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PLOUGUENAST

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La commune de Plouguenast (bzh.gif (80 octets) Plougonwaz) est chef lieu de canton. Plouguenast dépend de l'arrondissement de Saint-Brieuc, du département des Côtes d'Armor (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de PLOUGUENAST

Plouguenast vient du breton « ploe » (paroisse) et de Saint-Gast (moine venu d'Irlande), ou encore du vieux breton Cunwas.

Plouguenast est une ancienne paroisse primitive qui englobait jadis le territoire actuel de Plouguenast et une partie du territoire de Langast (qui relevait jadis du diocèse de Dol). La paroisse de Plouguenast est mentionnée dans un acte de 1273 (Ploingonnas), faisant état de la vente au vicomte de Rohan par un certain Geffroy Bernier, de ses droits au village de la Bernardais (Bernardye). Le fief de Pontgamp relève en 1273 de la vicomté de Rohan. Plougonneas est cité dès 1330. Pleoucgonouas est une paroisse en 1426 (archives de Loire Atlantique, B2978) et relève de la châtellenie de Moncontour.

Bontgamp-Plouguenast (Bretagne).

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Plouguenast appartenait au diocèse de Saint-Brieuc. Elle avait pour subdélégation Moncontour et pour ressort Rennes. La cure était à l'alternative. Commune depuis 1790, Plouguenast a, jusqu'en 1845, son chef-lieu au Vieux-Bourg. En effet dès janvier 1845, le culte est transporté de l'église du Vieux-Bourg en la chapelle Sainte-Anne du Pontgamp et la commune est transférée au village de La Bernadais, près de Pontgamp. Au cours de l'année 1796, des chouans détruisent la maison communale et les archives. En 1799, des nobles sont arrêtés pour servir d'otages.

Ville de Plouguenast (Bretagne).

On rencontre les appellations suivantes : Plougounas (en 1269), Par. de Ploingonnas (en 1273), Plogonoas (en 1279, en 1323), Plougonneas (vers 1330), Pleoucgonouas, Plougonnas (en 1426), Ploucgonouas (en 1427), Plougonnas (en 1480), Ploeouguenas (en 1516), Ploeguenast (en 1536), Plougonas (en 1583), Plouguenas, Plouguenast (en 1610).

Bourg de Plouguenast (Bretagne).

Note : la commune de Plouguenast est formée des villages : Cornean, Ville-Hamon, Linguet, Motte-Parent, Launay-Jean, Maillot, Touche-Brandineuf, Belle-Noë, la Bernadaie, Pontgamp, la Brousse, Ville-Talva, Launay-Dic, Tertia, Saint-Théo, les Ardillets, Bohino, Broussardel, Ville-Méno, Brousse-Vauvert, la Drolaye, Beaulieu, Croupan, Bel-Air. Parmi les lieux dits : La fontaine Melouc mentionnée dès 1323.

Bourg de Plouguenast (Bretagne).

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Les origines de Plouguenast ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Le clergé de Plouguenast ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Le doyenné de Plouguenast durant la période révolutionnaire ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Le cahier de doléances de Plouguenast en 1789 ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Yves Loncle, prêtre natif de Plouguenast, mis à mort par les colonnes mobiles en 1798 ".

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PATRIMOINE de PLOUGUENAST

l'église Saint-Pierre, ancienne église du Vieux-Bourg (de la fin du XIIème siècle), reconstruite au XVème siècle et restaurée vers 1648 et 1679. La travée du bas-côté nord supportant le clocher peut remonter à la fin du XIIème siècle ou au début du XIIIème siècle. La nef remonte au XVIème siècle, comme les vitraux, tandis que les bras du transept, le choeur et la sacristie ont été édifiés au XVIIème siècle et le porche Sud-Est au XVIIIème siècle. Le 21 juin 1679 est posée la première pierre des travaux de l'aile nord et du choeur de l'église. Dom Leuduger en est alors le recteur. L'église est bénie le 19 novembre 1679. On y voit des fragments de vitraux datant de 1525-1540. Les panneaux sculptés, enchâssés aujourd'hui dans le balustre du choeur et provenant de l'ancien jubé, datent du XVIème siècle : ils représentent Jésus, encadré de saint André et de saint Jean, et de huit apôtres. Le retable du maître-autel date de la fin du XVIIème siècle et porte l'inscription "Le Faucheur, peintre à Uzel". L'église abrite les statues de saint Germain, sainte Appoline et saint Nicodème ;

L'ancienne église Saint-Pierre de Plouguenast (Bretagne).

Nota 1 :  En forme de croix latine, elle comprend une nef avec bas côté nord de quatre travées, un transept et un choeur. L’édifice actuel, de diverses époques, date en majeure partie des XVème et XVIème siècles et a été restauré aux XVIIème et XIXème siècles. La seconde travée du bas côté, voûtée sur arcs ogives primitifs et supportant le clocher, parait remonter à la fin du XIIème siècle. La sacristie et la chapelle du Saint-Sacrement (aile sud) furent bâties sous le rectorat de messire Jacques Simon vers 1648 ; la chapelle Saint-Nicolas (aile nord) et le choeur furent édifiés en 1679 sous le rectorat de M. Leuduger, la première pierre en fut posée le 21 juin par h. et p. Thebaut Le Mintier, sr. de Carmené et la bénédiction de l'église faite le 19 novembre suivant. En juin 1768, l'église ayant besoin de grosses réparations, la majorité des paroissiens était d'avis du transfert à Pontgamp, mais deux arrêts du Parlement de Bretagne des 21 mai 1768 et 18 mars 1771 refusèrent l'autorisation. Mobilier : Maître-autel de la fin du XVIIème (classé) portant l'inscription : Le Faucheur peintre à Uzel. Restes de vitraux du XVIème siècle (classés). Panneaux provenant d'un jubé enchâssés dans le balustre du choeur (classés), ils sont contemporains et présentent des motifs décoratifs semblables à ceux de la porte de l'église de Malestroit. Statues anciennes de saint Pierre, sainte Vierge, saint Nicodème et saint Germain, tout entourée de rubans, le saint étant invoqué pour délier les enfants (R. Couffon).

Nota 2 : Les vitraux de l'ancienne église de Plouguenast ne sont plus malheureusement qu'à l'état de fragments. Les principaux fragments proviennent d'un Arbre de Jessé, qui semble être du XVIème siècle, et qui, étant donné la taille des personnages représentés, devait être très important. Il pourrait être reconstitué, au moins pour la plus grande partie. Les noms des personnages sont inscrits sur des banderoles, autour de leur tête. David et Salomon sont presque intacts, et il reste des fragmente assez considérables d'Osias et d'Ezéchias. Les figures de ces personnages sont très expressives. Les restes de ces verrières sont disséminés dans deux fenêtres. Un autre fragment, qui semble appartenir à la même verrière, représente une très belle tête de vieillard comptant sur ses doigts, autour se trouve sur une banderole le mot : FILIUM. Dans d’autres fenêtres on remarque les restes d'un crucifiement et la descente du Saint-Esprit sur les Apôtres. Ces fragments semblent beaucoup plus récents et sont moins artistiques que les autres. Dans une fenêtre du bas de l’église on remarque parmi des fragments informes : un saint Pierre tenant à la main une clef énorme ; un Enfant-Jésus ou un ange, et enfin, sur des banderoles, les inscriptions suivantes : PATER NOST .. AVE MARIA GRAC… ECCE : VIRGO : CONCIPIET : ET :. Enfin on a enchâssé dans un vitrail neuf deux fragments intacts du XVIème siècle, dont l'un représente saint Pierre, et l'autre la sainte Vierge. Cette dernière a une figure très expressive. Saint Pierre est le patron de la paroisse, ce qui explique sa double représentation sur ces vitraux (André Oheix, 1901).

L'ancienne église Saint-Pierre de Plouguenast (Bretagne).

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne)" Les verrières de l'ancienne église de Plouguenast".

la nouvelle église Saint-Pierre et Saint-Paul (1835-1853), oeuvre de l'architecte Lorin. Elle est située près du Pontgamp et bénie le 16 mars 1845. Elle est édifiée (suite à une décision du conseil municipal, en 1804) pour remplacer l'ancienne église paroissiale et malgré l'opposition des habitants de Plouguenast. De plan rectangulaire, elle comprend une nef avec bas côtés sur colonnes et architraves de 9 travées plus celle du clocher encastré. Cette nouvelle église fut commencée au Pontgamp en 1835 " malgré l'opposition des habitants du Vieux-Bourg ". Les travaux, exécutés sur les plans de M. Lorin, furent souvent arrêtés ; enfin, en janvier 1845, le culte fut transporté à la chapelle voisine Sainte-Anne du Pontgamp et la nouvelle église bénite le 16 mars suivant, la tour n’était alors qu’à la hauteur du faîtage. Celle-ci fut terminée en 1853. L'édifice abrite des autels modernes dûs à Etienne de Trévé (1863 et 1864), des statues anciennes de saint Servais (XVIIIème) et de saint Eloi (XVIIIème siècle) (R. Couffon) ;

La nouvelle église de Plouguenast (Bretagne).

la chapelle Saint-Michel de Cornéan (XVI-XVIIème siècle) mentionnée en ruines en 1938. La porte, située dans le parc communal, est le seul vestige de l'ancienne chapelle Saint-Michel de Cornéan ;

la chapelle Saint-Barthélémy de Saint-Théo (XVIIIème siècle), restaurée en 1934. Elle est de forme rectangulaire et abrite les statues de saint Gildas et de saint Barthélemy. Les seigneurs de la Ville-es-Brets (en Langast) y avaient jadis des prééminences (ainsi que dans l'ancienne église de Pontgamp) ;

les anciennes chapelles aujourd'hui disparues : - la chapelle du Rosaire, au Vieux-Bourg. Vendue en 1806, elle fut détruite au XIXème siècle. Elle datait du XVIème siècle et renfermait la tombe de R. D. Claude-Marie de la Fruglaye, abbé de Prières. - la chapelle Sainte-Anne, au Pontgamp, détruite au XIXème siècle. - la chapelle Saint-Eloi. Elle est dite Saint-Eloi du Crau. - la chapelle Saint-Jean (R. Couffon) ;

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Les églises et chapelles de Plouguenast ".

le calvaire du Vieux-Bourg (XVIIème siècle) ;

les croix du Rosaire (XVIIème siècle), Chilard (1667), du Rotz (1699), de la Brousse-Vauvert (XVIIIème siècle), de la Barre (XVIIIème siècle) ;

le château de la Touche-Brondineuf ou Touche-Brandineuf (XVème siècle), édifié à la fin du XVème siècle pour Gilles de Carmené ou Kermené (receveur du duc François II), seigneur de La Touche. Propriété de Gilles de Kermené en 1480 et de René de Kermené en 1536. Il possédait jadis un droit de haute, moyenne et basse justice. La Touche est devenue la Touche-Brondineuf à partir de 1480. Le château est désigné ainsi à cause de ses seigneurs, les Carmené (ou Kermené), qui étaient aussi seigneurs de Brondineuf en Sévignac. Le domaine a ensuite aussi appartenu aux familles Budes, Trafalegan ou Trafelgan, Thépault et de La Roue ;

Plouguenast (Bretagne) : château de la Touche-Brandineuf.

le manoir de la Ville-Guéry (1698 et 1716). Ce manoir se compose de deux corps de bâtiment, l'un daté de 1698, l'autre de 1716. Les piliers du portail d'entrée sont datés de 1717. Le domaine appartient à Jehanne de Kermené en 1536 ;

le manoir de Belle-Noë (1716-1748) ;

la fontaine du Vieux-Bourg ;

une maison du bourg (1641) ;

plusieurs maisons du Vieux-Bourg (1678, 1741, 1760, 1761, 1769,…..) et à la Bruyère (1749), à la Chapelle-du-Rosaire (1765), à Launay (1734), à Lingouët (XVIIIème siècle), à la Vallée (XVIIème siècle) et à la Vigne-Gigno (XVII-XVIIIème siècle) ;

Château de Pontgamp en Plouguenast (Bretagne).

13 moulins dont le moulin de Cornéan (XVII-XVIIIème siècle), de la Guette-ès-Lièvres (XVIIème siècle), ... ;

A signaler aussi :

le souterrain de Malabry (âge du fer) ;

l'enceinte fortifiée de Cornéan (moyen âge) ;

les établissements gallo-romains de la Touche-Brondineuf, de la Ville-Morgan, de Lingouët ;

un four à pain (XVème siècle), situé au Vieux-Bourg.

Pontgamp en Plouguenast (Bretagne).

 

Pontgamp en Plouguenast (Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de PLOUGUENAST

Avant la Révolution, les maisons nobles étaient : Gomené qui possédait une haute, moyenne et basse justice et appartenait à M. De Beaumont en 1789, Le Pontgamp qui possédait une haute, moyenne et basse justice et appartenait à M. de La Moussaye, La Ville-Dane qui possédait une moyenne et basse justice et qui appartenait à M. Coupé de Carmené et des Essarts (aussi propriétaire de la Ville-Guérie), La Touche-Brondineuf qui possédait une moyenne et basse justice et qui appartenait en 1789 à M. de Trafelgan, Montorien qui appartenait à M. de Montorien.

Lors de la réformation du 23 novembre 1426, sont mentionnés à Plouguenast les nobles suivants : Guillet Le Bidoyer, Relicta an Belhome, Relicta Alain Douallen, Guillet de Saint-Michel, Perret Visdelou, Pierrot Le Borgne, Olivier Salmon, Guillet Nepvo, Guillio Braulaes, Sébille Braulaes, Olive Lem-Men, Béatrice Guehenec, Jehan Guehenec, Guillaume Badual, Coline Le Borgne, Perret Le Borgne, Alain Le Veneurs, Guillaume Loeart, Jehan de Quebriac, Galhot Gouriou, Relicta Guillo Eon, Relicta Jehan Mahrzons. 

Lors de la réformation du 23 novembre 1427, sont mentionnés à Plouguenast les nobles suivants : Guillemet Le Berrouyer, Relicta au Belhome, Relicta Alain Douallen, Guillet de Saint-Michel, Pierre Visdelou, Perrot Le Borgne, Olivier Salmon, Guillemet Nepvo, Guillemet Branlaes, Sebille Branlaes, Olive Branlaes, Beatrix Gueheneuc, Jehan Gueheneuc, Guillaume Badoual, Coline Le Borgne, Pierre Le Borgne, Alain Le Veneurs, Guillaume Locart, Jean de Québriac, Galhot Gouriou, Relicta Guil. Eon, Relicta Jean Maliczons.

Lors de la "revue et monstre généralle des nobles, ennobliz, exemptz et aultres tenantz fiefs nobles et subjects aux armes de l’Evesché de Saint-Brieuc, tenue à Moncontour par haut et puissant Messire Tristan du Perrier, Comte de Quintin ; noble et puissant Messire Guyon de la Motte, Chevalier, sieur de l’Orfeuil et de Vauclerc ; Messire Amaury de la Moussaye, Chevalier, sieur du dict lieu de la Moussaye, commissaires commis et députez par mandement patent du Duc nostre souverain seigneur, quant à ce, les viije, ixe et xe jours de janvier l’an mil iiiie lxix ", on mentionne, en janvier 1469, pour Ploeguénast (Plouguenast) :
– Loys et Gilles de Carméné, de l’ordonnance.
– Pierre Guéhenneuc.
– Eonnet de Québriac.
– Jacques Le Berruyer.
– Pierre Gaudemont.
– Les hoirs Pierre Le Borgne.
– Olivier Hamon.
– Les hoirs Pierre Visdeloup.
– Guillaume Drolay, ennobli.
– Julien de la Couldre.
– Bertrand Carméné juveigneur.
– Jean du Quengo, de l’ordonnance.

Lors de la réformation du 2 mars 1536, plusieurs maisons nobles sont mentionnées à Plouguenast : La Touche (à René de Kermené), autre maison La Touche (à Jehan Gueheneuc), La Drolais et La Ville-es-Brets (à René de Kermené), Lanfosso (à Roland Guyhenneuc), Gomené, Laslelier ou L'Atelier et La Ville-Eno (à René de Kermené), La Ville-Anne (à Guillaume de Gaudemont), autre maison la Ville-d'Anne (au sieur de La Roche-Brehant), La Barre (à Horable Boschier, dame du Clos), Vauvert (à René de Kermené), La Forge (à Louis des Fosses), Garmorin (à Mathelin Martin), La Coudre (à Guillaume de La Couldre), Le Cran (à Louis des Deserts), Montorien (à Jehanne de Kermené), Le Vaujoyeux et Le Pateureux (à Guillaume du Gourvinec), La Ville-Gueury (à Jehanne de Kermené), La Longueraie (au sieur du Besso), Le Bas-Val (à dom Guillaume Demay), Vaudelier (au sieur de L'Isle), Le Tracouet (au sieur du Besso), Le Palais (à Hervé Painteuvre).

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " L'ancienne noblesse de Plouguenast ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " L'ancienne bourgeoisie de Plouguenast ".

Voir   Ville de Plouguenast (Bretagne) " Le petit peuple de Plouguenast ".

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Saint-Brieuc de 1480, on comptabilise la présence de 14 nobles de Plouguenast :

Pierre DE GAUDEMONT (5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Bertrand DE KERMENE (2 livres de revenu) : défaillant ;

Gilles DE KERMENE de Touche-Brondineuf (200 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d’ordonnance ;

Louis DE KERMENE (200 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d’ordonnance ;

Julien DE LA COULDRE (4 livres de revenu) : défaillant ;

Eonnet DE QUEBRIAS, représentée par Guillaume DE QUEBRIAS (5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan DE QUENGO (50 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d’ordonnance ;

Guillaume DROLAY (1 livre de revenu) : défaillant ;

Alain GAUPICHIER (15 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Pierre GUEHENNEUC (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Olivier HAMON (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jacques LE BERRUYER (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

LE BORGNE (6 livres de revenu) : défaillant ;

VISDELOU (3 livres de revenu) : défaillant ;

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