|
Bienvenue chez les Bréalais |
BREAL-SOUS-VITRE |
Retour page d'accueil Retour Canton de Vitré
La commune
de Bréal-sous-Vitré ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de BREAL-SOUS-VITRE
Bréal-sous-Vitré est fondé au XIème siècle sur l'emplacement des landes et des bois qui cernent la forêt du Pertre.
Il s’agit au départ, d’une simple chapelle donnée par Guy II de Laval au début du XIème siècle à Renaud Papillon, qui en fait don à l'Abbaye Saint-Serge d'Angers : celle-ci établit sur le territoire de Bréal-sous-Vitré un prieuré.
En effet, Notre-Dame de Bréal existe comme chapelle vers l'an 1020. Elle est donnée aux religieux de l'abbaye de Saint-Serge d'Angers, et Marbode, évêque de Rennes, leur en confirme la possession en 1108. La fondation du prieuré de Bréal, au XIème siècle, amène vers le même temps l'érection de la paroisse de ce nom. Notre-Dame de Bréal, simple chapelle, « capella de Braello », se trouvant dans la forêt du Pertre, ne devait faire partie d'aucune paroisse. Mais lorsqu'elle eut été érigée en église priorale, elle ne dut pas tarder à devenir paroissiale, parce que les défrichements d'une partie de la forêt furent faits autour d'elle (Pouillé de Rennes).
La cure est unie au prieuré, et jusqu'en 1790 l'abbé de Saint-Serge présente à l'évêque de Rennes le prieur-recteur de Bréal, jouissant à cette dernière époque de 1 119 livres de revenu net (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine). La paroisse de Bréal-sous-Vitré dépendait jadis de l’ancien évêché de Rennes.
On rencontre les appellations suivantes : Capella de Braello (en 1090), ecclesia de Brallo (en 1108), Breallum (en 1516).
Note : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Bréal-sous-Vitré : Mathurin Patry (vers 1538), Georges Simon (1604-1628), Pierre Le Coq (en 1630), Guillaume Pilvèche (en 1631), Jean Sauvé (1634-1655), Antoine Havard (en 1656), François Pelé (en 1660), J. Loysel (1670-1679), Michel Le Bigot (1679-1719), Julien Ory (1719-1720, inhumé dans l'église sous le banc des prieurs), Denis Robin (1720-1754), Georges Roger (en 1753 et en 1791), Guillaume-Pierre Méhaignerie (1803-1815), Jean Blanchet (1815-1819), Jean Catherine (1819-1825), Jean-Marie Legourd (1825-1829), Joseph Texier (1829-1856), Jean-Marie Mouézy (1856-1881), Joseph Hattais (à partir de 1881), ....
Voir
"
Cahier
de doléances de Bréal-sous-Vitré en 1789
".
PATRIMOINE de BREAL-SOUS-VITRE
l'église
Notre-Dame-de-l'Assomption (XI-XVème siècle). Cet édifice a dû remplacer
la chapelle primitive de Notre-Dame ; il fut vraisemblablement la première
église paroissiale du lieu. C'est un des sanctuaires les plus intéressants
du diocèse, car il se présente encore presque tel qu'il fut construit au
XIème siècle. Vrai type de l'église romane primitive des campagnes,
Saint-Martin de Bréal se compose simplement d'une nef et d'une abside.
Quoique le mur méridional de la nef et une petite partie de l'abside aient
été remaniés postérieurement, le plan antique demeure complet. La porte
occidentale, avec son archivolte en plein cintre, est de la plus grande
simplicité, comme du reste tout l'édifice. Trois meurtrières s'ouvrent
dans le mur septentrional de la nef, demeuré intact. Un arc triomphal
termine cette nef et donne entrée dans l'abside, qu'éclairent trois autres
meurtrières. Un clocher en bois, insignifiant quoique ancien, s'élève
au-dessus de l'arc triomphal. Aujourd'hui qu'il ne nous reste plus d'édifices
du XIème siècle, il est bon de signaler ce curieux sanctuaire, qui peut-être,
hélas ! sera lui-même rasé lorsque paraîtront ces lignes. Le 26 mai
1777, on déposa solennellement dans cette église des reliques des martyrs
SS. Valens, Justin, Purpurat, Vénérand, Victorin et Théophile, apportées
de Rome : l'on en donna quelques fragments au recteur d'Erbrée et au curé
de Mondevert pour leurs églises, et au seigneur de Guerry pour sa chapelle
du Boisblin. Il y avait à Bréal quelques fondations faites en l'église,
telles que celles de Bellevue, valant en 1790 64 livres de rente, du Mottay,
de 65 livres, et des Prises, de 58 livres 10 sols : ces dernières
appartenaient à la fabrique, qui devait, entre autres choses, faire célébrer
matines la veille des cinq fêtes de la Sainte Vierge, à cause de la
chapellenie des Prises (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 V,
28) (Pouillé de Rennes). La fenêtre gothique et les fonts baptismaux datent du XVème siècle ;
l'ancien
prieuré Notre-Dame de Bréal-sous-Vitré. « Bréal, — dit M. de la
Borderie dans une intéressante notice que nous reproduisons ici (voir
Semaine Religieuse de Rennes, VII, 312 et 344), — ne fut d'abord qu'une
simple chapelle, bâtie vraisemblablement de 1020 à 1030 par Guy II, sire
de Laval, et donnée par lui, sans doute à titre de fief avec quelques
terres environnantes, à un certain Renaud, distingué des autres Renaud ses
voisins et ses contemporains par le joli surnom de Papillon. Ce Papillon était-il
prêtre ? était-il laïque ? On ne sait, mais nous pencherions pour le laïcisme.
Quoi qu'il fût, il se trouva vite embarrassé de sa chapelle, d'autant que
la tenant exclusivement de l'autorité civile, sa possession, au point de
vue religieux, était fort irrégulière. Dans cet embarras, il fit la
rencontre d'un moine appelé André, par les conseils duquel il vint à
Angers, où il se déchargea enfin de sa chapelle, en la donnant à l'abbaye
de Saint-Serge, donation presque aussitôt confirmée par Guy II, seigneur
de Laval, et par ses deux fils Jean et Hamon (Cartulaire de l'Abbaye de
Saint-Serge). Peu de temps après Papillon mourut, et sans que nous sachions
comment, son fief de Bréal passa à un gentilhomme de la baronnie de Vitré
appelé Renier de Taillie. Mais ce changement de main ne porta aucun préjudice
aux moines, Renier s'étant empressé de leur renouveler la donation de la
chapelle de Bréal, et cela du temps d'Hubert, qui fut abbé de Saint-Serge
de 1030 à 1040 environ. Après Renier, ses deux fils, Renaud et Méril de
Taillie, confirmèrent à leur tour la donation de leur père et eurent même
soin de la faire approuver d'abord par Jean et Hamon de Laval, qui avaient
succédé à Guy II, mort en 1067, puis par Guy III, fils et successeur d'Hamon,
en 1080, enfin par Robert Ier, qui possédait à la même époque la
baronnie de Vitré, et même par son fils André (nota : Bréal se trouvait
alors dans la forêt du Pertre, qui était un territoire neutre et de marche
commune, possédé en indivis par les sires de Laval et de Vitré). Encouragés
par tant de sympathies, les moines de Saint-Serge résolurent de rebâtir
plus solidement la chapelle (qui probablement n'était jusqu'alors
construite qu'en bois), et sans doute aussi d'élever auprès un logement
convenable pour le moine chargé de la desservir. Guy III, seigneur de
Laval, pour concourir à l'exécution de ce projet, leur donna près de la
chapelle un terrain considérable tenant trois charruées, c'est-à-dire au
moins 50 hectares (Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Serge - Dom Morice,
Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 476). Tout paraissait donc marcher à
souhait, quand tout à coup s'éleva un orage inattendu. Les moines de
Saint-Jouin de Marne, qui possédaient le prieuré du Pertre, s'avisèrent
de contester à Saint-Serge et de revendiquer énergiquement pour eux-mêmes
la chapelle de Bréal. L'histoire de ce procès ne nous a été transmise
que par les religieux de Saint-Serge, qui ne se sont pas fait faute de
noircir leurs adversaires ; et bien que ceux-ci fussent en effet dans leur
tort, encore devaient-ils avoir au moins un prétexte spécieux. Ce prétexte,
qui eût été un juste motif de revendication s'ils l'avaient fait valoir dès
le principe, était que l'église du Pertre possédée par eux, la première
bâtie dans la forêt et longtemps la seule, embrassait sous sa juridiction
la forêt entière, y compris les chapelles et oratoires qui avaient pu s'y
élever depuis, et ne devaient être considérés que comme des dépendances
de l'église-mère. Ce raisonnement eût été parfait si les moines du
Pertre avaient réclamé Bréal dès sa première donation à Saint-Serge ;
au bout de cinquante ans, c'était un peu tard, leur silence si prolongé était
un véritable acquiescement. Saint-Serge avait maintenant prescription et
droit acquis ; pour rompre ce droit il eût fallu établir la nullité de la
donation primitive. Les moines du Pertre l'essayèrent. Ils déterminèrent,
— comment ? à prix d'argent, disent leurs adversaires, — ils déterminèrent
Méril de Taillie et Juhel, fils de Godefroy, l'un de ses parents, à
protester contre la donation de Bréal à Saint-Serge ; manoeuvre d'autant
plus étrange que Méril, pour sa part, avait déjà ratifié deux fois
cette donation. N'importe, sitôt munis de cette protestation, ils la notifièrent
à l'évêque de Rennes, Sylvestre de la Guerche, et revendiquèrent pour
eux-mêmes la chapelle de Bréal, « capellam de Braello ». Pour
appuyer cette réclamation, ils firent venir du fond du Poitou Simon, abbé
de Saint-Jouin, espérant probablement, par son entremise, enlever l'affaire
de haute lutte, en l'absence de la partie adverse. Mais l'évêque de Rennes
savait son devoir : il manda près de lui Achard, abbé de Saint-Serge, peur
entendre sa réponse avant de rien décider. Alors l'abbé de Saint-Jouin
disparut, refusant, sous un prétexte futile, de comparaître avec sa partie
adverse devant la juridiction de l'évêque. On le dit même retourné à
son abbaye. Il n'en était rien ; retiré au Pertre, il cherchait un
tribunal plus favorable à ses prétentions. Il crut l'avoir trouvé dans
celui d'André Ier, baron de Vitré, et il y porta effectivement sa
revendication : procédé assez étrange de la part d'un homme d'église ;
car tout le débat roulant sur un bénéfice ecclésiastique devait être régulièrement
jugé en cour d'église. L'abbé de Saint-Serge, tout en faisant ses réserves,
ne crut pas devoir décliner la juridiction d'André de Vitré. Il s'y présenta,
et l'affaire y fut plaidée de part et d'autre, mais sans résultat, parce
que la cour du baron de Vitré n'étant pas garnie de juges en nombre
suffisant, ne put rendre de sentence et dut renvoyer la cause à un terme
subséquent. Cette fois, l'audience fut nombreuse et solennelle. D'un côté,
l'abbé de Saint-Serge assisté de Geoffroy, évêque d'Angers, et d'une députation
du clergé angevin ; de l'autre, les moines de Saint-Jouin avec leurs
patrons Méril de Taillie et Juhel, fils de Godefroy. Au fond, sur l'estrade
des juges, une foule imposante : outre les seigneurs, vassaux ou amis d'André
de Vitré, celui-ci avait eu le tact d'appeler pour juger cette cause d'église
bon nombre de clercs, présidés en quelque sorte par trois illustres prélats
: Jean, archevêque de Dol, de la maison de Combourg ; Sylvestre de la
Guerche, évêque de Rennes, et Gervais, abbé de Saint-Melaine. L'avocat
des moines du Pertre fut Juhel, fils de Godefroy, et l'on nous a conservé
le sommaire de son plaidoyer : « Le Pertre, dit-il d'abord, était dans
le principe une abbaye fondée par le roi Clovis en l'honneur de
Saint-Martin de Vertou ». Ce fut son premier argument ; mais, ajoute
l'antique récit de cet antique procès, cette assertion manquant de toute
preuve, soit testimoniale, soit par écrit, fut déclarée par les juges de
nulle valeur. Juhel reprit alors la parole et dit, d'accord avec ses
clients, « que l'abbaye du Pertre avait appartenu à ses ancêtres, et
que lui-même, en vertu de son droit héréditaire, il la donnait aux moines
de Saint-Jouin avec toutes les obédiences qui en relevaient, au nombre
desquelles était Bréal ». L'abbé de Saint-Serge répondit ; nous
n'avons pas sa réponse, mais on la devine ; puis le jugement fut rendu. Il
était enjoint à l'abbé Achard de fournir un homme prêt à soutenir, sous
la foi de l'épreuve judiciaire, que Saint-Serge possédait Bréal depuis
longues années, à la parfaite connaissance de Juhel et de Méril, sans
jamais avoir été jusqu'à ce jour troublée par eux dans sa possession.
Formulée par les évêques et l'abbé de Saint-Melaine, cette décision fut
adoptée par tous les clercs et seigneurs qui garnissaient la cour du baron.
Elle impliquait très clairement le bon droit de Saint-Serge, pourvu que l'épreuve
judiciaire (sans doute celle du fer chaud) tournât favorablement pour le
représentant de cette abbaye. Chose curieuse, les moines du Pertre et leurs
deux patrons se défièrent de leur bon droit, au point de ne pas vouloir
accepter les chances de cette épreuve. Par ce refus même ils perdirent
leur cause, et là-dessus l'audience fut levée. Peu de temps après, Méril
voulut reprendre l'affaire en son propre nom, et cita de nouveau l'abbé
Achard devant la cour du baron de Vitré ; mais ce tribunal, sans revenir à
la discussion du fond, déclara l'abbé de Saint-Serge dispensé de répondre
sur ce sujet à aucun de ceux qui avaient figuré, de façon ou d'autre,
dans la première instance. Alors Méril et Juhel se décidèrent à
confesser tous leurs torts, dont ils rejetèrent d'ailleurs le plus possible
la responsabilité sur les moines du Pertre, et non contents de proclamer le
bon droit de Saint-Serge, ils ratifièrent et renouvelèrent encore une fois
la donation jadis faite à cette abbaye de la chapelle de Bréal. Pour
reconnaître ce bon procédé, l'abbé Achard donna à Juhel une somme de 30
sols, et reçut moine à Saint-Serge un de ses hommes nommé David. Il fit
aussi présent à Méril d'un haubert estimé 40 sols, et celui-ci, pour
consacrer définitivement la donation de Bréal par une cérémonie
solennelle, déposa sur l'autel de Saint-Serge un couteau, symbole de
l'objet donné, et qu'il brisa de ses propres mains, marquant ainsi qu'il y
renonçait complètement (Dom Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I,
475-477). L'abbatiat d'Achard, qui gouverna l'abbaye de Saint-Serge de l'an
1082 au 27 mars 1093, indique suffisamment l'époque de ce curieux procès ;
et comme il est dit qu'avant ce procès les moines de Saint-Serge avaient
joui sans aucune difficulté de la donation de Renier de Taillie sous le
gouvernement de trois de leurs abbés, cela désigne évidemment les trois
prédécesseurs immédiats d'Achard, c'est-à-dire les abbés Dabert (1055-1082),
Vulgrin (1040-1055) et Hubert (1030-1040). Enfin, la donation primitive de
Renaud Papillon ayant encore précédé celle de Renier, cela reporte la
première de 1020 à 1030, époque où par conséquent existait déjà la
chapelle de Bréal » (M. de la Borderie, Semaine Religieuse, VII, 316).
Telles furent les origines du prieuré de Bréal. En 1108, Marbode, évêque
de Rennes, confirma les moines de Saint-Serge dans la possession de ce bénéfice
; l'abbé y devait entretenir deux religieux, d'après une histoire
manuscrite de Saint-Serge, et de nombreuses donations finirent par donner à
ce petit monastère une importance qui s'accuse encore au XVème siècle
dans les aveux rendus par les prieurs aux barons de Vitré (Dom Morice,
Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 516). Il parait que dès cette dernière
époque le prieuré de Bréal était uni à la cure de ce nom ; cet état de
choses dura jusqu'à la Révolution. Le prieur-recteur de Bréal était
seigneur spirituel et temporel de la paroisse, tout en dépendant de l'abbé
de Saint-Serge et du baron de Vitré ; il jouissait d'une moyenne et basse
justice et de plusieurs droits féodaux. En 1790, la Déclaration de
son bénéfice mentionne le presbytère et son jardin, — un pourpris de 30
journaux de terre, — un bois taillis de 4 journaux, — des dîmes
anciennes et novales — et un fief seigneurial : le tout estimé 1 639
livres de revenu. Mais sur cette somme le prieur-recteur devait payer une
rente de 14 livres 12 sols au baron de Vitré, et une autre de 9 livres 12
sols à l'abbé de Saint-Serge ; il devait aussi entretenir le chanceau de
l'église et le presbytère, acquitter 85 livres 13 sols de décimes et
donner 350 livres de pension à son vicaire ; il ne lui restait, par suite,
qu'environ 1 119 livres de revenu net (Archives départementales
d'Ille-et-Vilaine, 1 V, 28) (Pouillé de Rennes) ;
la
maison (XVIème siècle), située au n° 6 rue de Bretagne ;
un moulin
à eau ;
A signaler aussi :
l'ancien
manoir de Languenoë ;
l'ancien
manoir de la Roche ;
l'ancien
manoir de la Verrie ;
l'ancien
manoir de la Rivière ;
l'ancien
manoir du Bois-Briand. Propriété de la famille Geslin, seigneurs des Hayes
en 1513 et 1553, puis de la famille Tricot en 1646 ;
l'ancien
manoir des Hayes ;
l'ancienne
chapelle Saint-Jérôme du Boisblin. Le Boisblin était à l'origine dans la
paroisse d'Erbrée. En 1686, Julien de la Corbinaye, seigneur du Boisblin,
obtint de l'ordinaire son annexion à la paroisse de Bréal-sous-Vitré. De
nos jours, le Boisblin a été rendu à Erbrée. La chapelle fut construite,
près du manoir de ce nom, par Claude-Jérôme de Guerry, seigneur du
Boisblin, et Catherine du Guiny, sa femme. Elle fut bénite le 12 janvier 1771 ;
ANCIENNE NOBLESSE de BREAL-SOUS-VITRE
A la montre de 1541 des feudataires de l'évêché de Rennes il n'est mentionnée aucune personne de "Bréal près Vitré".
(à compléter)
© Copyright - Tous droits réservés.