Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue !

INFORMATIONS DIVERSES SUR LA VILLE DE SEVIGNAC

  Retour page d'accueil       Retour Ville de Sévignac   

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Au nom de cette commune est attaché l'adjectif sévignacais. Le c final du nom de Sévignac se prononce.

Sévignac est, avec Plumaugat, la seule localité des Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor) à être mentionnée avant le XIème siècle. Une charte du 29 novembre 869 le mentionne sous le nom de Seminiaca plebs parmi les biens que Roiantdreh, fille de Louwenan, donne à Salomon, prince de Bretagne, son fils adoptif (cartulaire de Redon, charte CIX).

Il semble avoir été une sorte de paroisse dès cette époque et, en tout cas, est mentionné comme paroisse dès 1266 (cartulaire de Boquen). Cette paroisse appartenait au diocèse de Saint-Malo sous l'Ancien Régime et eut Rouillac pour succursale à partir du 1er septembre 1789.

Sa première municipalité fut élue au début de 1790.

hermine.gif (896 octets)

Plusieurs monuments sont à citer sur son territoire :

1) Le château de Brondineuf (XVème siècle) ;

2) La chapelle Saint-Cadreuc ou Saint-Cado, du XVIème siècle, dont la nef fut refaite vers 1686. Elle tombe actuellement en ruine ;

3) Le château de Limoëlan (fin XVIIIème siècle) et sa chapelle (1612) ;

4) Le château du Plessis-Gautron, en ruine ;

5) La chapelle de Saint-André.

hermine.gif (896 octets)

Le site de Rochereuil offre un plan d'eau, des rochers et une grotte entourés de bois.

Il y eut une incursion des Chouans dans la commune le 29 juillet 1795.

hermine.gif (896 octets)

Trois personnages connus peuvent être rappelés :

1) Augustin le Mintier, dernier évêque comte de Tréguier, né à Sévignac le 28 décembre 1728, mort en émigration en 1801. Son acte de baptême figure au 9 novembre 1733 dans les registres paroissiaux conservés à la mairie (Soc. d'émul., 1924, p. 130) ;

2) Joseph-Pierre Picot de Limoëlan, né à Nantes en 1768, adjudant général des Chouans, participa à l'affaire de la Machine Infernale le 24 décembre 1800, mais il ne fut pas arrêté : il se cacha d'abord à Limoëlan en Sévignac puis gagna les Etats-Unis avec sa soeur et son beau-frère de Chappedelaine. A la suite d'une circonstance romanesque, il devint prêtre en 1810 et mourut en exil le 29 septembre 1826 ;

3) Louis de Chappedelaine, petit neveu du précédent, né en 1876, député depuis 1910, sous-secrétaire d'Etat en 1920, ministre à partir de 1932, décédé en 1939, possédait le château de Limoëlan.

(Bulletin d'informations des maires).

© Copyright - Tous droits réservés.