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La culture de la vigne dans l'évêché de Saint-Malo avant le XVIème siècle.

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§ 1. — XIème siècle.

A Dinan, vignes sur la Rance. En 1074, Geofroi de Dinan donne à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur une pièce de terre contenant un verger et une vigne, sise près du pont de Dinan et allant jusqu'à la Rance : « terram juxta pontem de Dinan, in qua fuit virgaltum Orguennæ uxoris Goscelini, cum vinea quæ in ea erat, et omnem terram juxta mensuram virgulti usque in flumen Rentiæ » (D. Morice, Preuves I, 439).

 

§ 2. — XIIème siècle.

A Lohéac — en 1101 — Gautier, sire de Lohéac, confirme aux moines de Redon les propriétés des biens que son père leur avait donnés, entre autres, deux métairies et deux maisons près de son château de Lohéac, avec une vigne de première qualité : « cum vinea quam optima » (Cartulaire de Redon, p. 409 ; D. Morice, Preuves I, 506).

A Guer. — Donoal, évêque d'Aleth de 1120 à 1144, donne aux moines de Marmoutier du prieuré de Josselin le tiers de l'église de Guer avec tout ce qui en dépend, savoir, « cum vineis et quatuor jornalibus terre juxta Querbiget, cum domibus, cum ortis eorum, cum sex plateis cimiterii » (Archives du Morbihan, fonds de Saint-Martin de Josselin, n° 31).

A Lande-Huan, sur la limite des paroisses de Dingé et de Lanrigan, il y avait eu une forêt défrichée, aux XIème et XIIème siècles, par les moines de Saint-Florent sous Dol (aujourd'hui L'Abbaye) ; en 1163, les moines du prieuré de Combour, après diverses contestations, consentirent à la dédidace de la chapelle bâtie à Lande-Huan par ceux de Saint-Florent, à condition que le prieuré de Combour perçût le quart des dîmes des vignes ou blés qui pousseraient sur ce domaine : « eo tenore (disent ceux de Combour) ut ex quacumque re messium seu vinearum illic laborarent, quartam partem decimæ haberemus » (A. de la Borderie, Recueil d'actes inédits des ducs de Bretagne, p. 50).

A Montfort, sur les bords du Meu. — Dans la fondation de l'abbaye de Saint-Jacques de Montfort, qui est de 1152, on lit : « Cornilellus dedit vineam juxta aquam Modani (le Meu) ; Hubertus dedit vineam, concedentibus filiis suis » (D. Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I. col. 614).

A Montauban. — Dans cette même fondation de Saint-Jacques de Montfort, Amicie, femme de Guillaume, seigneur de Montfort, donne à cette abbaye « in Sent Eleio (en Saint-Eloi de Montauban) terrain juxta burgum, in vineis Gaufredi, filii Bino, et participum » (D. Morice, Ibid).

 

§ 3. — XIIIème siècle.

A Saint-Méloir des Ondes, au commencement du XIIIème siècle, il y avait beaucoup de vignes, l'on en plantait de nouvelles, le recteur de la paroisse et le titulaire du prieuré de Saint-Méloir (dépendant de l'abbaye du Mont Saint-Michel) s'en disputaient les dîmes, comme le prouve une charte de cette abbaye, de l'an 1215, qui porte :
« Cum inter Gaufridum de Torigneio, priorem nostrum Sancti Melorii, ex una parte, et Robertum de Radeweie, ejusdem ecclesie personam, ex altera, contentio verteretur super, decimis vinearum, quarum medietatem dictus Robertus possidebat, sopita est in hunc modum, quod prefatus R. in vineis et terris noviter ad cultum redactis medietatem percipiet decimarum ; in illis autem terris in quibus sepedictus R. nonam partem decimarum bladi solebat percipere, amodo, pro bono pacis, in vineis percipiet nonam partem » (Titres du Mont Saint-Michel, dans les Bl.-Mx, vol. 86B, f. 778).

Ainsi, le curé ou recteur de Saint-Méloir (persona) percevait clans sa paroisse la moitié de la dîme des vignes et le neuvième seulement de celle des blés, le reste de ces dîmes allant au prieur. Quand on changeait la culture pour faire des vignes là où on avait jusque là semé du blé (il paraît que cela arrivait assez souvent), le curé, avec raison, prétendait avoir aussi la moitié de la dîme de ces vignes neuves. Le prieur protesta, et l'on en vint à cette transaction, que sur les vignes remplaçant une culture en blé le curé aurait seulement le neuvième de la dîme, mais qu'il aurait la moitié sur les autres vignes et sur les produits de toutes les terres nouvellement cultivées, quel que fût le genre de culture.

A Claies, près de Montfort, l'abbaye de Saint-Melaine de Rennes possédait une vigne et un jardin très voisins de l'église paroissiale. En 1231, les moines donnèrent ce jardin et cette vigne à ferme au recteur (persona) de Claies, qui s'appelait Guillaume, sous la condition qu'il n'y ferait pas sa demeure et qu'après sa mort Saint-Melaine rentrerait de plein droit dans la jouissance de ce bien. (Cartulaire S. Melani, f. 172, n° XIIxx).

A Josselin, en cette même année 1231, Eudon III, comte de Porhoët, rendit au prieuré de Saint-Martin (dépendant de l'abbaye de Marmoutier) une terre spécialement apte à la culture de la vigne par sa situation ou par la nature du sol, et qu'on appelait « la vigne au vicomte Geofroi » (vinea Gaufridi vicecomitis), paréd trie lès-moiries l'avaient jadis « prêtée » au comte ou vicomte Geofroi pour y planter des vignes : « quam terram monachi commodaverant predicto vicecomiti ad vineam plantandam » (Archives dép. du Morbihan, fonds de Saint-Martin de Josselin). — Ce Geofroi tint le comté de Porhoët de 1116 à 1142 ; il semble que ce serait l'époque où la culture de la vigne fut introduite à Josselin.

En 1269, Geofroi du Plessis, chevalier, forma à la cour du roi de France un appel fondé sur divers griefs par lui reprochés au duc de Bretagne (Jean le Roux), entre autres, sur ce que le duc l'aurait sans droit dépouillé de sa maison de la Roche et de ses dépendances, vignes, terres, prés, le tout situé aux paroisses de Lansieu, Ploubalai et Créhen : « Dictus comes (Britannie) dictum Gaufridum dessaisivit de domo de Rocha et quadam vinea, terra, pratis et aliis ad dictam domum pertinentibus, in parochia de Lansioc, de Plabela [Plubalé] et de Querhen » (Les Olim, édit. Beugnot, I, p. 295). La Roche est en la paroisse de Lansieu, là aussi devait être la vigne qui en dépendait.

 

§ 4. — XIVème et XVème siècles.

1419. — Vignes sous la seigneurie de Châteauneuf de la Noë.

Note 1 : Vignes sous la seigneurie de Châteauneuf de la Noë. (1419).
« C'est le grant des terres et heritages sur et èsquelles Thomine de la Bouexière, femme Henri de Québriac, avoit saisiné (?) son tiers et doaere par le deceix de celui Henri, quel tiers à present est venu en rachat à Madame de Chasteauneuf, par le deceix d'icelle Thomine decedée environ le mois de may mil IIIIc dez neuf, [savoir,] une piece de terre en vigne labourée à moitié, contenant dous journelx ou environ, sise à pé de la Marre. Item, cinq journelx de terre ou environ, dont y a ung journel en orge et le parsus en garet. Item, une pièce de terre en pasture sise sur la Bruère, contenant trois journelx. Item, une meson et courtil sise à... [Note : Effacé] contenant VIte de journel ou environ. Item, ô Jehan Vivien chascun an, VI s. III d., III boessaux d'avoine, 1 poulie. Item, ô les heirs Guillaume Bournichon III godets de froment. [Item], ò les heirs Rolland Lebret III god. de f. ; ô les heirs Hamon Touraine III god. de f. ; ô dom Robert Le Peletier IX god. de f. ; ô Geffroy Petitfilz III god. de froment; ô Olivier Jehan III g. de f. ; ô le sr de Treet 1 bouess. de f. ; ò Jehan Vivien V god. de f. ; ò les heirs Allain Haudebert II god. et demi de f. ; ò les heirs Guérin Le Breton II god. et demi de f. ; ô Lorete Rosier demi b. de f., II s. VI d. ; ò les heirs Allain Audebert II s. VI d. ; ò les heirs Guérin Le Breton II s. IIII d. Sur quoy est deu au sr de Couesquen, que l'en appelle metaille, XVI d. et II b. de f. pour le rachat du tiers desquelles chouses l'en a finé à la some de VII l. X s., non obstant que le rachat autresfoiz finé ne fust signé »
.

1420. — Vignes en la paroisse de Saint-Père Marq en Poulet.

Note 2 : Vignes en Saint-Père Marq en Poulet. (1419, n. st. 4 janvier).
« Saichent tout que nous Pierres Garnier, Allain de la Mote ou nom et comme procureur de Julienne Boutier, tutrice et garde de Marguerite Le Chastelain sa fille, Jehan Bernier, Jehan Duval, Estienne Maleffent et chascun de nous, audit nom et pour ce que nous peut toucher et appartenir, assemblément et d'un commun assentement cognoessons et suymes confesseras tenir et tenons prochement, noblement et à foy, de noble et puissant seigneur monseigneur Briend de Chasteaubriend, seigneur du Plessis Bertrain, un fé et tenement nommé et vulgaument apellé le fé des Bas Oaysiz, planté en vigne, contenant quatre jornelx de terre ou environ, scis en la parroaisse de Saint Fere de Marc en Paoulet, entre le ruel de la fontaine d'Escuart et la mer, d'une partie, et les terre au seignor du Chalonge, d'aultre partie. Et par cause de ce est debu à mondit seigneur, chascun an, au jour Saint Gille une libvre de gingibre blanc, la foy et le rachat quant le cas y appartient et l'amende en oultre quant le deffaut y est, et obeir comme home pour seigneur, etc... Ce fut fait le IIIIème siècle jour de janvier l'an mil quatre cens deiz et ouyt. (Signé) J. LEMERCIER passe.
Et en oultre ce, ledit Allain de la Mote, ou nom et comme procureur prouvé par lettres de Hustaice de Saint-Pere, ou nom et comme tutour et garde de Marguerite Le Chastelain, fille de feu Olivier Le Chastelain...., cognoes tenir noblement et à foy de mondit seigneur totes les rentes, revenues, juridicions et obeiscences que ge dit Allain, audit nom, ay et puix avoir en la parroaisse de Saint-Columb, etc.... Donné de ce tesmoign le seau de moy dit Allain, oud, nom, aveucques le passement de Jehan Le Mercier à ma requeste fait, le XXVIème jour d'ottobre, l'an mil quatre cens deiz et neuff. (Signé) J. LEMERCIER passe »
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1431. — Les vignes de Blossac en Goyen, extrait d'un aveu de la seigneurie de Blossac.

Note 3 : Les vignes de Blossac, en Goyen. (1431, 21 octobre). [Note : Extrait de l'aveu et minu de la terre de Blossac, fourni à Gui de Laval, baron de Lohéac, par Bertrand de Monbourcher au nom de sa fille Jeanne, dame de Blossac par sa mère Jeanne de Blossac. Original, parchemin].
« Cy ensuyvent les choses et heritages que ge Bretran de Monbourchier, chevalier, seigneur de Champtpegné, ou nom et comme garde naturel de Jehanne de Monbourchier, ma fille, damme de Beloczac, tiens et confesse tenir noblement, à fey et rachat, de mon tres puissant et redoubté seigneur, monseigneur de Gavre, de Montfort et de Lohéac, qui sont cheues en rachat aud. seigneur par le deceips de deffunt Jehan de Beloczac, que Dieu absole, oncle de mad. fille, frère ainzné de deffunte Jehanne de Beloczac, mère de mad. fille, en sa terre et baronnie Lohéac. Savoir est,
L'osteil, menoir et herbregement de Beloczac, comme il se poursiet, en mesons, coulombier, court, courtilz et aultres appartenances, ensemble ô le grant boays, se rendent par un chemin qui descent du vilaige de Merczac droit en ligne à une douve doudit herbregement en la ripvière de Villaigne et doudit chemin comme l'en vait à la boire de Beloczac, contenant ensemble environ quatre journelx de terre.
Item, le vergier de Beloczac et quantité de terre et de boays siise près le vergier, contenant environ quatre journelx de terre.
Item, le grand boays de Floure, contenant environ trois journelx de boays.
Item, les boays de Bougan comme ils se porsient, contenant environ quinze journelx de boays.
Item, le demaine nommé les Clos Loren, contenant environ traze journelx de terre.
Item, une pièce de terre en jannaye et broullaz, nommée la Gadichière, contenant environ troys journelx de terre.
Item, une aultre pièce de terre nommé le Mars, en laquelle il y a environ seix journelx de prez, et environ sept journelx de terre arable. Item, a en celle closture, qui sont en pasturaige ensemble à quantité de terre siise au bout d'icelle closture, environ sept journelx de terre.
Item, la Longue Noée et la Lendelle, ô les ouzerays appartenantes, contenant environ quatre journelx.
Item, les garaines de Beloczac et de la Bomelière, comme ilz se porsient.
Item, les vignes de Beloczac, qui sont ou villaige de Louvin, ensemble ô une meson et preczouer, contenant environ dous journelx.
Item, la ripvière et paeschaige de Villaigne entre la fontaine Sourie et le fresne de la Grimaudière.
Item, les perrières Levaigers, ès placzes des perrières appellées les perrières de Louvin, qui sont siises près Saint-Sanson.
Item, le lieu, hosteil et herbregement du Champtblanc, comme il se porsiet en mesons, courtilz et vignes, contenant environ dous journelx et demi de terre, dont y a en vigne environ demi journel. ......
Donné tesmoign de ce ces presentes signées de ma main, le vignt et unme jour dou mois d'ottobre l'an mil quatre cent trante et un. (Signé) BERT. DE MONTBOURCHIER. Verum est, BERT.
Es plez de Lohéac, à Bréal, le cinqme jour de noembre l'an dessurdit, fut cest minu baillé par Jehan de la Roche, procureur dudit mesire Bretran, ou nom que dessur. — (Signé) J. de la Roche. - R. Lorieul, passe »
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1460 et 1477. — Vignes en Saint-Suliac et vin de Saint-Suliac.

Note 4 : Vignes à Saint-Suliac. (1460, 22 septembre).
« La tenue de Jocelin du Chalonge. — Sachent touz que par nostre court de Jugon s'est aujourd'huy davent nous comparu et representé en personne noble escuier Jocelin du Challonge… lequel fut et est cognoessant et confessant estre homme, subgit et obeissant de nobles [et puissant] missire Briend de Chasteaubriend, chevalier, sire de Beaufort et du Plessais Bertran, son seigneur, et de lui prochement et noblement, à fay et rachat, tenir, par raeson de sa seignourie dudit lieu du Plessais Bertran, savoir est, une piece de terre plantée en vigne contenant environ deux journelx de terre joignant d'un costé au chemin pur où l'on vait de l … de la Gastine au bourgc de Saint Celia, et d'aultre costé à la terre et vigne qui autresfoiz fut Geffroy Maleffent. Item, ledit Jocelin est confessant que une pièce de terre… appellée les Hauls Ouaiziz, appartenante à Geffroy Bertholemer et à Thomas du Challonge, et qu'ilz tiennent comme jouveignour de aisné d'iceli Josselin, joign … dudit Jocelin et d'aultre costé à la sente par laquelle on vait du pressouer dudit sire à la fontaine d'Ecuart, que la ligence en est deue et appartient audit seigneur… Et par cause desdites pieces de terre celi Jocelin du Challonge congnoest et confesse qu'il est deu et doit chascun an de rente à sondit seigneur, par chascun jour… de Saint Gille foire à Dinan, une paire d'esperons dorez, desquielx les mollettes et les hardeillons sont indes, et les cloux dont les bouz des batans sont riuez i … et les courays d'icelx esperons vermailles. Et au poesment de ladicte paire d'esperons lesdiz Berthelemer et Thomas du Challonge, ses jouvegnours, à la [fournir] sont subgiz et contributiffs, combien qu'ilz saint deuz et poiez audit sire par la main dudit Jocelin, qui en oultre ce doit audit sire fay, rachat..... avecques obeissance comme homme féal pour son seigneur, etc.... Donné tesmoign dece ces lettres saellées du seau establi aux contrat de nostredicte court et le signe manuel d'iceli Jocelin en mere fermetté. Ce fut fait le vignt deuxiesme jour de septembre, l'an mil quatre cens saixante. (Signé) JOCELIN DU CHALONGE voir est. — J. LEMOUENNE passe. — GUILLAUME ESPÉE passe ». (Orig. parch. était scellé).

Note 5 : Vin de Saint-Suliac. (1477-1478).
[Extrait du compte de Charles Chaperon, receveur de la forêt de Couëtra ou de Quintin (dite aujourd'hui forêt de Lorges), du 20 décembre 1477 au 25 décembre 1478. fol. 97 v°].
« Item, que ce receveur a poié pour l'achat de XX pipes de vin breton du creu de Sainct Sulia, et auxi pour l'achat d'une cacque de haran blanc, troys centz de harans sores, ungn cabatz de figues, ungn cabatz de resine, casprez, huylle d'oliff, et aultres choses prinses à Sainct Malo et rendues à la meson de Monsr [Note : « Monsr » ou Monseigneur, c'est le seigneur de la forêt de Couëtra, c'est-à-dire le comte ou baron de Quintin, qui était alors Tristan du Perier, un des personnages importants de ce temps. Si ce haut baron buvait du vin de Saint-Suliac, c'est sans doute que ce crû avait alors un bon renom] tant à Quintin qu'à l'Ermitage, tant pour le principal des provisions que pour les mises et despans de les aler querir et faire venir..... XXXVII livres III deniers ».

1484-1485. — Vignes à Montfort la Cane. Extrait du compte de Robert Joubin, grenetier de Montfort, du 12 août 1484 au 10 septembre 1485, où au fol. 1 on lit :
« Compte et se charge (ledit Joubin), que doit chascun an à Monseigneur (le sire de Montfort), au terme de Nouël, le prieur de Saint Nycollas de Montfort cieux boessaux froment, à cause d'une allée et veue qu'il a au jougnant des doufves anxiennes de Montfort, derrière le prieuré dud. lieu de Saint Nycollas, pour aller à ses vignes : dont led. grenetier compte pour le terme de Nouë1 1484, — par froment deux boesseaux ».
 

(Arthur DE LA BORDERIE).

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