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EVECHE DE VANNES - Histoire du Diocèse

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Le mot Evêché se prend dans deux sens bien différents ; il désigne tantôt le diocèse, avec ses paroisses et ses communautés, tantôt la demeure de l'évêque, avec tout ce qui s'y rapporte. C'est dans ce double sens qu'il s'agit ici d'étudier l'évêché de Vannes. 

Diocèse de Vannes

L'histoire du diocèse se partage naturellement en trois périodes : la première, depuis l'origine. jusqu'à l'invasion normande en 919, la seconde depuis la restauration de 937 jusqu'à la révolution de 1790, la troisième depuis le Concordat jusqu'à nos jours. 

L'Evangile avait été prêché aux Vénètes par saint Clair, évêque de Nantes, et par son diacre Adéodat. Plus tard, saint Martin, évêque de Tours, promu métropolitain de la troisième Lyonnaise vers 380, a pu envoyer des missionnaires dans le pays. Les progrès du christianisme furent très lents. 

Cependant un noyau de chrétiens s'était formé dans la ville de Vannes et y possédait une église située, suivant toutes les apparences, à l'endroit où s'élève aujourd'hui la cathédrale. C'est dans cette église que saint Perpétuus, métropolitain de Tours, assisté de quatre autres évêques, tint, vers 465, un concile provincial, pour délimiter le diocèse de Vannes et consacrer saint Patern, son premier évêque. 

Les limites assignées au nouveau diocèse furent naturellement celles du territoire civil des Vénètes, savoir, la mer au sud, l'Ellé à l'ouest, la Vilaine à l'est, et la forêt de Brecilien ou l'Oust au nord. Saint Patern, durant son long épiscopat, réussit à étendre le christianisme par ses prédications, ses vertus et ses miracles. Bientôt de nombreuses colonies bretonnes, expulsées par les Saxons, vinrent chercher un refuge chez les Vénètes et donner une nouvelle force à l'élément chrétien.

Sans parler ici d'un certain Breton, nommé Caradoc, qui aurait été en relations avec saint Patern dès 465, ni du roi Riothime, qui ne fit que passer au nord de la Loire en 468, nous pouvons citer saint Gunthiern, fils d'un roi de Cumbrie, qui vint chercher une solitude dans l'île de Groix, vers 490 ; nous pouvons citer surtout le prince Guérech ou Wéroch, qui, à la tête d'une nombreuse colonie, occupa, vers l'an 500, le territoire compris entre l'Ellé et Vannes. 

A ce moment la ville de Vannes, qui faisait partie de la confédération armoricaine, acceptait l'alliance, ou plutôt l'autorité de Clovis, roi des Francs ; mais les Bretons restèrent en dehors du traité. Ceux-ci recevaient souvent de nouvelles recrues venant de la Grande-Bretagne. Ainsi sainte Ninnoc, fille de Brochan, roi de Cumbrie, vint débarquer à Ploemeur, avec quatre évêques, quantité de prêtres, de diacres, de vierges, et une multitude d'hommes et de femmes, qui remplissaient sept grands navires. Elle y bâtit un monastère, qui prit à cause d'elle le nom de Lan Ninnoc, et reçut divers bienfaits du comte Guérech. 

Un autre Breton, devenu la gloire du diocèse de Vannes, est saint Gildas. Né à Dumbarton en 494, prêtre en 519, il vint chercher la solitude dans l'île de Houat vers 534. Bientôt entouré de disciples, il se transporta sur le continent et y fonda le grand monastère de Rhuys vers 536. Peu après il se retira, avec saint Bieuzy, dans une grotte sur les bords du Blavet. Poursuivi jusque là par de nouveaux disciples, il fonda un second monastère à la Couarde, sur la hauteur de Sulim ou de Castennec. C'est dans son ermitage du Blavet, vers l'an 544, dix ans après son départ d'Angleterre, qu'il écrivit ces deux Lettres de réprimandes, qui font suite à son histoire de la Ruine de la Bretagne. — Saint Gildas, après avoir été mêlé au mariage de sainte Trifine avec Conomor, bâtit un troisième monastère en Cornouaille ; puis il se retira dans sa chère solitude de Houat, où il mourut le 29 janvier 565, à l'âge de 71 ans. 

Dix ans après, saint Guénael, ancien abbé de Landevenec (aujourd'hui Landévennec) et ex-missionnaire des îles britanniques, vint s'établir à Groix, et y trouva un grand nombre de solitaires, auxquels il enseigna les pratiques religieuses. Bientôt il quitta l'île, se fixa dans Caudan, en un lieu qui porte encore son nom, et y fonda un monastère, qui fut restauré plus tard par le roi Nominoé. C'est là qu'il mourut vers l'an 584, âgé d'environ 89 ans. 

Un autre fondateur est saint Gudual ou Goal, ancien évêque d'Aleth, qui vint, vers 631, s'établir avec quelques disciples dans l'île Plec, dite aujourd'hui Locoal. Il s'y creusa urne grotte sur la côte, et ses compagnons firent comme lui ; bientôt de nombreux disciples, dont le chiffre s'éleva jusqu'à 188, vinrent se fixer sur ce sol et s'y faire des cellules. Le saint se choisit une solitude dans la forêt de Camors, où il mourut le 6 juin vers l'an 640 ; c'est de là que son corps fut rapporté à Locoal. 

C'est vers le même temps que fut fondé le monastère de Moréac, au sud de la paroisse do ce nom. Une ville s'est groupée tout autour et a pris le nom de Loc-menéh, ou lieu des moines, aujourd'hui Locminé. 

Un autre monastère, appelé à un brillant avenir, fut fondé, en 832, par saint Convoion, à Redon, sur le bord de la Vilaine. Il fut énergiquement soutenu par le prince Nominoé, et enfin approuvé par l'empereur Louis le Débonnaire. 

A la suite de ces grands établissements, il y avait d'autres monastères moins importants ou moins connus, comme Ballon, Busal et Cournon en Bains, Conoch ou Sainte-Leuférine à Tréal, Saint-Serge et Saint-Ducocan en Cléguérec, Saint-Thovi et Guernvital, qu'on ne sait où placer, etc. 

On pourrait ajouter à cette énumération tous les lieux qui portent encore aujourd'hui le nom significatif de Moustoir, en souvenir d'établissements monastiques détruits presque tous par les Normands, comme le Moustoir-Maria, le Moustoir-Saint-Alban, le Moustoir-Blanc, le Moustoir-Radenac, le Moustoir-Remungol , le Moustoir en Arradon, etc... 

Quant au clergé séculier, il était disséminé sur toute la surface du diocèse, depuis le Vème siècle, suivant l'importance des localités. Le mot parrochia désignait alors le diocèse ; il ne s'appliquait pas encore aux paroisses dans le sens moderne ; la paroisse s'appelait simplement plebs en latin, et plo ou plou en breton. 

C'est ainsi que le Cartulaire de Redon nous fait connaître, au IXème siècle, les peuples ou plous suivants : Allaire, Arzon, Augan, Bains, Brain, Béganne, Caden, Campénéac, Carentoir, Caro, Cléguérec, Guer, Guillac, Lanouée, Locmariaker, Kervignac, Langon, Malansac, Marzan, Molac, Peillac, Pleucadeuc, Plouhinec, Ploërmel, Pluherlin, Ruffiac, Renac, Sérent, Sixt, Tréal. 

Le mot plou se rencontre aussi dans Plaudren, Pléaule, Plélauf, Plescop, Ploemel, Ploemeur, Ploeren, Pleugriffet, Ploerdut, Plouay, Plougoumelen, Plouharnel, Plouray, Plumelec, Pluméliau, Plumelin, Plumergat, Pluneret, Pluvigner. 

Voilà une cinquantaine de paroisses qui existaient certainement au IXème siècle. A cette liste on peut ajouter sans hésitation une centaine d'autres paroisses, dont l'immense étendue prouve l'ancienneté, comme Sarzeau, Surzur, Ambon, Elven, Grand-Champ, Languidic, Baud, Noyal, Bignan, etc. etc... C'est dire que le diocèse de Vannes était alors constitué à peu près comme il l'a été depuis. 

Cependant les pirates normands désolaient déjà notre pays. Le comte Paschuéten et l'évêque de Vannes avaient été capturés par eux dès 854. Ils ravagèrent particulièrement le nord de la Bretagne en 878, mais dans, le midi ils se firent écraser à Questembert en 888 par le comte Alain de Vannes. De nouvelles bandes arrivèrent en 919 ; cette fois, pas un prince, pas un chef de guerre ne put tenir tête à l'orage ; les seigneurs cherchèrent un refuge à l'étranger ; les moines emportèrent au loin les reliques et les ornements de leurs églises. Le fer et le feu se promenèrent depuis la Vilaine jusqu'au Blavet. 

La ville de Vannes fut prise par les barbares, la cathédrale incendiée, le chapitre dispersé et l'évêque saint Bili massacré. Les monastères de Rhuys, de Saint-Guénael de Lannénec, de Locoal, de Locminé, de Redon, et les autres établissements religieux furent livrés aux flammes. Les reliques de saint Gildas et de saint Patern furent transportées dans le Berry ; celles de saint Guénael à Paris, puis à Corbeil ; celles de saint Goal en divers lieux et enfin à Gand. 

Cette dévastation du pays ne fut pas le résultat d'une course passagère, mais l'effet d'une occupation qui dura 18 ans. 

Lorsque Alain II Barbetorte revint en Bretagne en 936 et réussit à expulser les Normands, tout était à refaire. Les biens des monastères avaient été accaparés par des guerriers avides, les églises paroissiales elles-mêmes avec leurs dépendances n'avaient pas échappé au pillage. L'évêque de Vannes courut au plus pressé : il répara la cathédrale en attendant sa reconstruction, rétablit le chapitre, et réorganisa le service paroissial. 

Après les terreurs de l'an 1000, on se mit partout à rebâtir les églises ; l'évêque Judicaël suivit le mouvement général en reconstruisant la cathédrale ; dans le diocèse on rencontre encore de nombreux vestiges des constructions romanes du XIème siècle. C'est alors aussi que furent fixées les grandes divisions territoriales qui se maintinrent jusqu'en 1790. 

En voici le tableau, d'après une liste de 1387 : 

I. Territoire de Vannes : Saint-Pierre, Saint-Patern, N.-D. du Mené, Saint-Salomon, Arradon, Ploeren, Baden, Plougoumelen, Saint-Goustan, Pluneret, Plumergat, Landaul, Landévant, Languidic, Saint-Gilles, Pluvigner, Grand-Champ, Plescop, Saint-Avé, Meucon, Plaudren, Saint-Maiol, Elven, Sulniac, Tréffléan, Theix, Surzur, Sarzeau, Saint-Goustan, Arzon, Arz, Séné. 

II. Doyenné de Poubelz : Auray, Crach, Locmariaker, Carnac, Plouharnel, Quiberon, Erdeven, Belz, Ploemel, Brech, Mendon, Locoal, Nostang, Kervignac, Trévalsur, Plouhinec, Riantec. 

III. Doyenné de Kemenet-Héboé : Guidel, Ploemeur, Groix, Caudan, Quéven, Gestel, Saint-Caradec, Inzinzac, Calan, Lanvaudan, Quistinic, Bubry, Inguiniel, Trégomel, Berné, Meslan, Guiligomarch, Arzano, Redené, Lesbin, Cléguer, Plouay. 

IV. Doyenné de Kemenet-Guégant : Locmalo, Persquen, Lignol, Le Croisty, Priziac, Plouray, Ploerdut, Langoelan, Merzer, Lescoet, Melionec, Plélauff, Perret, Silfiac, Séglien, Cléguérec, Malguénac, Stival, Guern, Castennec, Bieuzy, Melrand. 

V. Doyenné de Porhoet : Saint-Servan, Coetbugat, Guégon, Sainte-Croix, Lantillac, Radenac, Pleugriffet, Réguiny, Crédin, Rohan, Saint-Gouvry, Saint-Gonery, Croixanvec, Noyal et ses trèves, Pontivy, Naizin, Remungol, Pluméliau, Guénin, Baud, Camors, La Chapelle, Plumelin, Moustoir-ac, Locminé, Moréac, Bignan, Saint-Jean, Saint-Allouestre, Buléon,, Guéhenno, Billio, Cruguel, Plumelec, Saint-Aubin, Sérent et ses trêves, Saint-Marcel. 

VI. Doyenné de Carentoir : Missiriac, Ruffiac, Tréal, Carentoir, le Temple, Cournon, Sixt, Saint-Just, Renac. 

VII. Doyenné de Rieux : Malestroit, Bohal, Molac, Pleucadeuc, Saint-Congard, Saint-Martin, les Fougerets, Glénac, Saint-Gravé, Peillac, Saint-Vincent, Saint-Jacut, Allaire, Rieux, Béganne.

VIII. Doyenné de Péaule : Larré, Pluherlin, Malansac, Caden, Limerzel, Questembert, Berric, Lauzach, Ambon, Muzillac, Noyal-Muzillac, Péaule, Marzan, Arzal, Billiers. 

IX. Territoire de Redon : Redon, Bains, Brain, Langon. 

X. Belle-Ile : Ce territoire donné au comte de Cornouaille vers 960, et réclamé par les évêques de Vannes dès 1096, ne leur a été accordé qu'en 1666. 

Après les paroisses, voyons les établissements monastiques. 

L'abbaye de Redon est la première qui se releva de ses ruines ; les religieux y revinrent sous Alain Barbetorte ; ils envoyèrent une colonie à Saint-Gildas-des-Bois en 1026 et une autre à Quimperlé en 1029. Des 26 prieurés dépendant de Redon, il y en avait 7 dans le diocèse de Vannes, à savoir Arzon, Castennec, Locoal, Sainte-Croix-de-Josselin, Ruffiac, la Grêle près de Rochefort, et Saint-Barthélemy de Redon. 

L'abbaye de Rhuys, livrée à saint Félix en 1008, vit déblayer ses ruines et s'élever de nouveaux édifices, notamment l'église abbatiale, dont le choeur et le transept nord subsistent encore et font l'admiration des archéologues. Les fondations se multiplièrent rapidement, et l'abbaye posséda bientôt 18 prieurés, à savoir, en suivant l'ordre alphabétique, Ambon, Arz, Auray, Baud, Blavet, Bourgerel, Caudan, Gavre, Hézo, Josselin, Lauglénec, Lochrist, Locminé, Mesquer, Quiberon, Rieux, Saint-Guen et Taupont. 

Les abbayes de Locoal, de Caudan et de Locminé ne se relevèrent, comme on le voit, qu'avec le titre de prieurés. 

Quelques abbayes étrangères avaient aussi des prieurés dans le diocèse de Vannes. Ainsi Quimperlé possédait Bonne-Nouvelle, Lannénec, Saint-Michel des Montagnes, Groix, Belle-Ile, Locmariaker, Lotivy et Saint-Cado. L'abbaye de Marmoutier avait Saint-Martin de Josselin, la Madeleine de Malestroit, la Montjoie de Rochefort, Saint-Martin de Trédion et le Clos de Rohan. — L'abbaye de Saint-Sulpice avait Locmaria en Plumelec, Priziac en Molac, Saint-Léonard en Saint-Martin, Kerléano en Brech et le Mont-Cassin en Josselin. Enfin Saint-Nicolas du Blavet dépendait de Saint-Florent de Saumur, Kerguelen en Saint-Caradec de Saint-Melaine de Rennes, et Saint-Georges de l'Ile-d'Arz de Saint-Georges de Rennes. 

Ces établissements appartenaient aux Bénédictins, ou moines noirs. Les moines blancs ou Cisterciens avaient chez nous quatre abbayes, savoir, Langonnet, fondée en 1136 par le duc Conan III ; Lanvaux, fondée en 1138 par Alain de Lanvaux ; Prières, fondée en 1251 par le duc Jean Ier ; et La Joie, fondée en 1260 par la duchesse Blanche de Navarre. Les abbayes de l'ordre de Citeaux n'avaient pas de prieurés, mais elles possédaient de nombreuses métairies et tenues, ce qui revenait au même. 

A leur suite venaient les Chanoines réguliers, qui avaient une abbaye à Saint-Jean-des-Prés, un prieuré-cure à Coetbugat, et un prieuré simple Saint-Symphorien de Vannes, auquel était annexé Saint-Thébaud en Saint-Avé. 

Il y avait en outre des Augustins à Malestroit ; des Camaldules à Roga ; des Chartreux près d'Auray ; des Cordeliers à Vannes et à Bodelio ; des Récollets à Bernon, à Port-Louis, à Sainte-Catherine et à Pontivy ; des Capucins à Vannes, à Auray et à Hennebont ; des Carmes à Hennebont, à Sainte-Anne, au Bondon et à Vannes ; des Dominicains à Vannes et près de Quimperlé ; des Trinitaires à Rieux, à Sarzeau et à Cadoudal ; des Jésuites au collège de Vannes, et des Frères de la Salle à Vannes. 

Quant aux Femmes, il y avait des Calvairiennes à Redon ; des Carmélites à Vannes ; des Dames du Refuge à Vannes ; des Cordelières à Auray ; des Ursulines à Vannes, à Hennebont, à Pontivy, à Malestroit, à Muzillac et à Redon ; des Visitandines à Vannes ; des Hospitalières à Vannes, Auray et Guémené ; des Dames du Père-Eternel et des Demoiselles de la Retraite à Vannes ; des Filles de la Charité à Vannes, à Hennebont et au Palais ; des Filles de la Sagesse à Vannes, Lorient et Port-Louis ; et enfin des Filles de Saint-Thomas à Auray et à Pontivy. 

Telle était l'organisation séculaire du diocèse de Vannes, lorsque la révolution de 1790 vint tout bouleverser ou détruire. Le pays forma le Département du Morbihan avec des limites nouvelles et arbitraires, et fut divisé en districts, cantons et communes. Bientôt les communautés furent expulsées, les prêtres proscrits et les biens de l'Eglise vendus ; la Terreur régna par la guillotine. Après dix ans de troubles et de persécution, le Concordat de 1801 vint inaugurer une nouvelle période dans l'histoire du diocèse. 

Les limites du département deviennent celles du diocèse ; les 4 arrondissements devinrent avec le temps des archiprêtrés, les 37 cantons des doyennés et les 238 succursales des paroisses. En 1900, le clergé séculier compte 780 prêtres en activité. 

Le clergé régulier est représenté par les Bénédictins de Kergonan, les Trappistes de Tymadeuc, les Jésuites de Vannes, les Capucins de Lorient, les Pères de Langonnet, les Eudistes de Kerlois, les Picpuciens de Sarzeau, les Pères de la Chartreuse, et les Maristes de la Bousselaye. 

A leur suite se placent les Frères de Saint-François-Régis, qui tiennent un orphelinat à Sarzeau, les Frères de la Salle et les Frères de Ploërmel, qui dirigent de nombreuses écoles libres dans le diocèse. Il faut enfin mentionner les religieuses de tout ordre, qui se consacrent au service de Dieu directement ou au service du prochain dans les hôpitaux, les écoles et les diverses oeuvres de bienfaisance. 

On en trouve la liste annuelle dans l'Ordo du diocèse (abbé Le Mené). 

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