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CATHEDRALE SAINT-CORENTIN DE QUIMPER

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Soyez les bienvenus dans cette cathédrale. C'est une maison où Dieu aime accueillir et rassembler les hommes. Elle est sous le patronage de Notre-Dame et de son premier évêque saint Corentin. La tradition rapporte qu'en témoignage de foi, celui-ci choisit le "martyre vert", la solitude érémitique sur les pentes incultes du Ménez Hom. L'eucharistie assurait sa subsistance. Ce que symboliquement représente le récit légendaire : chaque jour il prélevait une part du poisson de sa fontaine qu'il retrouvait intact le lendemain. La même vie latine rapporte que Gradlon, roi de ces terres, vint le prier d'être le pasteur de sa cité, Kemper au confluent de l'Odet et du Steir, faisant de lui un des fondateurs des diocèses de Bretagne entre le Vème et le VIIème siècle.

HISTOIRE DE LA CATHÉDRALE.

Sur le site d'édifices antérieurs des IXème et XIème siècles, sa construction fut décidée en 1239 par l'évêque Rainaud, chancelier ducal de Pierre de Dreux, venu d'Ile de France. C'est le temps du gothique rayonnant, celui des chantiers où se reconstruisent Chartres, Reims ou Amiens. L'entreprise ambitieuse de Quimper part du choeur qui incorpore à son chevet la chapelle extérieure de Notre-Dame de la Victoire. Elle est freinée par les misères du XIVème, guerres de succession et épidémies, où s'édifie seulement le collatéral sud.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Il faut attendre l'avènement du Duc Jean V pour qu'au début du XVème s'achève la première partie de l'oeuvre, le choeur qui se couvre d'une voûte à croisée d'ogives et se colore de nervures peintes et de vitraux au jaune d'argent. Au 2ème quart de ce siècle seulement sont entrepris, à partir de l'extrémité ouest, d'abord les tours et le porche, puis la nef. Après 1460 celle-ci vient se greffer sur le choeur par l'intermédiaire du transept, que surmonte un clocher central de 16 mètres. En fin de siècle, les bâtisseurs la couvrent d'une voûte de pierre, enduite d'ocre et tracée à l'imitation d'un assemblage de briques ; ils cisèlent les meneaux des fenêtres et, au temps de la reine Anne de Bretagne, les garnissent de vitraux à personnages.

Un mobilier, rappelé aujourd'hui par la chaire baroque, se constitue durant les années où persiste la prospérité : jubé, stalles et tribune d'orgue.

La Révolution et la Terreur de 1793 y mettent fin, transformant les échoppes fabriciennes accrochées aux flancs de la cathédrale en débits de boisson et, à l'intérieur, faisant place nette au culte de la Raison, par un grand brûlis où se consument meubles, reliquaires et statues de bois polychrome.

Avec le Concordat, l'Eglise cicatrise ses plaies et restaure sa cathédrale. Des évêques bâtisseurs s'y emploient, font tailler les garde corps des galeries hautes de la nef et du choeur, restés en plan. Mgr Graveran, gagné aux reconstitutions de Viollet Le Duc, fait reprendre par Bigot le projet amorcé sous Claude de Rohan de dresser sur les tours, alors coiffées de capuchons de plomb, des flèches de granite ; il obtient de ses diocésains la contribution d'un sou annuel durant cinq ans. A l'intérieur, ses deux successeurs poursuivent cette oeuvre restauratrice, non sans refléter le goût quelque peu systématique de ce temps, où l'on supprime les retables et recouvre de patine ou de brou de noix les couleurs des enduits et des bois, et où se recrée un décor médiéval, aux vitraux à médaillons historiés et au mobilier néo-gothique. Ils font aussi appel à Yan Dargent pour illustrer les murs des chapelles de scènes tirées de l'évangile et de la légende dorée.

Les grand travaux entrepris aujourd'hui par le Ministère de la culture ont consolidé les structures fatiguées de l'édifice, décapé ou remplacé les pierres rongées par les intempéries et les parasites. La lumière rendue à l'architecture par le chaulage, les fresques restaurées des voûtes, l'éclat retrouvé des vitraux, les couleurs rafraîchies et ravivées des peintures murales, les dorures du mobilier ont rajeuni cette oeuvre distinguée des gothiques rayonnant et flamboyant avec ses apports ultérieurs.

Il convenait de fêter cette nouvelle jeunesse de la cathédrale Saint-Corentin et de la souligner par une rénovation du sanctuaire conforme à la liturgie conciliaire et doté d'un mobilier d'expression contemporaine. C'est au sculpteur Pierre Manoli que fut confiée l'interprétation de ce programme : la composition de l'autel et de sa croix, de l'ambon et de la cathèdre.

 

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VISITE DE LA CATHÉDRALE

Quimper : plan de la cathédrale Saint-Corentin

 

EXTÉRIEUR  

Au long du rempart qui borde l'Odet, la cathédrale dresse ses tours comme une garde sacrée et ses flèches comme un signe dans le ciel.

Avant de pénétrer dans l'édifice, on peut en prendre une vue d'ensemble, ou longer l'extérieur pour en saisir l'architecture. Les deux côtés du vaisseau peuvent s'observer, au nord en longeant la grand place, au sud en pénétrant dans le jardin de l'ancien évêché, accessible au-delà du Musée breton. ; de là se distinguent le plan des nefs inférieure et supérieure, bordées chacune d'une élégante galerie tréflée, la suite des contreforts et des culées d'arc boutant, ponctuant la division des travées, les pans coupes du chevet et la chapelle axiale. Les visiteurs qui n'ont pu faire cette découverte d'abord pourront résumer leurs impressions de visite dans une courte promenade sur les pentes du Frugy. Un sentier s'ouvre sur la rive gauche, au-delà de la préfecture.

Quimper : plan de la cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : plan de la cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Façade Sud :

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud)

   

 

Façade Nord :

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

  

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Nord)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud, gargouille)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud, gargouille)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud, gargoulle)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud, gargouille)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (façade Sud, gargouille)

  

LE VAISSEAU CENTRAL

Entrée par le portail ouest avec ses voussures peuplées d'anges, le trumeau porteur d'une statue du Christ ; il faut passer par celui qui a dit : " Je suis la porte ".

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (portail d'entrée)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (portail d'entrée)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (portail d'entrée)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (portail Sud)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (portail Sud)

 

La cathédrale accueille tout visiteur. Maison de prière, elle l'invite à prendre un temps de recueillement avant d'en faire la découverte.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (à l'entrée)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (à l'entrée)

   

Une vue d'ensemble s'offre alors de cet édifice au plan en croix latine formé de deux vaisseaux de même longueur, réunis par le vaisseau transversal dont la dimension totale équivaut à chacun des deux autres. Au centre se situe le sanctuaire. L'élévation comporte trois étages, celui des arcades, celui d'une double galerie, et celui des fenêtres hautes garnies de vitraux.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Au-dessus la voûte à croisées d'ogives. Alors que dans les travées successives du choeur l'ascension des colonnettes rejoint les clefs de voûte et souligne la verticalité architecturale, les lignes de la nef font prévaloir l'horizontale ininterrompue du triforium. La lumière entre abondamment et se propage sur les murs et colonnes chaulés, sur les enduits colorés de la voûte. Les nervures ocrées affirment les structures verticales. Au sommet, la lierne, liant les clefs de voûte, souligne la déviation de l'édifice, celle du choeur qui s'infléchit pour incorporer la chapelle du chevet et celle de son raccordement oblique avec la nef. Aussi a-t-on pu au XIXème siècle, sans qu'on puisse faire de cette lecture symbolique une intention, associer cette ligne à celle du corps du Christ mourant en croix, dont la tête s'incline sur son épaule.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Les vitraux des fenêtres hautes de la nef : n° 131 à 123 au nord, n° 112 à 124 au sud ; puis ceux des bras de transept : au Nord n° 121 à 113 ; au sud 122 à 114 sont des oeuvres du XVIème siècle, représentant à genoux des seigneurs et dames de Cornouaille et debout à leur côté leurs saints patrons, soit la Vierge, sainte Anne, Jean-Baptiste, les apôtres, Pierre, Paul, Jean, Jacques, André jusqu'aux saints et saintes particulièrement honorés au XVème siècle, l'archange Michel, Catherine, Marguerite, François d'Assise, Christophe et quelques saints bretons, particulièrement Corentin, etc.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Ces oeuvres ont été restaurées ou reconstituées au 2/3 par l'atelier Lusson au cours de la 2ème moitié du XIXème siècle. Font exception, aux extrémités du transept, les fenêtres composées par Hirsh, peintre verrier du XIXème ; au nord elles représentent des évêques et abbés fondateurs de Bretagne, au sud la Cène.

Autour de la crucifixion du chevet, les vitraux du choeur sont réservés des personnalités concernées par l'achèvement de cette construction : la famille ducale de Jean V, 101 à 103 et 102 et 104 ; puis, de 103 à 111, à l'évêque Bertrand de Rosmadec et au chanoine du Quenquis – gisant en 06 – et leurs saints présentateurs et de 104 à 112, à des familles éminentes, telle celles des Seigneurs du Juch, alors capitaines de Quimper. Ces oeuvres du XVème siècle, aux dais gothiques où dominent grisaille et jaune d'argent, sont antérieures de près d'un siècle à celles de la nef, du moins celles qui n'ont pas été reconstituées.

A la croisée du transept, le mobilier du sanctuaire se compose des trois signes majeurs du culte chrétien : L'autel, au centre où convergent les regards, rassemble la prière des fidèles. Il rappelle à la fois par sa table la cène du Jeudi saint et par la croix glorieuse qui lui est associée la mort du vendredi saint et la résurrection du tombeau. Il est pour l'Eglise le Christ lui-même et le culte qui entoure cet autel va à sa personne.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

De l'ambon, dressé en avant du sanctuaire, le célébrant proclame l'évangile. Le livre de la parole ouvert à cette tribune signifie le Verbe incarné qui révèle le Père.

La cathèdre, où préside l'évêque, est un signe de la fonction pastorale confiée aux apôtres et à chacun de leurs successeurs, dont celui qui, en cette église, parle et agit au nom du Christ pasteur.

En arrière, la porte évangiliaire, comme un arbre de lumière, bruissant de feuilles-oiseaux, figure l'Eglise qui entretient ses enfants de la parole de Dieu.

L'artiste, P. Manoli, qui a composé ce mobilier, l'a ainsi interprété sous des formes épurées, parallélépipèdes ou prismes coulés dans un bronze doré. Le traitement du matériau anime ces volumes rigoureux. Leurs parois, libre assemblage de formes rectangulaires mais diverses et comme uniques, vibrent de la ligne de leurs soudures et de leur éclat changeant. Il les a montées comme " pierre par pierre, par un rythme de différentes pièces de laiton soudées les unes aux autres par l'alliage qui symbolise l'amour entre les êtres... Pierre fondamentale, pierre angulaire, pierres de l'univers, pierres vivantes de tous les êtres levées par l'Amour...".

Ainsi la cathédrale multiplie les signes de l'habitation divine. Lors des célébrations eucharistiques, le signe vivant est dans la nef l'assemblée des croyants réunie par l'Esprit.

En avant du sanctuaire, l'ancienne chaire à prêcher, de bois polychrome et doré, est une oeuvre baroque de 1679, due un quimpérois Olivier Daniel, qui évoque dans ses médaillons la vie de saint Corentin.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chaire)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chaire)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chaire)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chaire)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chaire)

   

Au-delà, l'espace de l'ancien choeur, occupé par l'orgue d'accompagnement et les stalles du clergé, rappelle l'organisation cultuelle antérieure à Vatican II.

L'ancien maître-autel sous un baldaquin à séraphins, présenté à l'exposition universelle de 1867 est dû à Poussielgue et Boeswillwald. La clôture du choeur en fer ouvré est due à Everaert.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (l'ancien maître-autel)

 

COLLATÉRAUX ET DÉAMBULATOIRE

Reprise de la visite à partir de l'entrée.

 

Nef latéral Nord. 

33 Chapelle des Fonts baptismaux.

Jean le Baptiste préside près de la fontaine baptismale. Sa statue d'albâtre le représente adossé à un arbre feuillu, peuplé d'oiseaux ; un chevalier donateur à ses pieds (C.). Cette oeuvre anglaise de la fin du XVème siècle, acquise par Mgr Sergent, provient de Penmarc'h. Un vitrail de J.J. Gruber de 1980 évoque l'eau baptismale et l'appel du Baptiste.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (fonts baptismaux)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (fonts baptismaux)
   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (fonts baptismaux)

 

Du côté nord, gisant de Raoul Le Moël, aumônier de Charles VIII, évêque de Cornouaille de 1493-1501.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Gisant de Raoul Le Moël)

 

29 Chapelle des Trois gouttes de sang.

Un chevalier croisé avait confié sa fortune à un ami. A son retour, celui-ci nia le dépôt. Face au parjure, le crucifix, situé au chevet de la cathédrale, laissa couler trois gouttes de sang dénonciatrices.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

Le sang recueilli sur la nappe de l'autel est conservée avec la tête du Christ roman, décapité par les révolutionnaires. Le vitrail de Hirsh représente la scène du parjure.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

 

Peintures d'Yan Dargent : Nativité et Adoration des mages...

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Trois gouttes de sang)

 

27 Vitrail de saint Guénolé et de saint Ronan XIXème.

Deux des évangélisateurs de la Basse Bretagne, l'un fondateur de l'abbaye de Landévennec, l'autre ermite de Locronan. Celui-ci avait ses reliques et un autel paroissial dans la cathédrale.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

 

25 Vitrail de saint Pol Aurélien.

Le fondateur du diocèse de Léon, Pol Aurélien, est honoré dans cette cathédrale, devenue le siège des deux diocèses réunis par le concordat.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

23 Vitrail de Saint Yves, un saint du XIIIème siècle contemporain de la cathédrale, et patron de la Bretagne ; canonisé pour ses vertus, cet avocat et juge, a pratiqué éminemment la justice et le soin des pauvres.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Saint-Yves)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Saint-Yves)

 

Tombeau de Monseigneur de Ploeuc, évêque de Quimper 1709-1739, élevé au XIXème siècle.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (tombeau de Monseigneur de Ploeuc)

 

Chapelle du transept avec l'autel de la Sainte-Croix. Statues de saint Guénolé et de saint Conogan (2ème évêque de Quimper).

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle du Transept)

 

Bas-côté nord du choeur.

11 La chapelle de Saint-Pierre évoque sur ses murs la collation des pouvoirs de lier et délier à saint Pierre. Son vitrail de 1856 rappelle la construction des flèches édifiées par Mgr Graveran ; présenté par saint Joseph, l'évêque les offre à la Vierge et à saint Corentin. Une statue en calcaire, signale sa sépulture (+ 1855).

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Pierre)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Pierre)

  

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Pierre)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Pierre)

 

09 Chapelle de Saint-Frédéric. Le vitrail et les peintures murales retracent la vie et le martyre de ce saint, originaire d'Utrecht, évêque de Valachie, au temps de Louis le Débonnaire.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

   

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Frédéric)

 

07 Chapelle de Saint-Roch. Elle illustre la vie de ce saint, pèlerin de Rome et dévoué aux pestiférés ; atteint lui-même de ce mal, il meurt abandonné, sauf de ses compagnons, un ange et son chien.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Roch)

 

05 Chapelle de Saint-Corentin. Le vitrail et les peintures murales rapportent la légende du patron de la cathédrale, ses liens avec le roi Gradlon, Guénolé et Tudy. L'épisode de son poisson symbolise à la fois la multiplication des pains et poissons de l'évangile et l'ichtus (anagramme du Christ) eucharistique qui invite à se nourrir quotidiennement de sa chair impérissable. Sur l'autel, un reliquaire rappelle sa mémoire.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Saint-Corentin)

 

Gisant de Monseigneur Nouvel de La Flèche, bénédictin puis évêque de Quimper 1872-1887.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Gisant de Monseigneur Nouvel de la Flèche)

 

Déambulatoire nord.

03C Peinture murale de Yan Dargent : Miracle en faveur du P Maunoir, missionnaire de la réforme catholique, qui reçoit le don de la langue bretonne indispensable à sa prédication.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

03B Une grille de la salle des offrandes, permettait de distribuer les aumônes du chapitre.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

03A Le vitrail représente saint Gwenaël demandant à suivre saint Guénolé. Dans le tympan, les armes du chapitre cathédral.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Au-dessus de la porte de la sacristie, armes et devise de Mgr Bertrand de Rosmadec (XVème siècle).

Vitrail de saint Méloir, confié à l'évêque de Quimper. Au tympan, l'insigne basilical de la cathédrale.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

01C Vitrail de la mort de saint-Corentin, assisté par Notre-Dame, saint Guénolé et Gradlon. Les médaillons latéraux représentent les sanctuaires mariaux de Cornouaille : N.-D. de Rumengol ; N.-D. des Portes à Chateauneuf ; N.-D. de l'Assomption à Quimperlé ; N.-D. de Cléden-Poher ; N.-D. de Confort ; N.-D. de Chateaulin.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Tombeau de Monseigneur Sergent, restaurateur de la cathédrale, 1855-1871.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Tombeau de Monseigneur Sergent)

 

01B Vitrail du dogme de l'Immaculée Conception, proclamé par Pie IX en présence de saint Pierre, des papes Alexandre VII et Sixte IV, de saint Anselme et de deux religieux (saint Bruno ?).

Médaillons des sanctuaires mariaux du Léon et du Tréguier : N.-D. du Folgoët ; N.-D. du Mur à Morlaix ; N.-D. de Kernitron ; N.-D. de Berven ; N.-D. du Kreisker ; N.-D. de Trézien.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

01A Au-dessus de l'ancien autel paroissial de saint Ronan, le Vitrail du Rosaire : Marie remettant le rosaire à Dominique (à dr.) et à Catherine de Sienne (à g.). Les quinze médaillons s'échelonnent par 4 (à partir du bas) évoquant les mystères joyeux, douloureux et glorieux de la vie de Marie associée à l'oeuvre de salut de son fils.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

00E René du Louet bénissant Le Nobletz et Maunoir, missionnaires de la Réforme catholique.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Plaque tombale de Monseigneur René du Louet.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Plaque tombale de Monseigneur René du Louet)

 

Abside.

La chapelle Notre-Dame des Victoires était édifiée, hors de la cathédrale antérieure, en mémorial de la victoire d'Alain Canhiart, ainsi que la dépeint la fenêtre OOD.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

   

La table d'autel monolithe (C.) dans la chapelle axiale porte l'inscription de sa consécration par l'évêque Alain Rivelen lors de l'Assomption de 1295 ; renouvelée en 1885.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

   

Enfeu et gisant en calcaire de Monseigneur Gatien de Monceaux évêque de Quimper 1416.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (gisant de Monseigneur Gatien de Monceaux)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

Dalle funéraire en pierre blanche avec silhouette gravée de l'évêque Even de la Forêt, 1290.

00 Vitrail de l'adoration des bergers.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

00A Communion de la Vierge. Saint Jean l'apôtre à qui Jésus confia sa mère, assisté du diacre saint Etienne, communie Marie.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

00C Donation de la cathédrale à Marie, par Gradlon, assisté des saints Corentin et Guénolé.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

00b La coupe aux colombes, symbole eucharistique.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

   

00B Mort de la Vierge.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

00D Voeu d'Alain Canhiart après sa victoire sur son suzerain et constitution en prieuré de l'ermitage de saint Ronan.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle Notre-Dame des Victoires)

00F Vitrail de Mgr Conan de Saint-Luc de Hirsch en 1869 : l'évêque conduit par saint Corentin et suivi de saint Pierre remet une protestation contre la constitution civile du clergé décrétée sous la Révolution.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Plaque tombale de Monseigneur Conan de Saint-Luc.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Plaque tombale de Monseigneur Conan de Saint-Luc)

 

Déambulatoire sud.

02A Chapelle des Saints-Anges avec vitrail illustrant l'action des anges dans la vie de l'Eglise.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Anges)

 

Retable en albâtre (XVème siècle), représentant diverses saintes : Catherine, Marguerite et 2 abbesses. Réemploi du socle de Jean-Baptiste du baptistère, après ajout d'un Christ en majesté.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Anges)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (chapelle des Anges)

 

02B Vitrail, illustrant la vie de saint Louis, roi de France.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

02C Un vitrail d'Anna Stein de 1993 évoque Santik Du, ou Jean Discalceat, franciscain de Quimper qui au XIVème siècle a soulagé les pauvres et les pestiférés.

La statue et la relique proches expliquent le pain déposé sur une table par des paroissiens anonymes pour nourrir d'autres personnes aussi anonymes qui viennent le prélever.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Santik Du, ou Jean Discalceat)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Santik Du, ou Jean Discalceat)

   

Gisant de l'évêque de Quimper Geffroy Le Marhec, M.: CCC : LXXX : III : tombe à arcatures trilobées.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Gisant de Geffroy Le Marhec)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

04A Vitrail de saint René d'Angers résumant son histoire.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

04B Vitrail de saint Charles Borromée, neveu de Pie IV et son légat au concile de Trente, avant de devenir évêque de Milan Tombeau de Monseigneur de La Marche, évêque de Léon +1892.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Tombeau de Monseigneur de La Marche)

 

04C Peinture murale de Yan Dargent représentant symétriquement à celle du P. Maunoir, l'initiateur des Missions, Michel le Nobletz prêchant sur la mort.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

 

Bas-côté sud.

06 Chapelle de Saint-Paul et illustration de sa conversion et prédication par Yan Dargent.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

 

Tombeau et gisant du chanoine Pierre du Quenquis, 1415-1459.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul, Gisant de Pierre du Quenquis)

Vitrail du Père Maunoir, par H. de Sainte-Marie vers 1950.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Paul)

 

08 Chapelle de Saint-Jean Baptiste dont le culte est proposé par un vitrail de 1868 et les peintures murales.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste)

   

Tombeau et gisant en kersanton de l'évêque Bertrand de Rosmadec, 1444.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste, Gisant de Bertrand de Rosmadec)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Jean-Baptiste)

   

10 Chapelle de saint Joseph. Un vitrail et les peintures rappellent le père adoptif de Jésus de Nazareth.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

   

 Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Saint-Joseph)

 

12 Chapelle de Sainte-Anne.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Sainte-Anne)

La statuette en bois doré, les peintures et le vitrail de sainte Anne rappellent Aaron et David, l'attente de Jésus et la rôle de la mère de Marie préparant sa fille à l'incarnation du Fils de Dieu.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Sainte-Anne)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Sainte-Anne)

   

 

12B Vitrail biblique illustrant les signes prophétiques de l'eucharistie.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Transept sud.

Chapelle du Sacré Coeur. Autel d'onyx de Poussielgue, l'auteur de l'ancien maître autel (XIXème).

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle du Sacré-Coeur)

Médaillons : apparition du Sacré-Coeur à Marguerite Marie ; Jean s'appuyant sur la poitrine de Jésus à la cène.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle du Sacré-Coeur)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle du Sacré-Coeur)

   

Statues de saint Thomas d'Aquin et de saint Bonaventure (auteurs de l'office du saint-Sacrement).

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle du Sacré-Coeur)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle du Sacré-Coeur)

   

Nef latérale sud.

24 Vitrail narratif de la vie de saint Benoît, fondateur de la règle monastique des bénédictins.

26 Vitrail de saint Anselme, patron de Mgr Anselme Nouvel de la Flèche, le successeur de Mgr Sergent dans la restauration de la cathédrale au XIXème. Il était fondateur du monastère bénédictin de Kerbénéat.

(28) Les deux travées suivantes communiquaient avec le palais épiscopal. Elles sont occupées par le monument au clergé victime de la guerre, qu'orne la mosaïque de Maurice Denis 1924.

Gisant de Monseigneur Duparc, +1946, évêque de Quimper durant plus d'un tiers de siècle, (bronze de F. Bazin).

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Gisant de Monseigneur Duparc)

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Gisant de Monseigneur Duparc)

 

(30) Chapelle de dévotion à Notre-Dame de Lourdes, figurant l'apparition de Notre-Dame à Bernadette dans la grotte de Massabielle.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Notre-Dame de Lourdes)

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de Notre-Dame de Lourdes)

   

 

34 Chapelle de la Passion, illustrée par un vitrail détaillant la condamnation et la mort de Jésus.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de la Passion)

Réplique de la Mise au tombeau de Bourges. Ce groupe sculpté de la Mise au Tombeau à huit personnages est un moulage unique réalisé par Froc-Robert d'après le sépulcre du XVIème siècle qui orne la crypte de la cathédrale de Bourges. Il a été installé à la cathédrale de Quimper en 1868 à la demande de l'évêque de l'époque, Mgr. Sergent. De gauche à droite : Joseph d'Arimathie, Saint Jean l'Evangéliste, Marie mère de Jésus, Marie Madeleine, Marie Salomé, Marie mère de Jean, Nicodème. 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Chapelle de la Passion, Mise au tombeau)

 

Tombeau et gisant d'Alain Le Maout, évêque de Léon en 1482 puis de Quimper 1484-1493.

200 Les Grandes orgues, construites par Dallam en 1643, plusieurs fois reprises ou même refaites en 1848 par Cavaillé-Coll. Elles sont restaurées en 2000 par Giroud.

Quimper : cathédrale Saint-Corentin (Grandes orgues de Dallam, refaites par Cavaillé-Coll

 

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

   

Quimper : cathédrale Saint-Corentin

 

Nota : les photos réalisées en 2010 par Roger Frey sont la propriété du site infobretagne.com.

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