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SAINT MALO, un des 7 saints fondateurs de la Bretagne.

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Malo, dont le nom ne varie pas moins en latin qu'en français, car il est appelé Maclovius, Macliavus, Macutus, Machutes, et on le nomme Malo, Maclou, Macout, Macut, naquit en 520 au pays de Gwent, aujourd'hui Monmousthshire, dans la Cambrie méridionale. Il fut élevé dans le monastère de Lancarvan, f ondé par saint Cado, et gouverné alors par saint Brendan renommé, comme saint Iltut, par ses vertus et ses talents d'éducation. Le premier soin de ce saint Abbé fut de conserver dans toute sa pureté l'innocence de l'enfant, et il eut la consolation de voir que, non seulement il ne commettait pas de fautes, mais qu'il se sanctifiait chaque jour davantage.

Plusieurs de ses biographes racontent un fait merveilleux de sa jeunesse. Pendant que ses condisciples se récréaient un après-midi au bord de la mer, Malo se tenait à l'écart pour méditer. Au bout de quelque temps, se sentant fatigué, il se couche sur un tas de goémon et s'endort. Les jeunes gens étant partis, il se trouve seul et la mer montait, mais, par un commandement du Créateur, elle ne le mouilla pas et le transporta, nouveau Moïse, sur l'écume des flots. Pourtant il s'éveille et, se voyant suspendu sur l'abîme, son premier mouvement est un mouvement d'effroi, et il s'écrie : « Où suis-je ? O mon Dieu, venez à mon aide ! ». Saint Brendan n'était pas moins inquiet ; il court au rivage, appelle en vain : « Malo, Malo », personne ne répond, et il revient tout en larmes au monastère. Mais le lendemain matin, debout sur une motte de terre qui voguait, l'enfant aborde sur la grève et, tout confus, va se jeter dans les bras de son maître (Roumain DE LA RALLAYE. — Vies des Saints de Bretagne, p. 143).

Ordonné prêtre dans la Cambrie, et malgré sa jeunesse — il avait à peine trente ans — déjà chef d'une communauté dans la Grande-Bretagne, Malo passa en Armorique, vers 550, avec une trentaine de disciples, et débarqua à l'île de Césembre. Il venait de descendre sur le rivage, quand, entouré d'un groupe de jeunes clercs, un moine s'approcha. Ce moine se nommait Festivus. Durant la nuit, un ange lui était apparu, et lui avait annoncé la visite des messagers de Dieu. Avec joie il les conduisit à son monastère, et il nomma Malo directeur de ses novices. Souvent, le soir, ils allaient s'asseoir ensemble sur la falaise aspectée au Midi. Devant eux s'étendaient de vastes prairies marécageuses, d'où émergeaient des îlots, dont l'un, le plus important, barrait l'horizon, et était habité par un ermite de race armoricaine, appelé Aaron. Malo se rendit vers lui, et reçut du vieux solitaire un si chaleureux accueil que, pendant trois ans, il résida tantôt à Césembre, tantôt à l'île d'Aaron (E. HERPIN. — Histoire de la ville de Saint-Malo, p. 12).

Mais il ne s'était pas rendu dans la nouvelle Bretagne pour tenir école, il y était venu pour combattre le paganisme. Il se mit à parcourir les campagnes environnantes, les sillonnant de ses prédications énergiques, éclatantes, qui eurent tout de suite un grand retentissement. Un jour, il résolut d'aller célébrer les fêtes de Pâques à Corseult, qui était en cette région la dernière citadelle de l'idolâtrie. Une foule innombrable de chrétiens et de païens, attirés par la curiosité, s'y était rassemblée, et attendait avec impatience la messe solennelle que Malo devait célébrer. Au dernier moment, les clercs qui l'accompagnaient s'aperçurent que dans leurs bagages on avait oublié le vin et le calice pour la consécration.

Pendant que l'on en cherchait dans la ville, arriva par hasard le fameux Conomor, excommunié, comme nous l'avons vu au chapitre précédent, par le concile du Menez-Bré, et il croisa un convoi funèbre qui venait d'enterrer un jeune homme de race noble. Plusieurs personnes lui montrent l'église et lui disent : « Il y a là un prêtre qui a fait beaucoup d'œuvres admirables, si tu lui demandais de ressusciter ce mort ? ». Conomor entre dans l'église et, s'adressant à Malo : « Lève-toi, lui dit-il, et viens ressusciter ce cadavre ». Emu des sanglots et des supplications de tous ceux qui étaient présents, Malo répond : « Ce n'est pas moi qui puis le faire, c'est le Dieu tout puissant dont je suis le serviteur. Apportez le mort ici, et qu'on célèbre en sa présence l'office des défunts ». Quand le cadavre fut entré, Malo fit sortir tout le monde, excepté les clercs, se prosterna en priant du fond de son cœur, et le mort se leva de son cercueil. Cependant, comme les païens s'étaient concertés pour mettre les chrétiens dans l'embarras, on n'avait pu trouver dans tout Corseult ce qui manquait pour l'office. Malo sortit de cette difficulté en faisant d'une pierre de l'autel un calice, en changeant l'eau en vin, et ainsi il put achever sa messe (DE LA BORDERIE. — Loc. cit. I. p. 421).

Malo ne cessait de poursuivre ses travaux évangéliques dans tout le pays. Il posa ses moines en sentinelles du Christ dans tous les environs, sur des îlots appelés : Les Bés, Harbour, La Couchée. Là où il pouvait il fondait des monastères ; il en établit un grand nombre sur les rivages d'alentour, et bâtit le principal de tous, qui fut sa résidence habituelle, et qu'il nomma Lann-Aleth, à Aleth même devenue aujourd'hui Saint-Servan-sur-Mer. Cette agglomération occupait au Nord la pointe actuelle, dite de la Cité, à partir de l'isthme étroit, étranglé entre le port Solidor et l'anse des Bas-Sablons. Une enceinte murale l'entourait : elle était à ce moment presque entièrement déserte, et ne reprit vie qu'au moment de l'établissement du monastère de Malo. Sans trêve, il visitait ses fondations Au cours de ses tournées, il couchait la nuit sans autre abri que sa coule et sans jamais quitter son cilice, se désaltérant aux ruisseaux, et ne se nourrissant que de racines. Sur son passage les prodiges se multipliaient et la foi se levait comme des épis de blé (E. HERPIN. — Histoire de la ville de Saint-Malo, p. 20).

Comme tous nos vieux saints, Malo ne bornait pas sa mission aux conquêtes spirituelles ; il se livrait aussi au travail de la terre. Ses biographes nous racontent à ce sujet une délicieuse anecdote. Un jour, ayant trouvé une vigne en ce pays, il était allé lui donner ses soins. Il fallait bêcher, couper des branches inutiles, tailler les sarments. Pour travailler plus à l'aise, il ôta son vêtement monastique, sa coule, et la pendit à un chêne qui était proche. Alors un petit oiseau, un roitelet, vint pondre un œuf dans la coule. Le soir, son travail achevé, comme Malo allait à l'arbre pour reprendre son vêtement, il vit l'œuf et dit : « Dieu tout puissant, c'est vous qui avez inspiré à cet oiselet d'user ainsi de ma coule ; je pourrais l'enlever, mais si je l'ôte de là, il perdra son œuf ». Il renonça à la reprendre et la laissa sur l'arbre, jusqu'à ce que le roitelet eût élevé toute sa nichée (DE LA BORDERIE.— Loc. cit. I, p. 464).

Depuis quarante ans Malo avait consacré toutes ses forces à un apostolat qui avait porté des fruits bénis et changé véritablement tout le pays, tant au point de vue matériel que religieux. Un cri de reconnaissance s'éleva de toutes parts et tous, seigneurs, laïques, clercs, moines demandèrent au roi de Domnonée de lui conférer la dignité épiscopale. C'était aussi le désir de Judaël, qui fit venir Malo, et le pria de se rendre à ce vœu universel. A la différence de quelques autres saints bretons, Malo, qui voyait là un moyen de faire encore plus de bien, n'opposa à ce désir aucune résistance et, vers 585 ou 590, il se rendit à Tours, où le métropolitain l'ordonna évêque, puis ïl revint à Aleth. Son diocèse comprenait tout le territoire qui s'étendait du Nord au Sud, depuis Aleth jusqu'à Gaël. C'est ce que l'on appelait Plou-Aleth, le pays d'Aleth. Le nom de Clos-Poulet, que conserve encore aux environs de Saint-Malo la partie péninsulaire comprise entre la Manche et le cours inférieur de la Rance, est une altération évidente de cette appellation.

Mais la vertu de Malo allait être soumise à la plus rude des épreuves. Les vicieux, les scélérats, harcelés, fouettés par les réprimandes, les enseignements et les censures de l'évêque, ayant lâché la bride à leurs mauvaises passions, les traduisirent en injures contre l'homme de Dieu, en sévices contre ses disciples, ses amis et ses serviteurs. Ses biographes nous en ont raconté maints exemples. Certain habitant, marié à une très proche parente, avait été pour cela blâmé par Malo. Il avait même tenté pour se venger de le faire assassiner. Se trouvant un jour dans un festin où siégeaient beaucoup de nobles, et où il avait accablé d'injures l'évêque, un assistant lui demanda : « S'il était ici, que ferais-tu ? »« Je le tuerais de ma main », répondit-il. Une autre fois, alors que Malo se promenait sur les bords de la Rance, un mauvais drôle le menace de son bâton, lui arrache son manteau, et s'en fait une couverture de lit. On lui reproche les lambeaux de terre que lui avait concédés la piété des fidèles : « Demain, dit-on, toutes nos terres seront à lui, il ne nous restera rien pour vivre ». L'avarice et la cupidité hurlent, toutes les violentes convoitises, tous les mauvais instincts se coalisent contre lui. Et de tous côtés on crie : « Il faut qu'il parte » (DE LA BORDERIE. — Loc. cit. I, p. 472).

Il partit, disant en pleurant : « Le Seigneur Jésus s'éloigna des Juifs pour fuir leur perfidie, à son exemple abandonnons cette génération impie, et allons vivre dans une autre région ». Laissant la plupart de ses moines aux postes où il les avait placés dans le pays d'Aleth, et en emmenant une trentaine avec lui, il s'embarqua avec eux, contourna tout le littoral de la péninsule brito-armoricaine, et débarqua à Saintes. Là il fut chaleureusement accueilli par l'évêque Léonce qui, heureux de posséder chez lui un si pieux personnage, lui fit don dans un lieu solitaire d'une maison, et lui assigna des revenus suffisants pour l'entretien de sa petite communauté. Malo y vivait depuis quelque temps, quand le comte de Saintes et sa femme, édifiés par ses vertus, eurent l'idée de s'adresser à lui pour guérir leur fille qui avait été mordue par une vipère très venimeuse, et dont on attendait le dernier soupir. Malo appliqua sur l'endroit malade une feuille de lierre trempée dans de l'eau bénite, la jeune fille reprit ses sens et sa plaie fut immédiatement cicatrisée (Dom LOBINEAU. — Loc. cit. II, p. 63).

Avant de partir, l'évêque d'Aleth avait frappé d'anathème son peuple ingrat. Les effets de sa malédiction ne tardèrent pas à se faire sentir. Tout le pays fut désolé par une sécheresse torride : pas une goutte de pluie, toujours un soleil cuisant, brûlant les herbes, les arbres, les plantes, les fleurs ; dès lors plus de moissons, plus de fruits. Une stérilité continuelle y causa la famine, des maladies se répandirent parmi les habitants, dont les membres étaient couverts de pustules, et qui mouraient par centaines. Après quelques années d'un tel fléau, les plus féroces ennemis de Malo ouvrirent les yeux, et reconnurent le doigt de Dieu qui les frappait. Sur l'initiative du roi Judicaël, qui venait de prendre possession du trône de Domnonée et tenait à faire cesser un tel scandale, une députation solennelle se rendit à Saintes pour supplier l'évêque de pardonner aux Alethiens, et de venir lever lui-même la malédiction qu'il avait portée contre eux.

Au récit de la détresse de son peuple, et après s'être assuré de son sincère repentir, Malo fut ému de pitié, et il consulta son hôte, le bon évêque Léonce, qui l'avait si bien reçu. Pour implorer ensemble les lumières d'En-Haut, ils s'imposèrent un jeûne rigoureux de trois jours. Le Seigneur eut pour agréable cette pénitence de ses serviteurs, et il envoya un ange pour leur faire connaître ses volontés. Le messager céleste adressa la parole à Malo et lui dit : « Homme chéri de Dieu, retourne en Bretagne. Fais succéder la bénédiction à la malédiction ; guéris les hommes, rends à la terre sa fertilité. Tu reviendras ensuite à Saintes, car c'est là que tu dois mourir ».

Abrégeant son itinéraire, Malo débarqua à Nantes et, passant par Plerguer, Miniac et Châteauneuf, arriva à Aleth : « Avec lui, dit son biographe, la pluie entra aussi dans le pays ; elle ne voulait pas le précéder, mais, à mesure qu'il marchait, elle s'étendait, arrosant tout le territoire entre la Rance et la mer. Tous les habitants se précipitaient à sa rencontre et se prosternaient à terre pour lui rendre honneur. Lui se hâtait, mais la foule était si considérable, qu'elle l'empêchait presque de toucher terre. Ayant béni les hommes et la terre stérile depuis son départ, il fit ses adieux à son peuple et reprit sa route, comme il l'avait annoncé, pour rejoindre l'évêque Léonce. Il partit au milieu des gémissements de la foule qui lui témoignait ainsi son amour. Grâce à sa bénédiction, le ciel donna désormais de la pluie à ce pays, la terre lui donna ses fruits, et le peuple eut en abondance de quoi se nourrir » (Vita I Sancti Maclovi, I, cap. 103, 104).

Après son retour en Saintonge, Malo ne vécut que quelques mois. Quand il ressentit les premières atteintes du mal qui devait l'emporter, il vit que son dernier jour approchait, et il l'attendit en paix. Couché sur la cendre, revêtu du cilice qu'il n'avait jamais quitté, il ne voulut pas qu'on plaçât aucun objet pour reposer sa tête et ses membres endoloris. Etendu tout de son long, le visage tourné vers le ciel qu'il avait toujours et depuis si longtemps désiré, il expira doucement, âgé d'environ cent ans, le Dimanche 16 Décembre 621.

Le saint évêque avait été inhumé à Saintes, où son corps faisait de nombreux miracles. Dans la première moitié du VIIIème siècle les Aléthiens, qui ne possédaient pas un seul morceau de ses reliques, et jaloux d'entendre sans cesse parler des merveilles qu'elles opéraient, résolurent d'envoyer en Saintonge, comme leurs ancêtres, une nouvelle députation, composée de vingt-quatre hommes importants, prêtres et laïques, pour demander quelques fragments du précieux corps. Arrivés là-bas, on ne voulut pas les écouter, mais ils s'adressèrent au roi Childebert III, qui était très pieux. Sur son ordre, on commença un grand et solennel Triduum. Toute la population dut prier et jeûner pendant trois jours entiers. Au bout de ces trois jours, le corps du saint ayant été tiré de son sarcophage, l'un des Aléthiens demande à Dieu de manifester sa volonté : « Plaise à Dieu, s'écrie-t-il, et au roi, que quatre des délégués d'Aleth se placent devant l'autel, et essaient de soulever le saint corps ; alors Dieu fera le partage comme il lui plaira ». — « Amen », répond le roi, et toute l'assistance répète « Amen ». Alors quatre des clercs d'Aleth se mettent en devoir de soulever le cadavre. Aux mains de l'un d'eux demeure la tête du saint, en celles d'un autre sa main droite. Quant au reste des précieux ossements, les Bretons, malgré tous leurs efforts, ne réussissent pas à les faire bouger d'une ligne. Et les Aléthiens repartirent joyeux avec leur trésor (DE LA BORDERIE. — Loc. cit. I, p. 500).

Les reliques du saint évêque d'Aleth traversèrent triomphalement tout son diocèse, une pluie bienfaisante les précéda et s'étendit peu à peu, à mesure que s'avançait le cortège sacré. Par un dessein mystérieux de la Providence on les porta, non à Aleth, mais dans l'île d'Aaron, où existait déjà une église On les plaça sur l'autel où elles demeurèrent pendant trois jours et trois nuits, au milieu des chants, des prières et de tous les témoignages d'une vénération universelle. C'est là qu'elles furent désormais conservées et honorées, circonstance qui amena d'abord le changement de nom de l'île, qui s'appela depuis lors Saint-Malo et ensuite sur cette île, autour du sanctuaire, l'établissement d'habitations de plus en plus nombreuses. Telle est l'origine de cette ville célèbre, de la fameuse cité des Corsaires, sortie aux premières années du VIIIème siècle des os desséchés et féconds encore de son vieux patron.

Ces ossements furent, comme tant d'autres, détruits ou dispersés pendant la Révolution ; il n'en reste maintenant que quelques-uns à la cathédrale de Saint-Malo. Ils proviennent de l'évêché de Versailles, sans doute de l'église de Saint-Maclou de Moiselles, et furent obtenus par l'entremise de M. de la Bédoyère, propriétaire à Talensac, et demeurant à Versailles. Il est à croire que la Bretagne reçut plus tard d'autres reliques de saint Malo que son chef et sa main droite, car on en vénérait jadis à Saint-Jacques-du-Haut-Pas et à l'abbaye de Saint-Victor à Paris et encore de nos jours à Rouen, à Pontoise et à l'abbaye de Saint-Sauve de Montreuil-sur-Mer, où sauvées par les soins de Salvador, évêque d'Aleth et de Junanus, Abbé de Léhon, elles arrivèrent entre 913 et 920 (Albert LE GRAND. — Loc. cit. Annotations, p. 602).

Plusieurs bourgs l'ont pris pour patron : Saint-Malo-de-Phily et Saint-Malo-de-Beignon, dans le diocèse de Rennes, Loc-Malo dans celui de Vannes ; Saint-Malo-de-Jugon dans celui de Saint-Brieuc. En dehors de la Bretagne, plusieurs églises lui ont été dédiées. Le saint évêque n'est pas inconnu même en Italie, où on l'appelle S. Mauto. A Rome, près de la basilique de Saint-Pierre, il y a une petite église sous son invocation, et un obélisque de la Ville Eternelle a porté le nom de S. Macut, qui est le même que S. Malo.

Saint-Servan possède encore maintenant dans la chapelle Saint-Pierre de la Cité le dernier débris de la cathérale d'Aleth. Cette chapelle est une abside, seule partie de l'édifice primitif restée à peu près intacte. Construite dans le style roman primitf, cette église se composait d'une nef, accompagnée de deux collatéraux et terminée aux extrémités par deux absides, plan d'église à deux absides unique dans notre pays.

(A. Millon).

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