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On applique le nom adjectif de quempervennois aux gens et aux choses de cette commume (Com. et cantons de Fr. Le cant. De la Roche-Derrien, vers 1970, p. 9).
L’église de Kemperven figure parmi les bénéfices du diocèse de Tréguier des 1330 environ (Pouillé publi. Par Longnon, p. 340). Kamperven était une paroisse des 1426 (Arch. de la Loire-Atl., B 2980). Encore appelé Camperven en 1505, il deviant Quemperven dès 1554 (Arch. des C-du-N 1 G évéché de Tréguier, compte et rôle des décimes). Cette paroisse a élu sa première municipalité au debut de 1790, devenant ainsi une commune.
Les monuments anciens situés sur le territoire de cette commune sont :
1) l'église Saint-Hervé (XVIème s.) avec aile nord (1731), aile sud (1732), secrétairerie (1712), sacristie (1761) et bas côtés (1781-1784). Elle a été inscrite avec son placitre sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 28 avril 1964 ;
2) la croix du Curé, à Kerhoaden ;
3) la chapelle Notre-Dame du Bois (1819).
Le 7 et le 20 juillet 1944, des soldats allemands incendièrent plusieurs maisons de Quemperven, notamment à Guevannou.
Maudez-René Le Cozannet, né à Langoat le 8 décembre 1666, prêtre (1693), missionnaire, habita Quemperven dès octobre 1717 et mourut dans cette paroisse en odeur de sainteté le 25 juillet 1720. Sur sa tombe, au cimetière de Quemperven, il y eut une affluence de pélerins jusqu'en 1875. Un culte populaire lui fut rendu et des guérisons furent attribuées à son intercession (Le P. F-M. Henry, Dom Maudez-René Le Cozannet, 1924).
(Bulletin d'informations des maires).
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