Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue !

ÉGLISES ET CHAPELLES DE PLOUGUENAST

  Retour page d'accueil      Retour page "Plouguenast"   

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

EGLISE SAINT-PIERRE.

De plan rectangulaire, elle comprend une nef avec bas-côtés sur colonnes et architravres de travées plus celle du clocher encastré. Cette nouvelle église fut commencée au Pontgamp en 1835, malgré l'opposition des habitants des habitants du Vieux-Bourg. Les travaux exécutés sur les plans de M. LORIN, furent souvent arrêtés ; Enfin, en janvier 1845, le culte fut transporté à la chapelle voisine, Ste Anne de Pontgamp et la nouvelle église bénite le 16 mars suivant, la tour n'était alors qu'à la hauteur du faîtage. Celle-ci fut terminée en 1853. Le mobilier : Autels modernes dus à Etienne de Trévé (1863 et 1864) : Statues anciennes de Saint Servais XVIIIème siècle et de Saint Eloi XVIIIème siècle.

EGLISE DU VIEUX-BOURG.

En forme de croix latine, elle comprend une nef avec bas-côté nord de quatre travées, un transept, et un chœur. L'édifice actuel de diverses époques, date en majeure partie des XV et XVIème siècles et a été restaurée aux XVII et XIXème siècles. La seconde travée du bas-côté, voutée sur arcs ogives primitifs et supportant le clocher, paraît remonter à la fin du XIIème siècle. La sacristie et la chapelle de Saint Sacrement (aile sud) furent bâties sous le rectorat de Messire Jacques Simon vers 1648. La chapelle Saint Nicolas (aile nord) et le chœur furent édifiés en 1679 sous le rectorat de M. Leuduger, la première pierre en fut posée le 21 juin par le haut et puissant Thébaut Le Mintier, Seigneur de Carmené et la bénédiction de l'église fut faite le 19 novembre suivant. En 1768, l'église avait besoin de grosses réparations, la majorité des paroissiens était d'avis du transfert au Pontgamp, mais deux arrêts du Parlement de Bretagne des 21 mai 1768 et 18 mors 1871 refusèrent l'autorisation. Le mobilier : Maître-autel de la fin de XVIIème (classé portant l'inscription Le Faucheur, peintre à Uzel. Reste des vitraux du XVIème siècle (classé), panneaux provenant d'un jubé enchâssés dans le balustre du chœur (classés). Ils sont contemporains et présentent des motifs décoratifs semblables à ceux de la porte de l'église de Malestroit. Statues anciennes de Saint Pierre, de la Sainte Vierge, de Saint Nicodème, de saint Germain tout entourée de rubans, le Saint étant invoquer pour délier les enfants.

Autres chapelles.

La Chapelle de Saint Théo refaite en 1934. Elle enferme les statues anciennes de Saint Gildas et de Saint Barthélémy. La Chapelle du Rosaire au Vieux-Bourg vendue en 1806, détruite au XIXème siècle. Elle renfermait la tombe de R. D. Claude Marie de la Fruglaye, Abbé de prières. Sainte Anne détruite au XIXème siècle, Saint Eloi détruit à la même époque, Saint Eloi du Crau, Saint Jean détruite, Saint Michel de Cornéan en ruine, pans de murs.

L'ancienne paroisse de Plouquenast dépendait comme aujourd'hui, du diocèse de Saint-Brieuc, mais elle avait pour subdélégation, Moncontour et pour ressort Rennes.

Maisons nobles.

Gomené : M. de Beaumont.

Pontgamp : M. de la Moussaye.

La Ville Dane : M. Coupé de Carmené et des Essarts.

La Touche Brandineuf : M. de Trafalegan.

Montorien : M. de Montorien.

 

L'EGLISE DE PLOUGUENAST (celle du Vieux-Bourg).

D'après la supposition que nous avons faite au début, la première église ou le premier oratoire au Vieux-Bourg remonterait à Saint Gall ou à ses moines au VIIème siècle. Le monument actuel date, dans ses parties principales, du XVIème siècle. La partie qui supporte le clocher, les quatre colonnes avec leur voûte est antérieure et doit remonter à l'édifice qui précéda celui du XVIème siècle. Malheureusement nous n'avons rien d'écrit la concernant avant l'apparition des registres. Ceux-ci furent ordonnés par François Ier par un édit de Villers-Cotteret de 1535, mais ceux de chez nous ne commencent qu'en 1628 et 1630. N'y en eut-il pas avant ? Ou ont-ils été perdus ? A partir de cette date, malgré le laconisme de la plupart des Recteurs, avares de leur écriture, nous suivons très bien les transformations faites à l'église.

La nef et le chœur de l'église furent donc refaits au XVIème siècle. La Sacristie, telle qu'elle est encore aujourdhui, fut ajoutée entre 1648 et 1648 sous le rectorat de Guillaume LUCAS. La chapelle du Saint Sacrement, c'est-à-dire l'aile du côté de la route " fût bastie par noble et discret Messire Jacques SYMON, Sieur de Launay. Recteur de Plouguenast, entre 1648 et 1652 ". " La Chappelle de Saint Nicolas, qui est du côté de la fontaine, fut bastie l'an mil six cent soixante dix-neuf et le chœur élevé à la hauteur de la Chappelle du Saint Sacrement. Le tout des deniers de la fabrique. Les maçons eurent pour leur main mise, les matériaux, les charroyes exceptés, qui se faisaient par les paroissiens, la somme de deux cents livres ; Les charpentiers, qui étaient Pierre GOICHET de Launay, Jean et Pierre LABBE de Glégan eurent... et les couvreurs qui fournissaient les matériaux, charroyes exceptés "...

" La première pierre fut posée par haut et puissant Seigneur Thébaut le Mintier Seigneur de Carmené, les Essarts, Gourmené, fondateur de l'église de Céans et bénite par MOY, Recteur, signé le 21 juin du dit an ". [Note : Le Mintier de Carmené est reconnu comme Seigneur fondateur de l'église en 1709. En 1770 le Sieur de Beaucours est son héritier et bénéficier mais ce titre lui est contesté par le Sieur COUPPE de Carmené. (Rap. du Général de Plouguenast en 1771, pour le transfert de l'église. Archives de l'Evêché)]

" Le dimanche 19 novembre 1779 de la mesme année, la dite Chappelle et l'église fut bénite par MOY, Recteur, assisté de Vénérables et discrets Messires François le Nouvel, Henry BUSCHOUX, Pierre le Nouvel, prestres de cette Paroisse, et de François le Nouvel et Guillaume RADENAC Diacres, et par ermission de Mr Hardoin Fortin de la Hoquette pour lors évesques de St-Brieuc, depuis transféré à POITIERS par le roi Louis XIV ’’.

Ce texte est écrit de la main propre du Recteur Jean LEUDUGER. Ce Jean LEUDUGER est un homme célèbre. presq'un Saint. Sa vie, une volumineuse vie de cinq cents pages a été écrite par Mgr André de la VILLERABEL. Il fut en effet le fondateur de la puissante congrégation des filles du Saint Esprit. Or dans cette vie Mgr de la VILLERABEL écrit à propos de Jean LEUDUGER et de l'église : " Quand Jean LEUDUGER arriva à PLOUGUENAST en 1676, l'église menaçait ruine, mais les gens de Plouguenast ne songeaient pas à la rebatir, effrayés des dépenses ".

Les deux ailes du transept appelées chapelles du Saint Sacrement et de Saint Nicolas étaient plus profondes qu'elles ne le sont aujourd'hui. Elle furent diminuées, lors de la dernière restauration vers 1880.

Dire que cette église n'a aucune valeur artistique est exagéré. Elle devait être au contraire charmante autrefois lorsqu'elle avait ses vitraux. On remarquait particulièrement dans la verrière derrière l'autel un arbre de Jessé dont les fragments se retrouvent aujourd'hui sur les fenêtres du côté nord. Il est regrettable que des mains profanes et si peu artistes se soient chargées de les réparer. On trouve dans le premier vitrail des fragments du second et vice versa. Dans l'aile midi du transept subsiste un fort beau panneau représentant la Pentecôte, avec le Saint-Esprit projetant des rayons rouges et or sur la Sainte Vierge et les apôtres. Saint Pierre est vêtu d'une robe à manches bouffantes comme sous François Ier. Dans l'aile nord on remarque les restes d'une crucifixion. La fenêtre du côté sud entre le porche et le transept referme, enchâssés dans un vitrail neuf, deux fragments intacts du XVIème de bonne facture, la Sainte Vierge et Saint Pierre.

Le beau retable du XVIIème siècle est tout à fait remarquable avec tous ses personnages, la Saint Trinité au milieu, de chaque côté Saint Pierre et Saint Paul et deux évêques Saint Germain et Saint Nicolas. Le maître autel et le retable furent réparés sur l'initiative des dames VIET, par un artisan du Vieux-Bourg " Yves LAMANDE ". [Note : Le prêtre Jacques Viet se fait bâtir une maison au bourg vers 1770 (Archives de l'Evêché)]. Avec des instruments de fortune il sculpta ou répara, Saints, colonettes et vignettes avec tant d'habileté que c'est à s'y méprendre et à ne pas distinguer l'antique du moderne.

Ce beau retable blanc avec ses rehauts d'or est muni de petites colonnettes torses enroulées de vigne que picorent moult oiselets d'or vert. Au haut du tabernacle le Père Eternel entouré d'anges aériens aux aspects variés. Le tout est si harmonieux dans ses reliefs que la variété du décor lui donne une richesse sans fouillis.

Comme vieilles statues de bois, il y a de chaque côté de l'autel, une Sainte Vierge avec l'enfant Jésus et Saint Pierre. A l'autel du midi une Sainte Appoline. Dans le bas côté un bieux Saint Germain tout emmailloté de rubans de couleurs. Il est très invoqué, car il guérit les coliques des enfants. En face de lui il y a un Saint Nicodème avec une fiole à la main. Lui guérit les malaises des animaux. Il est encore visité aussi. Dans la balustrade, il y a onze vieux panneaux, représentant les apôtres avec leurs instruments de supplice. Ils proviennent dit-on d'un ancien jubé. Les deux autels latéraux furent faits au siècle dernier, avec la balustrade, par un habile ouvrier de l’endroit, Allain GALLAIS. Le chœur fut alors agrandi, car autrefois l'autel était plus reculé et le chœur se, terminait à la limite des autels latéraux. A remarquer dans le cimetière le calvaire à auvent du XVIème. Il y avait là autrefois un reliquaire dont il est question en 1731 et 1737.

Saint Pierre a-t -il toujours été le patron de la paroisse ? Gaultier de Mottay nous dit que l'église du Vieux-Bourg était dédiée à la Sainte Vierge. Mais ne confond-t-il pas avec la chapelle du Rosaire ?

Elle est bien vénérable cette vieille église et a droit tout notre respect. Tant de générations de nos ancêtres après y avoir prié, s'y être sanctifié y dorment leur dernier sommeil. C'eut été un sacrilège que de la démolir et Dieu sait pourtant si on a essayé ! Si elle est encore debout c'est gràce au cran et à la ténacité des gens des environs. C'est un plaisir de la voir contenir toujours le Saint Sacrement, si bien tenue, si propre. Comment, en félicitant la famille qui en a la garde et tous les gens des environs qui contribuent à son entretien, ne pas évoquer le souvenir des Demoiselles VIET ? Elles l'ont tant aimée, tant défendue et entretenue avec tant de soin !

" Jean LEUDUGER s'adressa au Général de la paroisse pour imposer au peuple sa démolition et sa reconstruction... les ressources étant restreintes, le général n'osa rien entreprendre. LEUDUGER recourut à une mesure radicale. Il groupa quelques ouvriers, déménagea les objets du culte et le mobilier et fit tomber les vieilles murailles. Le dimanche suivant quand les paroissiens arrivèrent, par les grandes landes, les bois, les chemins impraticables ou les sentiers qui longent les champs séparés par des échaliers, ils furent surpris de voir leur église par terre. Le Recteur les rassura en se chargeant lui-même de la reconstruction sans rien demander au Général. Quelques mois après une église se dressait à la place de l'ancienne église à la manière du temps, sans valeur artistique ".

Ce n'est pas exact. Son Excellence a puisé ces renseignements, tout à la gloire de son héros, dans Tresvaux et Ropartz, sans les contrôler. Or, il se trouve que le témoignage de ces deux auteurs est détruit par celui de l'interessé lui-même, écrit, tel qu'il est citée plus haut, à la fin des Registres de Plouguenast de l'année 1679.

27 Mars 1956, Visite de l'église de Plouguenast.

Le Révérend Père Alexis PRESSE, Abbé du Boquen, se propose aimablement comme guide très compétent pour nous faire retrouver à Plouguenast les traces de Dom Jean LEUDUGER. Le Révérend Père est au Boquen depuis 20 ans, né à Plouguenast, il connait très bien la région.

L'église de Dom Jean LEUDUGER est à la limite de Plouguenst et n'est plus aujourd'hui église paroissiale, jadis la paroisse comptait 5 chapelles disséminées sur toute son étendue. Plus tard, les chapelles tombées en ruines, l'église s'avérait à la fois trop petite et mal placée. On en construisit une nouvelle plus centrale et la petite église de Dom Jean LEUDUGER n'est plus depuis lors desservie que le dimanche.

Ropartz dans " Portraits bretons " dit que Dom Jean LEUDUGER, à son arrivée à Plouguenast, mit à bas l'église existante trop petite et quasi en ruines et en rebâtit une nouvelle de ses propres deniers. Ce n'est pas rigoureusement exact.

Il agrandit l'ancienne église et pour cela, jeta à bas le toiture et une partie des murs, mais il garda de l'ancien édifice tout ce qu'il pouvait conserver : on peut voir encore aujourd'hui la nef latérale datant du XIIème siècle avec le mur qui aboutit au portail d'entrée. (Il fit aussi encastrer les anciens vitraux dans la nouvelle construction : les 2 vitraux latéraux existent toujours, l'un représente la descente du Saint-Esprit à la Pentecôte).

Quant au vitrail du chœur qui représentait l'arbre de Jessé, il a été démoli depuis et remis par morceaux disparates dans les vitraux de la nef latérale. Le maître autel (restauré en 1892), la statue de la Sainte Vierge dans le chœur à droite (autrefois dans le porche latéral), les bas-reliefs de la table de communion, représentant les douze apôtres étaient déjà dans l'église du temps de Dom Jean LEUDUGER. Les autels latéraux ont été transférés à l'église paroissiale où ils ont été placés au bas des deux nefs latérales.

Le Calvaire très ancien auprès de l'église est certainement aussi antérieur à l'arrivée de Dom Jean LEUDUGER dans la paroisse. Cette petite église est donc l'œuvre de Dom Jean LEUDUGER, il l'a pensée, il y a travaillé sans doute de ses mains. Il a célébré à cet autel, il a prié devant la statue de Marie, ici il a évangélisé le pauvre peuple, il a fait le catéchisme aux enfants. C'est un lieu vénérable pour nous.

Au bourg même de Plouguenast, une déception nous attend. A la Mairie nous cherchons en vain l'écriture de Dom Jean LEUDUGER. Les registres du XVIIème siècle sont là, seul manque celui qui va de 1669 à 1670 !

A la bibliothèque du BOQUEN, le Père Abbé avait montré une traduction bretonne du "bouquet de la Mission" "donné à Joseph Le MERER 1er prix de lecture. PLEUMEUR BODOU, le 27 septembre 1835. Sœur St Melaine. Fille du Saint-Esprit".

Le 22 octobre suivant, le Révérend Père a bien voulu échanger ce livre contre un autre de la même édition qui nous avait été offert par Monsieur le Recteur de Cast. Le précieux volume est maintenant dans nos archives.
A la bibliothèque du BOQUEN, le Père Abbé avait montré une traduction bretonne du "bouquet de la Mission" "donné à Joseph Le MERER 1er prix de lecture
PLEUMEUR BODOU, le 27 septembre 1835. Sœur St Mélaine. Fille du Saint-Esprit." Le 22 octobre suivant, le Révérand Père a bien voulu échanger ce livre contre un autre de la même édition qui nous avait été offert par Monsieur le Recteur de East. Le précieux volume est maintenant dans nos archives.

CHAPELLE DE ST-THEO EN PLOUGUENAST.

C'est la seule qui soit restée debout ou plutôt qui ait été relevée de ses ruines et celà grâce à l'initiative pieuse, intelligente et persévérante de la populalion de St-Théo. Qu'ils soient félicités, ceux qui ont eu l'idée de la relever, tous ceux qui ont contribué de leur travail ou de leur obole à rebâtir cette modeste demeure du protecteur séculaire de leur village. Elle est simple, sans style, mais elle est le témoin que les gens de St-Théo du XXème siècle ont la même foi que les ancêtres. Des centaines de générations ont prié là de la même manière que prions aujourd'hui. Bien des choses ont changé depuis que les hauts et puissants seigneurs de Quengo revendiquaient leurs droits de prééminence dans cette chapelle, une chose reste, essentielle : la foi en Dieu et en la communion des Saints.

Son mobilier intérieur n'est pas bien riche. Elle renferme quatre vieilles statues de bois : St Barthélémy, St Jacques, St Gildas (ou Gall) et une petite vierge. Sa cloche est celle de St Michel. Nous savons que le pâtis qui l'entoure a servi de cimetière autrefois en temps d'épidémie. On peut relever en particulier sur les registres de 1632 les noms des 7 ou 8 personnes qui y furent inhumées pendant la peste de cette année là.

Après 1792, la messe n'y fut plus dite, sinon peut-être clandestinement au cours de la Révolution, jusqu'aux années dernières. Après la Révolution le 28 mai 1806 elle fut vendue avec les autres comme bien de première origine, c'est-à-dire bien d'église. Voici comment DEPAGNE, notaire-expert la décrit le 28 février de cette année-là.

" Chapelle en demi-croix, d'une longueur de cinquante cinq pieds tout compris, 2 portes, 4 fenêtres. Le terrain qui l'entoure contient six ares sans compter le chemin, ce terrain est planté de grands arbres. La maçonnerie de la chapelle est de mauvaise pierre de moellon, l'ardoise est vieille, plusieurs sont cassées. Le tout, terrain compris, est estimé à 303 francs ".

Elle fut achetée, après deux adjudications, par le Sieur DENIS employé de la préfecture agissant pour le Sieur François GICQUEL, Maire de Plouguenast.

Le 2 mai 1830, quelques mois avant de mourir, l'Abbé François GICQUEL en faisait don à la commune avec celle de St Michel. Le Conseil Municipal accepta purement et simplement.

Depuis ce temps elle a été entretenue par les gens du village. Tous les dimanches pendant le mois de mai on y a fait et on y fait toujours des réunions pour réciter en commun la prière du soir et le chapelet.

(Abbé Ange Lucas).

© Copyright - Tous droits réservés.