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MONTREUIL-SUR-ILLE

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La commune de Montreuil-sur-Ille (pucenoire.gif (870 octets) Mousterel-an-Il) fait partie du canton de Saint-Aubin-d'Aubigné. Montreuil-sur-Ille dépend de l'arrondissement de Rennes, du département d'Ille-et-Vilaine (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de MONTREUIL-SUR-ILLE

Montreuil-sur-Ille vient du latin "Monasteriolum super insulam" (existence d’un petit monastère sur l'Ille).

Montreuil-sur-Ille s’est développé vers le XIIème siècle autour d’un monastère. L'on croit que l'église de Montreuil-sur-Ille est à l'origine donnée à l'abbaye de Saint-Melaine. Il est du moins certain que le prieur d'Aubigné, dépendant de ce monastère, avait des droits importants dans la paroisse de Montreuil-sur-Ille. En 1703, le recteur soutient même que ce prieur, grand décimateur de Montreuil-sur-Ille, doit faire dire trois messes par semaine en son église et y célébrer lui-même l'office divin aux principales fêtes de l'année (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 45). Le recteur de Montreuil-sur-Ille, présenté à l'origine par l'abbé de Saint-Melaine, reçoit du prieur d'Aubigné une pension congrue de 450 livres, d'après le Rôle diocésain de 1646.

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Parmi les terres nobles que sont la Touche, l'Isle, les Fougerets, la Bédorière, le manoir de Champclin est le siège d’une seigneurie jouissant d'un droit de haute justice. La paroisse de Montreuil-sur-Ille dépendait autrefois de l'ancien évêché de Rennes.

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

On rencontre les appellations suivantes : Monasteriolum super Insulam, Monsteriolum (en 1516).

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Note 1 : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Montreuil-sur-Ille : Jean Jamin (inhumé le 24 décembre 1624 à Andouillé), Pierre Verdier (en 1625), François Rondel (en 1646 et en 1669), Jacques Hamart (en 1681), Jean Hamart (en 1698 et jusqu'en 1700), René Paullet (1701-1706), François Angot (en 1706), Léonard Fouquet (décédé en 1745), Pierre Aubert (1745-1748), Jean Landormy (1748-1766), Michel-Sébastien Eon (1766-1783), Pierre Herbert (1783-1789), Gabriel-Joseph Benis (1803-1810), N... Grangé (1810-1820), Jean-Marie Porcher (1820-1822), Jean-Marie Gaultier (1823-1827), Jean-Marie Guyot (1827-1845), Jean Coxu (1845-1853), N... Langouet (1853-1858), Pierre Morvan (1858-1861), Joseph Roger (1862-1866), Arsène Crosson du Cormier (à partir de 1866), ...

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Note 2 : liste non exhaustive des maires de Montreuil-sur-Ille : ....., Louis Cottin (1831-1840), Louis Cottin, fils (1840-1859), Alexis Rey (1920-1935), André Lemoine (1947-1971), Aristide Tribalet (1971-1972), Anne Nogues (1972-1983), Claude Froger (1983-1989), Jean Monnier (1989-1995), Patrick Vasseur (1995-2014), Yvon Taillard (2014-2020), ....

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Voir   Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne) " Le cahier de doléances de Montreuil-sur-Ille en 1789 ".

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PATRIMOINE de MONTREUIL-SUR-ILLE

l'église Saint-Pierre-es-liens (1910), oeuvre de l'architecte Arthur Regnault. Cette église remplace un sanctuaire primitif d'origine romane qui a subi des transformations au XVIème et au XVIIIème siècle, et où l’on voyait un enfeu aux armes des de Cheveigné, seigneurs de Champclin au XVème siècle. La porte principale, à l'Occident, était de style gothique fleuri de la fin du XV-XVIème siècle. Enfin la porte au Sud portait la date de 1781. En 1682, Malo, marquis de Coëtquen, se disait, en sa qualité de seigneur d'Aubigné, seigneur supérieur, fondateur et prééminencier de l'église de Montreuil-sur-Ille (Archives nationales, P. 1715). Le chœur de l'église actuelle date de 1910. Les portes et les fenêtres de l'église qui la précédait (XVIème siècle) y ont été replacées ainsi que deux reliquaires et les anciens fonts ;

Eglise de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

la croix dite croix-Havard ;

la maison éclusière (vers 1830) ;

l'écluse (vers 1830) ;

Ecluse de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

les cheminées de l'ancienne usine à tanin (XIXème siècle), construite par Alexis Rey. Cette usine cesse de fonctionner en 1957 ;

Usine à tanin de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

 

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

A signaler aussi :

l'ancien manoir de la Touche. Il était à la famille Laurent en 1427 et 1513, puis à la famille Urvoy en 1671 ;

l'ancienne maison du Talus ;

l'ancien manoir de la Prévotaye. Il était à la famille Laisné en 1427 ;

l'ancien manoir de l'Isle. Propriété successive des familles Cartier (en 1546 et 1568), Guillemé (en 1621), Rolland, seigneurs du Rocher du Noday (en 1789) ;

l'ancien manoir des Fougerets (ou Fougeretz). Sa chapelle, dédiée à la Sainte-Trinité, était déjà en ruines en 1790. Pierre Rondel, sieur de la Bellangeraye, et Elisabeth Gaillard, sa femme, demeurant en 1667 aux Fougeretz, déclarèrent alors qu'ayant acheté ce manoir, ils y avaient trouvé une chapelle jadis desservie, mais interdite depuis quelque temps faute de fondation. Pour faire cesser cet état de choses, ils fondèrent le 15 janvier 1667 une chapellenie en l'honneur de la Sainte-Trinité, consistant en une messe tous les dimanches et fêtes gardées, et ils la dotèrent de 60 livres de rente. Le 21 octobre 1669 fut célébré en cette chapelle le mariage de Jacques Jolys, sieur de la Houssaye, avec Marie Rondel. Parmi les chapelains des Fougeretz figurent François Moulin (1740), — Julien Coustel (1744) — et François Eon. Ce dernier déclara en 1790 que la chapelle était alors complètement ruinée, aussi bien que la maison du chapelain, et qu'il jouissait seulement de quelques pièces de terre en verger, pré et labour (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 45 ; 1 V, 25). Propriété de la famille Rondel, sieurs de la Bellangeraye (vers 1667) ;

Gare de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

l'ancien manoir de Champclin. Il possédait un droit de haute justice et n’existe plus aujourd’hui. Propriété successive des familles Cheveigné, seigneurs du Plessis de Couësmes (en 1427), Bintin, seigneurs de Bazouges-sous-Hédé (en 1513), Rabasté, seigneurs des Longrais (en 1614), Crampon (avant 1643), la Piguelais (en 1643), Bouëxic, seigneurs de la Driennaye (en 1716), Tranchant (en 1789) ;

l'ancien manoir de la Bédorière. Propriété successive des familles Rabasté (au XVIème siècle et en 1661), Perras, Piguelaye (vers 1694) ;

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de MONTREUIL-SUR-ILLE

La seigneurie de Champclin (ou Champelin) : Champclin est une ancienne maison noble qui figure dans les cahiers des réformations de la noblesse faites en la paroisse de Montreuil-sur-Ille. On y voit au nombre des nobles de cette paroisse, en 1427 : « Mgr Jean de Cheveigné, sieur du manoir de Champclin » (nota : ce Jean de Cheveigné était seigneur du Plessis-de-Coësmes) — et en 1513, sous le titre de nobles et maisons nobles : « Jean de Bintin, seigneur de Bazoges (Bazouges-sous-Hédé), possède la métairie de Champclin » (Anciennes réformations de la noblesse de Bretagne – ms. de la Bibliothèque de Rennes). C'est aussi dans le chanceau de l'église paroissiale de Montreuil-sur-Ille que se trouvait encore, au XVIIème siècle, l'enfeu seigneurial de Champclin, recouvert de pierres tombales « avec écussons présentant des fusées et des besants » (Registres des sépultures de la paroisse de Montreuil-sur-Ille), c'est-à-dire les armes de la famille de Cheveigné, qui sont : de sable à quatre fusées d'or en fasce, accompagnées de six besants de même, posés 3, 3. Il semble donc qu'à cette époque le manoir de Champclin se trouvait en Montreuil-sur-Ille, mais actuellement on ne rencontre plus en cette paroisse de maison portant ce nom. En revanche, sur les limites de Montreuil et de Guipel, dans la vallée de l'Ille, se trouve en Guipel un village appelé Champclin, qui donne son nom à une écluse moderne établie non loin sur le canal d'Ille-et-Rance. C'est donc dans ces parages que s'élevait évidemment la maison noble de Champclin. La seigneurie de Champclin jouissait d'une juridiction et de fiefs s'étendant en Montreuil-sur-Ille, La Chapelle-des-Fougeretz et La Mézière. Nous venons de voir qu'elle appartenait au XVème siècle à la famille de Cheveigné, mais qu'en 1513 c'était la propriété de Jean de Bintin. Au siècle suivant « la terre de Champclin » fut achetée, par contrat du 4 novembre 1614, par Philippe Rabasté et Jeanne Le Vassal, sa femme (Procès verbaux de la réformation de la noblesse de Bretagne en 1668). En 1617, ce Philippe Rabasté, sieur des Longrais, fit une fondation en faveur de Montreuil, mais choisit sa sépulture dans un enfeu de l'église de Carfantain. Sa veuve, Jeanne Le Vassal, se remaria à Robert Crampon, alloué de Dol, dont elle eut en 1621 une fille nommée Jeanne. Le 30 mai 1643, Jeanne Crampon, dame de Champclin, épousa à Notre-Dame de Dol Jules-César-Antoine de la Piguelaye, fils cadet de Guy de la Piguelaye, vicomte du Chesnay (Registres des mariages de Notre-Dame de Dol). Les nouveaux époux vinrent habiter en Montreuil, où furent baptisés plusieurs de leurs enfants de 1648 à 1657 ; quelques-uns de ceux-ci y moururent, entre autres une fille nommée Gillette, inhumée le 17 juin 1653 « sous les pierres de la maison de Champclin », en l'église de Montreuil. Jeanne Crampon mourut veuve en 1677 et fut également enterrée le 2 juillet à Montreuil (Registres des baptêmes et sépultures de Montreuil-sur-Ille). Pierre de la Piguelaye, fils des précédents, devint à son tour seigneur de Champclin. Il épousa d'abord Perronnelle Heudelor, qui mourut en 1691 et fut inhumée le 14 janvier en l'enfeu de Champclin, « soubs la troisiesme tombe du chanteau (de l'église de Montreuil), armoyée de fusées et de besants ou tourteaux » (Registres des sépultures de Montreuil-sur-Ille). Pierre de la Piguelaye se remaria à Catherine Perras et en eut une fille, nommée Perrine, baptisée à Montreuil le 15 août 1696. Ce seigneur de Champclin décéda le 14 janvier 1703, et sa veuve, Catherine Perras, le suivit dans la tombe le 22 janvier 1711 ; l'un et l'autre furent inhumés dans l'église de Montreuil (Registres des sépultures de Montreuil-sur-Ille). Perrine de la Piguelaye, restée fille unique des précédents, épousa en 1716 Luc-François du Bouexic, vicomte de la Driennaye, mais elle mourut en couches dès 1719 et fut inhumée, le 12 septembre, dans l'église de Montreuil-sur-Ille (Registres des sépultures de Montreuil-sur-Ille). Cette famille de la Piguelaye, qui posséda pendant assez longtemps la seigneurie de Champclin, — signalée en 1710 comme lui appartenant et comme devant payer 30 livres pour impôt du vingtième (Archives d'Ille-et-Vilaine, C 4079), — devait vraisemblablement habiter le manoir de Champclin. Mais quand vint la Révolution, la « terre de Champclin » appartenait à René-Guy Tranchant, qui mourut le 18 janvier 1791. Gilles Tranchant, son fils, ayant émigré, Champclin fut saisi et mis en vente par la Nation (Archives d'Ille-et-Vilaine, Directoire de Rennes, VI, 206).

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Jusqu'à présent nous n'avons point rencontré le nom de Bonnier parmi ceux des seigneurs de Champclin, mais il va bientôt se présenter à nous. Nous avons dit que la seigneurie de Champclin s'étendait jusqu'en la paroisse de la Chapelle-des-Fougeretz, ancienne trève de Saint-Grégoire. Il se trouvait, en effet, au XVème siècle en cette paroisse un fief nommé Champclin, et ce fief appartenait au même seigneur que le manoir de Champclin en Montreuil-sur-Ille. Le 27 janvier 1433, Jean de Cheveigné, « seigneur du Plessix-de-Coësmes et de Champclin », celui-là même que nous avons vu en 1427 possesseur du manoir de Champclin, rendit aveu au duc de Bretagne, sous son domaine de Rennes, pour les rentes féodales qu'il cueillait en son fief de Saint-Grégoire (Archives d'Ille-et-Vilaine, Inventaire des aveux rendus aux ducs de Bretagne). La même année, au mois d'octobre 1433, ce seigneur était mort, et sa veuve, Jeanne des Vaux, « dame du Plessix-de-Coësmes et de Champclin », faisait une fondation au couvent de Bonne-Nouvelle à Rennes (Archives d'Ille-et-Vilaine, Cartulaire de Bonne-Nouvelle, 151). Le 11 novembre 1500, Jacques de Cheveigné, seigneur de Coësmes, rendit à son tour aveu à la duchesse Anne pour son « fief de Champclin en la Chapelle-des-Fougeretz » (Archives d'Ille-et-Vilaine). Ainsi, durant tout le XVème siècle, ce fief de Champclin en la Chapelle-des-Fougeretz appartint sans conteste à la famille de Cheveigné, qui possédait la terre et le manoir de Champclin ; ce fief faisait donc partie de la seigneurie de ce nom. Mais il est à remarquer qu'au commencement du XVIème siècle le fief de Champclin en la Chapelle-des-Fougeretz se trouva séparé de la seigneurie de Champclin en Montreuil ; nous venons de le voir en 1500 aux mains de Jacques de Cheveigné ; un autre aveu, daté du 14 mai 1540, nous le montre propriété de Philippe de Pan ; or, entre ces deux dates, nous avons vu en 1513 le domaine seigneurial de Champclin possédé par Jean de Bintin ; c'est donc vers cette époque que le fief de Champclin en la Chapelle-des-Fougeretz fut distrait pour toujours de la seigneurie de Champclin en Montreuil-sur-Ille. Occupons-nous donc maintenant de ce seul fief de Champclin. Philippe de Pan ne le conserva pas longtemps. Par contrat du 5 octobre 1562, « nobles et puissants Philippe de la Haye et Claude de la Roye (nota : peut-être faut-il lire Claude de la Roë, cette dame étant en 1555 dame de Coësmes et héritière des sires de Cheveigné) sa femme », vendirent, par échange, à François Bonnier, seigneur de la Gaudinaye, « un bailliage et juridiction, haute, moyenne et basse justice, appelé Champclin, situé et s'étendant en la paroisse de la Chapelle-des-Fougerays, quel bailliage consiste en rentes par deniers, avoynes, poulies, corvées, etc. » (Archives d'Ille-et-Vilaine, B 489). C'est ce François Bonnier, seigneur de la Gaudinaye et de Champclin, qui fit faire en 1575 le sceau de la cour de Champclin "d'argent à trois trèfles de sinople" ; l'année suivante 1576, il rendit aveu au roi pour son fief de Champclin, « le tenant prochement de S. M. en sa juridiction de Rennes à devoir de foi et hommage » (Archives d'Ille-et-Vilaine, B 489). En 1619, Luc-François Bonnier, seigneur des Grées, fils et héritier du précédent « décédé depuis dix ans » , fit hommage au roi, le 8 janvier, pour son fief de Champclin, « s'étendant en la Chapelle-des-Fougeretz et La Mezière » (Archives de Loire-Inférieure, B 1017). « Au mois d'octobre 1626, monsieur de Chanclin, conseiller, fut enterré à Bonne-Nouvelle » (Journal ms. d'un Bourgeois de Rennes – Archives d'Ille-et-Vilaine). Il s'appelait Jacques Bonnier, était frère du précédent et avait été reçu conseiller au Parlement de Bretagne en 1619. Ce fut la nièce de ces deux seigneurs qui hérita de Champclin. Elle se nommait Renée Bonnier et était fille du sénéchal de Rennes Jean Bonnier, seigneur de Champagné ; elle épousa Charles de Lys, seigneur de Beaucé en Melesse. Son fils Eustache de Lys, également seigneur de Beaucé, fit hommage au roi, le 9 décembre 1687, pour le fief de Champclin (Archives de Loire-Inférieure, B 1026). Les successeurs de ce dernier unirent Champclin à leur seigneurie de Beaucé, et en 1755 Jean-Eustache de Lys, seigneur de Beaucé, vendit le tout à Jean-Aristide de Rosnyvinen, qui jouit du fief de Champclin jusqu'à la Révolution. Celui-ci prenait en 1767 les titres de marquis de Beaucé et seigneur de Champclin ; il faisait exercer au bourg de la Chapelle-des-Fougeretz sa juridiction de Champclin (Archives d'Ille-et-Vilaine, B 489) (abbé Guillotin de Corson).

Ville de Montreuil-sur-Ille (Bretagne).

Lors de la Réformation faite en 1427, dans l'évêché de Rennes, par les commissaires Jamet Baude et Eon Poffraye, plusieurs nobles sont mentionnés à Montreuil-sur-Ille (56 ? contribuants, 4 mendiants) :

Monseigneur Jean de Cheveigné, sr. du manoir de Champelin ;

Guillaume Laizné (Laisné), sr. du manoir de la Provostaye (Prevotaye) ;

Geffroy Laurens (Laurent), sr. du manoir de la Tousche (Touche).

(à compléter)

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