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KEMPER ou QUEMPER DE LANASCOL

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KEMPER (DE) ou plus communément QUEMPER DE LANASCOL, en Bretagne.

Le nom de Quemper, qu'on écrit aussi Kemper, est commun à plusieurs endroits de Bretagne. On ne doit pas s'arrêter à la manière différente d'orthographier celui de la ville épiscopale de Quimper, capitale du duché de Cornouailles en Armorique. Cette différence est trop légère pour en être une véritable au contraire, le surnom de Corentin qu'elle porte prouve ce qu'on vient d'avancer, puisqu'on ne peut le lui avoir aussi généralement donné que pour la distinguer des autres lieux du même nom.

La maison dont il est ici question paraît, suivant les plus antiques traditions, tirer le sien de la châtellenie de Quemper-Guezenec, située près de Pontrieux, dans l'évêché de Tréguier qui a très-anciennement appartenu aux comtes de Cornouailles, et qui a depuis passé dans les maisons de Laval, de la Roche-Jagu et autres.

Ces rapports peuvent faire croire que la maison de Quemper descend de ces anciens comtes de Cornouailles, ou tout au moins qu'elle a des liaisons très-intimes avec eux.

D'autres considérations peuvent la rattacher à la maison de la Rochederrien (Roche-Derrien). L'arrêt du 20 juillet 1669, rendu en faveur de celle de Quemper, par les commissaires sur le fait de la réformation de la noblesse en Bretagne parle d'un Eudes de Quemper qu'il qualifié puîné d'un autre Eudes de la Rochederrien et reconnaît que la maison de Quemper descend de cet Eudes de Quemper. Et en effet, un acte latin de 1218, qui se conserve dans les archives de Rohan, dit que Eudes de la Rochederrien, partant pour la Terre-Sainte emprunta 600 livres de Geoffroy vicomte de Rohan, et lui remit pour sûreté de cette somme, son château de la Roche (Derrien), et le fils et la fille d'Eudes de Quimper, qu'il y appèle son oncle.

Parmi les titres de l'abbaye de Bégard il existait encore dernièrement un autre acte latin qui portait que l'église de Saint-Maudez en ladite abbaye avait été fondée par un seigneur du nom de Quemper.

Cette maison a beaucoup souffert dans tous les troubles qui ont désolé la province de Bretagne, et elle a perdu tous ses titres à trois reprises différentes : d'abord vers 1500, avant que la Bretagne ne fût réunie à la France, ensuite pendant les guerres de la Ligue, ce qui est constaté par un arrêt du parlement de Rennes rendu en 1598, contre le capitaine Kersolio (Kersalio) et le Parc, son enseigne ; enfin dans les malheurs de la dernière révolution, en 1790.

On ne peut donc citer aucune jonction entre Eudes et Nicolas de Quemper, par où nous allons commencer.

 

I. Nicolas DE QUEMPER fut homme d'armes dans la compagnie de messire Jean de Porhoet ou Penhouet (ou Penhoët), amiral de Bretagne, comme on voit dans la montre de ladite compagnie, signée Busson, faite à Monfort le 27 juin 1420, et qui est dans les archives de Combourg. Cette compagnie faisait partie de l'armée de Raoul, sire de Coatquen, maréchal de Bretagne ordonnée pour le recouvrement de la personne du duc Jean V, que d'autres comptent pour le Vème de ce nom, et de Charles son frère pris et détenus par Olivier de Blois comte de Penthièvre.

Par contrat du 20 janvier Nicolas de Quemper avait épousé Marguerite, fille unique et héritière de la maison de Lesmaës dont les armes sont : d'argent au greslier de sable, accompagné de trois merlettes du même, posées 1 et 2.

Pezron de Quemper, frère de Nicolas demeurait à Keraenroux (Keranroux), paroisse de Ploubers (Ploubezre), et fut en 1427, porté au rôle des nobles de cette paroisse, dans la réformation de cette année qui est à la chambre des comtes de Nantes.

 

II. Allain DE QUEMPER, Ier du nom, fils aîné de Nicolas, épousa Téphaine le Glas, fille aînée de la maison de Kerdronio, qui possédait le château de Kerau-Glas ce qui veut dire le manoir de Glas. Ses armes sont : d'argent à un lion rampant de sable. Ses enfants furent :

1° Jean, qui suit ;

2° Roland, 3° Nicolas, 4° Perceval, 5° Anne, et 6° Jeanne, tous relatés dans un partage de 1511 et dans un autre acte de 1514, relatif à la succession dudit Roland.

 

III. Jean DE QUEMPER, épousa, en 1474, Jeanne de Leizour, dame de Lanascol dont les armes sont : de gueules, à trois coquilles d'argent, posées 2 et 1 avec un croissant montant d'or en abîme.

C'est depuis ce temps que la maison de Quemper a pris le nom de Lanascol, et en a souvent écartelé les armes avec les siennes.

Jeanne le Leizour était veuve à la réformation de 1516, et avait eu sept enfants, dont entr'autres :

1° Pierre, qui suit ;

2° Gilles, abbé commandataire de l'abbaye de Notre-Dame de Beauport ; il fut souvent député aux états de la province, et chargé par eux, en 1539, de présenter leurs cahiers au roi François Ier comme le prouve l'acte de sa mission, signé P. Cohier. Il mourut le 4 mars 1546.

 

IV. Pierre DE QUEMPER épousa, - 1° par contrat du 20 mars 1521, Marie Morice, héritière de Kerbane, paroisse de Prolesempre (Plouzélambre), du Nivirit et Kéradrouault, dont les armes sont : d'argent, à trois bandes de gueules, avec un franc-quartier du même, chargé d'une coquille d'argent et d'une demi-coquille du même, mouvante du flanc sénestre de l'écu ; elle mourut sans enfants ; - 2° Jeanne Berard, fille de Jean Berard, seigneur de Kermartin près de Tréguier, de la famille du bienheureux Saint-Yves elle transigea sur partage le 13 septembre 1542 avec Françoise, sa sœur aînée qui avait épousé Maurice de Quelen, seigneur de Loquenvel et de Kermartin . ses armes sont : d'or, à la croix dentelée de sable, cantonnée de quatre aigles à deux têtes éployées du même ; elle fut mère d'Alain II, qui suit ; - 3° Mathurine de Kerisec et de Kerguirione, évêché de Vannes, dont les armes sont : de Bretagne, au chef d'argent, chargé de deux coquilles de gueules.

Elle fut mère de François de Quemper, mort jeune et se remaria à François de Rosmar, seigneur de Kerbalanen, fils aîné du seigneur de Kerdaniel, comme on le voit par la liquidation de son douaire et de la communauté de son premier mariage, faite en 1539.

Pierre vivait encore en 1535, et fut compris dans la réformation de la noblesse qui eut lieu cette année.

 

V. Allain DE QUEMPER, IIème du nom, paraît être né en 1546 ; il requit d'être considéré comme majeur, attendu qu'il avait vingt ans. Il recueillit la même année la succession de son oncle Gilles, abbé de Beauport.

Le 11 juillet 1546, il épousa Madeleine de Lagadec, fille aînée de Charles de Lagadec, sieur de Kervégan, et de Françoise Bristo, de la paroisse de Pleumeur-Gaultier (Pleumeur-Gautier), dont les armes sont : de Bretagne, à la rose de gueules en abîme.

En 1568, il fit enquête pour prouver sa noblesse, et reçut plusieurs certificats à cet effet, datés des 4 et 7 février de ladite année.

En 1592, ayant été fait prisonnier ès guerres où il servait le roi, il obtint un passeport pour aller chercher le prix de sa rançon et vu qu'il avait au moins soixante-six ans, il est probable qu'il avait employé toute sa vie au fait des armes.

 

VI. Gilles DE QUEMPER, son fils, sieur de la Garaine, épousa, par contrat du 20 ou 25 février 1595, Jeanne de Quelen, fille unique de Martin de Quelen, seigneur de Kerhoz, de Croixchalant et de Kerbota, paroisse de Pleubihan (Pleubian), évêché de Tréguier et de Louis de Bégaignon, dont les armes sont : burelé d'argent et de gueules de dix pièces.

Il servit le roi dans ses armées, y fut fait prisonnier de guerre, et même, à ce qu'il paraît, plusieurs fois, et paya de grandes rançons. Ses enfants furent :

1° Allain, qui suit ;

2° Marguerite, qui épousa, le 2 novembre 1614, Yves de Gouasbriant (Goesbriand), seigneur de Roscoat, paroisse de Tréduder, évêché de Tréguier ;

3° Trois autres filles.

 

VII. Allain DE QUEMPER, IIIème du nom, seigneur châtelain de la châtellenie de Lanascol, la Lande, Plomnilliau (Ploumilliau), Kermenguy, Gouergadiou, épousa par contrat du premier mars 1620, Julienne du Cozcaer ou Cozcar, fille de François de Cozcar, seigneur de Barach et de Rosambeau, et de Marie de Kerancoaut ou Kerhoent, fille unique, descendante de la maison de Kergournadech ; elle reçut son partage par acte du 30 mars 1634 ; ses armes sont : écartelé d'or et d'azur, qui sont celles de la châtellenie de Barach, paroisse de Louance (Louannec), évêché de Tréguier.

Allain donna partage à ses sœurs le 6 septembre 1623.

Le 4 juillet 1644, la reine mère Anne d'Autriche, régente pendant la minorité du roi Louis XIV, son fils, lui envoya le collier de l'ordre de Saint-Michel. Ses enfants furent :

1° François, mort en 1652, à l'âge de vingt-quatre ans, sans alliance ;

2° Pierre, mort enfant ;

3° Joseph-François, qui suit.

 

VIII. Joseph-François DE QUEMPER fut d'abord simplement nommé François au baptême ; il reçut à la confirmation le nom de Joseph, qu'on lui donna pour le distinguer de son frère aîné.

Par contrat du 20 février 1659, il épousa Catherine Urvoy, fille de Gilles Urvoy, seigneur de Saint-Gleu (Saint-Glen), Duault, Belloriaut la Mothe, Lassaigne et la Villegourio, dans les paroisses de Saint-Gleu (Saint-Glen) et de Trébit (Trébry), évêché de Dol et de Saint-Brieux ès enclaves, et sénéchal du duché de Penthièvre au siège de Lamballe, et de Marguerite le Vicomte, dont les armes sont : d'azur, au lion rampant d'argent, lampassé et couronné d'or, dont elle faisait quelquefois les quartiers 2 et 3 d'un écartelé dont alors les quartiers 1 et 2 sont d'argent [Note : On est porté à croire qu'il y a erreur ici, et que ce champ doit être d'or. Alors ce sont les armes de la maison de Courson de la Villevalio, dont est le colonel du 5ème régiment d'infanterie de la garde du roi], à trois chouettes de sable, becquées et armées de gueules, et posées 2 et 1.

Joseph-François partagea ses cadets en l'année 1660.

 

IX. Charles-René-Joseph DE QUEMPER, Ier du nom, fils du précédent, baptisé le 18 avril 1668, épousa, par contrat du 25 octobre 1694, Françoise-Anne, marquise de Cleux, fille de Julien de Cleux, seigneur du Gage, et de Claude de Guergarlay du Cludon. Ses armes sont : parti endenté d'or et de gueules.

 

X. Jacques-Yves-Joseph DE QUEMPER, Ier du nom, né le 27 octobre 1697, fut reçu page de la grande écurie du roi le 30 mars 1715 et est mort en 1768, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis. Il épousa, par contrat du 22 janvier 1722, et avec dispense du pape Innocent XIII, en date du 13 novembre 1721, sa cousine-germaine Marie, marquise de Cleux, fille aînée de Jacques-Charles de Cleux, seigneur du Gage, et de Charlotte-Renée de Lémo. Mêmes armes que dessus.

 

XI. Charles-Claude-Yves-Joseph-François DE QUEMPER, IIème du nom, fils du précédent, épousa, le 24 novembre 1749, aussi avec les dispenses nécessaires du Pape Benoît XIV, du 21 juillet précédent, encore sa cousine-germaine Charlotte Marie Claude de Cleux, fille aînée de Claude-Hyacinthe de Cleux, marquis du Gage, et de Marie-Marguerite du Parc-Locmaria.

Cette dame était de la même maison que Louis-François du Parc, marquis de Locmaria et du Guérand (ou Guérrand), lieutenant-général des armées du roi et commandant pour sa majesté dans la province des Trois-Evêchés, à qui le roi avait donné quatre canons et trois coulevrines de fonte, en mémoire de la conduite brillante qu'il avait tenue à la bataille de Spire, en 1703. Il les avait placés dans son château du Guérand, lequel, parce que son fils mourut sans enfants en 1745, est, après quelques générations, revenu par succession aux héritiers de ladite Marie-Marguerite du Parc, marquise du Gage, et est enfin, par suite des partages, échu à MM. de Lanascol, qui l'ont conservé jusqu'à la révolution de 1790.

Encore mêmes armes que ci-devant.

 

XII. Jacques-Yves-Joseph-Marie DE QUEMPER, IIème du nom, marquis, de Lanascol et du Guérand, seigneur de Kerhallin, de la châtellenie de Lanascol, de la Lande, de Ploumilliau, de Guengat et Lezarcoet, du Gage, du Cleux, de Chemillé, de Kermartin et de beaucoup d'autres lieux dont l'énumération serait trop longue, fils du précédent, naquit le 25 septembre 1759, et épousa, le 28 avril 1783, Marie-Marguerite-Françoise-Julie de la Boessière, fille de Bertrand-Pierre-Marie, IIIème du nom, marquis de la Boessière, seigneur de Lennuic, etc. et de Marie-Jeanne de Tavignon, dont les armes sont : de sable, au sautoir d'or.

Le marquis de Lanascol, déterminé par les plus grands motifs de fidélité envers Dieu et le roi, émigra en 1790. Cette démarche généreuse lui fit perdre une fortune immense dont il ne resta rien. Il fit, dans l'armée des princes, frères du roi Louis XVI, la campagne de 1792. En 1801, il profita de l'acte qui ouvrit la porte de la France aux émigrés, rentra dans sa patrie, et y mourut en laissant pour enfants :

1° Aline-Yvonne-Marie-Charlotte-Marquette, née le 13 février 1785 ; épousa, le 2 août 1802, Achille-Armand-Charles, comte de Barrin, cousin germain de la marquise de la Boessière, aïeule de ladite Aline ;

2° Charles-Marie-Marc-Jacques, qui suit ;

3° Adolphe-Marie, née au château de Lanascol en février 1790, et mort à Bonn, dans l'électorat de Cologne, en mars 1791 ;

4° Frédéric-Charles-Joseph-Marie, dit le comte de Lanascol, né à Mayence, en Allemagne, le 2 juillet 1792 ; a eu pour parrain Frédéric-Charles-Joseph, comte d'Hertal, prince, archevêque et électeur de Mayence, archichancelier de l'empire en Germanie.

Il est entré au service en 1808 ; a été nommé, le 14 janvier 1811, sous-lieutenant au quatrième régiment des cuirassiers, avec lequel il a fait la campagne de 1812, où il perdit plusieurs fois ses équipages et quelques doigts des pieds qu'on lui amputa parce qu'ils avaient été gelés sur les bords de la Bérésina, où il se distingua beaucoup avec ce corps dont la brillante conduite fut très utile au salut de l'armée qui revenait de Moscow. Il fit ensuite la campagne de 1813, et fut, le 31 décembre de la même année, fait prisonnier à Coblentz et conduit en Allemagne. Il ne dut sa liberté qu'à la première restauration du roi Louis XVIII.

Le 4 février 18i5, il fut nommé lieutenant au même régiment, et le 2 mars suivant, monseigneur le duc d'Angoulême, colonel-général des cuirassiers, le nomma, par un choix particulier, porte-cornette blanc de son régiment.

Au mois de mars 1815, il refusa de servir l'usurpation, obtint un congé, et malgré la loi qui décernait la peine de mort contre quiconque tenterait d'émigrer, il n'en profita que pour passer dans l'île de Jersey, avec l'intention de se rendre à Gand, auprès de sa majesté. M. le duc d'Aumont, premier gentilhomme de la chambre du roi, et commandant pour sa majesté en Basse-Normandie, le retint dans cette île avec quelques autres sujets fidèles. Ils en partirent le 4 juillet 1815, au nombre d'environ cent quarante officiers, et fit partie de l'avant-garde de vingt-cinq officiers qui enleva la batterie d'Aromanche, et débarquant audacieusement sous le feu d'une batterie qui ne fit aucun mal à leurs chaloupes, ils s'en emparèrent, et bientôt après de la ville de Bayeux, et la remirent sous l'obéissance du roi, qui n'entra dans Paris que le 8 du même mois. Le comte de Lanascol fut ensuite créé lieutenant en premier dans le second régiment des cuirassiers de la garde royale, par brevet du 12 octobre 1815 ;

5° Georges-Marie-Charles-Yves dit le vicomte de Lanascol, né le 3 février 1795, à Winchester, en Angleterre ; a été garde d'honneur le premier mai 1813, a fait la campagne de cette même année, après laquelle il fut, le 28 septembre 1813, nommé sous-lieutenant dans le premier régiment des cuirassiers, où il a fait la campagne jusqu'à la capitulation de Paris ; le 5 mai 1814, sous-lieutenant au régiment du Roi, cuirassiers.

En mars 1815, il était à Orléans, et se joignit au petit nombre d'officiers fidèles qui tentèrent, au péril de leur vie, de s'opposer à la défection de leur régiment. Obligés de se retirer après ce combat, ils vinrent à Paris, où le vicomte de Lanascol donna sa démission, se réunit à son frère et courut la même fortune que lui, étant aussi de la petite-avant-garde de vingt-cinq officiers qui enleva la redoute ou batterie d'Aromanche.

Après le second retour du roi Louis XVIII, il fut nommé sous-lieutenant au premier régiment des cuirassiers de la garde royale par brevet du 10 octobre 1815 ;

6° Hyacinthe-Marie-Marc, né le 16 septembre 1800, à Londres, en Angleterre, et mort à Paris le 25 août 1802 ;

7° Hyacinthe-Jacques-Marie-Charles, dit le chevalier de Lanascol, né à Morlaix le 16 janvier 1804 ;

8° Eugénie-Marie-Charlotte, née le 7 juin 1796, à Bath, en Angleterre.

 

XIII. Charles-Marie-Marc-Jacques de QUEMPER IIIème du nom, marquis de Lanascol, né le 8 septembre 1786, au château de Kerano près de Guingamp, appartenant à son aïeul maternel.

Armes : « D'argent, au léopard de sable, accompagné de trois gouniffles ou coquilles du même, placées en chef ». D'Hozier et la Chenaye-des-Bois, mettent dans les armes trois étoiles au lieu de trois coquilles ; c'est une erreur.

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