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MOULINS |
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La commune de Moulins ( Melined) fait partie du canton de La Guerche-de-Bretagne. Moulins dépend de l'arrondissement de Rennes, du département d'Ille-et-Vilaine (Bretagne). |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de MOULINS
Moulins vient du moulin seigneurial.
La paroisse de Moulins existait au XIIème siècle, et son église appartenait alors aux Bénédictins de Saint-Melaine. Ces derniers furent confirmés en sa possession en 1158 par Josse, archevêque de Tours, en 1170 par Etienne, évêque de Rennes, et en 1185 par le pape Luce III. De plus, vers 1182, Jacques, évêque de Rennes, témoigna à Mathelin Privé, abbé de Saint-Melaine, que son prédécesseur, l'évêque Alain (1141-1157), avait déjà concédé à cette abbaye le droit de posséder l'église de Moulins ainsi que toutes ses dépendances et d'en présenter le recteur, « ecclesiam de Molins cum electione et presentatione presbyteri, suisque aliis omnibus pertinenciis ». Jacques renouvela cette concession en présence de Guihenoc, son archidiacre, et de Johic, doyen de Châteaugiron (Cartulaire de l'abbaye de Saint-Melaine, 16).
Le successeur de ce prélat, le saint évêque Herbert, s'occupa aussi de Moulins au sujet d'un différend survenu entre les moines de Saint-Melaine et le recteur de la paroisse ; il s'agissait de savoir quelle portion des prémices et oblations devait revenir aux religieux. Herbert prit conseil de l'archidiacre Raginald et de Jean, doyen de Châteaugiron, et décida que l'abbaye de Saint-Melaine n'aurait droit qu'au tiers des oblations faites en l'église de Moulins aux fêtes de Noël, de Pâques, de la Toussaint et de saint Martin, patron de la paroisse (Cartulaire de l'abbaye de Saint-Melaine, 128).
Lorsqu'en 1209 fut fondée la collégiale de Vitré, Geoffroy de Nioisel, abbé de Saint-Melaine, voulant contribuer à cette bonne oeuvre, donna au nouveau Chapitre une partie des rentes de l'église de Moulins, ce que confirmèrent en 1210 l'évêque de Rennes et l'archevêque de Tours.
Plus tard des difficultés surgirent par rapport à cette donation. Les chanoines de Vitré prétendirent qu'on leur avait donné toute l'église de Moulins, c'est-à-dire la cure de ce nom, pour l'entretien de deux prébendes, ce que niaient les moines de Saint-Melaine. L'évêque de Rennes, choisi pour arbitre par les deux parties, prononça sa sentence le 8 février 1449, adjugeant le droit de présenter la cure de Moulins à l'abbé de Saint-Melaine, mais obligeant celui-ci à faire aux chanoines de Vitré 18 livres de rente sur les revenus de cette cure pour contribuer au gros de deux prébendes (Dom Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 816 - Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 8 G, 22).
Enfin, un troisième établissement religieux avait des intérêts à Moulins : c'était l'abbaye de Saint-Sulpice-des-Bois. Dès 1216 Mabile, abbesse de ce monastère, obtint une sentence qui lui adjugeait une portion des dîmes de cette paroisse, après toutefois le décès de Barthélemy, recteur de Moulins (Dom Morice, Catalogue des abbesses de Saint-Sulpice).
Quand vint la Révolution, l'abbaye de Saint-Melaine n'avait plus aucun droit à Moulins ; toutes les dîmes appartenaient au recteur et à l'abbesse de Saint-Sulpice, encore celle-ci n'avait-elle en 1790 qu'un cinquième des grosses dîmes, estimé 500 livres de rente. Le recteur, M. Biart, déclara en effet, en 1790, qu'il jouissait des quatre cinquièmes des grosses dîmes et de toutes les dîmes menues, valant ensemble 2 500 livres ; — d'un presbytère avec jardin, estimé 60 livres , — et d'un pourpris de 122 livres ; c'était donc un revenu total de 2 682 livres. Mais il devait, par contre, payer la pension d'un vicaire, — une rente de 21 livres 12 sols à la collégiale de Vitré, — 185 livres de décimes, — et entretenir le chanceau et le presbytère, etc., ce qui réduisait considérablement son bénéfice. A la même époque, la fabrique de Moulins avait 324 livres 2 sols 11 deniers de rente, et la bourse des défunts 494 livres 5 sols (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 V, 29 et Pouillé de Rennes).
La paroisse de Moulins dépendait autrefois de la châtellenie du Désert et de l’ancien évêché de Rennes. Les seigneurs de Monbouan étaient titulaires d'un droit de haute justice et de quintaine. Monbouan relevait de la baronnie de Vitré.
On rencontre les appellations suivantes : ecclesia de Molins (en 1158), de Moulins (en 1185), de Molendinis (en 1516).
Note 1 : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Moulins : Barthélemy, "Bartholomeus persona de Moulins" (en 1216), Jean Aveline (résigna vers 1578), Antoine Huart (en 1578), Gilles de Gain (avant 1636), Louis Odesping (vers 1636 et jusqu'en 1638), Olivier Merré (en 1638 et en 1642), Guillaume Merré (vers 1698), Philippe Amyot (résigna vers 1701), Hyacinthe Porteu (1701-1709), Etienne-Claude Frotin (en 1709), Eustache Gicquel (décédé en 1730), Nicolas Gefflin (1730-1741), François-René Marion (1741-1774), Nicolas Biart (1774-1789), François Simonneau (1803-1807), Marie-Gilles Fauvel (1807-1811), Julien Le Meslif (1812-1827), Julien Henry (1827-1873), Pierre Janot (à partir de 1873), ...
Note 2 : liste non exhaustive des maires de Moulins : Michel Roussigné (1789-1806), Joseph Veillon (1806-1830), Hévin (1830-1859), Veillard (1859-1869), Fouillé (1869-1871), Emile Hévin (1871-1919), Emile Hévin (1919-1959), Emille Le Hérou (1959-1989), Michel Carpentier (1989-2001), Pierre Melot (2001-2026), etc ...
Voir " Le cahier de doléances de Moulins en 1789 ".
PATRIMOINE de MOULINS
l'église Saint-Martin (XII-XV-XVI-1836). Dédiée à saint Martin de Tours dès le XIIème siècle, l'église de Moulins se compose d'une nef à laquelle ont été ajoutées trois chapelles d'inégale grandeur, une au Nord et deux au Sud. Ces chapelles, aussi bien que le portail occidental au bas de la nef, semblent des XVème et XVIème siècles, mais la nef elle-même a été reconstruite au XVIIIème siècle. Le choeur, avec chevet droit, a été refait et augmenté en 1836. Il y avait jadis trois précieuses verrières du XVIème siècle dans les fenêtres flamboyantes de cette église : au chevet se trouvait représentée la Passion de Notre-Seigneur ; il n'en reste, à la fin du XIXème siècle, que quelques débris insignifiants replacés au bas de la nef ; — dans la première chapelle méridionale était naguère une vitre délabrée figurant « divers traits de la vie de la Sainte Vierge, et dans le tympan de l'ogive l'Assomption de la Reine des cieux, que les anges introduisent dans leur glorieux séjour ». Cette verrière a fait place à une vitre moderne représentant aussi l'Assomption. — Enfin, dans la chapelle du Nord est conservé « un arbre de Jessé dont l'ingénieuse image se retrouve assez rarement dans notre pays. Le patriarche est couché au bas du tableau ; de son sein partent les rameaux sur lesquels on voit apparaître les divers ancêtres du Christ, selon l'ordre généalogique, et dans le haut une dernière tige laisse éclore une fleur gracieuse du calice de laquelle semble sortir la rose mystique, Marie, tenant dans ses bras le rejeton béni des saints patriarches » (M. l'abbé Brune, Archéologie religieuse, 420). L'on dit que ces trois verrières portaient les dates 1560, 1561 et 1575. La deuxième chapelle du Sud, transformée actuellement en sacristie, est ajourée d'une fenêtre de style flamboyant et renferme un bas-relief en pierre où l'on voit une piéta, et à côté du groupe sacré un prêtre en surplis, agenouillé, et présenté par un ange qui porte une anille ; près de lui est un cadavre. Nous ne serions pas surpris que cette sculpture se rapportât à la fondation de Nicolas Trocheu, recteur de Moisdon et chanoine de Notre-Dame de Nantes : ce prêtre avait fait élever dans l'église de Moulins, où était inhumé son père, Georges Trocheu, un autel dit « l'autel de la Passion » ; or, en 1599, il fonda à cet autel, tous les vendredis, une messe chantée avec procession et Libera sur le tombeau de son père (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 82). Le baron de Vitré était, semble-t-il, seigneur supérieur et peut-être même fondateur de l'église de Moulins, et l'on voyait jadis les armoiries de François de Laval, évêque de Dol et fils du sire de Vitré, dans le chanceau de cet édifice, notamment sur les piédestaux des statues. Mais en 1534 Jean du Préauvé, seigneur du Hautbois, et Olivier Le Vayer, seigneur de Montbouan, furent autorisés à conserver leurs prééminences dans l'église de Moulins et à y replacer leurs armoiries. Lorsqu'en 1656 l'on édifia le maître-autel qui existe encore et les autels de la Sainte-Vierge et de Saint-Sébastien, François du Chastellier, seigneur du Hautbois, s'opposa à ce que René de Langan, seigneur de Montbouan, plaçât ses écussons sur ces derniers autels ; il finit par y consentir en 1658, et au XVIIIème siècle le seigneur de Montbouan était considéré seul comme seigneur fondateur et prééminencier de l'église de Moulins (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, fonds de Piré). On voit encore au haut de la nef la pierre tombale d'un Le Vayer, seigneur de Montbouan, portant une épée et ses armoiries : losangé d'or et de gueules. Montbouan, successivement possédé par les Le Vayer, de Langan et Hay de Bonteville, avait un droit de quintaine sur tous les nouveaux mariés de la paroisse de Moulins. En 1638, Olivier Merré, recteur de Moulins, fit une requête à Bonne-Nouvelle pour obtenir l'érection dans son église de la confrérie du Rosaire ; il promit, à ce sujet, d'ornementer en conséquence la chapelle Saint-Nicolas. Toutefois cette confrérie n'y fut établie que le 7 octobre 1703 ; elle avait 30 livres 12 sols de rente en 1790. A cette dernière époque, la confrérie de Saint-Louis et Saint-Martin, mentionnée à Moulins dès 1679, avait un revenu de 31 livres 10 sols (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 H, 5 ; 1 V, 29 et Pouillé de Rennes). La nef date du XIIème siècle et est restaurée au XVIIIème siècle. Les chapelles nord et sud datent du XVème siècle. Le chœur est agrandi en 1836. Le vitrail, oeuvre du maître verrier Michel Bayonne et représentant l'Arbre de Jessé, date de 1575 (restauré au XIXème siècle). Le vitrail représentant la passion du Christ date de 1560. Le retable, oeuvre des ébénistes Jean et Michel Langlois, date du XVIIème siècle. On y voyait autrefois l'écusson des Le Vayer, seigneurs de Monbouan aux XVème et XVIème siècles, ainsi que les armes de François de Laval, évêque de Dol de 1528 à 1556. Les seigneurs du Haut-Bois y avaient également un enfeu et leurs armes ;
Nota 1 : Dans son aveu de 1653, le seigneur du Hautbois déclarait ainsi ses prééminences dans l'église de Moulins : « A cause de laquelle maison du Hault bois, ledit seigneur de la Hautays a droit d'enfeu, pierre tomballe, armoiryes, bancq dans l'églize de Moullins du côté de l'épistre, dans la nef d'icelle églize, armoyé des armes du Préauvé qui sont trois annelets ; et que Mgr le duc de la Tremoille est, à cause de sa baronnie de Vitré, seigneur supérieur et fondateur de lad. églize ». (Arch. départementales ; E, Baronnie de Vitré, première liasse, huitième cahier des anciens inventaires analytiques).
Nota 2 : Par la « porte mortuaire » aux décorations Renaissance empreintes d'une certaine naïveté dans leur exécution, nous pénétrons dans le sanctuaire. C'est là que nous pouvons admirer les beaux vitraux L'arbre de Jessé est magnifiquement restauré. C'est une pièce aux belles couleurs, aux lignes pures et harmonieuses. Les costumes des Patriarches nous donnent des détails fort intéressants et là-haut, au sommet, dans une fleur, la Vierge et l'Enfant s'épanouissent resplendissants. Tout autre est l'effet que produit celui du bas de l'église. C'est une belle mosaïque, et une belle composition. Ce sont en plusieurs morceaux quelques scènes de la Passion, dont la Flagellation ressort particulièrement. Ce vitrail date de 1560. La troisième verrière, celle de la Vierge, n'y est plus, elle a été changée contre une fenêtre aux verres peints qui n'ont aucune valeur. Les trois rétables sont de 1656 à 1659. Somptueusement et richement composés ils furent construits par Jean et Michel Langlois, sculpteurs à Laval. Au centre, la dalle funéraire des « Le Voyer ». Il ne reste rien des armoiries qui, à la Révolution, furent grattées avec un soin particulier dans le pays de Vitré. Sur les rétables, les écus ne sont plus losangés et les litres des seigneurs de Montbuan ont disparu (E. Evellin, 1928).
le château de Monbouan ou Montbouan (1770-XIXème siècle), édifié par Joseph Besnard pour François Paul Hay de Bonteville, à l'emplacement d'un manoir du XVème siècle détruit par un incendie vers 1769. Les deux ailes du château sont ajoutées au XIXème siècle et les dépendances du château datent du XVIIIème siècle. La chapelle Sainte-Barbe de Montbouan dépendait du manoir de ce nom ; elle était à l'origine fondée de plusieurs messes, et cette fondation fut même augmentée vers 1720 par Françoise Huart, veuve de Paul Hay, seigneur de Bonteville, et alors dame de Montbouan. Mais en 1790 on n'y disait plus qu'une messe tous les dimanches et fêtes ; elle avait alors un revenu de 94 livres 10 sols. Elle eut pour chapelains François Guillou, décédé en 1723, — Nicolas Gefflin (1725), — Michel Audiger (1766) — et Olivier Roullé, décédé en 1791. Le trésorier de Rennes, Maurice Hay de Bonteville, bénit en 1779, à Montbouan, le mariage de Paul Hay, marquis des Nétumières, et d'Emilie Hay de Bonteville. La chapelle actuelle de Montbouan, dédiée à la Sainte Vierge, se trouve dans une aile même du château, rebâti en 1771 ; elle est décorée dans le style rocaille et desservie parfois (Pouillé de Rennes). Le château possédait une fuie, des douves et un droit de haute justice. Propriété successive des familles le Vayer (en 1427 et 1534), Langan du Boisfévrier (par mariage en 1515), Hay, seigneurs des Nétumières (par acquêt en en 1714) ;
la maison (1603), située place de l'Eglise ;
le calvaire (1900) ;
5 moulins dont le moulin à eau des Glanettes, à tan, et les moulins à vent du Haut-Bois, de Monbouan, des Hautes-Pâtures ;
A signaler aussi :
l'ancien manoir de la Hussonnière. Il possédait autrefois une chapelle privative. Propriété de la famille le Vayer en 1513 ;
l'ancien manoir du Haut-Bois. Il possédait jadis un droit de haute justice. La chapelle du Hautbois dépendait de ce manoir et on y fit un mariage en 1668. Propriété de la famille Préauvé en 1513, et de la famille Châtellier, seigneurs de la Haultaye en 1656 ;
l'ancien manoir de la Ridoire ;
l'ancien manoir de la Grandinais. Propriété de la famille Coayquen en 1427 et de la famille Thierry, seigneurs du Boisorcant en 1513 ;
l'ancien manoir du Tertre. Propriété de la famille de Mombeille en 1513 ;
l'ancien manoir de la Landelle. Propriété de la famille de la Valette en 1513 ;
ANCIENNE NOBLESSE de MOULINS
La seigneurie de Montbouan appartient dès le XVème siècle à la famille Le Vayer, avant de passer entre les mains des familles Langan (début du XVIème siècle) puis Hay des Nétumières (début du XVIIIème siècle). Elle possédait un droit de haute justice et relevait de Vitré. Elle jouissait d'un droit féodal appelé "Treiche" ou devoir des nouveaux mariés. D'après les aveux de 1470 et 1751 " les nouveaux mariés ou mariées ayant épousé en l'église de Moulins et couché en cette paroisse la première nuit de leurs noces devaient se présenter le jour de la Pentecôte, à l'issue des vêpres, au bourg de Moulins et là devait chacun marié frapper d'un baston ou quillard, par trois fois, trois ballottes qui lui étaient jetées consécutivement par le seigneur de Montbouan ou ses officiers ". Les nouvelles mariées " après avoir été présentées par leurs maris devaient chacune dire une chanson et danser en danse ronde ". En cas de manquement, les mariés et mariées étaient " tenus de payer au seigneur chacun deux pots de vin blanc et une amende de soixante sols ".
Lors de la Réformation faite en 1427, dans l'évêché de Rennes, par les commissaires Alain Le Jambu et Jean Le Caorcin, plusieurs nobles sont mentionnés à Moulins (50 contribuants, 4 métayers) :
Mesire Raffroy de Quoayquen (Coayquen), sr. de Grandinaye (Grandinais) ;
Jean de Monbeille (Mombeille) ;
Raoul de Préauvé ;
Jean de la Cigougne (Cigogne) ;
Jean le Veyer (Vayer) et sa mère.
La
montre des gentilshommes de l'évêché de Rennes, de 1541, mentionne à
Moulins les nobles suivants :
" Pierre de La
Vallecte filz aisné et héritier principal et noble de Jehan de La Vallecte se
présente bien monté et armé pour il et Me Guy Morel, Jacques de L'Ousche tant en
son nom que tuteur et garde des enffens feu Me Françoys de L'Ousche.
Requérant uncore luy estre pourveu de adjoinctz des seigneurs de Dommaigné et le
seigneur du Rouvray
[Note : Manoir du Rouvray, en Essé. Le seigneur en était
alors Jehan du Rouvray]. De quoy luy sera faict raison. Et a faict le serment.
Et a déclairé celuy de La Vallecte avoir par cy devant deffunct Jehan de La
Vallecte son père présenté sa déclaracion qui monte environ la somme de soixante
saèze livres troys soulz deux deniers. Et a esté trouvé que la déclaration de
Jacques de L'Ousche en son nom privé et desdictz myneurs feu Me Françoys de
L'Ousche monte environ trante deux livres en revenu noble chaincun an. " (B. de Pleguen, E. Becdelièvre, et G.
Sèvegrand).
(à compléter)
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