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En 1597 et en 1630 Saint-Gueltas était une trève de la paroisse du Vieux-Bourg (Arch. des C-du-N 1 E 2361). Saint-Gildas était dès 1670 une paroisse, succursale de celle du Vieux-Bourg. Elle élut ce première municipalité au début de 1790. La commune porta le nom de Gildas pendant la Terreur, de fructidor an II (sept. 1794) à fructidor an III (sept. 1795). Elle reprit le nom de Saint-Gildas dès le début de l'an IV [Note : Il y a trois communes du nom de Saint-Gildas. Les deux autres sont Saint-Gildas-de-Rhuys (Morb.) et Saint-Gildas-des-Bois (L-Atl.)]. L’s final ne se prononce pas.
Quant aux formes Saint-Gildas du Chanau (en breton San Gueltas ar Stivel) [Note : Gallo Chanau = fr. chenal ; br. stivel = fr. source)], avancée par l'abbé Audo (Ann. des C-du-N, 1862, p. 20), et, pendant la Révolution, Gildas-du-Chaneau (Index des noms révol. des comm. de Fr.), on les trouve bien rarement, sinon jamais, dans les documents.
Il y a sur le territoire de Saint-Gildas plusieurs monuments anciens :
1) Le menhir de Keranhouet, à la Grande Lande, cadastré C 509 et inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 23 septembre 1965 ;
2) Les trois tumulus de Keranhouet, cadastrés C 510, 512 et 515 et inscrits le 31 août 1964 ;
3) L'église Saint-Gildas (transept et choeur, 2ème moitié XVIIIème s.) ;
4) La chapelle Notre-Dame de Kerdrouallan (1740), contenant des éléments du XVème siècle réemployés ;
5) Le château du Grand-Quellenec, dont il reste une tour ;
6) Une des fermes de Kergourdan (portail 1672) ;
7) Le manoir du Vieux-Châtel, aujourd'hui ferme ;
8) Le manoir de Kergourdan (1718 et 1762).
(Bulletin d'informations des maires).
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