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L'adjectif formé sur le nom de cette commune est traminois (J O, 6 août 1968). Les armes de Tramain sont d’azur à une bande d’hermines. Elles sont inspirées de celles de la famille de Lorgeril, qui a possédé la seigneurie de Tramain.

Tremaign (sic) est cité connue paroisse dès 1440 dans un acte du duc Jean V (n° 2621). Cette paroisse appartenait au diocèse de Saint-Brieuc et a élu sa première municipalité au début de 1790.

Il n'y a pas de monument protégé par la législation des monuments historiques dans cette commune, mais deux maisons du XVIème siècle doivent être signalées :

1) La Noe-Cadet ;

2) Le Bois-Julienne.

Comme sites, il faut mentionner deux terrains aménagés pendant le haut Moyen Age à des fins militaires :

1) Les vestiges du château de la Ville-Gour, rectangle entouré de douves ;

2) La motte de Tramain, aussi entourée de douves.

Plusieurs événements ont marqué l'histoire de Tramain pendant les périodes troublées de la Révolution :

1) Vers le 25 janvier 1800, le presbytère fut pillé par le chef chouan Fortuné ;

2) Le 22 septembre 1800, la malle de Paris à Brest fut arrêtée et pillée par des brigands près de la Chapelle-aux-Chèvres.

(Bulletin d'informations des maires).

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