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ABBAYE DU RELECQ (ou RELEC)

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Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

L'abbaye du Relecq (abbattia Beatoe Marioe de Reliquiis), est fondée en 1132 par un vicomte de Léon et les moines de Bégard. Suivant un ancien catalogue des monastères de Cîteaux en Bretagne, que l'on voyait jadis dans l'abbaye de Bégard, celle du Relec (ou Relecq) est fondée pour sept religieux, le 21 juillet 1132.

 Description de l'abbaye du Relecq 

 

L'Abbaye du Relec ou Relecq (1132-1793) : six siècles d'occupation cistercienne. L'an 1132 serait la date de fondation de l'abbaye du Relec par des moines cisterciens venus du monastère de Bégard (Côtes d'Armor). En ce début de siècle, naissent une dizaine de «filles » de Cîteaux en Bretagne. Le site du Relec est un fond de vallée. Les ressources nécessaires à la vie y abondent : eau, bois, landes, affleurements de schistes et granit à proximité ; il se situe à l'écart des centres urbains, dans une région peu peuplée où subsistent de vastes espaces à défricher. L'abbaye du Relec est donc installée dans un lieu favorable à l'application de l'idéal cistercien. Le Relec prend rapidement son essor. Pendant trois siècles, l'abbaye prospère : les moines s'adonnent à l'édification d'un monastère répondant aux principes bernardins, à savoir la prière, l'étude et le savoir, les travaux de la vie quotidienne, la mise en valeur des terres, l'exploitation énergétique et agricole de la ressource en eau. Ces moines défricheurs appliquent un mode de tenure de leur patrimoine foncier qui assure la prospérité du domaine et attire de nombreux paysans. Ce mode original de gestion, la « quévaise », rompt avec l'organisation féodale classique. Les caractéristiques de ce contrat ont largement marqué les paysages et les mentalités de cette région, marques encore décelables aujourd'hui. Les possessions de l'abbaye s'étendent rapidement au delà des communes proches du monastère, dans les trois évêchés du Trégor, du Léon et de Cornouaille. Ces surfaces défrichées, cultivées et pâturées, se répartissent en quatre « membres » ou « granges » dont chacune forme une seigneurie de laquelle dépendent différentes métairies et possessions. Le XIVème siècle marque l'apogée du rayonnement économique et culturel du Relec. Cependant, si les moines du Relec vivent pendant un temps selon la doctrine cistercienne, ils ne tardent pas à s'en écarter. En 1498, la duchesse Anne autorise les moines à posséder quatre poteaux de justice. Des privilèges économiques (foires, marchés, droit de billots...) y sont liés. Ceci n'épargne cependant pas au monastère du Relec les luttes de pouvoir et le début d'un déclin progressif de cette communauté. Guerres, maladies, famines... puis, au XVIème siècle, l'instauration du système de la commende, freinent l'épanouissement de l'ordre cistercien au Relec. Et si l'abbaye connaît deux grandes phases de restauration à la fin du XVIIème siècle et au XVIIIème siècle, elle ne survit pas à la Révolution et les bâtiments monastiques tombent en ruine.

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Seuls subsistent aujourd'hui l'église abbatiale, la sacristie et les vestiges de la salle capitulaire. Le cloître a totalement disparu.

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Est

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Sud

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Ouest

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Nord qui donne sur l'ancien cloître

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Nord, accolée au croisillon nord de l'église abbatiale (salle capitulaire)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Façade Nord-Est

La sacristie établie au long du bras Nord du transept, débordant sur la chapelle absidiale, donnent sur le cloître et sur l'église abbatiale.

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

   

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Statuette de la Vierge (oeuvre de Rolan Doré, vers 1630)

 

A. L'Espace claustral

A l'est de la place, nous entrons dans l'emplacement de l'ancien cloître de l'Abbaye. C'est le coeur du monastère, « lieu régulier » où vivait la communauté. Le cloître était entouré par les cuisines, les archives, l'armarium (bibliothèque), la salle du chapitre, le dortoir, les réfectoires, les celliers, le bâtiment des convers.

Les sondages archéologiques effectués en 2002 et 2003, ont révélé les structures des murs composant le nord de cet espace : le mur bahut supportant les colonnettes du préau du cloître, les fondations des murs des cuisines et du réfectoire.

 

Salle Capitulaire (du moins ce qu'il en reste) :

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Salle capitulaire

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 Salle capitulaire

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

  Salle capitulaire

 Salle capitulaire

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Salle capitulaire

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Salle capitulaire

 

 

B. L'église abbatiale

L'église abbatiale du Relec est conforme au plan bernardin : une nef, un transept sur lequel s'ouvrent quatre chapelles absidiales et un choeur à chevet plat. L'église originelle du XIIème siècle répondait aux canons de l'art roman. Des remaniements successifs en font aujourd'hui un monument architectural complexe et composite. Les diverses campagnes de modification de l'édifice ont porté, non sur le plan, mais essentiellement sur l'amélioration de l'éclairage du bâtiment entier : ajout des baies dans le choeur aux XIIIème et XVIIIème siècles, transformation des bas-côtés et du transept sud vers le XVIème. Ces évolutions du bâti respectent l'idéal cistercien d'une architecture dépouillée de tout superflu. L'édifice se charge d'un sens spirituel : le chevet plat est l'emblème de la morale, la nudité des murs conduit le moine vers l'essentiel, la pénombre l'invite au recueillement, la lumière vive exalte sa prière....

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Vue vers le choeur

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Vue vers la sortie Ouest

 

 

(1). Les bas-côtés.

Les bas-côtés de l'église furent rehaussés au XVIème siècle. Originellement, seules les fenêtres visibles dans la partie haute de la nef donnaient de la lumière à l'édifice. En effet, la toiture initiale était à double pan, comme l'atteste encore aujourd'hui, la trace du solin (petites bandes d'enduit permettant de raccorder des surfaces sur des plans différents ; ici l'ancien toit et le mur latéral du bas-côté) présent dans le bas-côté nord. Ces modifications permirent de créer de grandes baies au sud, de plus modestes au nord, le cloître ayant été accolé à cette façade.

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Bas-côtés Sud

 

(2). Le croisillon nord.

L'escalier monumental à deux volées en équerre a été construit en 1691 par Dom Moreau (comme l'indique l'inscription dans l'embrasure de l'ancienne porte du dortoir. Cet escalier en remplace un plus ancien en bois beaucoup plus sobre. Il permettait aux moines de descendre du dortoir, situé au dessus de la salle capitulaires, à l'église pour les offices matinaux. L'inscription gravée sur la pierre insérée dans le mur du palier intermédiaire de l'escalier rappelle la grande campagne de travaux du XVIIème siècle : « MONASTERII : AERE/REPARATA : SUNT/AUCTA ET : ORNATA/TECTA : AETATE : CASURA/ IOANNIS : BAP TAE : CURA/ARCHIMANDRITAE/1691 » (sur les ressources du monastère, les édifices qui tombaient de vétusté ont été réparés, augmentés et ornés, grâce à la diligence de Jean-Baptiste, archimandrite).

Les deux portes surbaissées murées de l'ancienne sacristie au rez-de-chaussée et du dortoir à mi-hauteur appartiennent encore aux constructions primitives. 

Le cadran d'horloge carré en bois peint, fixé à la galerie supérieure de l'escalier, représente un soleil entouré de fleurs de lis couronnées et de L entrelacés. Au sommet les lis de France et les hermines de Bretagne ; au bas un écu difficilement lisible. L'installation de cette horloge est contemporaine à l'abbatiat de Joseph de Sérent (fin XVIIème siècle), abbé réformateur de Notre-Dame de Prières.

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 Croix gravée sur la rambarde de l'escalier

Lors de ses visites canoniques au Relec, il rappelle à l'ordre les moines : il leur demande d'être plus exacts dans l'accomplissement des offices, il rappelle qu'il faut réciter complies (dernière heure de l'office divin) après la récréation qui suit le souper et non les coupler aux vêpres récitées avant le repas...

Notons la devise inscrite dans la partie haute du cadran « EX MOMENTO PENDET AETERNITAS » (de l'instant présent dépend l'éternité).

Sous l'escalier, deux portes, aujourd'hui murées, permirent à des périodes successives d'établir la communication entre l'église et la sacristie. La hauteur de la porte la plus ancienne atteste en cette partie d'un sol originel inférieur au niveau actuel. Plusieurs campagnes de fouilles archéologiques ont permis en effet de repérer trois niveaux qui suivaient à l'origine le dénivelé du terrain du sud vers le nord. Le dallage actuel, contemporain à la création de l'escalier, est venu remplacer le dallage ancien composé d'une alternance de losanges de schiste et de granit (tel que restitué dans le choeur, restauré dans les années 1980).

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

L'autel de Saint-Joseph

Tabernacle de l'autel Saint-Joseph

 

 

(3). Le choeur est sans doute la partie de l'édifice qui a subi le plus de remaniements. Au cours du XIIIème siècle les quatre fenêtres à larges ébrasements, dont l'une aveugle au nord, ont été complétées par deux baies de remplages rayonnants. Vers la même époque les deux travées ont été couvertes de voûtes en ogive. Au XVIIIème les jours triples du mur oriental du chevet, jugés insuffisants, sont remplacés par une large baie unique. C'est probablement à cette même époque, que l'on dût établir à l'extérieur d'épais contreforts en équerre pour renforcer les angles du chevet.

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Nervures du plafond du Choeur

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 Statue du XVIIIème siècle

 Statue du XVIIIème siècle

 

(4). Le croisillon sud est éclairé par une grande baie à six panneaux qui déploie dans sa partie haute les fastes d'un style flamboyant élaboré et délicat (XVIème siècle). Sous cette ouverture, notons l'enfeu destiné à la sépulture des seigneurs du Bois de la Roche de Commana, qui contribuèrent aux travaux de restauration de cet espace après l'écroulement de la voûte. L'une des chapelles du croisillon sud abritait un magnifique retable en bois polychrome du XVIIème siècle, encadrant la statue de calcaire peint de Notre-Dame du Relec, dont la vénération se poursuit (Pardon du 15 août). L'ensemble fait actuellement l'objet d'une restauration.

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

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Chapelle Notre-Dame

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Chapelle située à droite de la chapelle Notre-Dame

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Enfeu du croisillon Sud des seigneurs du Bois de la Roche

 

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Enfeu d'une chapelle du croisillon Sud

 

(5). La nef.

Les chapiteaux : Dans sa sobriété, l'architecture de l'église du Relec est conforme à la règle cistercienne. Les chapiteaux, ornés de motifs géométriques ou empruntés au règne végétal, témoignent cependant d'une forte empreinte de l'art roman breton. 

La nef compte actuellement trois travées. L'amorce d'une quatrième, dont se dessine la demie arcade appuyée au revers du mur de la façade ouest, témoigne du raccourcissement de la nef à la fin du XVIIIème siècle, après, semble-t-il, le cyclone du 4-5 octobre 1765 qui endommagea l'abbaye. Cette amputation fut faite, semble-t-il, lors des travaux en 1785, date inscrite au fronton de l'élévation occidentale. Les fouilles archéologiques ont permis de déterminer que l'église originelle possédait six travées, soit deux travées et demie supplémentaires, toute cette partie de l'église, ainsi que la façade romane, ayant été endommagée par une tempête. L'ensemble du dallage actuelle est constitué de dalles de schistes.

 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Jonction bas-côté Sud et croisillon Sud

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Côté Sud de la Nef (vers la sortie)

Côté Sud de la Nef (vers le Choeur)

 

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Crucifix du XVIIème siècle

 

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Plafond de la Nef 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Bénitier  (réemploi d'un chapiteau)

Bénitier 

 

 

(6). La façade occidentale de style baroque, datée de 1785, vient harmonieusement remplacer l'ancienne façade. Il s'agit certainement de l'oeuvre de Jacques Piou.

 

Quelques vitraux : L'ensemble des verrières datent de la restauration entreprise en 1894 par l'abbé Jouve, recteur de Plounéour-Menez. La verrière du croisillon Sud (fin du XIXème siècle) porte la signature de Jean-Louis Nicolas, verrier à Morlaix. Sur le bas-côté Nord, les vitraux présentent successivement la colombe du Saint-Esprit, une tiare papale et un agnus-Dei.

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Verrière du choeur

Verrière du croisillon Sud

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Verrière d'une chapelle du croisillon Sud

Verrière du bas-côté Sud (obturée)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Verrière du haut du bas-côté Nord

Verrière du haut du bas-côté Nord

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

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Verrière du haut du bas-côté Nord

Verrière murée du bas-côté Sud

 

Quelques piliers et chapiteaux

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

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Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

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Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

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Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

   

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

 Nef centrale (bas-côté Nord)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 Croisée pile nord-est : chapiteaux, arcades et corbeau

 Croisée pile sud-est : chapiteaux, arcades et corbeau

 

Photos prises de l'escalier :

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Vue sur la nef avec l'entrée sur les bas-côtés Nord et Sud

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Vue sur le croisillon Sud

 

 

C. La place, les jardins, étangs, douves et moulins.

 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

 

Dans l'axe de l'entrée principale matérialisée par de hauts pilastres et au centre de cet espace s'élève une fontaine monumentale : une large vasque du XIVème en granit, surplombée d'un obélisque plus tardif. Notons, traversant le jardin neuf (1), les traces d'une ancienne canalisation en schiste qui servait à approvisionner la fontaine en eau à partir d'un petit château d'eau. 

 

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

Abbaye du Relec ou Relecq (Bretagne)

   

 

Au sud et à l'ouest de cette cour, subsistent des bâtiments remaniés au cours du temps. Les archives du XVIIIème siècle nous rapportent que dans cet ensemble architectural coexistaient un certain nombre de bâtiments d'exploitation : forge, buanderie, étables, logements des domestiques. A l'ouest, se situait la basse-cour, avec pressoir, poulailler, abreuvoir et pigeonnier et au-delà, le grand jardin. 

 

Les anciens jardins vivriers (2), probablement dédiés aux cultures potagères, fruitières et médicinales, sont entourés de larges douves (3) pavées. Franchissables par deux ponts de pierre, elles protégeaient les cultures du monastère. Il est possible que ces douves aient constitué des viviers pour les moines, qui ne consommaient point de viande, en application de la règle. 

 

A l'extrémité Nord de la chaussée de l'étang inférieur, se trouve l'ancien moulin (4), surélevé au XIXème siècle. L'étang supérieur, dont la chaussée constitue aujourd'hui la route départementale, permettait également d'alimenter un moulin dont les bâtiments sont encore visibles.

Nota : les photos réalisées par Roger Frey sont la propriété du site infobretagne.com.

(pour plus de détails voir l'histoire de l'abbaye du Relecq)

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