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L'adjectif ethnique attaché au nom de cette commune est gomenéen.
Sous l'Ancien Régime, Gommené (sic) était une paroisse du diocèse de Saint-Malo. Cette paroisse a élu sa première municipalité au début de 1790.
Par l'ordonnance du 1er octobre 1817, la limite entre la commune de Gommené et celle de Ménéac (Morbihan) a été modifiée : Gommené a abandonné à Ménéac l'enclave du Désert en échange de l'enclave de la Ville-Menot et d'une autre fraction bordant le ruisseau du Vaudinet.
Par le décret du 30 octobre 1954 (authentifiant le dénombrement), le nom de la commune est devenu Gomené.
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Un monument est à signaler bien qu'il ne soit pas protégé au titre de la législation des monuments historiques : le manoir des Aulnays, datant du XIVème siècle.
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La vie de Gomené a été assez mouvementée pendant la Révolution et le Consulat :
1) Le 5 août 1796, Augustin le Moine, vicaire de Gomené et aumônier des Chouans, fut tué dans le cimetière par une colonne mobile ;
2) Au début de janvier 1802, plusieurs Chouans furent capturés dans une auberge à la Villeneuve et un dépôt d'armes fut découvert chez le percepteur ;
3) En représaille, la tenancière de l'auberge de la Villeneuve fut exécutée le 17 février 1802 par Les Chouans de Dujardin ;
4) Le 16 juillet 1802, eut lieu le dernier combat qui opposa aux gendarmes de Loudéac des Chouans survivants de la bande de Dujardin (Dujardin était un déserteur flamand).
(Bulletin d'informations des maires).
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