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BRELIDY

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La commune de Brélidy (pucenoire.gif (96 octets) Brelidi) fait partie du canton de Pontrieux. Brélidy dépend de l'arrondissement de Guingamp, du département des Côtes d'Armor (Trégor / Goëlo - Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de BRELIDY

Brélidy vient du breton « bre » (colline) et « lidy », nom demeurant obscur.

Brélidy est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Plouec. La paroisse de Brélidy est attestée dès le XIVème siècle. Le village de Kerhadic anciennement en Coatascorn est annexé à Brélidy le 11 juin 1847.

L'existence du bourg de Brélidy est semble-t-il liée à celle de la motte féodale (château ruiné au XIVème siècle) sur laquelle était jadis bâtie la chapelle du Sacré-Coeur. La terre de Brélidy est donnée en 1342 par Charles de Blois à Ayton Daire (ou Doire) pour ses "bons et agréables services....", avant de devenir par alliance la propriété de Guillaume de Rostrenen (via la famille de Lezversaut).

L'ancienne paroisse de Brélidy dépendait jadis de l'évêché de Tréguier, de la subdélégation de Pontrieux et du ressort de Morlaix. La cure était à l'ordinaire. Durant la Révolution, la paroisse de Brélidy dépendait du doyenné de Pontrieux. Il existait à Brélidy avant la révolution, une juridiction. Elle se tenait dans la châtellenie de Locmaria. C'était un manoir assez important, une branche des Duparc y habita et prit même le nom de Du-Parc de Locmaria. Cette demeure a disparu de nos jours, elle se situait dans le secteur sud de Croas-Navalen. En 1792, il y avait à Brélidy 758 habitants.

On rencontre les appellations suivantes : Breledy (vers 1330), Brellidy (en 1342), Breulloudy (à la fin du XIVème siècle), Brelidy (en 1414), Breledi (en 1461), Breledy (en 1464), Brelidy (en 1481), Brellidy (en 1486), Breledy (en 1581).

Vue de la ville de Brélidy (Bretagne).

Voir aussi   Ville de Brélidy (Bretagne) "Le cahier de doléances de Brélidy en 1789"

Note 1 : la commune de Brélidy est formée des villages : Ty-ar-Boniec, Pen-an-Barrière, Traou-Richard, Croas-Ru, Traou-Brélidy, Kerbars, Kerjacob, Kernevez, Kerguen, Kerveziou, Kerbiguet, Keronal, Kergroas, le Goas-Vihan, Kervat-Gouëno, Saint-Tugdual, Levergot, le Launay, Keravel, la Chavraie, Deruen, etc... Le 11 juin 1847, Louis-Philippe, roi des français, ordonne ce qui suit : « Le hameau de KERFIALLIC est rattaché à la commune de Brélidy et - distrait - de la commune de Coatascaorn ». En conséquence la limite entre Brélidy et Coatascorn est fixée par la rivière dite le Jaudy.

Note 2 : Liste non exhaustive des maires de BRELIDY : - Louis le Goas (1804-1813). - Julien Cariou (1813-1834). - Jean-Marie Cariou (1834-1865). - Jean Jacques le Dû (1865-1892). - Baptiste Bouget (1892-1911). - Eugène Cozic (1912-1918). - Jean-Louis Rouget (1918-1924). - Auguste Bouget (1924-1928). - Eugène Bouget (1928-1959). - François le Dû (1959-1971). - Jean Bouget (1971-1991). - Henri Bouget (1991-1995). - Pierre-Yves Perennes (1995-janvier 2006), premier adjoint : Yves Le Duff ; deuxième adjoint : Roger Lozahic. - Eugène Creurer (janvier 2006-novembre 2006). - Pierre-Marie Garel (2006-...), etc...

Note 3 : Liste non exhaustive des recteurs de BRELIDY : Le Jeannin (1602-1622). - Jan Perchec (1622-1642). - Olivier Hervé (1642-1680). - Le Merle (1680-1710 ?). - Jean Nicole, décédé en 1702. - Jean le Noan (1702-1713). - Noble Christophe le Bihan de Keralo (1713-1715). - Louis Daniel (1715-1721), curé à Morlaix. - Louis Daniel : jusqu’en 1721, du diocèse de Quimper, neveu du précédent. - François Prigent (1721-1737). - Jean le Guernevez (1737-1744). - Bertrand Trovel (1744-1750). - François le Gall (1750-1757). - Yves Jacq (1757-1758), du diocèse de Léon. - Jean-François le Diouris (1758-1760), chanoine de Notre-Dame-du-Mur. - Noble Maurice Moisant de Kerouriou (1760-1765), chanoine de Notre-Dame-du-Mur. - Rolland Jugain (1765-1773). - Noble Gabriel-François Guezou (1773-1788), recteur de Saint-Sauveur de Guingamp. - Noble Vincent Guezou (1788-1790). - Puis près de 10 années sans prêtre. - Le Roux (1803-1808). - Aubry (1809-1812). - Louis Belloeuil (1812-1827). - Mathurin le Fèvre (1827-1837). - Cyrille Hamel (1837-1843). - René le Pallier (1843-1870). - Pierre le Pallier (1870-1874, Frère du précédent). - Louis Landouar (1874-1886). - Elie le Rolland (1886-1899). - Louis-Marie Raoul (1899-1906). - Joseph Raoul (1906-1915). - Pas de prêtre lors de la Guerre 14-18. - Pierre Lamouller (1919-1931). - Georges André (1931-1938). - Bronnec (1939-1941) - Emile le Gall (1941-1953). - François Ropars (1953-1959). - Alfred Adam (1959-1965). - Yves Jézéquel (1965-1981), etc.

Note 4 : Au recensement du 19 ventôse de l'An V, Brélidy comptait 762 habitants dont 228 au bourg. Il y avait 31 habitants à Keronal, 4 à Toul Lern, 20 à Ger-Wen, 21 à Guernevez. Le nom de famille le plus répandu à Brélidy était Bourhis 28. Deux noms de famille Bourhis et Vézouet existaient déjà en 1610 - Jean le Perchec était recteur. Nous connaissons quelques noms d'artisans de l'époque : l'aubergiste s'appelait Gauthier ; le maréchal ferrant, Roland Bourhis ; le marchand ?, le Goaziou ; le couvreur d'ardoises, le Guiader. Il y avait également sur la commune : 7 tailleurs, 3 tisserands, 2 cordonniers, des filandières, etc... Treize personnes, soit 5 femmes et 8 hommes, sur 762 avaient 70 et 74 ans. La majorité des anciens avait entre 50 et 60 ans (Yves Briand).

Vue de la ville de Brélidy (Bretagne).

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PATRIMOINE de BRELIDY

l'église Saint-Colomban ou Saint-Columban (1882-1884), oeuvre de l'architecte Le Guerrannic de Saint-Brieuc et construite, au prix de 40 000 francs, par les maçons Jean de Ploujean et Morvan de Vieux-Marché en remplacement d'un édifice ancien inadapté et édifié en 1727, et dont la tour a été bénite le 19 janvier 1727. Une horloge fut posée dans la tour en 1864 pour un prix de 50 f. La tour comportait une seule cloche avant 1845, puis on y rajouta deux cloches supplémentaires (dont l'une de 400 kg et l'autre de 230 kg) fondues chez Le Jamtel à Lannion. La première pierre de l'église est posée le 29 juillet 1884. La nouvelle église est inaugurée et bénite le 16 mai 1886 (le jour du pardon) par l'abbé Baudour, alors curé de Pontrieux. " Le maître-autel coûta 3 000 francs et les deux autels latéraux 1 200 francs chacun, mise en place comprise. L'entreprise Morvan du Vieux-Marché posa le parquet du choeur pour le prix de 12 francs le mètre carré. Le prix total du parquet du choeur, murets, lambourdes et parquet en vieux chêne du nord fut de 860 francs. A cette époque les Marguilliers étaient : Jacques le Dû - maire ; Sylvain Bothoa - trésorier ; Yves le Bras, Baptiste Bouget, Yves-Marie Guerlesquin, François le Dû, Louis Cozic. L'abbé le Colas desservant " (Yves Briand). On y trouve une pierre gravée aux armes de la famille Rostrenen (XVème siècle). Saint Colomban est un saint irlandais (né en Irlande en 543 et décédé en Italie en 615), fondateur du monastère de Luxeuil (Haute-Saône). La mairie de Brélidy se trouvait jadis dans le baptistère de l'église jusqu'à 1851. La bannière de Saint Colomban date du XVème siècle. " L’édifice actuel comprend une nef avec bas côtés de cinq travées précédée d’un clocher extérieur, pas de transept et un choeur. Exécuté par M. Le Mat sur les plans de M. Le Guerrannic, la bénédiction de sa première pierre eut lieu le 29 juillet 1884. Dans le mur du chevet l’on a conservé une belle pierre du XVème siècle armoriée des armes des Rostrenen, seigneurs de Brélidy, dans laquelle on retrouve la facture des sculptures de Runan. Mobilier : Statue ancienne de saint Columban et moderne de saint Yves " (R. Couffon). " Le dimanche de l'Épiphanie le 9 janvier 1887 furent bénites les trois cloches par le chanoine le Baudour de Pontrieux spécialement désigné par Monseigneur Bouché évêque du diocèse. Les trois cloches sortaient de la fonderie Mavard de Villedieu-les-poêles. La plus grande s'appelait « SAINT COLOMBAN » (le patron de la paroisse). - son parrain : Jacques le Dû, maire, et sa marraine : Françoise le Bras, épouse de François Bouget (adjoint au maire). La moyenne se nomma « SACRE-COEUR DE JESUS ». - son parrain : Sylvain Bothoa, et sa marraine Catherine le Luyer, épouse de Baptiste Bouget (conseiller municipal). La petite et troisième s'appelait « NOTRE-DAME DE LOURDES ». - son parrain : Louis Cozic, fabricien, époux de Catherine Sébille, et sa marraine Anne-Marie le Fichant, épouse de Yves le Bras, président des fabriciens. La grande cloche fut payée par le Conseil de fabrique et les deux autres par souscription dans la paroisse " (Yves Briand). Les seigneurs de Brélidy sont les fondateurs de l'église paroissiale. " Droits honorifiques de la terre et seigneurie de Brélidy : les armes des seigneurs du Parc se voyaient : 1° En relief, supériorité et unique, dans la nef du grand chœur sur un cartouche de bois, au-dessus du maître-autel. 2° En alliance sur la vitre entre les deux portes de la longère midi. 3° Au second jour de la même vitre, en alliance avec de gueules à quatre fusées d'hermines, posées en fasce, accompagnées de six tourteaux d'argent, trois en chef, trois en pointe. 4° Au troisième jour était un écu, parlé : au premier, les armes des seigneurs du Parc ; au second d'argent à cinq belette d'azur ; au troisième, d'argent à un fond inconnu d'or en abîme, et au quatrième de gueules à la fasce d'argent. La famille d'Arrel, seigneurs de Kermarquer, avait ses armoiries dans l'église des Jacobins de Guingamp et dans celle de Brélidy " (A. B.) ;

Eglise de Brélidy (Bretagne).  Eglise de Brélidy (Bretagne).

la chapelle Saint-Pabu ou Saint-Tugdual de Kerbiquet (XVIIIème siècle-1841). Cette chapelle a pris la place d'un ancien sanctuaire qui a été vendu le 18 mai 1796 à Jean Quérou. " L'ancienne chapelle de Kerbiguet - village des pies - fut remplacée en 1841 : était-elle ancienne ? Nul ne le sait ! Elle fut vendue pendant la révolution, comme bien national, au sieur Quérou Jean le 29 floréal de l'an III (18 mai 1796). La chapelle actuelle a donc été construire en 1841. Une partie des pierres provient de la précédente chapelle. Le clocher, vu de côté, à la forme d'une mitre d'évêque. Saint Tugdual - évêque de Tréguier - en est le patron. Le pardon a lieu le lundi de la Pentecôte. Saint Tugdual est surnommé en breton Saint Pabu. La commune en est la propriétaire depuis fort longtemps. D'importants travaux sont en cours à l'intérieur et à l'extérieur à la fin du XXème siècle " (Yves Briand). On y trouve une porte réemployée du XVIème siècle. " Elle est dédiée à saint Tugdual et dépendait autrefois de Portz-an-Parc. Edifice rectangulaire du XVIème siècle, restauré au XIXème siècle, sans doute en même temps que le calvaire du placître qui porte la date de 1841. Il renferme les statues anciennes de saint Tugdual, saint Jean-Baptiste, saint Fiacre, saint Laurent, sainte Philomène, deux statues de la sainte Vierge, et celle de saint Antoine, ermite, complètement vermoulue " (R. Couffon) ;

la chapelle du Sacré Coeur en Noblance (1878), sur la motte de l’ancien château de Brélidy. Il s'agit d'une chapelle privée. " Le dimanche 14 juillet 1878 avait été posée et bénite la pierre principale de la chapelle du Sacre-Coeur et Sainte Barbe à Brélidy par Monsieur Lanclouar, recteur. L'emplacement choisi était au sommet de la motte féodale derrière l'actuel château. Elle fut inaugurée et bénite le dimanche 20 juillet 1879. La donatrice était Anne-Marie Gouriou de Ploézal. On procéda également à la bénédiction de la cloche Sainte Barbe du Sacré-Coeur qui avait pour parrain Monsieur le Merrer, sculpteur à Lannion et pour marraine Madame Jeanne le Duc. Une procession s'ensuivit, le pardon avait été fixé le jour de la Saint Jean " (Yves Briand).  " Petit édifice rectangulaire datant de 1878 et actuellement (1936) très lézardé. Dans la cour du manoir voisin, chapelle désaffectée et transformée en bâtiment de décharge. Parmi les statues modernes : saint Jorand " (R. Couffon) ;

les croix de Saint-Pabu (XVIème siècle), du cimetière (XVIIème siècle) ;

la croix de Lezuel (XVIIIème siècle). Cette croix porte l'inscription "Madeleine Houriadec, veuve Jean Bourget 1792" ;

d'autres croix ou calvaires : la croix de Kerguen (qui remplace la croix appelée Croas-an-tort), bénite le 8 actobre 1856 par l'abbé le Goas (recteur de Trézélan) et érigée par Yves Bouget et son épouse Anne Cariou. - la croix de Kernevez, oeuvre de Hernot de Lannion, bénite le 12 mai 1856 par l'abbé Bouget (recteur de Landebaëron), et érigée par Jean Marie Cariou et son épouse. - la croix de Kerjacob, édifiée en 1862 par Jean-Marie Cariou, maire de Brélidy, et son épouse Marie-Anne Coquillou. - la croix de Kerveziou, érigée par Monsieur le Gaudu, huissier à Pontrieux, et son épouse Marie-Jeanne Bouget, et bénite le 14 novembre 1855 par l'abbé Pallier (recteur de Brélidy) ;

la fontaine Saint-Vincent (1746), située route de Plouec ;

le manoir de Ty-ar-Bonniec (XVI-XVIIème siècle), encore appelé château de Brélidy ou de Noblance. La forteresse est démantelée en 1347 (en ruine dès 1583). Au XVIème siècle, un nouveau château est édifié par la famille Du Parc dont un des membres avait épousé Péronelle de Leverzault. Brélidy-sur-le-Parc, dit Ogée, appartenait au XVIIème siècle à Vincent du Parc, marquis de Locmaria, époux de Claude Nevet. Les lucarnes datent du XVIème siècle ;

Le château de Brélidy (Bretagne).

le manoir de Kerveziou (XVIIème siècle). On y voit un portail et un puits datant du XVIème siècle. Le logis date, semble-t-il, des années 1650 ;

le manoir de Lezuel (XVème siècle - 1792). Il s'agit du siège de l'ancienne seigneurie de Lez-Uhel ou Lezuel, ayant appartenue à la famille de Rostrenen. On trouve d'ailleurs un Guillaume de Rostrenen en 1481. Le porche de l'édifice date du XVème siècle ;

les maisons de Kerouano (1727), de Saint-Tugdual (1767) ;

2 moulins ;

A signaler aussi :

la motte féodale de Ty-ar-Bonniec (moyen âge, avant le XIIème siècle) ;

la motte féodale de la Chauvaie ou Loquel Hastel (moyen âge) ;

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ANCIENNE NOBLESSE de BRELIDY

Jusqu’à la Révolution, le pays dépend des familles Leverzault, Goësbriand, Lizardais, les Vaudron et les Gourden (ou Gourdan). En 1342, la seigneurie de Leverzault prend place dans le château du Mur qui lui a été attribué par Charles de Blois. Guillaume de Rostrenen, devient par alliance, seigneur de Leverzault au XVème siècle.

La seigneurie de Lezerzot (ou Lezerdot ou Leversault ou Leverzault) possédait jadis un droit de haute justice (en 1583). Cette seigneurie appartient dès 1439 au même seigneur que celui qui détient la seigneurie de Brélidy.

La seigneurie de Brélidy possédait jadis un droit de haute justice. Elle est unie dès 1439 à celle de Leverzault (ou Leverzaut ou Leverzot ou Lezverzot). La seigneurie de Brélidy s'étendait sur Cavan, Coatascorn, Ploëzal, Plouëc et Prat. En 1765, la juridiction de Brélidy est annexée à celle de Locmaria. Propriété d'Ayton Daire (ou Doire) en 1342, puis des familles Lesversaut ou Lesversault (en 1439), Du Parc (vers 1520, suite au mariage de Péronelle de Lezversaut avec Jacques du Parc, seigneur de Locmaria). En 1760, Brélidy-Leverzot est vendu par les créanciers de Louis Vincent de Goësbriand (décédé en 1752) à Abraham Sévère Michiel de Lizardais. Cette seigneurie de Brélidy-Lezverzot devient en 1770 la propriété de André Louis Marie de Gourdan.

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Tréguier de 1481, on comptabilise la présence de 3 nobles de Brélidy (il y en avait 1 en 1426) :

Guillaume DU BOESDELAROCHE (120 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé en archer ;

Yvon de LEZVERZAULT (300 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d'ordonnance ;

Guillaume de ROSTRENEN de le Ponchastel (300 livres de revenu) : comparaît en Homme d’Armes.

 

Dans une "Montre" de Tréguier en 1503 (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1 C 184 et 74 J 49), plusieurs nobles de Brélidy sont mentionnés :

- Jean de Lesverzault sieur dudit lieu et de Brelidy comparu en robe à pied sans harnois "et luy est inioinct au prochain mandement avoir chevaux et harnois en estat et habillement d’homme d’armes et fournir lance".

- Pierre Gaillou Chatelier comparu à cheval en brigandines et sallade espée et javeline "et luy est inioinct au prochain mandement avoir arc et trousse".

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