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La finale de ce nom est prononcée comme si elle s'écrivait "-in".
L'église de Karorguen (sic) est mentionnée dès 1181 dans une charte du prieuré de Léhon. Cette paroisse appartenait sous l'Ancien Régime au diocèse de Saint-Malo. Elle a élu sa première municipalité au début de 1790.
Il faut signaler plusieurs monuments, dont, seul, le premier est inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques :
1) Le manoir de la Ferronnays, construit en 1569, inscrit le 27 février 1926 ;
2) L'église, dont le portail est de 1584 et une porte, de 1788 ;
3) La croix de la Saudrais, une des plus anciennes du pays de Dinan (XIIème siècle ?) ;
4) La croix du Plessix ;
5) La croix de la Hargnerie ;
6) La croix de Tréliger ;
7) Les deux croix à double traverse, à la Noë ;
8) Les deux croix de la Roussais.
Un personnage connu se rattache à l'histoire de Calorguen, bien qu'il n'y soit pas né : Auguste-Pierre-Marie Ferron, comte de la Ferronnays (1777-1842). Il fut officier d'ordonnance puis aide de camp du duc de Berry, pair de France (17 août 1815) ministre des Affaires étrangères (4 janvier 1828), lieutenant général (16 novembre 1828) et ambassadeur à Rome. Ayant refusé de prêter serment au roi Louis-Philippe en 1830, il quitta alors les fonctions publiques.
(Bulletin d'informations des maires).
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