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LE TEMPLE DE LANLEFF |
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L'église romane, dite temple de Lanleff, a été l'objet de très nombreuses études et monographies. A plusieurs d'entre elles sont joints des dessins et plans, les uns les plus anciens où l'imagination a souvent travesti et embelli la réalité, les autres plus modernes où l'exactitude a été la préoccupation principale.
Temple de Lanleff (Maudet de Penhoet, 1824) |
Temple de Lanleff (Chevalier de Fréminville, 1837) |
Voici ce que dit Ogée : « On remarque à Lanleff un monument très ancien, qui sert aujourd’hui de vestibule à l'église succursale : c’est un vieux bâtiment circulaire, formé dune double enceinte de murailles, dont l’une est extérieure et l’autre intérieure ; celle-ci renferme un espace de trente pieds de diamètre ; l’autre bâtie à neuf pieds de la précédente, lui est concentrique. Le mur intérieure est percé de douze arcades, de la largeur de cinq pieds chacune, et de la hauteur de neuf ; les arcades forment un plein cintre chacune, et sont soutenues par des pilastres de trois pieds sur chaque face. Ses côtés sont décorés chacun d’une colonne adossée et saillante de cinq pouces ; dans le mur extérieur sont aussi douze ouvertures de fenêtres qui correspondent aux douze arcades du mur intérieur. Ces fenêtres sont de figure et de grandeur différentes ; elles vont en rétrécissant vers le fond, et l’espace qui les sépare est aussi décoré de colonnes. Ce bâtiment est construit avec la plus grande solidité ; il est enduit de ciment, et la pierre qu’on y a employée est belle et de bonne qualité : on en remarque plusieurs parements qu’on appelle tuffeau vert [Note : les pierres qui les constituent sont en grès relativement friable ainsi qu’une variété de roche volcanique appelée « spilite »]. Les savants pensent que ce fût un temple bâti par les anciens habitants du pays. M. de Brignan (Le Brigant), qui a fait plusieurs recherches sur la Bretagne et sur l’origine de la langue du peuple bas-breton, a examiné attentivement le monument dont il s’agit, et a trouvé sa construction à peu près semblable à celle du temple de Mont-Morillon, en Poitou. L’abbé Le Bœuf prétend que ce dernier, qu’on a toujours regardé comme un temple consacré à quelque divinité du Paganisme, n’était qu’un hôpital bâti pour recevoir ceux qui allaient ou revenaient de Terre Sainte. Nous ne déciderons point entre ces deux écrivains ; nous laissons aux lecteurs la liberté de suivre l’opinion qui leur paraîtra la plus vraisemblable ».
L’enceinte extérieure, dont ne subsiste qu’une partie, comporte des ouvertures conçues comme des meurtrières. Trois absidioles, dont l'une est bien conservée, ouvraient sur le déambulatoire.
La plupart des bases de colonnes et leurs chapiteaux est ornée de décorations inscrites dans la pierre, le plus souvent des formes géométriques, mais on trouve aussi des représentations humaines et animales. Ces décorations, très frustes et dégradées semblent antérieure à ce que l’on connaît des XIème et XIIème siècles.
Chevalier de Fréminville
Toutes les opinions ont été émises à son sujet temple druidique, temple du Soleil, temple gaulois, temple romain, baptistère, parvis à l'usage des pénitences publiques, monument saxon du VIIIème siècle, normand du IXème, église de Templiers, enfin église romane des XIème au XIIème siècles qui clôt, sans appel il faut le croire, la série. C'est à l'origine que l'appellation de « temple » a prévalu et a fait fortune, si bien que le nom lui en est resté.
Ils me dispensent de revenir sur la description complète de ces rares vestiges de l'architecture religieuse du commencement du XIIème siècle ou de la fin du XIème en Bretagne, inspirés très vraisemblablement par le souvenir du Saint-Sépulcre de Jérusalem. Comme lui, l'église en question est composée de deux enceintes circulaires concentriques. L'enceinte intérieure, le chœur, la nef, est percée de 12 arcades en plein cintre, à double retrait, avec de lourds piliers carrés, aux tailloirs sans moulures, les courtes colonnes engagées surmontées de chapiteaux grossiers qui supportent le cintre au milieu, et les longues colonnes engagées, en partie détruites, qui devaient monter jusqu'au haut du mur pour soutenir les arceaux d'une voûte en pierre ou les pièces de charpente d'un toit. L'espace situé entre le chœur et l'enceinte extérieure, aujourd'hui presque entièrement détruite, formait bas côtés, collatéral, déambulatoire. Il était partout voûté en pierre, voûtes d'arête dont on voit quelques restes assez bien conservés dans la partie est. Peut-on en dire autant de la nef ? Qu'elle ait été couverte, cela ne semble pas douteux mais elle aurait pu l'être par une toiture en bois, en tuiles ou même en ardoise Les architectes de cette époque hésitaient à établir des voûtes en pierre lorsqu'elles étaient larges ; nous sommes ici en présence d'une portée de dix mètres, nécessitant une coupole qui eût exigé des arcs-boutants de contrefort au grand mur, peu épais, destiné à la porter. Or, il n'y en a pas de traces. Tout semble dénoter, dans la construction de cet édifice, la recherche des procédés les plus simples et les moins coûteux. Par qui a-t-il été élevé ? Par un chevalier breton, compagnon du duc Alain-Fergent en Terre-Sainte, en témoignage de reconnaissance au Dieu dont il avait invoqué l'aide, au milieu des combats, ou par quelque pieux pèlerin du Goëllo que hantait le souvenir de ce qu'il avait vu à Jérusalem ? Plusieurs églises, tant en France qu'en Angleterre, ont été construites sur le même modèle. Au retour des premières croisades, qui ont eu un si grand retentissement dans le monde chrétien, les récits enthousiastes de ceux qui avaient prié sur le tombeau du Christ ont dû suggérer aux architectes la pensée de reproduire dans des monuments religieux la forme du Saint-Sépulcre. A noter que c'est au XIème siècle que, dans ses régions schisteuses, la grande et épaisse ardoise a commencé à être employée concurremment avec la tuile. (Viollet-le-Duc, Dictionnaire d'architecture).
A signaler que la France possède un certain nombre d'édifices religieux dont les dispositions rappellent la grande rotonde de l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem.
M. Viollet-le-Duc a signalé, entre autres, Saint-Bénigne de Dijon, bâtie dans les premières années du XIème siècle ; Neuvy-Saint-Sépulcre (Indre), bâtie en 1045, sur la terre d'un seigneur qui avait fait un pèlerinage en Terre-Sainte ; l'église de Lanleff (Côtes-du-Nord, aujourd'hui Côtes-d'Armor) et celle de Rieux-Minervois (Aude) ; ces dernières construites au XIème siècle, en imitation du Saint-Sépulcre. Le plan de l'église de Neuvy nous paraît être l'imitation la plus approchée de la rotonde de Jérusalem.
On sait que le Saint-Sépulcre, comme tous les édifices chrétiens de Jérusalem, fut saccagé et détruit au VIIème siècle, au moment de l'invasion persane et que, vers 1010, le khalife fatimite Hakem donna l'ordre de renverser toutes les églises servant au culte chrétien, et en particulier celle du Saint-Sépulcre. Ce fut vers 1035 que El-Mostanser-Billah, un des successeurs de Hakem, accorda à l'empereur de Byzance l'autorisation de rebâtir l'église du Saint-Sépulcre, en échange de la liberté donnée à 5.000 prisonniers musulmans.
« Le monument qui a servi de modèle à Saint-Benigne ne nous est pas connu, si l'on admet que ce fut la rotonde détruite en 1010 par ordre de Hakem. Mais on peut remarquer qu'à Saint-Benigne tous les arcs sont en plein cintre. A Neuvy-Saint-Sépulcre, les arcades de l'étage inférieur sont seules en plein cintre ; celles de l'étage supérieur sont en arcs brisés. Cette particularité pourrait servir à corroborer la tradition recueillie au XVème siècle par Moudjir-ed-Din et d'après laquelle la destruction du Saint-Sépulcre, ordonnée par Hakem, n'aurait pas été complètement exécutée. Le pèlerin du XIème siècle, qui rapporta les croquis nécessaires pour construire l'église de Neuvy, aura vu que les arcades inférieures étaient en plein cintre et que les autres étaient brisées. Il les aura fait reproduire telles qu'il les avait vues, en changeant seulement les dimensions de l'édifice. Il est donc probable que, si on pouvait dégager les piles de la rotonde du Saint-Sépulcre de la grossière enveloppe dont les colonnes ont été revêtues en 1808, on retrouverait et les chapiteaux et les colonnes de la construction primitive. Si on admet que les destructions de Hakem s’arrêtèrent au niveau de la deuxième galerie, ce serait à partir de ce point que commencèrent les reconstructions du XIème siècle » (M. C. MAUSS).
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... Les rotondes ne sont pas les seules qui, du XIème au XIIème siècle,
aient été construites en France, à l'imitation de celle du Saint-Sépulcre. Il
faut citer encore la rotonde de Lanleff (Côtes-du-Nord), dans laquelle on
a voulu voir longtemps un temple païen. Ce monument, détruit en partie,
consiste en un cercle de piliers intérieurs au nombre de douze. Ces piliers, à
section parallélogrammatique, sont flanqués chacun de quatre colonnes engagées
portant des archivoltes et des arcs-doubleaux. Un mur circulaire avec trois
absides, comme au Saint-Sépulcre, entoure ces douze piliers, et reçoit les
retombées des voûtes d'arêtes couvrant le collatéral sur douze colonnes
engagées. D'autres colonnes intermédiaires, d'un diamètre plus faible,
divisent le mur circulaire en travées percées chacune d'une très-petite fenêtre.
La porte est ouverte au nord-ouest, tandis que l'abside centrale est orientée
à l'est. Cet édifice, du travail le plus grossier, paraît remonter au XIème
siècle
M. de Caylus, l'abbé Rufelet et Ogée, ont cru que c’était un temple payen. L'abbé Déric a prétendu que c'était un de ces lieux où l'on baptisait anciennement par immersion ou un baptistaire, mais sans en donner de raisons. Notre auteur se range à cette opinion, et il se charge d'en administrer les preuves :
« Je
confesse qu'il l'a environnée (en parlant de l'abbé Déric) d'une certaine
probabilité ; il reste cependant encore beaucoup d'incertitude ; comment un
baptistaire aussi beau qu'a dû être celui-là, aura-t-il été construit dans
un lieu peu habite. Les baptistaires somptueux dont l'antiquité nous a laissé
le souvenir étaient pour les grandes villes : il était inutile d'en bâtir au
milieu des déserts. Les 11 portes me paraissent aussi en opposition avec
l'opinion adoptée. En effet, lorsqu'on était baptisé par immersion, la décence
exigeait qu'on ne fût pas exposé aux regards de tout le monde, cependant ici
le catéchumène aurait été vu de toutes parts. Dans les baptistaires dont
nous trouvons des descriptions, on ne voit rien de semblable : ils pouvaient être
ronds mais une porte ou deux en formaient l’entrée. On conçoit qu'une vaste
piscine soit portée sur 12 boeufs au milieu de l'enceinte, et que ces 12 bœufs
représentassent les 12 apôtres ; mais il y a loin de ces 12 bœufs aux 12
portes du temple de Lanleff. Je ne trouve donc pas les raisons alléguées tout-à-fait
péremptoires. La langue, des anciens Gaulois n'est pas le Breton actuel ; c'est
une opinion que j'ai manifestée et dans laquelle je persiste. Je n'en pense pas
moins qu'il faut en beaucoup de circonstances avoir recours aux étymologies bretonnes,
surtout lorsqu'il s'agit des noms de villes, de montagnes et de paroisses situées
en Bretagne. Voyons donc quelle est l’étymologie du mot Lanleff, peut-être
nous indiquera-t-elle ce qui existait dans ce lieu, quand les Bretons s'y établirent.
J'ouvre le dictionnaire de Dom Pelletier, je trouve que " lan "
signifie " terre ", ou même " temple " selon quelques-uns,
et, au mot " lavar ", il dit que " llef " signifie "
voix ", " cri " dans le dialecte de Galle. Aussi Lanleff,
pourrait signifier le " temple des cris ". Si cette étymologie était
juste, on pourrait croire que c'était un de ces temples, ou l’on sacrifiait
des victimes humaines, dont les cris retentissaient dans les environs. Le temple
de Lanleff serait donc un temple druidique. En vain, on objecterait que les
druides n'avaient pas de temple : cela pouvait être vrai avant les conquêtes
de Jules César. Mais on sait qu'ils finirent par imiter leurs vainqueurs. Le
temple qu'ils avaient à Nantes, en est une preuve. Je ne sais si l'on sera
content de mon étymologie ; mais en tout cas j'invite ceux auxquels la langue
Bretonne est familière d'en chercher une meilleure » (J. LE BOYER).
Les ruines de cet intéressant édifice sont depuis longtemps classées comme monument historique;
Note 1 : Légèrement en contrebas, se trouve un ancien lavoir alimenté par une source. On raconte ".. que par les profondeurs de cette fontaine on pouvait communiquer avec le diable. Une pauvre femme, mère de nombreux enfants, ne pouvant plus les nourrir, conclut un marché avec Lucifer : elle lui donnerait un de ses enfants en échange d'une forte somme en pièces d'or. L'échange se fit, le diable saisit l'enfant et mit dans la main de la pauvre femme les pièces brûlantes du feu de l'enfer. Sous l'effet de la douleur, elle lâcha les pièces qui s'incrustèrent dans la margelle du lavoir. On peut encore en voir les traces aujourd'hui ".
Note 2 : COMME QUOI L'ÉGLISE DE LANLEFF N'EST POINT UN MONUMENT CIRCULAIRE. — S'il y a un monument en Bretagne qui ait été l'objet de controverses animées, c'est assurément l'église de Lanleff (Côtes-du-Nord, aujourd’hui Côtes-d’Armor). Son origine et sa date ont donné lieu aux hypothèses les plus variées : tour à tour et suivant les temps, attribuée aux Gaulois par les uns qui y reconnaissaient les ruines d'un temple du soleil, aux Gallo-Romains par les autres qui y voyaient un baptistère des premiers siècles chrétiens, elle a fini par perdre, devant les recherches d'une critique plus éclairée, le prestige de cette mystérieuse antiquité. L'opinion la plus accréditée aujourd'hui la considère comme une église construite par les Templiers, à la fin du XIème ou au commencement du XIIème siècle. Une observation que j'ai eu récemment occasion de faire dans cet édifice tendrait à confirmer cette opinion. Les nombreuses descriptions qui ont été faites de l'église de Lanleff réduisent les constructions anciennes aux deux enceintes concentriques ; elles admettent ainsi que l'édifice, dans son plan primitif, présentait simplement la forme d'une tour flanquée d'un bas-côté circulaire. Mais un examen plus attentif permet de reconnaître qu'il n'en était pas ainsi à l'origine. Comme toutes les églises romanes des XIème et XIIème siècles, Lanleff possédait trois chapelles circulaires du côté de l'Orient. La plus grande placée au centre, en face de l'entrée occidentale, servait d'abside et renfermait l'autel ; elle est aujourd'hui complètement rasée, et remplacée par le choeur actuel dont les dimensions, quelque modestes qu'elles soient, sont plus considérables. Des deux plus petites, situées à droite et à gauche de la précédente, celle du nord a également disparu, ainsi que la partie de l'enceinte extérieure à laquelle elle était attenante. Mais la chapelle méridionale existe toujours avec sa voûte de pierre en plein cintre elle n'attire pas l'attention, parce qu'elle a été enveloppée à l'extérieur dans la construction d'un ossuaire moderne, et qu'à l'intérieur son faible diamètre lui donne plutôt l'aspect d'une vaste niche que d'une petite chapelle. Elle doit cependant remonter à la même époque que le corps même de l'édifice, c'est-à-dire aux premières années du XIIème siècle. Ce caractère rattache décidément Lanleff à l'intéressante famille des églises construites par les Templiers, et détruit la fantastique théorie imaginée par M. de Fréminville, le dernier et plus ardent partisan d'un temple gaulois, du temple du Soleil. Une église templière, qui n'avait pas encore été signalée, et dont le plan et les détails viennent d'être publiés par MM. Gide et Baudry dans leur magnifique ouvrage sur l'architecture du Vème au XVIIème siècle en Europe, offre une disposition absolument identique. A Ségovie comme à Lanleff, on retrouve une enceinte centrale enveloppée d'un bas-côté concentrique, et terminée à l'Orient par une grande chapelle absidale, flanquée de deux plus petites. C'est, on le voit, un plan assez voisin de celui de l'église abbatiale de Quimperlé, dont la date est connue. Il serait à désirer qu'à Lanleff quelques tranchées, exécutées sur l'emplacement de l'abside principale et de la chapelle septentrionale vinssent mettre à découvert les fondations circulaires des deux murs romans rasés au niveau du sol. Jusque-là l'existence de ces constructions, certaine à mes yeux, pourra être révoquée en doute par tous les adversaires de l'opinion qui fait de Lanleff une simple église du XIIème siècle. Je dois faire remarquer, à l'adresse des personnes qui lisent encore les ouvrages de Fréminville, que le système de cet auteur croule de toutes parts, et qu'il est contredit sur place par l'examen le plus superficiel du monument. Ces personnes se rappelleront quel rôle considérable aurait joué, d'après M. de Fréminville, certaine ouverture circulaire et en entonnoir, unique de son espèce et pratiquée précisément à l'Est de l'édifice : c'est par là que le soleil, à son lever, dardait un rayon mystique et illuminait de ses premiers feux l'autel érigé en son honneur. A cela il est facile de répondre, en présence du monument. qu'il n'existe pas et qu'il ne put jamais exister d'ouverture circulaire dans la travée la plus orientale du bas-côté, puisque cet emplacement était occupé par l'abside principale ; que la fameuse ouverture signalée par M. de Fréminville occupe donc une orientation différente, et qu'elle est comprise entre la travée orientale et la travée méridionale ; que cette ouverture n'était pas unique, mais qu'elle se reproduisait au Nord comme au Sud, à l'Occident comme à l'Orient de l'édifice, qu'on en compte encore trois reconnaissables aujourd'hui ; qu'autrefois il dut en exister douze ; que l'importance et le sens que l'on attacherait à une ouverture unique et régulièrement orientée s'évanouissent par cela même ; qu'il ne faut voir là qu'un exemple d'une disposition très commune dans les églises du XIIème siècle, celle qui consiste à éclairer chaque travée par deux fenêtres cintrées surmontées d'un mil-de-bœuf ; qu'enfin le merveilleux et le mystérieux doivent être décidément bannis du temple de Lanleff. On reconnaîtra tout cela sur place pour peu qu'on soit muni de deux bons yeux et d'une boussole ; ce sont autant de caractères qui permettent de considérer le monument de Lanleff comme un édifice religieux du moyen âge, élevé probablement sous la direction des chevaliers du Temple. (Alfred Ramé).
Voir " Le Temple ou l'église Notre-Dame de Lanleff "
Nota : les photos réalisées par Roger Frey sont la propriété du site infobretagne.com.
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