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HENON |
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La commune de Hénon ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de HENON
Hénon vient, semble-t-il, du breton « hen » (vieux) et « onn » (frêne).
Hénon est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Plémy. Il semble que le territoire de Hénon soit le siège d'une ancienne fondation Plantagenêt. Alain de Hennon (Alanus de Hennon) apparaît comme témoin dans un acte de 1205. Il signe, en effet, en 1205 une donation de Guy de Thouars en faveur des moines de l'abbaye de Boquen (en Plénée-Jugon).
Hénon est une paroisse dès 1274 (Anc. év. I, 376; III, 226) : le chevalier Guillaume Le Noir y engage des dîmes. Elle est comprise dans l'archidiaconé de Penthièvre et relève de la châtellenie de Moncontour. Elle appartient, sous l'Ancien Régime, au diocèse de Saint-Brieuc et a pour ressort Saint-Brieuc, pour subdélégation Moncontour, et pour seigneur le duc de Penthièvre. La cure était à l'alternative. Durant la Révolution, la paroisse d'Hénon dépendait du doyenné de Moncontour. Hénon élit sa première municipalité le 3 février 1790. Le nom de la commune de Hénon est officialisé le 27 octobre 1801.
On rencontre les appellations suivantes : Hennon (en 1205), Par. de Henon (en 1274), Henon (vers 1330).
Note : la commune de Hénon est formée des villages : La Vallée, Arondel, le Pré-Guihiot, Forville, les Grands-Moulins, Belle-Vue, la Roche, la Haute-Ville, la Ville-Avenet, la Maladrie (ou Maladrerie), Bourienne, Fétabry, le Beau-Cadalu, Pélan, Guémeheux, le Vau-Tenet, les Préreux, le Village, la Ville-Galais, Fébillet, la Touche-Rouault, Port-Martin, le Vau-Bonet, le Champ-Dolo, la Ville-des-Brières, le Vaugouro, la Touche-ès-Plats, les Aulnays, Launay-Noël, le Gué-Briand, la Haute-Braise, la Ville-Balay, le Claquenêtre, Blavet, la Neauvare, la Ville-Chaplé, les Mezrues, le Grand-Bourieux, la Salle, Tertre-Moro, la Haye, Hazaye, la Fossette, la Ville-Robert, la Motte, la Lande, le Bas-Guerlan, le Haut-Guerlan, la Touche-Heurtaux, le Clos-des-Aulnes.
Voir
" Le
cahier de doléances de Hénon en 1789
".
PATRIMOINE de HENON
l'église
Saint-Pierre et Saint-Paul (1876-1877).
Le 27 mars 1755 est posée la première pierre d'une église qui remplace l'église
primitive. L’ancienne église ayant été détruite par un incendie dans
la nuit du 8 au 9 juillet 1876, la pose de la première pierre du nouvel édifice
eut lieu le 1er octobre 1876 et sa bénédiction seulement le 12 août 1877.
L’église fut livrée au culte et consacrée le 6 novembre 1881. Elle fut
édifiée par M. Bellec, entrepreneur, sur les plans de M. Maignan. Elle
comprend une nef avec bas côtés étroits de trois travées, un triple
transept et une abside accostée de deux chapelles. Mobilier : Croix en ébène
servant de reliquaire à une parcelle de la Vraie Croix, d’un travail délicat
du XVIIIème siècle. Maître-autel moderne de M. Bacon, sculpteur à Caurel.
Dans les vitraux modernes : saint Guillaume, saint Brieuc, saint Yves ;
la chapelle Notre-Dame de l'Oubli
ou des Granges (XVIIIème siècle),
située à l'aile nord du château des Granges. Petit édifice rectangulaire
avec chevet à pans coupés accolé après coup à l’est du château, XIXème
siècle ;
la chapelle Saint-Gilles de Port-Martin
(XVIème siècle). Il s'agit d'une chapelle privée, dépendant du manoir de
Port-Martin. Edifice de plan rectangulaire datant du XVIème siècle.
Mobilier : Statues anciennes de la sainte Vierge (XVème siècle), sainte
Anne apprenant à lire à la sainte Vierge (XVème siècle), saint Gilles,
sainte Barbe (XVIIème siècle), sainte Catherine (XVIIème), saint Paul (XVIIème) ;
la chapelle du Saint-Esprit,
située à la Ville-ès-Ion ou Ville-ès-Zion (XVIIème siècle). Edifice de
plan rectangulaire avec chevet à pans coupés. Elle date du XVIIème siècle
et a été restaurée au XXème siècle. Mobilier : Autel du XVIIIème siècle
surmonté d’une colombe ;
la chapelle Saint-Charles-Borromée de la Ville-Chapron
ou Ville-Chaperon (XVIème
siècle), restaurée vers 1880. Edifice du XVIème siècle, qui, tombant en
ruines, a été restauré vers 1880 sur les plans de M. Angier ;
la chapelle Sainte-Barbe de la Néauvais
(XVIIIème siècle). Edifice de plan rectangulaire avec chevet à pans coupés
servant de chapelle sépulchrale à la Maison de la Guérande (XIXème siècle).
Mobilier : Statues du XVIIème siècle provenant de la cathédrale de Tréguier
: sainte Vierge, saint Tugdual, saint Yves, sainte Barbe ;
l'ancienne
chapelle de Saint Germain, aujourd'hui disparue. Edifice de plan
rectangulaire avec chevet à pans coupés reconstruit en 1854. On y
remarquait jadis une croix en granit du IXème siècle ou Xème siècle,
peut-être élevée en commémoration d'une défaite infligée en ce lieu
aux Normands. La chapelle primitive était entourée d'un cimetière.
Mobilier : Autel du XVIIIème siècle venant de l’ancienne église ;
l'oratoire de la Haute-Ville
(XVIIème siècle). Du XVIIème siècle, il sert de fournil vers 1935-1939 ;
les
anciennes chapelles aujourd'hui disparues : - la chapelle de Bellevue,
détruite au XIXème siècle ; - la chapelle de la Braise, dédiée à saint
Véran, détruite ; - la chapelle du Plessix-Côtes, détruite ; - la
chapelle Notre-Dame du Roncelet à la Mare, détruite. Une statue de saint
Mamert, en provenant, est encastrée dans un bâtiment de service ; - la
chapelle des Villes-Chaplées, dédiée à saint Nicolas, détruite ; - la
chapelle de la Vieille-Cour, détruite ; - la chapelle de Saint-Léon, détruite
en 1766 ; - la chapelle du Blavet, dédiée à saint Fiacre, détruite ; -
la chapelle de la Madeleine, détruite en 1868 ; la chapelle de la Bosaye, mentionnée
au XVIIème siècle (R. Couffon) ;
les croix de Saint-Germain (moyen âge), de la sortie du bourg vers
Quessoy (XVIème siècle), de la Touche-Heurtault, de la Ville-Robert, des Granges
(XVIIIème siècle), du Gué, du Gué-Méheust, située près du bourg, de Beauvallon, du
Pré ;
le château de Catuélan (XVIIIème siècle), propriété
de la famille du Merdy de Catuélan, puis de la famille Espivent de la Villesboisnet de Catuélan.
La chapelle privée de Catuélan, dédiée à sainte Anne, est détruite par la foudre le 5 juin
1939 et reconstruit en 1840. Ce domaine appartient à Jean Ogier en 1514 et en 1536 ;
le château du Colombier (XV-XVIème siècle),
édifié par la famille Visdeloup (ou Visdelou) de Bédée. Le château
devient ensuite la propriété du Comte Olivier de Lorgevil.
Propriété de Jean Visdelou en 1514. Une
deuxième tour est élevée au XVIIIème siècle et le reste du manoir est
reconstruit. On y trouve une fuie et une chapelle dédiée à Saint-René (XVIIIème siècle) ;
le château des Granges (début
du XVIIIème siècle), propriété du Comte de Bélizal. Le
domaine est la propriété de Pierre Le Mintier en 1514 et de Jehan Le
Mintier en 1536. Ce château remplace une demeure fortifiée (avec deux tours
rondes) entourée jadis de douves et qui avait été édifiée au début du
XIVème siècle par la famille Le Mintier. Les Le Mintier
possédaient jadis des prééminences dans l'église paroissiale de Moncontour
et dans la chapelle Saint-Jean. Le
château est complètement reconstruit au XVIIIème siècle. C'est dans ce
château qu'est mort le général Geslin de Trémargat. Après la mort du
général, les Granges ont servi de résidence à M. Huchet ;
le château de la Néauvais (XVIIIème siècle), propriété du
Vicomte de la Guerrande. Le domaine est la propriété de René Jouan en 1536 ;
le château de la Ville-Chapron ou
Ville-Chaperon (XVIIème siècle), propriété
de la famille Le Veneur de la Ville-Chapron. Il est aujourd'hui la
propriété de Louis de Bélizal. Le domaine est la propriété de Pierre Le
Chaperon ou Chappron en 1514 et de Hélène Le Champion en 1536 ;
le château de Bellevue
(1872). Quatre tours d'angle encadrent le corps de logis ;
le manoir de Bellevue
(XVII-XVIIIème siècle), érigé par les seigneurs de Bellevue. A signaler que
le domaine de Bellevue-Château appartient à François Champion en 1569 ;
le manoir de la Mare
(fin du XVème siècle). Les armes des propriétaires
y sont gravées. Propriété de Jacques Jouhan en 1514 et en 1536 ;
le manoir de Port-Martin
(XVIIème siècle). Propriété du sieur de La Salle : Alain de Launay en
1514 et Jehanne de Launay en 1536 ;
le manoir de la Haute-Ville (XVIIème siècle) ;
le manoir des Mézues (XVIIème siècle), propriété de la famille
du P. Visdelou (des Mézues) ;
le manoir de la Ville-ès-Zion.
Propriété de Thomas Le Mintier en 1514 et de Gilles Le Mintier en 1536 ;
le manoir de la Touche-Rouault ;
le manoir de la Touche-ès-Plats
(XVIIIème siècle). Propriété de Charles Berthelot en 1514 et en 1536,
puis de Jean Berthelot en 1569 ;
22 moulins dont les moulins à eau des Grands-Moulins, de
Clineuf, de la Garde, au Comte, Payan, de la Porte, de la Marre, de la Ville-Chapron, de
l'Ecluse, Arondel, de la Brousse, deux de la Ville-Norme et les moulins à vent des
Pins et un moulin à foulon,..
A signaler aussi :
en 1928, un dépôt de 52 haches est mis à jour à La
Touche-Nicolas. Un autre dépôt de 700 haches est découvert à La Touche-Rouault en
1977-1978 ;
Voir
"
Informations
diverses sur la ville de Hénon ".
ANCIENNE NOBLESSE de HENON
Avant la Révolution, les maisons nobles de Hénon étaient : les Granges (haute, moyenne et basse justice) qui appartenait à M. de Trémargat. Le Colombier (haute, moyenne et basse justice) qui appartenait à M. de la Goublais. Les Landes-Maltel (moyenne justice) qui appartenait à M. d'Andigné de la Chasse. La Ville-Chaperon, la Ville-Tréhant, la Guerrande et la Ville-Marguerie.
La seigneurie des Granges, qui possédait jadis un droit de haute justice, appartenait dès le XIVème siècle aux Le Mintier, puis passa, au XVIIIème siècle, aux Geslin de Trémargat.
Lors de la réformation du 30 janvier 1427, sont mentionnés plusieurs nobles de Hénon : Etienne Cotte, Robin de Launay, Olivier Regnaust, Guillaume Ruellan, Jehanne Branchu, Roland Auliou, Thomas Auliou, Charles Le Mintier, Jehan Le Paige, Berthelot Visdelou, Eon Visdelou, Roland Visdelou, Nouel Touzel, Guillou Visdelou, Alain Ruellan, Guillemet Visdelou, les enfants Olivier Le Bret, Jocelin Ruellan, Olivier Ogier, Roland Rollendeaux, Guillaume Visdelou, Guillaume Ruellan, Olivier Touzel, Olivier Chabot, Hans Chommalus, Guillaume Berthelot, Alain Berthelot, Jehan Carlou, Jehan Delmillion (ou de La Villion), Jehan Oritel, Jehan de La Porte, la relicta Perret de La Haye, la fille Aubin Delmillion (ou de La Villion).
Lors de la "revue et monstre généralle des nobles, ennobliz,
exemptz et aultres tenantz fiefs nobles et subjects aux armes de l’Evesché de
Saint-Brieuc, tenue à Moncontour par haut et puissant Messire Tristan du
Perrier, Comte de Quintin ; noble et puissant Messire Guyon de la Motte,
Chevalier, sieur de l’Orfeuil et de Vauclerc ; Messire Amaury de la Moussaye,
Chevalier, sieur du dict lieu de la Moussaye, commissaires commis et députez par
mandement patent du Duc nostre souverain seigneur, quant à ce, les viije, ixe et
xe jours de janvier l’an mil iiiie lxix ", on mentionne, en janvier 1469, pour
Hénon :
– Eonnet Le Mintier, par Rolland son fils.
– Mre Jean Cottes, par
Artur Cottes.
– Pierre Le Mintier, de la maison du sire de Rieux.
–
Olivier Guillemot, pour la mère Pierre Le Mintier.
– Jean du Fou, homme
d’armes.
– Eonnet de Launay, en brigandine, les bras couverts.
– Marie
Bino, mère dudit Eonnet, par Rolland Robert.
– Guillaume
Ruellan-Pierre-Platte, par Bertrand son fils, de l’ordonnance.
– Guillaume
Ogier, par Olivier Ogier.
– Jeanne Cillart sa mère, par Perrot Goujon.
–
Jean de la Villéon, par Guillaume de la Villéon.
– Guillaume Ruellan de
Condeuc, par Anthoine son fils.
– Geffroy Rollandeaux.
– Jean de Launay.
– Jean Visdelou.
– Charles Jouhan.
– Guillaume Le Page.
– Pierre
Visdelou-Ville-Gallais.
– Pierre Visdelou du Bosc, mineur, par Alain Gourmel.
– Pierre Visdelou-Port-martin.
– Pierre Oritel.
– Jean de Bogar.
–
Guillaume Ruellan du Seure, par Jacquet Le Rebours, héritier dudit Guillaume.
– Pierre Prioul, de l’ordonnance.
– Jean Carlo.
– Ollivier Collet, à pied.
– Artur Le Mintier.
– Aubin Quémerreuc.
– Charles Berthelot, archer,
salade, dague, épée &a.
– Aubun Visdelou.
– Jean de Launay-Kerizac.
–
Henry Le Bret, de la maison du Duc.
– Catherine Conen.
– Pierre Le
Pelletier ennobli.
– Jean Beaupoil, pour Eonnet de Launay, curateur de
Jacquet de Launay.
Lors de la réformation du 2 mars 1536, sont mentionnées plusieurs nobles de Hénon : Plesseix-Cottes, Rouxel et Puiz-au-Chat (à Jehan Cottes), La Ville-es-Zion (à Gilles Le Mintyer ou Mintier), Motier-du-Bosq (à Pierre Visdeloup ou Visdelou), la Touche-es-Plats (à Charles Berthelot), La Salle (à Jehanne du Launay), Catuélan (à Jehan Ogier), Sensie (à Jean Le Rebours), La Villeneuve (à Yvonnet Byavant, anciennement à Henri Le Bret), La Touche-Guiha (à Jacques Pryou), La Mare (à Jacques Jhouan ou Jouan), Néauvais (aux héritiers de René Jouan), Les Jaulnays et La Ville-Borée (à Jacques Jouan), Guchelen (à Pierre Le Metheer), autre maison Guchelen (à Alain Visdelou), La Grenoulliere (à Henri Delix et anciennement à Olivier Orytel), La Pierre-Plate (à Jean de Launay), La Ville-Chaperon (à Hélène Le Champion), le Port-Martin (au sieur de La Salle), Clineuf (à une personne de Mur-de-Bretagne), La Tousche (à Louis Nyvet, anciennement à François de Launay), Le Pont-Rado et La Motte (à Jean Le Douarain), La Rivière (à Pierre Le Metheer), La Roselaie (à René Charetier), Les Granges-Godins (aux enfants de Guillaume Le Forestier, sieur de La Hazaie), La Belle-Issue (à Jehanne de Launay), Les Granges (à Jehan Le Mintyer ou Mintier), Kerisel (à Jehan de Launay), Fébillet (à Jehan Gougeon), La Ville-Gallais (à Julien Visdelou ou Visdeloup), La Braize (à Pierre Visdeloup), une maison au bourg de Hénon (aux enfants Jehan de Carnucllo), Cocisderc (au sieur de Glajeulay), Pontrien (au sieur de La Salle), Beaucadalu et Chêne-Loyo (à Jehan Le Mintyer ou Mintier, sieur des Granges), Le Vaurenaud (à Jehan Le Mintyer ou Mintier), Les Villes-Chuplées (à Charles Le Mintyer ou Mintier), La Villeneuve (à Jehan Quemerreuc), Les Aulnes et Les Clos-Boaisbilly (à Jacques Visdeloup ou Visdelou), une maison au bourg de Hénon (au sieur de Beau-Chesne), le Bossygnel (à Jehan de Pledran).
A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Saint-Brieuc de 1480, on comptabilise la présence de 36 nobles de Hénon :
Charles
BERTHELOT de la Ville-ès-Eons (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et
comparaît en archer ;
Marie
BINO (20 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une pertuisane ;
Jehan
CARLO (25 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Olivier
COLLET (2 livres de revenu) : défaillant ;
Catherine
CONEN (25 livres de revenu) : défaillant ;
Jehan
COTE de Plessis Cotes (200 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jehan
DE BOGAR (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Eonnet
DE LAUNAY (100 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jacques
DE LAUNAY : porteur d'une brigandine ;
Jehan
DE LAUNAY (80 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Jehan
DE LAUNAY de Carysac (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jehan
DE LINILLION (20 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jehan
DU FOU : comparaît en homme d'armes ;
Charles
JOUHAN de la Mare : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Arthur
LE MINTIER (50 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Eonnet
LE MINTIER (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Pierre
LE MINTIER (100 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Pierre
LE MINTIER (20 livres de revenu) : porteur d'une salade (casque) et comparaît armé d'une vouge ;
Pierre
LE MINTIER des Granges (400 livres de revenu) : excusé comme appartenant à la maison du comte de Laval ;
Guillaume
LE PAGE (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Pierre
LE PELETIER du Haut Chemin (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Jacques
LE REBOURS (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Henri
LEBRET (25 livres de revenu) : excusé comme appartenant à la maison du duc ;
Guillaume
OGIER (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Pierre
ORITEL de le Pont-Rado (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Pierre
PRIOUL de la Touche-Guihen (50 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d'ordonnance ;
Aubin
QUEMERREUC de la Haye (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une pertuisane ;
Geoffroy
ROLLANDEAULX (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une jusarme ;
Guillaume
RUELLAN de Consedeuc : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Guillaume
RUELLAN de Pierre Platte (50 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une
compagnie d'ordonnance ;
Jehanne
SILLART (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;
Jehan
VISDELOU de le Colombier (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en
archer ;
Pierre
VISDELOU de le Boscq (30 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé
d'une vouge ;
Pierre
VISDELOU de Port Martin (2 livres de revenu) : défaillant ;
Alain
VISDELOU (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge ;
Pierre
VISDELOU de Villegalaes (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît
armé d'une vouge ;
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