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Cathédrale de Tréguier

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La cathédrale Saint-Tugdual, fondée au VIème siècle par le moine gallois Tugdual. L'édifice, primitivement dédié à saint André Apôtre, est rebâti vers 970 par un dénommé Gratianus ou Gratias (après le saccage des Normands) puis de nouveau au XIIème siècle (époque dont il subsiste la tour appelée fort improprement "Tour d'Hasting", à l'extrémité du croisillon nord). Le chantier de la cathédrale gothique est entrepris en 1296 en remplacement de la cathédrale romane. D'autres historiens affirment que c'est en l'année 1339 seulement que l'évêque Richard du Poirier ou du Perrier (Richardus de Piru) entreprit d'élever une nouvelle cathédrale. Si on en croit les chroniques, l'édifice est détruit ou tout au moins gravement endommagé par les Anglais en 1345.

 

 

CATHEDRALE DE TREGUIER

La cathédrale Saint-Tugdual était primitivement sous le vocable de saint André. C’est le monument le plus important des Côtes-d'Armor et l'un des plus beaux de Bretagne.

cathédrale ou église de Tréguier

Historique. — A. une époque imprécise (VIème siècle ?), Tugdual, évêque transmarin venu de Grande-Bretagne, fonda au Val-Trécor un monastère qui devint, avant le milieu du IXème siècle, le siège d'un évêché. Ce monastère comportait-il, suivant l'usage, plusieurs églises dans son enceinte, cela est probable, car le continuateur de Richard-Lescot indique que, pendant la guerre de Succession du duché, les Anglais détruisirent la cathédrale, sans oser toucher au tombeau de saint Yves, et qu'ils épargnèrent la mater ecclesia, donc distincte et peut-être Notre-Dame de Coatcolvezou.

Devant l'invasion normande, l'évêque Gorennan s'enfuit en France, au début du Xème siècle, avec les reliques de saint Tugdual, et la cathédrale fut détruite par les barbares. Elle fut seulement relevée de ses ruines vers 970 par les soins d’un noble appelé Gratias, suivant l'une des Vies de saint Tugdual qui nous fait connaître également le nom du maître de l'oeuvre de la charpente, Goeder.

Sans doute ce monument céda-t-il la place à un autre à la fin du XIème siècle ou dans les toutes premières années du XIIème, si l'on en juge par la tour Hasting, seul vestige en subsistant à l'extrémité du croisillon nord de l'église actuelle.

L'édifice que nous admirons aujourd'hui fut commencé en 1339 sous l'épiscopat de Richard du Perrier ; et, de cette époque, date encore la partie basse de la nef dont l'appareil, plus petit et de teinte plus foncée, se différencie nettement de la campagne postérieure. Le procès de canonisation de Charles de Blois, indiquant que le duc descendit sept degrés pour entrer dans l'église, lorsqu'il se rendit au tombeau de saint Yves, montre que le sol n'était pas encore abaissé au niveau actuel, ainsi que le confirment, du reste, les massifs supportant les bases des premiers piliers. La ville ayant été saccagée et l'église endommagée par les troupes anglaises en 1346, les travaux furent suspendus pendant plusieurs années. Repris vers 1370, ils furent alors activement poussés, car les voûtes hautes du choeur étaient achevées à la fin du XIVème siècle, ainsi que l'indiquent les armes de l'évêque Pierre Morelli (+ 1401), et les chapelles donnant sur la carole vers 1425.

Enfin, l'église fut terminée par le porche méridional, décoré des armes de l'évêque Pierre Piedru, et le clocher qui le surmonte, dont la maçonnerie fut achevée en 1432. Sa charpente fut exécutée sous la direction de Thomas Melmhezic et Gille Quéré, maîtres charpentiers, qui s'associèrent Jehan Le Besque. La couverture du clocher fut faite par Guille Macé et Jehan Le Cardinal, et la croix commandée à Jouhan Rolland, de Lannion.

Peu après, vers 1442, fut édifiée la chapelle du duc accolée à l'aile nord du transept et communiquant avec le bas côté nord par trois arcades.

Le cloître, commencé en 1450 sous l’épiscopat de Jean de Plouc, fut béni le 25 septembre 1468. C'est l'oeuvre de Rolland Le Besque et de Pierre Le Tirant, aidés comme piqueurs de Alain Menou, Jehan Huet, Jean Pezron, Jehan Tobarec, Jehan Jégou et Jehan le Coguiec. La charpente est dûe à Yvon Cogian.

En 1470, le porche neuf ayant été abîmé, il fut restauré sous la direction de Rolland Le Besque par les picoteurs Olivier Tanyan, Jehan Huet et Alain Menou. Les sculptures en furent faites par Hervé Ploegoulm (en français Colombe).

Les contreforts et arcs-boutants du choeur, en pierre de Pluzunet, ne furent terminés qu’en 1515.

Au XVIIIème siècle, la flèche en bois du clocher menaçant ruines, la flèche actuelle fut construite sur les plans dressés le 13 août 1772 par François Anfray, ingénieur des Ponts et Chaussées à Guingamp ; elle fut terminée en 1785.

Légendes

1- Chapelle Saint-Yves ou Choeur du Duc
2- Chapelle Saint-Jean
3- Chapelle Sainte-Anne
4- Chapelle Saint-Nicolas (aujourd'hui Mont-Carmel)
5- Chapelle Saint-Martin (aujourd'hui Saint-Joseph)
6- Chapelle Saint-Jérôme (aujourd'hui Sainte-Philomène)
7- Chapelle de la Sainte-Croix
8- Chapelle Saint-André
9- Chapelle Saint-François d'Assise
10- Chapelle Saint-Tudual (aujourd'hui Notre-Dame de Bon-Secours)
11- Chapelle du Sacré-Coeur
12- Chapelle du Rosaire et des Trépassés
13- Chapelle des Fonds
14- Enfeu d'un grand chantre de la cathédrale
15- Enfeu d'un chevalier
16- Enfeu d'un chevalier
17- Enfeu du chanoine Jean de Lantillac

18- Tour dite d'Hasting
19- Porte dite de Saint-Jean
20- Porte dite de Saint-Jérôme
21- Transept septentrional
22- Transept méridional
23- Porche occidental
24- Porche méridional
25- Mausolée de Saint-Yves 
 

cathédrale ou église de Tréguier

Description sommaire : PLAN. - En forme de croix latine bien orientée, la cathédrale comprend une nef de sept travées, flanquée au nord et au sud d'un bas côté, un transept à deux croisillons et un choeur comprenant trois travées sensiblement barlongues et un rond-point polygonal, entouré d'une carole sur laquelle s'ouvrent onze chapelles. En outre, sur le bas côté nord, ainsi que nous venons de le dire, donne la chapelle du duc, que fit construire Jean V en vue de sa sépulture près du tombeau de saint Yves et où il fut inhumé en 1451.

Les dimensions principales de l'édifice sont les suivantes :

Longueur totale de l'édifice (entre nus intérieurs des murs) : 75 m.

Largeur de la nef d'axe en axe des piliers : 8 m. 50.

Largeur totale de la nef et de ses bas côtés (entre nus intérieurs) : 17 m. 35.

Largeur totale du transept : 39 m. 50.

Hauteur sous clef : 18 m.

Intérieur. NEF. - Elle comprend sept travées voûtées sur arcs ogives et présentant chacune en élévation trois étages : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes.

Si, à première vue, le vaisseau offre une grande homogénéité, un examen détaillé montre au contraire une extrême irrégularité : longueurs inégales des travées avec cependant hauteur uniforme des clés des grandes arcades ; variété des supports, des arcatures du triforium et des fenêtres hautes dont la retombée des arcs brisés se fait à différents niveaux.

Mais, en dehors de ce manque d'homogénéité dans des éléments contemporains, plusieurs campagnes ou repentirs sont visibles.

Tout d'abord, les trois premières travées de la nef ont leurs parties basses construites en moellons d'un appareil plus petit que celui du reste de l'édifice et les piliers des grandes arcades correspondantes ont leurs bases reposant sur un massif de maçonnerie de blocage d(une hauteur de un mètre environ. Ils étaient donc primitivement enterrés et appartenaient à un édifice dont le sol était prévu de plein pied avec le porche ouest actuel. C’est là la partie édifiée entre 1339 et 1346.

Les piliers séparant la seconde et la troisième travée, piliers cylindriques cantonnés de quatre colonnes engagées étant semblables aux demi-piliers accolés au pignon ouest, l'alternance semble avoir été prévue. La ressemblance de ces derniers supports avec les piliers de Notre-Dame de Guingamp est à remarquer.

La septième travée, contiguë au transept, est beaucoup plus étroite et présente une grande arcade dont les deux branches de l'arc brisé sont très inégales et ont leurs naissances à des niveaux très différents. L'inflexion marquée des murs de la nef indique en outre la rencontre de deux constructions, raccordement assez gauche et dû soit à une imprévoyance, soit beaucoup plutôt à une modification du plan en cours d'exécution.

Divers détails particuliers sont à signaler dans la nef : l'existence à l'étage des fenêtres hautes d'une coursière traversant les piliers, et celle, au-dessous du triforium, d'une frise représentant, tantôt en creux et tantôt en relief, des quatrefeuilles, des rosaces et des feuillages se retournant le long du pignon ouest. Enfin la hauteur importante des arcs ogives, doubleaux et formerets, dont le profil présente ainsi une grande inertie transversale est à souligner.

TRANSEPT. - De forme légèrement trapézoïdale, il comprend le carré et deux croisillons.

Le carré, dont les quatre grands piliers cantonnés de colonnettes multiples sont d'une remarquable exécution, est voûté sur arcs ogives aboutissant à une lunette pour le passage des cordes des cloches. Il est en effet surmonté de la tour dite du Sanctus. Celle-ci, de plan carré, n'offre rien de remarquable à l'exception de sa balustrade ajourée de quatrefeuilles. Sur sa plate-forme, un massif octogonal en pierres, de un mètre de hauteur environ, commencement ou reste d'une flèche ancienne, sert de support à la charpente de l'actuelle.

Il est à remarquer que les deux grands piliers est du carré ne sont pas exactement dans l'axe des deux ouest, disposition certainement voulue pour obtenir un effet de perspective.

Le croisillon nord comprend deux travées voûtées d'ogives avec triforium et fenêtres hautes. Il est terminé au nord par la tour Hasting contre laquelle était placé le buffet d'orgues jusqu’en 1665, année où il fut transporté au bas de la nef à cause de l'humidité. Cette tour, de plan barlong, comprend quatre étages auxquels on accède par l'escalier d'une tourelle engagée extérieurement à l'angle sud-est. Seuls les deux étages inférieurs sont voûtés de deux voûtes d'arêtes séparées par un doubleau, les deux étages supérieurs étant séparés par un plancher reposant sur des corbeaux encastrés. L'étage inférieur s'ouvre sur le transept par deux arcades jumelées en plein cintre séparées par un pilier circulaire cantonné de six colonnes jumelées deux à deux au droit de la retombée des arcs. Ceux-ci comportent chacun trois rouleaux en retrait les uns sur les autres, deux en plein cintre et concentriques, et l'autre, au centre surhaussé et excentré par rapport aux deux inférieurs, formant arc de décharge.

Le croisillon sud comporte trois travées voûtées d'ogives semblables à celles du croisillon nord. Il est terminé par le clocher ou tour neuve dont la voûte, à hauteur de celle du croisillon, porte une lunette pour le passage des cordes du clocher. La face nord de son étage inférieur est entièrement ouverte sur le transept et sa face sud est percée d’une grande fenêtre qui éclaire ainsi le transept, fenêtre ornée d'un très beau remplage flamboyant détruit, par un ouragan le 26 février 1848 et refait aussitôt sur le modèle primitif. L'étage supérieur de la tour, renfermant les cloches, est ajouré sur chaque face de deux fenêtres jumelées de style flamboyant dont l'encadrement extérieur est richement mouluré.

CHOEUR. - Il comprend quatre travées voûtées sur arcs ogives dont les trois premières sont sensiblement barlongues et la travée absidale de forme polygonale. Il est entouré d’une carole sur laquelle s'ouvrent, entre les contreforts, onze chapelles contiguës dont huit rectangulaires et trois polygonales. Construit d'un seul jet, il est la partie la plus homogène de la cathédrale et aussi la plus riche par la décoration de tous ses éléments. Les piliers sont en effet formés de colonnettes juxtaposées, tantôt sur plan circulaire, tantôt sur plan quadrangulaire ; les archivoltes sont moulurées, les arcatures du triforium encadrées d'une moulure saillante et garnies à leur partie inférieure d'une balustrade, la coursière des fenêtres hautes est également ornée d'une balustrade de quatrefeuilles et de trèfles et son passage à travers les piliers est éclairé par deux ouvertures. Enfin, la retombée des arcs brisés des fenêtres hautes se fait au même niveau.

Cette coursière générale traversant les piliers à l'étage des fenêtres hautes, ainsi que la frise des quatrefeuilles et les chapiteaux à tailloirs circulaires indiquent une influence manifeste de l'école normande. Les chapiteaux octogonaux si curieusement moulurés, les corbeaux décorés de figurines servant d'appui aux colonnettes supportant les doubleaux, les formerets et les arcs ogives, dénotent, quant à eux, une influence anglaise. Le choeur et le transept, notamment, avec les encadrements rectangulaires du triforium, la disposition des cordons et colonnettes se coupant à angle droit, révèlent l'influence très nette du style perpendiculaire.

Les peintures, dont avaient été décorées les voûtes du choeur sous l'épiscopat de l'évêque Jean de Ploeuc, viennent d’être découvertes sous le badigeon qui les recouvraient et restaurées avec soin.

 

Extérieur. Au point de vue constructif, l'implantation extrêmement ramassée des contreforts et très particulière au chevet, leur emploi pour l'écoulement des eaux et les ouvertures dont ils sont percés pour le passage d'une coursière à la partie supérieure des murs gouttereaux des bas côtés sont à remarquer.

Au point, de vue décoratif ; en dehors des balustrades qui couronnent tous les murs gouttereaux, seuls les trois porches présentent quelqu'intérêt.

Le porche occidental, ou porche des ladres, s'ouvre par deux arcatures jumelées et trilobées du début du XIVème siècle inscrites dans une ouverture en plein cintre. Il est surmonté d’une terrasse ornée de deux massifs de profil triangulaire et précède le pignon ouest dont l'ensemble présente une disposition toute anglaise.

Le porche de la nef, dit des baptistères, parce que depuis le XVème siècle jusqu’à 1934 il était muré et renfermait les fonts baptismaux, est d'une exécution beaucoup plus soignée et présente tous les caractères de la seconde moitié du XIVème siècle.

Le porche précédant le clocher, construit vers 1430, abîmé et restauré en 1470 sous la direction de Rolland Le Besque, est malheureusement très endommagé ; mais, malgré leurs mutilations, le joli profil de son arcade, les quadrilobes qui décorent sa voûte comme d'une fine dentelle, les statues de bonne facture sculptées sur l'archivolte des portes intérieures par Hervé Plougoulm en 1470, en font l'une des parties les plus artistiques de la cathédrale.

 

Le porche méridional (ou porche des cloches):

cathédrale ou église de Tréguier (Bretagne)

 

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La grande verrière (porche Sud 1970)

 

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Vue générale de l'intérieur de la cathédrale

Mobilier : Au début de 1794, la cathédrale fut dévastée par les soudards du bataillon d'Etampes, qui mirent notamment en miettes les tombeaux de saint Yves et de Jean V, les statues et l'orgue construits en 1629 par le sr. Vaignon et réparé en 1735 par Jacques Guytot, ainsi que le buffet construit au XVIIème siècle par Le Bellec.

Il ne reste donc à peu près rien du mobilier ancien à l'exception de la chaire du XVIIIème siècle, des fonts baptismaux à deux cuves du XIVème siècle, de quelques enfeux sur lesquels nous ne reviendrons pas, d'un bénitier Renaissance donné en 1640, d'une statue de la sainte Vierge ornant le trumeau du portail des cloches, des belles stalles, malheureusement très remaniées en 1648, dont l'exécution avait été confiée à Gérard Dru et Tugdual Kergus par marché du 22 mars 1508, enfin d'un chasublier exécuté en 1650 moyennant 236 livres (classé).

Le maître-autel monumental, dont commande avait été passée au maître levallois Tugdual Caris en 1639 moyennant 3.600 livres et qui avait échappé à la destruction des patriotes, fut remplacé au milieu du XIXème siècle par le maître-autel actuel, transformé récemment. Les trois statues qui l'ornaient, dûes au ciseau de François Fortin, maître sculpteur parisien, ont également disparu.

Depuis, les archiprêtres de Tréguier se sont efforcés de pallier les destructions de la soldatesque révolutionnaire ; et il convient tout particulièrement de rappeler l'action heureuse de l'abbé Durand, qui, au milieu du XIXème siècle, sut réunir un mobilier intéressant, entre autres le buffet d'orgues provenant de l'abbaye de Bégard, un retable flamand du XVIème siècle, un bel autel du XVIIIème siècle, enfin plusieurs bahuts.

Son action est poursuivie par M. le chanoine Lainé qui non seulement a fait restaurer entièrement la cathédrale, mais l'a orné avec beaucoup de goût aidé par l'habile sculpteur qu'est M. Savina. Il convient de signaler tout particulièrement un Christ du XIIIème provenant de Trémel, un Ecce Homo et une statue de Notre-Seigneur au Jardin des Oliviers ; un Crucifix du XIVème siècle ornant la chapelle du Saint-Sacrement et provenant du Morbihan ; un saint Michel du XVIIIème siècle de style espagnol ; plusieurs statues anciennes de saint Yves ; enfin un tableau signé A. NOBLET et provenant d’un retable du XVIIIème siècle.

Parmi les œuvres d'arts modernes, une mention spéciale est dûe aux verrières ornant les baies de la chapelle du duc, verrières exécutées par le maître Lardeur et dûes à la générosité des barreaux parisien, américain et belge (R. Couffon).

 

Dans le transept méridional :

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Un panneau du XVIIème siècle (Saint Jean rédige l'Apocalypse)

 

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Un groupe de Saint-Yves entre le riche et le pauvre

 

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Un ensemble de bénitiers

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Quelques chapelles du choeur :

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La chapelle de la Vierge

Le Choeur et le Maître-autel :

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Quelques statues :

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La Pietà (XVIème siècle)   

     

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Marie et l'Enfant (XVIIème siècle)   

 Croix située près de la sacristie

     

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Chapelle Saint-Yves ou Chapelle au Duc :

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Tombeau du duc de Bretagne Jean V

 

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Christ en croix entouré de deux anges     

    
       

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Statue de saint Yves (XVIème siècle)   

   Vitrail de la chapelle au Duc (ou Saint-Yves)

      

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Vitrail de la chapelle au Duc (ou Saint-Yves)

Vitrail de la chapelle au Duc (ou Saint-Yves)

        

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Vitrail de sainte Marie et saint Joseph

   

    

 

Mausolée de Saint-Yves :

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Quelques enfeus :

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Divers :

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La chaire

Le fond de la cathédrale

 

   

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Les orgues

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Les derniers évêques de Tréguier

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Vitrail d'une chapelle

Vitrail d'une chapelle

Nota : les photos réalisées par Gilbert Frey sont la propriété du site infobretagne.com.

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