|
Bienvenue chez les Trignacais |
TRIGNAC |
Retour page d'accueil Retour Canton de Montoir-de-Bretagne
La commune
de Trignac ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de TRIGNAC
Trignac vient du latin "triniacum", composé du suffixe "acum" (propriété) et d'un anthroponyme.
Vers la fin du XVIIIème siècle, Trignac n'est qu'un hameau entouré de marais. Ses habitants, installés près des îlots de Berre, Trembly, Hocquart ou Aine, pratiquent la chasse et la pêche, utilisent et vendent la tourbe et les roseaux. Vers la fin du XIXème siècle, Trignac dépend de la commune de Montoir-de-Bretagne, et ne compte que 319 habitants. Son histoire est donc étroitement liée à celle de Montoir-de-Bretagne. Le 31 mars 1914, Trignac est érigé en commune indépendante.
PATRIMOINE de TRIGNAC
l'église
Saint-Eloi (1955-1957), édifiée à partir de novembre 1955 et inauguré le 10
juin 1957. Cette église remplace l'ancienne église détruite par un
bombardement le 22 mars 1943. Une église provisoire en bois avait été édifiée
en 1946 pour accueillir les fidèles jusqu'en 1957. A signaler que le premier
curé de Trignac était l'abbé Mercier ;
les
anciennes Forges (1879-1932). En 1879, la société des Mines de Fer d'Anjou
décide de créer les Forges de Saint-Nazaire et l'implantation se fait à
Trignac. La production démarre en 1882 et l'usine emploie près de mille
ouvriers en février 1887. La mise en route du premier haut-fourneau a lieu
en 1880. En 1883, la production de fonte est de 44 900 tonnes et l'effectif
est de 1305 salariés. Suite à un dépôt de bilan en 1889, l'usine est
rachetée en 1890 par la Société des aciéries et hauts fourneaux
des Forges de Trignac. En 1900, la production de fonte est de 69 000 tonnes
et l'effectif est de 1500 salariés. Frappée par la crise de la construction navale en
1920, la société, qui dépose son bilan en 1926, est sauvée suite à son rachat par les "Forges et Aciéries de Nord
et de l'Est" (FANE) en 1926. Elle cesse son activité de production de
fonte en 1932 suite à l'arrêt des hauts-fourneaux. L'usine est fermée
définitivement le 23 mars 1943 ;
la
cité ouvrière "les Quarante" (1885), située rue de Quarante ;
A signaler aussi :
le
menhir de Pierre-Blanche, situé non loin du lieu-dit Aucard ;
ANCIENNE NOBLESSE de TRIGNAC
(à compléter)
© Copyright - Tous droits réservés.