimper ; saint Pol-Aurélien, à Castel-Pol ou Saint-Pol-de-Léon ; saint Tugdual, à Tréguier ; saint Brieuc, à Saint-Brieuc ; saint Malo à Aleth ou à Saint-Malo ; saint Samson à Dol. Loc-Maria-an-Hent est la seconde station ou le second jalon sur la route allant de Quimper à Vannes, vieille voie romaine employée au moyen-âge, et dont certains tronçons sont utilisés encore de nos jours. Le premier jalon ou relais est à l'hôpital et chapelle de Sainte-Anne de Guélen, en Ergué-Armel, au bord de la route de Rosporden, à six kilomètres de Quimper ; le second relais, Loc-Maria-an-Hent, à dix kilomètres plus loin ; puis la Trinité de Melgven ; plus loin, Saint-Maurice du Moustoir, en Kernével, etc.

Ville de Saint-Yvi (Bretagne).

On rencontre l'appellation Sainct Yvy en 1535.

Ville de Saint-Yvi (Bretagne).

Note 1 : Pendant la tourmente, parmi les prêtres demeurés dans le pays, nous voyons l'ancien curé, Guillaume Le Guellec, né au village de Pellé, en Guilers, ci-devant trêve de Mahalon, le 8 janvier 1744, et ordonné vers 1760. Après être resté caché durant 4 ans, il se vit, le 2 juin 1792, l'objet d'un ordre d'arrestation. D'abord détenu au Château de Brest, il fut déporté en Espagne, à Mondonedo. Sur les 33 prêtres qui y étaient réfugiés, presque tous de Cornouaille et de Léon, 16 logeaient dans des couvents, 6 chez des particuliers, et 11 dans les auberges désignées par la confiance de l'évêque du lieu. Le Guellec habitait chez les dames Françoise et Marie Prieto. Nous retrouvons Le Guellec desservant Saint-Yvi, en 1804. Le 14 février de cette année, (24 Pluviôse an XII), il informe les Vicaires Généraux que la chapelle de Locmaria-an-Hent n'a pas été aliénée, qu'elle est disponible, et serait nécessaire pour faire les catéchismes, procurer aux malades les secours spirituels, et entretenir la piété des fidèles. Lui-même est en pension chez le maire, dans la grande auberge, entre Quimper et Rosporden. « Ce devrait être, dit-il, la seule dans la, succursale de Saint-Yvi, mais on se moque des arrêtés même préfectoraux, et il y a 5 autres auberges, ruine des familles, tombeau de l'innocence, et foyers de toutes sortes de péchés ». Nommé vicaire à Elliant, Le Guellec refusa en 1807 le poste qu'on lui offrait à Saint-Mathieu de Quimper, se disant incapable « d'en imposer aux prétendus esprits forts, aux libertins, aux rienistes (?) qui, malheureusement, ne sont pas rares ». Dès 1805 ou au début de 1806, A. Le Floch, nommé desservant de Saint-Yvi, écrit pour se plaindre du peu de docilité des habitants de Locmaria. Ils viennent bien à la messe et au sermon depuis le Carême, mais ils n'attendent pas les vêpres. Ledit recteur voudrait bien rentrer en possession de tous les effets appartenant à l'église de Locmaria, mais ses démarches restent sans succès. Bien qu'il ait fait nommer comme fabriciens, l'un pour Saint-Yvi, l'autre pour Locmaria, deux membres des familles L. et Le B., et malgré la lettre que Mgr. lui-même a écrite, ces familles ne veulent rien rendre des objets qu'elles détiennent, dans l'espoir qu'on rétablira la paroisse de Loc-Maria, et vont même jusqu'à décider les sectionnaires de cette trêve à enterrer leurs morts, sans aucune autorisation, dans l'ancien cimetière. Le même A. Le Floch demande à l'Evêché, en 1808, la permission de suivre l'ancien catéchisme, se déclarant tout désemparé par le nouveau ; puis « de transférer à la chapelle de Locmaria les images des Sept-Saints et de leur mère, sainte Félicité, peinte sur une planche, et de les y porter en procession le dimanche dans l'octave de l'Ascension, qui est le jour du grand pardon de cette chapelle de Loc-Maria. Cette procession pourrait faire revivre la grande dévotion qu'on avait autrefois pour ces bienheureux saints ». Vers 1923, la messe est célébrée à Locmaria-an-Hent, trois fois par an : le dimanche après l'Ascension ; le 3ème de juillet, et le dernier de l'Avent (Archives du diocèse de Quimper et de Léon).

Note 2 : Le 27 février 1069, Hoël, fils d'Alain Cagnard, fondateur de Sainte-Croix de Quimperlé, continuateur des largesses de son père, fit don au prieuré de Tref Karantuc et Tref Ridiern. Un factum des Pères Jésuites, possesseurs de Logamand, expliquait en 1654, que Tref Ridiern n'est autre que la trêve Locmaria-an-Hent, qui portait d'abord ce nom, peut-être à cause du manoir de Treffidiern, appartenant au marquis de Mollac. En ladite trêve, il y avait justice patibulaire à 4 piliers posés près du manoir de Gorreker, en Locmaria. En 1107, le duc Alain Fergent donna aussi à Sainte-Croix, la montagne de Quilliathuc, plus tard Mur au Crann ou Quilligadec, dépendant en partie de Locmaria-an-Hent [Note : Voir D. Placide Le Duc. Histoire de l'Abbaye de Sainte-Croix, p. 141. — Léon Maître : Le Cartulaire de Sainte-Croix de Quimperlé, p. 153]. Locmaria-an-Hent, étape des pèlerins qui faisaient le Tro-Breiz, dut acquérir par là une certaine importance. Trévédy, étudiant les rentiers du prieuré de Loc-Amand, à déduit de certaines indications que le pèlerinage des Sept-Saints était florissant en 1492, puisque la « neuvaine » des offrandes versées au tronc de la fontaine de Locmaria-an-Hent, méritait de figurer dans ces rentiers. Mais à la date de 1622, le pèlerinage avait déjà cessé. En 1660, on signale dans la maîtresse vitre, du côté de l'Evangile, un écusson portant : de gueules à un croissant d'argent, chargé d'une fleur de lys de même (anciennes armes de la seigneurie de Gourguennou). Les seigneurs de Toulgoët y avaient aussi des prééminences, tant en la grande vitre qu'ailleurs, avec droit d'escabeaux. Le 9 septembre 1714, eut lieu la bénédiction de la grande cloche appelée Marie-Rose, par ses parrain et marraine qui furent : Messire René Gouicquet, seigneur du Plessix-Bocozel, ci-devant premier chambellan de S. A. R. feu Monsieur, frère du Roi, et Demoiselle Marie-Rose-Thérèse de Tinténiac. Sept ans plus tard, le 28 décembre, Goulven Pervès, recteur d'Elliant, bénissait une autre cloche portant les noms de Françoise-Hyacinthe-Louise, et dont les parrain et marraine furent : Messire François-Hyacinthe de Cheffontaines, chevalier, seigneur de Bodigneau, Kergoët, Kermoruz, etc., et Demoiselle Françoise-Charlotte Gouicquet. En 1773, le curé relevant les offrandes pour les jours de pardon, porte 5 sols à Saint-Symphorien ; 2 livres à Saint-Jean en décembre ; 7 livres lors du grand pardon ; et pour chandelles : devant Saint-Jean, 3 livres ; devant Notre-Dame, 4 livres ; et 1 livre devant Sainte-Catherine et Sainte-Barbe. Le rôle des décimes, en octobre 1788, indique 8 livres 10 sols comme taxe de l'église. La Révolution se fit aussi sentir à Locmaria-an-Hent. En 1793, un délégué du club révolutionnaire de Concarneau enleva l'horloge qui était cependant des plus utiles aux habitants et qui fut placée dans l'ancienne église du Rosaire de Concarneau, où elle se trouvait encore en 1828, au moment où les paroissiens de Saint-Yvi s'avisèrent de la réclamer (Archives du diocèse de Quimper et de Léon).

Note 3 : Liste non exhaustive des Curés de Locmaria-an-Hent : - En 1597. Yves Pennec. - En 1608. Le Guiffant. - En 1608-1635. Le Gall ; puis intérim par Jean Le Guiffant. - En 1637-1644. Hervé Piriou. - En 1647-1655. Pierre Le Guillou. - En 1655-1650. Keraudreff. - En 1659. Laurent Dagorn. - En 1669-1677. Olivier Le Guyader. - En 1679-1681. Vincent Collin. - En 1681-1684. Guy Petibon. - En 1687-1690. René Le Moal. - En 1691-1695. Guy Kerdeost. - En 1607-1704. Paul Baudouyn. - En 1704. Jean Le Moal. - En 1704. Jean Pierre, mort en 1708. - En 1709. Jean Le Gouez. - En 1712. Jean-Louis du Plessix. - En 1716. Nicolas Le Roux. - En 1716-1719. Christophe Josse. - En 1720-1730. Ch.-F. Nicol. - En 1739-1750. Ch. Le Gloanec. - En 1750. H. Coquil, devient curé de Saint-Yvi. - En 1751-1752. Creoff. - En 1756. Pierre Duff. - En 1757. Le Du (ne serait-ce pas le précédent ?). - En 1758-1759. Mathieu de Vallon. - En 1763. A. Le Deuff. - En 1763-1772. F.-M. Balanec. - En 1773. Hamon. - En 1773-1779. Nicolas. - En 1783. Augustin Le Quéinnec. - En 1787. Le Guellec. - En 1788. Bolloré. - En 1790-1791. J.-G. Guiader. - En 1791. Le Guellec, vicaire délégué de Saint-Yvi (Archives du diocèse de Quimper et de Léon).

Ville de Saint-Yvi (Bretagne).

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PATRIMOINE de SAINT-YVI

l'église Notre-Dame ou Saint-Yvi (XVI-XVIIIème siècle). L'édifice comprend une nef de deux travées avec bas-côtés, un transept et un choeur. Le porche de style gothique date de 1602. La sacristie porte la date de 1672. Le clocher date de 1702 ou 1704. Le porche porte l'inscription "Lan Mill VI CZ". Le retable du Rosaire date du XVIIème siècle. L’ossuaire date du XVème siècle. L'église renferme une croix de procession, en argent, du XVIIème siècle (ornée d'une statuette de saint Symphorien et poinçon I. B., peut-être Joseph Bernard) et une autre croix de procession du XVIIIème siècle (oeuvre de Claude Apert). L'église abrite les statues de saint Yvi (en évêque), saint Michel (XVIIème siècle), Notre-Dame, saint Roch, saint Herbot, sainte Marguerite, la Vierge de Jessé, saint Antoine et un Crucifix entre la sainte Vierge et saint Jean ;

Eglise de Saint-Yvi (Bretagne).

la chapelle Notre-Dame-de-la-Route ou du Chemin (XVI-XVIIème siècle). Il s'agit, en fait, de l'ancienne chapelle de Loc-Maria-an-Hent qui se trouve sur la route du Tro-Breiz. L'édifice comprend une nef de deux travées avec bas-côtés, séparée par un arc diaphragme d'un choeur, également de deux travées avec bas-côtés. Le Haut clocher date du XVIIème siècle. Le clocher, encastré, porte à la base les armes de Tréanna et l'inscription "M. Guillourou (recteur d'Elliant de 1621 à 1654)". Le retable du maître autel date du XVIIème siècle : les quatre bas reliefs représentent : le baiser de Judas, Notre-Seigneur devant Pilate, la Flagellation et le Portement de Croix. Cette chapelle abrite les statues de Notre-Dame de Pitié, sainte Anne (en pierre), saint Jean Baptiste, saint Michel, saint Symphorien (soldat et martyr romain qui fut décapité à Autun vers l'an 179 de l'ère chrétienne), saint Diboan (dit saint Thybon), saint Isidore, saint Roch, sainte Catherine, sainte Barbe, saint Urlou, saint Fiacre, saint Sébastien, sainte Perpétue (et ses sept enfants) et de saint Gurloës (premier abbé de Sainte-Croix de Quimperlé) ;

Saint-Yvi (Bretagne) : chapelle Loc-Maria-an-Hent.

Nota : A l'intérieur nous trouvons une nef et deux bas-côtés, séparés par quatre travées. Au mur absidal sont trois autels, et trois autres autels en pierre sont adossés aux piliers ; il en existait un septième dont on trouve maintenant la table servant de dalle à l'entrée du sanctuaire. Au retable du maître-autel, orné de vingt colonnettes torses enguirlandées de vignes, on voit quatre bas-reliefs : le baiser de Judas, — Notre Seigneur devant Pilate, — la flagellation, — le portement de croix ; puis au tabernacle, les statuettes de Notre Seigneur, de saint Pierre et de saint Paul. Les statues en vénération sont : Notre-Dame ; saint Jean-Baptiste ; saint Diboan, en chape, crosse et mitre, — saint Isidore, laboureur, — saint Symphorien, soldat et martyr, portant sa tête dans ses mains ; — saint Sébastien, — Notre-Dame de Pitié, — saint Michel, foulant aux pieds un démon à trois têtes, qu'il tient enchaîné ; — saint Roch ; — saint Fiacre. (D'après un compte de 1773, sainte Catherine et sainte Barbe avaient aussi leur représentation, statue ou tableau, dans l'église). Sur l'autel du bas-côté Midi est un grossier bas-relief représentant sainte Félicité ou sainte Symphorose, avec leurs sept enfants martyrs. C'est par suite d'une profonde ignorance et d'une singulière confusion qu'on aura imposé à la vénération des pèlerins ces jeunes martyrs au lieu et place des sept saints évêques de Bretagne [Note : Voir aussi Trévédy : Les Sept-Saints de Bretagne et leur Pèlerinage, Saint-Brieuc, Prud'homme, 1898]. (Une pièce de l'Evêché indique pour l'église le vocable de Notre-Dame de la Clarté). A l'angle nord-ouest du cimetière est un joli ossuaire, de même dessin que celui du bourg paroissial de Saint-Yvi, composé de quatre arcades ogivales subtrilobées. Sur un piédestal circulaire monté sur quatre hauts degrés est une élégante croix de granit au dos de laquelle est posée une statue de la Vierge-Mère. A quelque distance du cimetière se trouve une fontaine vénérée qui porte toujours le nom de Fontaine des Sept Saints. Puis, un peu plus loin, est un groupe de maisons désigné sous le nom de Bourg-Neuf. Il était neuf il y a 300 ou 400 ans, car la plupart de ces habitations portent le cachet du XVIème siècle et forment un ensemble pittoresque. D'après des notes communiquées par M. le baron Villiers du Terrage, et dont nous le remercions bien vivement, à la base du clocher se voit un écusson avec armoiries portant la macle de Tréanna, et plus bas MIRE. GVILLOVROV (Recteur d'Elliant de 1621 à 1654). A gauche de la porte d'entrée M. JAFFREOV. Sur l'ossuaire à l'angle Q. : 1647. RE … M. I TANGVI. En suivant le chemin des Sept-Saints, vers Quimper, on trouve trois calvaires ou croix, aux carrefours de Kérmarbret, Corbudon et Toulgoat. Sur cette dernière, un écusson porte des têtes de sanglier, armes de la famille Salou qui a possédé longtemps le Toulgoat et s'est fondue vers la fin du XVIIème siècle, dans les Visdelou.

l'ancien ossuaire de l'église Saint-Yvi. Il comportait six arcades tréflées ;

Ossuaire et Calvaire de Saint-Yvi (Bretagne).

l’ossuaire du placitre Notre-Dame-de-la-Route (XVème siècle - 1647), restauré en 1647 ;

le calvaire (XVème siècle) situé sur le placitre de la chapelle Notre-Dame de la Route ;

le calvaire de Kermatret ou Kermartret (XVIème siècle), restauré en 1876 ;

le calvaire de l'église de Saint-Yvi (1514), restauré en 1901 ;

d'autres croix ou vestiges de croix : la croix de Kerréonnec (XVIème siècle), la croix provenant de Keriaval (XVème siècle) ;

le manoir de Toulgoat (1545), édifié par la famille Salou ;

l'ancienne fontaine de Locmaria-an-Hent, dite fontaine des sept saints ;

le four à pain (XIXème siècle) ;

A signaler aussi :

des tumuli, lech et chambres souterraines ;

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ANCIENNE NOBLESSE de SAINT-YVI

Famille SALOU de TOULGOAT (ou Toulgouët) d'ancienne extraction, archer en brigandine (côte de mailles) aux Montres (revue militaire des Nobles) de 1426 à 1562, évêché de Cornouaille, résidant au manoir de Toulgoat en Saint Yvi. Armes : " d'argent à trois hures de sanglier arrachées de sable " ;

Famille Le GOAZRE de KERVÉLÉGAN, dont Augustin (1748-1825) député de Quimper aux Etats de Bretagne, puis aux Etats Généraux en 1789 et à la Convention, décédé au manoir de Toulgoat. Armes : " D'argent à la croix pattée de sinophe, cantonnée de quatre molettes de sable " ;

Famille de SAINTIVY, dont Corentin, enseigne de vaisseau sur la Couronne, frégate de l'escadre du comte de Grasse en 1782 à la Guerre d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique, puis Intendant général à l'Ile Maurice de 1804 à 1810 (date a laquelle l'ex " Ile de France " devint une possession anglaise), dont une descendance subsistante. Armes : " d'azur à un chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles de meme et en pointe d'un trefle d'or " ;

 

Familles nobles :

- Gouicquet, sr. de Bocozel « D'argent à une croix pattée, mi-partie de gueules et d'azur, cantonnée de 4 macles de gueules » (G. Le B.). — Alias : D'azur à la croix engreslée d'argent cantonnée de 4 roses de même (Armor. de 1696).

- Salou, sieur du Toulgouët : D'argent à 3 hures de sanglier arrachées de sable.

- Tréanna, sr. dudit lieu : D'argent à la macle d'azur.

- Tinténiac, sr. de Tréanna : D'or à deux jumelles d'azur, au bâton de gueules brochant en bandes sur le tout, ou modernes : d'hermines au croissant de gueules.

- Gourguennou : De gueules à un croissant d'argent, chargé d'une fleur de lys de même.

(à compléter)

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