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BILLIERS

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La commune de Billiers (bzh.gif (80 octets) Beler) fait partie du canton de Muzillac. Billiers dépend de l'arrondissement de Vannes, du département du Morbihan (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de BILLIERS

Billiers vient de "Beler" (divinité gauloise Boal).

Billiers est un démembrement de la paroisse de Muzillac ou mieux de l'ensemble Bourg-Paul-Muzillac. La paroisse de Billiers voit le jour au XIème siècle. Elle est dédiée à Saint Maxent, évêque poitevin mort en 515 et dont le corps avait été transporté de 868 à 920 à Plélan, ancienne dépendance de l'abbaye de Redon.

Ville de Billiers (Bretagne).

En 1250-1252, Jean 1er, duc de Bretagne, fonde l'abbaye cistercienne Notre-Dame de Prières. A sa mort (1285) et selon sa dernière volonté, il sera inhumé à Prières. La fondation de ce monastère est confirmée en 1253 par le pape Innocent IV. Cette abbaye exerce un droit de haute, moyenne et basse justice. Billiers est érigé en commune en 1790.

La paroisse de Billiers relevait jadis du doyenné de Péaule. Son recteur avait en 1746 un revenu évalué à 340 livres. Billiers devient en 1790 une commune du canton de Muzillac. Il y eut en 1799 un important débarquement d'armes anglaises destinées aux chouans.

On rencontre les appellations suivantes : Beler, Bellier (en 1427), Biler (en 1464).

Ville de Billiers (Bretagne).

Note : Billiers, ou suivant l'orthographe ancienne Beler, est limité au nord et à l'est par Muzillac, au sud par l'embouchure de la Vilaine, et à l'ouest par un étier, qui le sépare d'Ambon. Sa superficie est de 588 hectares, qui se partagent en champs, prairies, landes et marais salants. Outre l'agriculture, il y a la pêche, qui se fait à l'aide de grands bateaux pontés, appelés les Chattes de Billiers et remplacés aujourd'hui par des chaloupes. En 1891, la population est de 857 habitants. De l'époque celtique, il reste, à la baie des Granges, un dolmen à galerie, d'environ 20 mètres de longueur, mais entièrement bouleversé, et un autre dolmen à demi ruiné, prêt à s'écrouler dans la mer. De l'époque romaine, on ne cite qu'une monnaie de Posthume, trouvée au bourg. Les Bretons ont occupé ce territoire au VIème siècle et donné des noms à divers villages, mais aujourd'hui leur langue tend à disparaître complètement. Le patron de la paroisse est saint Maxent, abbé poitevin, mort le 26 juin 515. Le choix de ce saint peut s'expliquer par ce fait que son corps a séjourné à Redon, ou plutôt à Plélan, de 868 à 920, et qu'une relique partielle a pu en être détachée en faveur de Billiers. En 1251, le duc Jean I, pour compenser la suppression du petit monastère de Saint-Pabu de Rhuys, fonda ici l'abbaye de Prières, en faveur des Cisterciens. Parmi les dons qu'il fit à cette maison, il faut citer les dîmes de la paroisse, qui furent retirées au recteur et remplacées par une rente annuelle de treize livres sur les recettes ducales de Vannes. L'abbaye aura son histoire à la suite de la paroisse. Au mois de février 1419, saint Vincent Ferrier, suivi d'une foule considérable, traversa Billiers pour se rendre de Muzillac à Prières. Après avoir passé la nuit au couvent, le saint, malgré sa faiblesse, chanta la messe et prêcha avec feu ; il reçut ensuite les malades, et plusieurs furent guéris. En 1488, des soldats français, en guerre contre les Bretons, arrivèrent à Billiers, dans l'intention de s'embarquer pour aller ravager Guérande. Les habitants, pour leur enlever tout moyen de transport, conduisirent leurs bateaux au large. Pour se venger, les Français mirent le feu aux maisons, massacrèrent plusieurs personnes, et firent de nombreux prisonniers, qui ne recouvrèrent la liberté que moyennant d'énormes rançons. Après le départ des ennemis, les habitants de Billiers, trop pauvres pour rebâtir leurs maisons, désertèrent la paroisse, qui ne se repeupla que lentement. C'est en vue de ses côtes que se termina, le 20 novembre 1759, la funeste bataille navale, connue sous le nom de M. de Conflans. Plusieurs navires français durent chercher un refuge dans la Vilaine (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Ville de Billiers (Bretagne).

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PATRIMOINE de BILLIERS

l'église Saint-Maxent (XVIIème siècle), remaniée en 1856 avec des matériaux provenant du domaine de Prières. La tour moderne, de forme carré, est amortie par une lanterne vitrée et a remplacé au XVIIème siècle, un ancien clocher placé au centre de l'église. Le retable en bois date du XVIIème siècle : au centre est disposée une peinture figurant une Crucifixion (datée de 1917 et oeuvre du nantais Zorwden d'origine suisse) que domine une statue de Vierge à l'Enfant dans une petite niche. De part et d'autre du retable, se trouvent les statues en bois de saint Maxent et de saint Etienne. Le vitrail de la fenêtre Sud du choeur, qui représente une scène de la vie de saint Maxent, est l'oeuvre, en 1899, des peintres-verriers Etienne et Mouilleron de Bard-le-Duc. Le vitrail de la fenêtre du Nord du choeur, qui représente Notre-Dame de la Garde (ou Notre-Dame de la Mer), est l'oeuvre, en 1938, de Marguerite Huré, artiste verrier. Vers 1948, Marguerite Huré a aussi vitré l'ensemble de la nef en représentant différents personnages : Françoise d'Amboise, René Rogue, Charles de Foucauld, saint Louis, le Curé d'Ars, saint Vincent Ferrier, saint Michel, etc.. Les chapelles latérales sont dédiées, celle du Sud à la Trinité, celle du Nord à la Vierge. Ces chapelles abritent de nombreuses statues : la Vierge Marie et saint Joseph avec l'Enfant Jésus, au Nord ; sainte Anne et sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, au Sud. Les vitraux, visibles dans les chapelles latérales situées en avant du transept, sont l'oeuvre de Laumonnier de Vannes : au Nord le vitrail représente sainte Anne avec la Vierge et saint Joachim, et au Sud le vitrail représente Notre-Dame de Lourdes. Le chemin de Croix provient de la chapelle du Grador à Vannes et a été installé en 1937. On conserve dans la sacristie un superbe Christ en ivoire du XVIIème siècle qui provient de l'abbaye de Prières et qui a quitté la cathédrale de Vannes pour regagner l'église paroissiale de Billiers ;

Eglise de Billiers (Bretagne).

Nota 1 : L'église paroissiale, dédiée à saint Maxent, est en forme de croix latine, avec des bas côtés, séparés de la nef principale par des piliers carrés. La tour, de construction récente, est terminée par une lanterne, qui ressemble à celle des phares. A la sacristie, on conserve un Christ en ivoire, provenant de Prières. Il n'y a aucune chapelle de frairie. Les chapellenies étaient : — 1. Celle des Saints, qui, en 1756, rapportait 60 livres. — 2. Celle des Caoursin, chargée d'une messe par semaine. — 3. Celle des Guilis, fondée aux mêmes conditions. Les dîmes se levaient à la 11ème gerbe, au profit exclusif du monastère ; le recteur, simple portionnaire, avait un revenu net, évalué en 1756 à 340 livres. Il y avait aussi des seigneuries particulières à Bréhondec, aux Granges, à Guerneué, à Kervail, à Lohéro et aux Salles. Billiers était du doyenné de Péaule et de la sénéchaussée de Vannes. En 1790, il fut érigé en commune, du canton de Muzillac, et du district de la Roche-Bernard. En 1791, son recteur, J. Desalleurs, qui était en même temps chanoine de Rochefort, refusa le serment et disparut l'année suivante. Billiers passa dans l'arrondissement de Vannes en 1800, et fut maintenu dans le canton de Muzillac en 1801. Pendant les guerres de l'Empire, les Anglais ravagèrent ses côtes. On y a construit, depuis, un fort à Penlan, et en 1837 un phare à feu fixe (Joseph-Marie Le Mené).

Ville de Billiers (Bretagne).

Voir aussi   Ville de Billiers (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Billiers et ses recteurs"

l'abbaye Notre-Dame des Prières (XVII-XVIIIème siècle). Il s'agit de l'ancienne abbaye cistercienne qui a été fondée le 30 octobre 1252 et consacrée le 31 octobre 1252. Au cours du XVIIème siècle, le monastère est entièrement reconstruit. A la Révolution, les moines sont dispersés et les bâtiments servent alors de caserne et de grenier à foin. L'édifice est acheté par M. Le Masne en 1801. De l'église et des anciens bâtiments conventuels, il ne reste rien que certaines parties des communs, couverts de belles charpentes du XVIIIème siècle ;

Nota 2 : C'est le 30 octobre 1252, que les religieux cisterciens, fournis par l'abbaye de Buzay, furent introduits à Prières par l'évêque de Vannes. Quelques jours après, le duc Jean I donna au nouveau monastère, d'une façon définitive, « le village de Bagan où se trouve le couvent, les villages de Duen, de Bréhaudun, de Louch, les moulins au-dessous de Béler, le passage de la Roche-Bernard, des salines à Guérande, et des vignes à Port-Thibaud en Anjou ». Il y ajouta la terre de Lenclis et les dîmes de Billiers. A cette dotation primitive s'adjoignirent bientôt les libéralités de nombreux particuliers. Cette fondation fut confirmée par le pape Innocent IV et enrichie par lui de divers privilèges spirituels. L'église primitive, qui a subsisté jusqu'en 1715, était de style ogival et de forme rectangulaire ; elle était partagée en trois nefs par deux séries de piliers, et avait trois autels au fond, vers l'est, et le choeur en avant. C'est là que furent inhumés le duc Jean I en 1286, la duchesse Isabeau de Castille en 1328, et la duchesse Jeanne de Hollande en 1384 (son corps fut ensuite transféré à Nantes). C'est là que furent également enterrés les abbés et les bienfaiteurs de la maison. L'abbaye fut longtemps prospère, et remplie de fervents religieux ; mais vers la fin du XVème siècle, elle subit l'influence générale du relâchement de la discipline, et elle tomba entre les mains d'abbés commendataires qui négligèrent les moines et laissèrent vendre les biens du monastère. En 1583, les visiteurs de l'ordre n'y trouvèrent plus que sept religieux, quand la maison aurait dû en avoir trente. En 1613, D. Bernard Carpentier, prieur de ce monastère, commença courageusement la réforme. Aussitôt les vocations se multiplièrent ; Prières devint un véritable séminaire monastique, qui fournit des sujets à Noirmoutier, à Bégar, à Saint-Aubin, etc... En même temps les biens aliénés furent rachetés, et les abbés réguliers rétablis. Les religieux couchaient sur la dure, se levaient à deux heures après minuit, chantaient l'office du jour, portaient la serge, et observaient une clôture exacte et un maigre continuel, excepté dans le cas de maladie. Le monastère et les édifices accessoires furent graduellement rebâtis, et pour couronner l'oeuvre, on entreprit en 1716 la construction d'une vaste et splendide église, qui ne fut terminée et consacrée qu'en 1726. C'était un édifice en forme de croix latine, avec bas côtés et chapelles latérales. Sa longueur était de 189 pieds, et sa largeur de 91 pieds, chapelles comprises. L'architecte entrepreneur fut Olivier de Lourme, de la ville de Vannes, et l'instigateur de l'oeuvre l'abbé Jh. Melchior de Sérent. Les frais furent considérables, et les emprunts qu'il fallut faire pesèrent longtemps sur la maison. Voici quelle était, en 1790, l'état de l'abbaye : La communauté, qui avait compté jadis 40 et 50 religieux, n'en avait plus que 14. Les revenus montaient à 64,453 livres, les dettes à 100,204 livres. Les intérêts de la dette exigeaient 4,008 livres et les pensions viagères 15,400 livres. Il ne restait donc que 45,045 livres pour amortir graduellement la dette, payer les contributions, nourrir et vêtir les religieux, entretenir les édifices, etc... En 1792, les religieux furent expulsés, et une garnison vint les remplacer ; l'église servit à loger les chevaux et les fourrages, et la maison reçut les hommes, qui dévastèrent l'établissement. Tout était dans un état de délabrement complet, quand, en 1801, M. Le Masne acheta du gouvernement consulaire le monastère et l'enclos, pour le prix de 93,000 francs. En 1837 eut lieu « l'adjudication des matériaux à provenir de la démolition de l'église de Prières ». On ne conserva que la tour et le transept attenant, dont on fit une chapelle privée. C'est là qu'on replaça les restes mortels du duc fondateur, d'Isabelle de Castille, et des abbés Raoul, Nouel et Bolle (Bull. 1864, p. 77). Voici la liste des abbés de Prières : — 1. Geoffroi vivait en 1252 et 1267 ; il mourut le 1er juillet. — 2. Salomon est mentionné en 1270 et 1271. — 3. Rivallon fit un accord, en 1274, avec Eudon de la Roche. — 4. Tanguy fut mêlé à la succession du duc Jean I en 1289. — 5. Judicael mourut le 9 janvier 1301. (N. S.) — 6. Even fut exécuteur testamentaire de Jean II en 1305. — 7. Roland de Coatelez mourut le 20 juin, vers 1320? — 8. Guiomar était abbé en 1325 et 1330. — 9. Guillaume Elen, visiteur en 1353, vivait encore en 1372. — 10. Henri Le Barbu, nonce en 1380, évêque de Vannes en 1383. — 11. Jean Raoul I, bénit en 1383, mort au voyage de Rome en 1400. — 12. Jean Raoul II obtint les insignes pontificaux en 1405. — 13. Guill. de la Landelle, élu en 1439, mort en 1453. — 14. Olivier Blanchart, substitué à N. de Villeblanche en 1454. — 15. Vincent de Kerleau, pourvu en 1467, évêque de Léon en 1472. — 16. Jean Le Verrier, pourvu en 1475, mort le 24 mai 1498. — 17. Charles de Hangest, commendataire en 1498. — 18. Jean de Rieux, commendataire en 152x. — 19. Guillaume Car, pourvu en 1533, mort le 6 août 1536. — 20. Guy Drouillart, commendataire en 1537, mort en 1552. — 21. Charles de Lorraine, cardinal, nommé en 1553, mort en 1574. — 22. Bertrand Guillaudon, commendataire en 1574. — 23. Jacques Landry, commendataire. — 24. Jean Bouchard, 1607, démissionnaire en 1630. — 25. Guill. Jamet, nommé en 1630, mort le 23 janvier 1631. — 26. Jean Jouaud, nommé en 1631, mort le 6 juin 1673. — 27. Hervé du Tertre, coadjuteur en 1637, mort le 8 décembre 1680. — 28. Melchior de Sérent, nommé en 1681, mort le 28 juillet 1727. — 29. Jacques Nouel, pourvu dès 1726, mort le 2 septembre 1741. — 30. Cl. M. de la Fruglaye, nommé en 1741, mort le 21 mars 1764. — 31. Abel Bolle, pourvu en 1764, mort le 4 février 1766. — 32. Jean Louis de Meaux, nommé en 1766, démissionnaire en 1787. — 33. Prudent Charles de Corsin, pourvu en 1787, expulsé en 1792. Outre la juridiction spirituelle sur les religieux, l'abbé avait haute, moyenne et basse justice sur ses sujets de Billiers et d'ailleurs, et il l'exerçait par ses officiers (Joseph-Marie Le Mené).

Voir aussi   Ville de Billiers (Bretagne) "L'histoire de l'abbaye Notre-Dame de Prières"

l'église Abbatiale (XVIIème siècle), démolie au XIXème siècle. En 1716, alors qu'elle n'était que ruines, Melchior de Sérent (abbé commendataire) entreprit sa reconstruction, d'après les plans de Cote, premier architecte du roi. Un siècle plus tard, son propriétaire la convertit en magasin à foin. Il ne subsiste que la tour. On y trouve des pierres tombales (XIIIème siècle) dont celle de Jean III, duc de Bretagne ;

la chapelle de Prières (1841), édifiée avec une partie des matériaux de l'église du XVIIIème siècle dont a été conservée la grande tour carrée qui s'élève en quatre étages délimités par des bandeaux plats. Elle abrite depuis 1842 les tombeaux de Jean Ier (duc de Bretagne et fondateur de l'abbaye, décédé en 1286), d'Isabelle de Castille (femme de Jean III, décédée en 1328), de Jeanne de Hollande (seconde épouse de Jean IV, décédée en 1384), ainsi que les sépultures de trois abbés dont celle de Melchior de Sérent mort en 1727, de Jacques Nouel (mort en 1741) et d'Abel Bolle (mort en 1766). Sur l'une des dalles de sépulture on lit l'inscription : " CI-GIT / JEAN Ier DUC DE BRETAGNE / FONDATEUR / DE L'ABBAYE DE PRIERES / EN M.CC.L / MORT EN M.CC.LXXXVI " et plus bas " CI-GIT / ISABELLE DE CASTILLE / VEUVE DE JEAN III / DUC DE BRETAGNE / MORTE EN M.CCC.XXVIII ". A l'Ouest, contre le mur, une pierre tombale est gravée à l'effigie d'un ancien abbé qui pourrait être l'abbé Guyomar (décédé en 1346) ou Guillaume Ellen (décédé en 1377). Un procès-verbal du transfert de ces sépultures a été rédigé le 21 décembre 1842 et signé Guyot, recteur de Billiers, Mouessard, vicaire de Billiers, Roussel, prêtre en retraite, Dom Louis Morel, dernier religieux de Prières et Jean-Baptiste Le Masne aîné ;

Chapelle de Billiers (Bretagne).

le château de Prières (XVIIIème siècle). Il s'agit en fait de l'ancienne demeure de l'abbé de Notre-Dame de Prières. Il est vendu comme bien national en 1792, avant de servir de caserne. Propriété successive des familles Le Masne, Kraff, Guyomarc'h et de la Caisse Mutuels Agricoles (en 1955). Il abrite depuis 1963 le Centre de Postcure et de Réadaptation Sociale Agricole de l'Ouest ;

Château de Prières en Billiers (Bretagne).

le château de Rochevilaine. Propriété de la famille Dresch (à partir de 1950). Restaurée, l'ancienne caserne est transformée dès 1956 en auberge. Le domaine comprend aujourd'hui une vingtaine de bâtiments ;

le phare de Pen-Lan (1837) ;

les moulins à vent (XVIIIème siècle) de Kervail et de Billiers (XVIIIème siècle, ancienne dépendance de l'abbaye de Prières) ;

A signaler aussi :

le dolmen du Crapaud (époque néolithique). Il ne subsiste qu'une partie de la chambre quadrangulaire ;

le cairn de Grays (époque néolithique), situé à Pen Lan. Large de 20 à 30 mètres, il comportait jadis trois dolmens à couloir ;

un calvaire (1912), renversé en 1947 et don de la famille Le Masne ;

une statue de la Vierge, à la sortie du bourg. Elle est restaurée en 1947 ;

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ANCIENNE NOBLESSE de BILLIERS

Lors de la réformation de 1427, on comptabilise la présence d'un noble à Billiers : Mahé Locqueriri (village de Lohero).

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence d'un seul noble de Billiers :

Jehan HUS (30 livres de revenu) : défaillant ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence d'aucun noble de Billiers.

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