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HENANBIHEN |
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La commune de Hénanbihen ( Henant-Bihan) fait partie du canton de Matignon. Hénanbihen dépend de l'arrondissement de Dinan, du département des Côtes d'Armor (Bretagne). |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de HENANBIHEN
Hénanbihen vient du breton « hénan » (ancien) et « bihan » (petit).
Hénanbihen est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Hénan(t) dont le chef-lieu se trouvait jadis à Hénansal. Il existe au Moyen Age une famille de Hénanbihen : Guillelmus de Henaut (pour Henant?) apparaît en 1177 et Magister Guillelmus de Henant-Bihan, en 1226 (Anc. év. IV, 408 ; III, 61).
Henan possède une église dédiée à saint Pierre dès 1163 (Anc. év. IV, 278). Il semble qu'avant 1200, Hénanbihen s'appelait seulement Henan ou Henant. Henant Bihan est cité dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois dès 1209 et, comme paroisse, dès 1213. L'église paroissiale est donnée en 1233 à l'évêque de Saint-Brieuc : celle-ci devient alors un "regaire" de l'évêque de Saint-Brieuc.
La paroisse de Hénanbihen appartient, au Moyen Age, au diocèse de Saint-Brieuc L'ancienne paroisse de Hénanbihen avait pour subdélégation Lamballe et pour ressort Jugon. L'évêque de Saint-Brieuc en était le seigneur. En 1648, la collation de la cure appartient au pape et à l'évêque, en leurs mois. Durant la Révolution, la paroisse de Hénanbihen dépendait du doyenné de Matignon. Hénanbihen élit sa première municipalité au début de 1790. La commune de Hénanbihen est chef-lieu d'un canton de 1790 jusqu'en l'an X.
Certains lieux-dits tels que le village du Temple témoignent de la présence des templiers. Cette possession relevait du Temple de Montbran. Une charte de 1182 mentionne comme autres possessions templières La Ville-Barbé et Saint-Samson. D'après un acte de 1160, les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem possédaient le Tertre-Conan et la Grande-Fontaine et avaient une aumônerie à la chapelle Saint-Jean de l'Hôpital, dépendance de la Croix-Huis, en Matignon et membre de la commanderie de Carentoir. L'abbaye de Saint-Aubin des Bois avait également des biens dans la paroisse, notamment à la Guichousais, Ville-Orin, Ville-Hulin, Ville-Gestin, Gavre, Pont-Ruellan et la Guérande. Il y avait anciennement en Hénanbihen un prieuré dit de Notre-Dame de Miséricorde.
On rencontre les appellations suivantes : Henant Bihan (au XIIème siècle), Henan Bian (en 1209), Henant Bihan (en 1213, en 1226, en 1230), Henanbihan (en 1220, en 1231), Henantbihan (en 1231), Henantbihan, Henanbihan (en 1232), Henant Bihen (en 1244), Henanbihan, Henant Bihan (en 1246), Henantbihan (en 1277, en 1298), Henanbihen (en 1378), Henant Bihan (en 1407).
Note 1 : en 1139, Olivier de Dinan donne à l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois la moitié des dîmes de Hénanbihen. En 1758, les régiments du maréchal de camp de Balleroy stationnent à Hénanbihen, avant le combat qui a lieu à Saint-Cast.
Note 2 : la ville de Hénanbihen est formée des villages : la Nouette, la Cahuette, Houyadon, Saint-Jean, Chapelle-Saint-Jean, la Villemarqué, Saint-Briac, la Tourandaie, Saint-Samson, les Botteries, la Porte-au-Duc, la Villehalé, le Reposoir, les Trois-Oranges, Saint-Sauveur, Lorgerie, la Follinais (?), la Ville-Téhérel, la Guérande, le Temple, la Ville-Derrien, le Fais, les Villemorin, les Planches, la Croix-Chemin, etc …
Voir " Le cahier de doléances de Hénanbihen (Hénan-Bihen) en 1789 ".
PATRIMOINE de HENANBIHEN
l'église Saint-Nicolas (1904-1909). L'ancienne église du XIVème siècle était sous l'invocation de saint Nicolas et de saint Guillaume. Si l'on en croit la tradition, saint Guillaume n'était qu'un simple vicaire de Hénanbihen lorsqu'il fut nommé à l'évêché de Saint-Brieuc. En forme de croix latine, elle comprend une nef avec bas côtés de six travées plus celle du clocher, un transept et un choeur. Construite sur les plans de M. Le Guerrannic, la première pierre fut bénite le 13 novembre 1904 et l'édifice terminé le 5 septembre 1909. L’église a été consacrée le 27 septembre 1925. Dans le cimetière, l'on a conservé le porche de l’ancienne église du XIVème siècle qui avait été réparée sur les plans du sr. Botrel, architecte, en juillet 1780. Lorsqu'on avait bâti la chapelle du Rosaire (devenu ensuite l'archiconfrérie de Notre-Dame de l'Espérance) et le bas-côté au Nord, on avait détruit une chapelle qui existait jadis sous l'ancienne sacristie. La tour de l'ancienne église avait été construite en 1775 et il existait jadis une crypte sous le choeur de l'église. L'ancienne église est détruite à la fin du XIXème siècle. On y trouve un bénitier daté du XVème siècle et décoré d'une croix de Malte. La chaire est datée du XVIIIème siècle. Bel aigle de lutrin du XVIIIème siècle. L'église abrite des statues anciennes de saint Nicolas, saint Joachim, saint Guillaume, saint Yves, saint Jean, une statue en bois polychrome de sainte Anne (XVIIème siècle) et des anges, en bois doré, datés du XVIIIème siècle. L'autel est orné des statues de sainte Anne et de saint Joseph. En 1617 Marguerite Tournemine vend à Jean Jocet, sieur de l'Argentaye « son droit de banc dans l'église de Hénan-Bihen, dans le chœur, du costé de l'Evangile, contenant cinq pieds de large sur huit de long, plus au bas du chœur un tombeau et dans la nef deux tombes armoyées » ;
la chapelle Saint-Gilles de la Villejosse (XVIIème siècle). Edifice de plan rectangulaire avec chevet arrondi, paraissant dater du début du XVIIème siècle, désaffecté vers 1939 ;
la chapelle du Sacré-Cur (1910), située au château de la Villehelleuc (ou Ville-Heleuc) et dédiée au Sacré-Cœur. Edifice de plan rectangulaire datant du XIXème siècle ;
les anciens lieux de culte aujourd'hui disparus : - la chapelle Saint-Samson, mentionnée dès 1182 parmi les possessions de la commanderie de La Guerche, ses matériaux furent vendus en 1812 ; - la chapelle Saint-Jean de l'Hôpital. Edifice de plan rectangulaire réédifié au début du XVIème et tombant en ruines vers 1935-1939. La chapelle dépendait de la Croix-Huis, membre de Carentoir ; - la chapelle de la Ville-Tréheu ; - la chapelle Saint-Hubert de la Haye (ou Haie) ; - la chapelle Saint-Barthélemy. C’était la crypte de l’ancienne église, détruite ; - la chapelle Sainte-Marguerite. Chapelle souterraine, également sous l’ancienne église, détruite ; - l'oratoire Saint-Méen, dans le cimetière, détruit ; - l'oratoire Saint-Thomas, dans le cimetière, détruit ;
le château de la Villehelleuc (1830), situé à lemplacement dun château primitif (1360), propriété de la famille Normand de La Villehelleuc. Propriété de Jean Normant ou Normand en 1476 et de Jehan Le Normant en 1536. Le domaine est vendu comme bien national en 1792. Le château est incendié en 1795. Le château est reconstruit en 1830. La chapelle privée du château date de 1910 ;
le manoir de la Ville-Haslé (ou Ville-Allé). Propriété d'Olivier Martel en 1428, de François Guerande en 1536, de Georges et de Jean de la Guerande en 1569 ;
le manoir de la Guérande ou Guerrande (XVI-XVIIème siècle). Propriété de Jean de la Guerrande (ou Guérande) en 1428 et en 1448, de Pierre de la Guerrande (fils de Jean) en 1476, de Jacques de Lescouet (sieur de la Moguelaye) en 1536. Une tour est située à l'arrière de l'édifice. Propriété de la famille de François-René de Chateaubriand jusqu'en 1818 ;
le manoir de Lorgerie ou Lorgeril (XVème et XVIIIème siècles). Propriété de Roland de la Moussaye en 1448, de Jean de la Moussaye en 1476, de Jacques de la Moussaye en 1536 et de Georges de la Moussaye en 1569 ;
la grange de la Ville-aux-Maîtres ou Ville-au-Mestre (XVIème siècle). La terre de Ville-au-Mestre appartenait à François des Rondieres en 1536. Cette grange se situe à l'emplacement d'un ancien château ayant appartenu au marquis Ménard de Toucheprès, puis aux familles Bréjerac et Floÿd ;
le manoir du Reposoir (XVIème siècle). Ce manoir (du nom de Reposouer ou Reposouez) est attesté dès 1420, mais, en sa forme actuelle, date du XVIème siècle. Propriété de Jeanne de Largentays en 1448 et de Guyon de la Motte en 1536. L'édifice était jadis entouré de douves et possédait une chapelle privée dédiée à Notre-Dame de la Pitié ;
le manoir de la Folinaie (XVIème siècle). Propriété successive des familles de la Moussaye (aux XVIème et XVIIème siècles), de la Goublaye (au début du XIXème siècle), de M. Sevoy (au milieu du XIXème siècle), de La Villehelleuc (à partir de 1868), de Senevas (au XXème siècle) ;
le manoir de la Ville-Josse (fin XVIIIème siècle). La terre était la propriété de Roland Martel en 1428 et de Jehan Martel en 1480 ;
le manoir de la Ville-Maupetit (XVIIIème siècle). Il possédait jadis cinq tourelles et des douves ;
l'oratoire du cimetière. Cet édifice est constitué d'un porche et d'autres éléments provenant de l'ancienne église du XIVème siècle, détruite vers 1895. Il abrite le tombeau de Mgr Boivin, archevêque d'Abidjan, né à Hénanbihen et décédé en 1970 ;
la croix de Saint-Jean ;
la croix de Beau-Soleil ;
la croix située près de la Saudraye ;
la croix de Saint-Mirly ;
6 moulins dont le moulin à eau de Gouro et les moulins à vent du Tertre-Helleuc, de St Jean, des Landes dA-haut, de Ville-Maupetit ;
A signaler aussi :
l'allée couverte de Lorgerie (époque néolithique) ;
Voir " Informations diverses sur la ville de Hénanbihen ".
ANCIENNE NOBLESSE de HENANBIHEN
En 1360, la Ville-Heleuc (ou Villehelleuc ) appartient à Alain le Normand. Un membre de cette famille est abbé de Saint-Aubin-des-Bois en 1380, un autre possède la Villehelleuc en 1780. En 1364, Jacques de la Planche est l'un des cinq témoins du traité du comte de Montfort avec l'abbé et les habitants de Redon. En 1369, la seigneurie de la Planche appartient à Roland de la Planche, fils de Geoffroi de la Planche et de Jeanne de Montauban. En 1371, Roland de la Planche figure, comme écuyer, à la montre du sire de Montauban, à Pontorson. En 1470, la Ville-Josse appartient à la famille Bertho (ou Berthot). Jacques Bertho est nommé abbé de Saint-Gildas-de-Ruis en 1678 et meurt en 1681. En 1470, la Ville-au-Maître appartient à Jean des Rondières, sieur de la Ville-au-Maître. Les Regaires (avec moyenne justice) appartenaient à l'évêque de Saint-Brieuc. La Salle et Bois-Riou (avec moyenne justice) appartenaient à M. de la Guerrande. La Ville-Couteur (avec moyenne justice) appartenait à Gouyon des Briands. Les autres maisons nobles étaient : La Ville-Marquet, la Guerrande, Lorgeril, la Follinais, le Reposoir et la Ville-Maupetit.
Lors de la réformation du 5 janvier 1428, sont mentionnés plusieurs nobles de Hénanbihen : Pierre de Saint-Denoual, Jean de La Guerrande, Jouhan Le Fruilays, Olivier Martel (de la Meterie), Roland de La Moussaye, Alain Normand, Olivier Martel (fils de Guillet Martel), Jehan de La Planche, Roland de La Planche, Roland Maupetit, Juhel de La Villeandré, Guille Maupetit, Geffroy Chapelle, Guillet Rimo, Roland Martel (de La Ville-Josse), Guillaume Maupetit, Jehan Guerrande, Guyon Martel, Olivier, fils de Jean Martel, Olivier Martel (Ville-Aen ou Ville-Hale), Jean Billy, Simon Fruilays, Henri Le Fruilays, Guillaume Hus, Olivier Guiomar, Olivier Menczat (ou Herszart ou Hersart ?), Guillaume Ruellan, Jean Paignon, Pierre Le Roux, Jean Herizat (ou Hersart ?), Bertrand Le Dos, Pierre Gaudin, Jean de Saint-Meloir, Olivier Cordelier, Jean Quetier, Simon Ruallen, Jouhan Corbasson.
Lors de la "revue et monstre généralle des nobles, ennobliz,
exemptz et aultres tenantz fiefs nobles et subjects aux armes de l’Evesché de
Saint-Brieuc, tenue à Moncontour par haut et puissant Messire Tristan du
Perrier, Comte de Quintin ; noble et puissant Messire Guyon de la Motte,
Chevalier, sieur de l’Orfeuil et de Vauclerc ; Messire Amaury de la Moussaye,
Chevalier, sieur du dict lieu de la Moussaye, commissaires commis et députez par
mandement patent du Duc nostre souverain seigneur, quant à ce, les viije, ixe et
xe jours de janvier l’an mil iiiie lxix ", on mentionne, en janvier 1469, pour
Hénan-Bihan (Hénanbihen) :
– Jeanne de la Moussaye.
– Bertrand de la
Guerrande.
– Jean Martel-Villejosses.
– Jean des Rondiers.
– Philippe
Le Dos.
– Jean Normand.
– Olivier Le Fruglais.
– Jean Mouesson.
–
Jean Alanic, Geffroi Alanic.
– Jean Maupetit.
– Pierre de la Planche, en
robe.
– Bertrand Hersart.
– Jean de la Monneraye.
– Pierre Guerrande.
– Robert et Charles Martel.
– Guillaume Paignon.
– Guillaume Martel.
–
Pierre Rouault.
– Jean de la Chapelle.
– Pierre Volette.
– Olivier
Rimou.
– Guyon Ruallen. Jean Le Seneschal de Villeréal.
– Marie Le
Fruglais, par Pierre Fauchet.
– Rolland Berthélemer.
– Julien Paignon.
– Geffroi Quettier.
– Pierre et Guillaume Martel.
– Jean et Eustache
Saulnier.
– Jean Coronel.
– Pierre Amyot.
– Dom Rolland Périgault.
–
Eon, Guillaume et Marie Pottier.
– Pierre Le Démours.
– Etienne Rouault.
– Rolland Louët.
– Coline Derien.
– Pierre Autin.
– Rolland de
Saint-Méloir.
– Dom Rolland Regnault.
Lors de la réformation du 4 mars 1536, sont mentionnées plusieurs maisons nobles de Hénanbihen : la Terre-Gallan, la Ville-Guichard et la Ville-André (à Jehan de Saint-Denoual), le Reposoir, la Ville-Péan et la Ville-Hulin (à Guyon de La Motte), la Guérande et la Ville-Gestin (à Jacques de Lescouet), Lorgerie, la Ville-Poissin et La Chesnaye (à Jacques de La Moussaye), les Landes-Martel (à François de La Planche), la Touche, la Ville-Bayeux et la Ville-aux-Mestre (à François des Rondieres), Trébessant et les Sencyes (à Jehan Rouxel, sieur de l'Hôpital), les Murs (à Julien de Rondier), la Planche-Keradreux et la Perrière (à Pierre Dyvignac), la Planche-Chartier, Quingueux, la Lande (à François de Saint-Guedas), la Ville-Morin (à François du Boaysrio), la Croix-Chemin (à Olivier de Saint-Denoual), la Guichousaie (à François Denoual), la Ville-Blanchet (à Guillaume Mouesson), Quénelleuc et le Courroué (à Jehan de La Marre, sieur de la Ville-Rogon), la Ville-Oréal (à Jehan des Coignets ou Cognetz), la Bougrie (à Arthur Rouxel), la Chesnaie (à François Pican), la Ville-Marquée (à Jehan Hersart), la Meterye (à Jehan Martel), la Ville-Helleuc (à Jehan Le Normant), la Villé-Néen (à Jehan Moaysan ou Moisan), les Plessix (à Jehan Goueon ou Gouyon), la Ville-es-Derrien (à Jehan Maupetit), la Ville-Hale (à François Guerande), Calybray (à Berthelemer Saulnier), la Croix-Colombier (à François Rondier ou en douaire à Marguerite Guyton), la Ville-Tréhen (à Jehanne de La Garaine), la Salle-Thebaud (à Louise de La Chapelle), la Perrière (à Jacques Visdelou, sieur de la Goyblaye).
A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Saint-Brieuc de 1480, on comptabilise la présence de 48 nobles de Hénanbihen :
Geoffroy ALMIC (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jehan AL NYC (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Pierre AMYOT (5 livres de revenu) ;
Olivier AUTIN (5 livres de revenu) ;
Roland BERTHELEMER (3 livres de revenu) ;
Jehan CORNNEL (6 livres de revenu) : porteur d'un paltoc ;
Jehan DE LA CHAPPELLE (3 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et comparaît armé d'une jusarme ;
Bertrand DE LA GUERRANDE de Guerrande (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jehan DE LA MONNERAIE : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Jehanne DE LA MOUSSAYE : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Pierre DE LA PLANCHE (20 livres de revenu) : comparaît armé d'une vouge ;
Roland DE SAINCT MELOIR (1 livre de revenu) ;
Coline DERIEN (3 livres de revenu) ;
Jehan GUERRANDE (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Pierre GUERRANDE (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Bertrand HERSART (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Pierre LE DESMOURS (3 livres de revenu) ;
Philippe LE DOS (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Marie LE FRUGLAES (3 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et comparaît armé d'une jusarme ;
Olivier LE FRUGLAES (26 livres de revenu) ;
Roland LE FRUGLAES (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Jehan LE RONDIER (35 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jehan LE SENNESCHAL (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Jehan LE SENNESCHAL de Villeoreal (1 livre de revenu) ;
Roland LOUES (1 livre de revenu) : porteur d'un paltoc et comparaît armé d'une jusarme ;
Charles MARTEL (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Guillaume MARTEL (2 livres de revenu) ;
Guillaume MARTEL (5 livres de revenu) ;
Jehan MARTEL de Villejosses (56 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Pierre MARTEL (2 livres de revenu) ;
Robert MARTEL (20 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jehan MAUPETIT (10 livres de revenu) ;
Jehan MAUPETIT de la Ville-Maupetit (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jehan MOUESSON (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Jehan NORMAND de Villehelleuc (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Guillaume PAIGNON (25 livres de revenu) ;
Julien PAIGNON (3 livres de revenu) : porteur d'une salade (casque) et comparaît armé d'une jusarme ;
Roland PERIGOUES (25 livres de revenu) ;
Guillaume POTIER (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une pertuisane ;
Geoffroy QUETIER (10 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et comparaît armé d'une pertuisane ;
Roland REGNAULT (5 livres de revenu) ;
Estienne ROUAULT (5 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et comparaît armé d'une pertuisane ;
Pierre ROUAUST (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Guyon RUALLEN (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Olivier RYMO (2 livres de revenu) ;
Eustache SAULNIER : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jehan SAULNIER (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Philippe VOLECTE (3 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
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