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LANDEVANT

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La commune de Landévant (bzh.gif (80 octets) Landevant) fait partie du canton de Pluvigner. Landévant dépend de l'arrondissement de Lorient, du département du Morbihan (Bretagne). 

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de LANDEVANT

Landévant vient du breton "lan" (lieu consacré) et de "Devan" ou "Evan", le saint fondateur.

Ville de Landévant (Bretagne).

Landévant est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Pluvigner. La seigneurie du Val exerce ses droits féodaux jusqu'au XVIIème siècle. Landévant est érigé en commune en 1790.

Ville de Landévant (Bretagne).

La Demi-Ville est l'une des seigneuries présentes sur le territoire de la paroisse de Landévant dès le XIIIème siècle et appartient en 1200 à Tristan du Bahuno, puis aux familles de Villeblanche et de Perrien.

Ville de Landévant (Bretagne).

On rencontre l'appellation Landecvan (en 1330), Landevant (en 1448, en 1464, en 1536) et Landevan (en 1481).

Ville de Landévant (Bretagne).

Note : Landévant parait, suivant quelques étymologistes, tirer son nom des mots Land et Evan, territoire d'Even ou d'Yves. Il est limité au nord par Pluvigner et Languidic, à l'ouest par Nostang, au sud par Landaul, et à l'est par Pluvigner. Sa superficie est de 2250 hectares, qui se partagent à peu près par tiers entre la culture, les landes et diverses terres. En 1891, sa population est de 1644 habitants. Le bourg est à 9 kilomètres de Pluvigner, à 25 de Lorient et à 34 de Vannes. L'époque celtique est représentée sur ce territoire par un dolmen, situé dans la lande de Bolédat ; sa table a dû avoir 4 mètres de long sur 3 de large, mais elle est aujourd'hui renversée à l'intérieur. Au village de Kervarner se voient les restes d'un tumulus de 30 mètres de diamètre, éventré en 1821 pour y faire passer une route. Il existe aussi des débris de dolmens à Sainte-Brigitte, à Penher et à Mané-er-gac. Dans une lande près de Saint-Laurent, on a découvert un souterrain composé de deux chambres, dont l'âge n'est pas facile à déterminer. A Kerveno-Botavel, on a trouvé un celtæ et un percuteur. La voie romaine de Vannes vers Hennebont traverse la pointe sud-ouest de Landévant, en touchant les villages de Brangolo, de la Demi-ville et de Coet-rival. Un autre tronçon passe au bourg. On trouve aussi quelques débris romains autour du bourg, à Loc­maria, à Mané-er-lann, à Kervéno, à Kerbodo, etc. (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Ville de Landévant (Bretagne).

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PATRIMOINE de LANDEVANT

l'église Saint-Martin (1834), édifiée à l'emplacement d'un ancien édifice du XVème siècle. On a conservé quelques pierres sculptées provenant de l'ancienne église, encastrées dans le mur Sud et des fragments d'inscriptions en caractères gothiques donnant des dates 1413 et 1422. La tour-clocher, attribuée à l'ingénieur Marsille, date de 1857 ;

Eglise de Landévant (Bretagne).

Nota : L'église paroissiale de Saint-Martin a été reconstruite en 1834, en forme de croix latine, et sans caractère architectural. Les chapelles latérales sont sous le vocable du Rosaire et de saint Michel. La tour, bâtie en 1857, et ornée de pilastres doriques, ioniques et corinthiens, est couronnée par une flèche en pierre. L'ancienne église comprenait trois nefs séparées par des arcades ogivales. Le bas côté nord, dédié à saint Martin, était seul pavé ; la nef du milieu, dédiée à saint Yves, était plus courte que les collatéraux ; le bas côté sud était dédié à Notre-Dame du Rosaire. A l'extérieur, sur la corniche, étaient grossièrement sculptés les sept péchés capitaux. On a conservé de l'ancienne église ogivale quelques sculptures d'animaux, qu'on a encastrées à l'extérieur du mur septentrional, et des fragments d'inscription en caractères gothiques, qu'on a placés sans ordre, et même en partie à l'envers dans le mur méridional. On y lit les dates de 1413 et de 1422 ; un fragment de sablière, acquis par un particulier, montre que l'ancien clocher avait été achevé en 1512. Dans le cimetière se trouve un lech de 1 mètre 40 environ hors de terre, portant en creux une croix pattée. Voici la liste des chapelles publiques : — 1° Notre-Dame, au village de Locmaria, édifice ogival du XVème siècle : ce qui n'empêche pas dans le pays de l'attribuer aux inévitables Templiers. Sa forme est celle d'une croix latine, à contreforts simples, et mesure 24 mètres sur 6 environ. La nef ne date que de 1638. Dans chaque transept se trouve un autel carré en pierre ; celui du nord est dédié à sainte Anne ; on y voit la statue de la sainte portant la sainte Vierge sur ses genoux, et la Vierge portant l'Enfant-Jésus ; l'autel du sud est dédié à saint Barthélemy, et appartenait aux seigneurs de Kerambourg ; au fond du choeur, une grande fenêtre ogivale, à meneaux en trilobes et quatrefeuilles, montrait jadis les armes de Bretagne, de Kaer, etc... — 2° Saint-Laurent, vers le nord, en un lieu isolé. — 3° Sainte-Brigitte, au nord-ouest, sur la route d'Hennebont. — 4° Saint-Nicolas, à l'ouest, près du chemin de fer. — 5° Saint-Michel, auprès du bourg, détruite pendant la révolution. — 6° N. D. des Vertus, également détruite. On peut ajouter à cette énumération la chapelle privée du château de Lannouan et celle de La Demi-ville. Les frairies étaient groupées autour des six chapelles mentionnées ci-dessus. Les chapellenies, s'il y en a eu, n'ont laissé aucune trace. Le recteur, à collation libre, dîmait sur tout son territoire à la 33ème gerbe ; son revenu net en 1757 était évalué à 844 livres. Le presbytère, bâti en 1609, à près d'un kilomètre du bourg, a été depuis rapproché de l'église. Landévant était du territoire de Vannes et de la sénéchaussée d'Auray. En 1790, il fut érigé en commune et même en chef-lieu de canton, du district d'Auray ; il n'eut que Landaul dans son ressort. M. Huby, son recteur, refusa le serment en 1791, et fut contraint de s'éloigner ; le vicaire, M. Kergal, alla mourir en Espagne. Bientôt on vendit quatre tenues appartenant aux Chartreux d'Auray, une autre dépendant des religieuses de la Charité de Vannes, les chapelles de Sainte-Brigitte, de Saint-Michel et leurs dépendances, deux maisons et plusieurs prairies appartenant à la fabrique. Cette commune, comme toutes celles du voisinage, fournit un certain nombre de volontaires pour la cause royaliste. En 1800, elle fut annexée à l'arrondissement de Lorient, et en 1801 au canton de Pluvigner. L'industrie de Landévant ne consiste que dans la vente des produits de la terre. Ogée dit que de son temps il y avait quatre foires par an et qu'elles duraient onze jours. En 1891, il y en a six, qui sont bien suivies, mais elles ne durent qu'un jour chacune. Avant de quitter cette localité, on peut se porter au nord du village de Locmaria, et de là on jouira d'un horizon très étendu, qui comprend Auray, la presqu'île de Rhuys, Lorient, le Port-Louis, la mer, et jusqu'au phare de Belle-Ile (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Eglise de Landévant (Bretagne).

Voir aussi   Ville de Landévant (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Landévant et ses recteurs"

la chapelle de Locmaria-er-Hoët ou Notre-Dame (XI-XIIème siècle), étape du Tro-Breizh et du pèlerinage vers Sainte-Anne-d'Auray (à partir du XVIIème siècle). Reconstruite en grande partie au XVème siècle, cette chapelle, fondée, dit-on, par les Templiers, existait dès le XIIème siècle, au village de Locmaria. Il s'agit d'un édifice en forme de croix latine avec chœur à chevet plat qui a subi en 1638 une restauration qui a profondément transformé la nef, où pourtant ont subsisté d'importants vestiges de la construction romane. Chaque croisillon est séparé du carré par une double arcade brisée reposant au milieu sur une courte colonne à chapiteau formé de plusieurs tores et tailloir décoré, et de chaque côté sur des colonnes engagées. Une seule arcade identique, mais plus large sépare la nef du transept. Du côté du choeur les colonnes engagées marquent seules la séparation. Deux contreforts d'angle cernés de larmiers saillants épaulent le mur du chevet. Le chevet est percé d'une grande fenêtre à réseau flamboyant où subsistent encore quelques restes de vitraux anciens. Subdivisé en quatre lancettes trilobées, le nouveau vitrail posé en 1992 représente un arbre de Jessé. Les armoiries du vitrail sont celles des familles Kerdevenez, Kaer, et Le Val. Les quadrilobes du tympan sont datés du XVème siècle. Dans le mur du choeur se trouve une crédence du XVème siècle en arc brisé. La chapelle est couverte d'une charpente fruste. On y remarque une piscine du XVème siècle et les autels de pierre des croisillons, également du XVème siècle ;

la chapelle Saint-Laurent (XVIIème siècle), édifiée vers le XVIIème siècle dans un lieu isolé sur l'emplacement d'un édifice primitif dont on retrouve quelques traces dans la petite fenêtre à deux compartiments trilobés du chevet. Le pignon occidental est surmonté d'un clocheton en pyramide. Les deux portes de l'Ouest et du Sud semblent datées du XVIIème siècle. La chapelle possède un autel en bois du XIXème siècle. Trois statues, dont celles de saint Laurent, la Vierge à l'Enfant et saint Isidore, ont disparu ;

la chapelle Saint-Nicolas (XVIème siècle), restaurée en 1895. Il s'agit d'un petit édifice de forme rectangulaire, assez fruste, et couvert d'une charpente à sablières et entraits grossièrement sculptés. Un clocheton carré en pierre est placé sur le pignon occidental dont les rampants sont ornés à la base de têtes d'animaux. Les deux fenêtres à l'Est et au Sud sont modernes mais les deux portes en plein cintre conservent des moulures anciennes. Saint Nicolas est représenté sur la maîtresse-vitre ;

la chapelle Sainte-Brigitte ou Notre-Dame-des-Vertus (XVIIIème siècle), située à Bodcourio. Il s'agit d'un édifice de forme rectangulaire, très fruste. Le choeur, percé d'une fenêtre gothique, est éclairé par un oculus. Notre-Dame et sainte Brigitte se trouvent représentées sur la maîtresse-vitre. Le Sacré-Coeur figure sur l'oculus. On y trouve à proximité une fontaine de dévotion ;

le calvaire de Locmaria-er-Hoët (1732) ;

le château ou manoir du Val (XVème siècle), situé à Porh Val. Propriété de la famille Du Val (en 1453), puis des familles Du Han (en 1646), de Francheville (en 1701) et de Robien (en 1731). Propriété de Gilles du Val en 1464. Le château possède une tourelle hexagonale où se trouve un escalier qui dessert les deux étages. L'accès à la cour d'honneur se fait par une voûte. Aux rampants du pavillon sont figurés des animaux fantastiques dont l'un d'eux soutient un écusson ;

le château de Lannouan (XVIIIème siècle), édifié par la famille de Perrien, en remplacement d'un édifice du XVème siècle. La seigneurie de Lannouan ou Lanuan est le berceau de la famille Lannouan, puis passe successivement entre les mains des familles Keraudren, Kermeno et Perrien (en 1701). Propriété d'Allain Malouan en 1448 et d'Hervé Lannouan en 1464. Le château et sa chapelle privée étaient en 1778 la propriété du sieur du Garo, puis du comte de Beaumont et d'Athens Dream Campania Naviera (à partir de 1981) ;

le manoir de la Demi-Ville. Siège d'une ancienne seigneurie appartenant en 1200 à Tristan du Bahuno. On trouve un Yvon de Bahuno en 1481. Le manoir passe ensuite entre les mains des familles Villefranche (en 1721) et Perrien (en 1890). Il possédait autrefois une chapelle privée ;

les chaumières de Séludiern ;

le moulin de la Demi-Ville ;

Ville de Landévant (Bretagne).

A signaler aussi :

la stèle du presbytère de Landévant (âge du fer) ;

la mairie de Landévant (1871), oeuvre de l'architecte Perrien de Crénan ;

Ville de Landévant (Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de LANDEVANT

Les seigneuries de ce territoire de Landévant étaient les suivantes :

1.   Botpéro, 1548 Jean Le Boulhic ; 1610 Guydo ; 1720 de Robien. 

2.   Bellerit, 1539 Martin Le Boulhic ; 1635 Le Boudoul ; 1676 Pezron.

3.   Bodelan , 1430 Plousquen ; 1536 de Talhoet ; 1574 Jourdain ; 1713 Eudo ; 1758 Le Charpentier de Lenvos.

4.   Coetdervec, 1400 de Talhoet, mêmes propriétaires que Bodelan ; vers 1891 Saint-George de Keronic.

5.   Demi-ville, 1200 Tristan du Bahuno ; 1721 de Villeblanche ; vers 1891 de Perrien.

Nota : L'ancienne maison du Bahuno, originaire de l'évêché de Vannes, était en possession des terres et seigneuries de la Demiville (Demi-ville), — de Kerolain, — du Bois de la Salle, — de Limoges, — de Berrien, — de Kerdisson, — de Kermadéhoa, — du Liscoët, — du Bois de la Roche ; on la voit figurer au rôle des réformes de 1448 à 1536, avec les nobles et gentilshommes des paroisses de Landévant, Plouhinec, Belz, évêché de Vannes. (Anc. Réf.). — Par arrêt du 24 novembre 1668, au rapport de M. Descartes, Guillaume et François du Bahuno ont été déclarés nobles d'ancienne extraction et maintenus en la qualité de chevaliers. (Mss. de la Bibliothèque de Nantes, t. I, fol. 63-64). Les du Bahuno tirent leurs alliances des maisons suivantes : Lindet, — Salarun, — de Clechunault, — Gibon, — de Coëtmeur, — de Couëtsal, — Le Picart, — Le Flo, — de la Coudraye, — de Lohéac, — Sorel, — du Bois de la Salle, — Rolland, — du Liscoët, — Le Borgne, — de Coëtlogon, — de Cornulier, — Urvoy de Closmadeuc, — de Kersauson. Blason : De sable, au loup passant d'argent, surmonté d'un croissant de même. Devise : Plutôt rompre que plier. Une charte de Nymoc (collection Courtois) prouve qu'Hervé du Bahuno prit part à la septième croisade. — On trouve encore dans cette maison : Guillaume, alloué du Broërec, l'un des commissaires employés à la réformation des fouages de l'évêché de Vannes en 1426. — Jean, sr. de Londevyrille, figure au rôle de la garnison d'Auray en 1554, sous la charge de noble Louis-Olivier d'Aradon, etc., pour marcher pour les monstres générales à Landévant (D. Morice, t. III, fol. 1113). — Olivier, chevalier de l'ordre, en 1653, capitaine garde-côte de l'évêché de Cornouailles en 1657. — Cinq pages du roi et de la reine, de 1669 à 1779. — Un chevau-léger de la garde du roi. Vers la fin du XIXème siècle (1884), les représentants de la maison du Bahuno sont : Edouard-Victor, marquis de Bahuno du Liscoët, et Armand-Sigismond, comte du Bahuno du Liscoët, marié à Mme la baronne Omorre, dont un fils, Sigismond-Ebbe, comte du Bahuno. Mme la comtesse de Kersauson, née du Bahuno de Kerolain, est morte au château de Trodibon, en Plouezoc'h (Finistère), le 21 octobre 1867, à l'âge de 69 ans (J. de Kersauson).

6.   Kerbodo, 1487 Henry de Kermorho ; 1582 Joachim Le Livec ; 1720 Le Pelletier, 1772 de Montmorency-Laval.

7.   Kerfraval, 1524 Jean Le Gour ; 1636 Yves Montel ; 1676 Gachot ; 1698 du Bois.

8.   Kerroaud , aux Kerrouaud de La Haye.

9.   Kersauze, 1620 Adam ; 1646 Blimeau ; 1666 Lescourlic.

10.  Kervillio, aux Spinefort en 1607.

11.  Lannouan, au nord-est, berceau de la famille de ce nom, possédé ensuite par les Kermeno, et en 1701 par les Perrien.

12.  Le Val, 1453 Henry du Val ; 1646 Jean du Han ; 1701 de Francheville ; 1731 de Robien.

13.  Kergant, 1680 Le Boulbic.

14.  Locmaria, 1598 Pierre Morice ; 1620 Le Roch ; 1697 Authueil. 

Les armes de Kaer existent encore sur le manteau de cheminée d'une ferme, à Locmaria (Joseph-Marie Le Mené).

 

En 1448, lors de l'enquête des exemps de fouage, on comptabilise la présence de plusieurs nobles de Landévant : Allain Le Gap, Jehan Le Goar, Morice de Plousquen (Bodélan), Allain Talhouet (Coetervec), Jehan Le Bouhic, Regnaud Le Bouhic, Allain Malouan (Lanouan), Jean Kermorou, Henry Thommasou (Margazre).

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 10 nobles de Landévant :

Yvon du BAHUNO (60 livres de revenu) : excusé, archer du corps du Duc ;

Hervé de LANNOUAN (100 livres) : comparaît en homme d'armes ;

Jehan KERMORO : défaillant ;

Jehan LE GOUAL (20 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Jehan LE BOULHIC (20 livres de revenu), remplacé par son fils Martin : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Pierre de la HAYE (100 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Ollivier LE BOULHIC (30 livres de revenu) : porteur d'un paltoc et d'une salade, comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Ollivier TREDAZO : porteur d'une brigandine et d'une salade (casque), comparaît armé d'un arc et d'une épée ;

Regnaud LE BOULHIC : porteur d'un paltoc et d'une salade (casque), comparaît armé d'une vouge et d'une épée ;

Gille du VAL, remplacé par Monsieur le Mareschal : comparaît en homme d'armes ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 10 nobles de Landévant :

Guillaume du VAL (300 livres de revenu) : comparaît en homme d'armes ;

Jehan de TREDAZO (20 livres de revenu) : porteur d'une brigandine ;

Martin BOULHIC : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Guillaume TREDASO (25 livres de revenu), remplacé par Guillaume Tredasou : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

Jehan LE GOUAR (15 livres de revenu) ;

Yvon du BAHUNO (60 livres de revenu) ;

Ollivier LE BOULHIC (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine ;

Henry de KERMORO (90 livres de revenu), remplacé par son fils Ciphorien : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Renaud LE BOULHIC (100 soulz), remplacé par Jehan Le Boulhic : porteur d'un paltoc, comparaît armé d'une vouge ;

La veuve Jehan Jouhan PLUSQUEN, remplacé par Louis Plusquen : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une vouge ;

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