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Le nom-adjectif ethnique de cette commune est trédiasain. Dans le nom de Trédias, l's ne se prononce pas et l'a est fermé.
Une charte de l'abbaye de Boquen mentionne le moulin de Trédias (molendinum de Tredyas) en 1249, puis cette localité, s'écrivant aussi Trediar, apparaît comme paroisse dès le XVème siècle (chartes du prieuré de Trédias, n° 15 et 22). Cette paroisse, qui était un prieuré-cure de l'abbaye de Beaulieu, appartenait au diocèse de Saint-Malo. Elle a élu sa première municipalité au début de 1790.
Contiguë à Trédias, la paroisse de Sainte-Urielle, aussi prieuré-cure de l'abbaye de Beaulieu, était non moins ancienne (chartes du prieuré de Trédias, n° 15), mais elle appartenait au diocèse de Dol. Elle était cependant enclavée dans celui de Saint-Malo.
Sainte-Urielle ou Sainte-Eurielle a élu sa première municipalité au début de 1790, puis cette commune a été rattachée à celle de Trédias par ordonnance du 23 juin 1819. Elle n'avait plus de paroisse depuis la Révolution.
On peut citer comme monuments :
1) Le manoir du Bouays-Robert ou Bois-Robert, ancienne maison forte avec chapelle (XVème siècle) ;
2) Le manoir de la Baillie, avec tour d'angle (XVIème siècle) ;
3) La maison de la Marche (XVIIème siècle) ;
4) L'église, reconstruite en 1839 avec des matériaux de l'ancienne église et de celle de Sainte-Urielle, possède de nombreuses pierres tombales, une mesure dîmière servant de bénitier, une cuve baptismale du XVIème siècle. Un panneau commémoratif y énumère les soldats de la commune morts aux armées sous le premier Empire et les prêtres des deux paroisses morts victimes de la Révolution.
Un site intéressant est celui de l'étang de Rocherel avec ses trois moulins.
(Bulletin d'informations des maires).
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