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POMMERET |
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La commune de Pommeret ( Peunvrid) fait partie du canton de Lamballe. Pommeret dépend de l'arrondissement de Saint-Brieuc, du département des Côtes d'Armor (Bretagne). |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de POMMERET
Pommeret vient du latin « pomaretum » (pommeraie).
Pommeret est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Hillion. La paroisse de Pommeret existe dès 1309 : elle est en effet mentionnée dans un acte relatant un accord entre Jean et Guillaume de Bréhand, concernant les terres de La Motte au Chastel. En 1319, " Pomeroit " est mentionnée dans une charte de Guy de Bretagne accordant à Simon de Montboucher plusieurs biens dont " le moulin à vent de Cormelou et de Pomeroit ". En 1391, l'église de Pommeret fait l'objet d'une bulle d'indulgence pour sa réparation : " Cupientes igitur ut parrochialis loci de Pommeret, Briocensis diocesis, congruis honoribus frequentetur et etiam reparetur … Datum Avenione, XV kalendas decembris, anno quartodecimo (17 novembre 1391) " (Archives du Vatican).
Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Pommeret dépendait du diocèse de Saint-Brieuc et avait pour subdélégation Moncontour et pour ressort Rennes. Le duc de Penthièvre en était le seigneur. La cure était à l'alternative. La dîme était prélevée sur la paroisse de Pommeret à la 36ème gerbe ( elle était " au 36ème cordon pour le lin " ). La répartition de la dîme, en 1670, se faisait de cette manière : « Le temps de la récolte estant venu, le sieur recteur de la dicte paroisse de Pommeret et le sieur de Méléan conviennent de percevoir le bled de la dicte paroisse et en font trois parts de dixme, desquels trois cours le sieur recteur en prend un et les deux autres demeurent au sieur de Méléan ; la dixme sur les lins s'afferme par argent, et de la somme à quoy elle se trouve monter, le sieur recteur a un tiers et les deux autres tiers demeurent audict sieur de Méléan » (Archives des Côtes-d'Armor, E 2391). Le cahier de doléances de la paroisse de Pommeret fut rédigée après une réunion le 4 avril 1789 en la sacristie de l'église paroissiale. La paroisse de Pommeret élit sa première municipalité au début de 1790. On recense 918 habitants en 1793.
On rencontre les appellations suivantes : Par. de Pommeret (en 1309), Pomeroit (en 1319), Pomeret (en 1391), Pomeroyt (en 1426, archives de Loire-Atlantique, B2979), Pomeret (en 1460), Pommeroit (en 1480), Pommeret (en 1490), Pommeré (en 1569).
Note 1 : la commune de Pommeret est formée des villages : le Madray, le Tertrain, Lourmel, les Champs-Ruffauts, la Croix-Hingant, la Ville-Corbin, la Ville-Orins, la Ville-Gouranton, la Ville-Halère, Rue-Fardel, les Salles, Mauny, Ville-ès-Noës, Ranqué, Ville-Nizan, Bréfeillac, le Breil, Régeard, la Tenue, la Ville-Houeix, Rue-Gicquel, Clos-Guéhenneuc, Rue-Neuve.
Note 2 : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Pommeret : François Hingant ou Rolland l'Evesque (vers 1555), Allain Gomené (en 1584), François Gommené (vers 1608-1613), François Le Gros (1675-1699), Julien Bois (en 1710), Ollivier Le Clerc (1731-1751), Trécherel, Jacques Vitel (en 1766), Villeaufray (en 1768), François Louaré (en 1778), Duval (en 1779), Loncle (en 1783), François Lamiré (en 1785 et 1788), Pelage Carro (1788-1810, on le trouve en exil à Jersey en août 1796), Charles-Louis de Lesquen (1810-1817, il devint ensuite évêque de Beauvais en 1823 puis évêque de Rennes en 1825), Cocheril (1817-1820), Auffray (1820-1821), Doméon (1821-1832), Chapelain (1832-1838), Gaubert (1838-1847), André (1847-1852), Robert (1852-1865), André (1865-1867), Cosson (1867-1885), Math. Beaudoin (1885-1904, chanoine honoraire), Legouté (1904-1907), Gouezou (1907-1911), Lecriblier (1912-1922), Fourchon (1922-1925), Morin (1925-1933), Badoual (1933-1948), Bertrand (1948-1957), Le Tirant (1957-1959), Rioual (1959-1973), Le Bastard (1973-1974), Jean Gautier (1974-1988), Louis Bertrand (à partir de 1988), .. (Archives de l'Evêché de Saint-Brieuc).
Voir " Le cahier de doléances de Pommeret en 1789 ".
PATRIMOINE de POMMERET
l'église Saint-Pierre (XIXème siècle). Elle fut l'objet, le 17 novembre 1391, d'une bulle d'indulgences pour aider à ses réparations. L’édifice actuel, en forme de croix latine, comprend une nef avec bas côtés de cinq travées, plus celle du clocher, un transept et un choeur accosté de deux chapelles ouvrant également sur le transept. La première pierre de l'église actuelle fut posée et bénite le 22 avril 1894. Cette église, bénite le 1er mars 1896, a été construite par l'entrepreneur briochin Louis Sébilleau pour le prix de 80.697 francs à l'emplacement même d'une ancienne église signalée en mauvais état dès 1845 [le 27 novembre 1845, le maire J. Botrel indique que " L'église tombe tout à fait en ruine. Les murs sont tout épanchés. Elle est trop petite pour la population " (Archives Côtes d'Armor, V 2701)], détruite en avril 1892 et dont nous possédons une description succincte : « L'ancienne église a été réparée à diverses reprises : le clocher, qui date de 1822, et la nef sont tout moderne. Quelques détails du chevet et du choeur accusent la fin du XIIème siècle ou le commencement du XIIIème, ils sont fort grossiers et ne possèdent pas de profils bien assurés. L'ensemble de l'édifice n'a rien d'élégant ni d'intéressant, c'est une juxtaposition de parties bâties à plusieurs reprises. Tous les murs sont plus ou moins soufflés ou déversés. Les deux longères de la nef sont lézardées. Elles surplombent en dehors de plus de vingt centimètres.... L'église se compose d'une nef obscure et très longue. Sur le front nord on a établi un petit bas-côté, long de deux travées, très bas, très étroit, ne possédant pour toute ouverture qu'une sorte de meurtrière éclairant à demi l'autel adossé au fond d'un couloir. Une sacristie moderne a été construite au chevet du choeur : on la fréquente par une porte placée à côté de l'autel principal, ce qui est aussi gênant qu'inconvenant. Celle-ci ne dispose que de 170 mètres ou 425 places » (M . l'architecte Le Guerranic). En 1623 (voir bref d'érection du 9 mai 1623), une confrérie du Rosaire est érigée en l'église de Pommeret par Adrien Le Béchu (prieur des frères Prêcheurs de Dinan). Le pignon "du côté du soleil caché " est refait en 1740. Au XVIIIème siècle les fabriques décident l'achat de deux bannières (une bannière paroissiale et une bannière pour la confrérie du Rosaire, au prix de 300 livres chacune) auprès du brodeur Le Forestier : - la bannière paroissiale devait être «.. d'un bon velours rouge cramoisy sur lequel il sera appliqué un Saint-Pierre en sa chaire, la thiare sur sa tête, dans sa main droite les clefs et dans la gauche sa croix triple, le fond parsemé de fleurs de lys sans nombre. De l'autre costé un crucifix, d'un costé la Saincte Vierge, de l'autre Saint Jean, et au lieu et place de la Magdeleine, une saincte Marguerite et le dragon sur la terrasse avecq le soleil et la lune et le fond parsemé d'étoiles sans nombre » ; - la bannière du Saint-Rosaire « sera d'un bon damas blanc de Lyons sur lequel il sera appliqué une Vierge tenant son enfant Jésus, lesquels donneront chacun un chapelet à Saint Dominique et à Sainte Catherine de Sienne avecq le grand rosaire, une couronne sur la teste de la Sainte Vierge de douze étoiles et le fond parsemé de fleurs de lys sans nombre, de l'autre costé sera placée Sainte Anne tenant la Sainte Vierge par la main avecq le crucifix et le fond parsemé de fleurons » (Archives des Côtes d'Armor, 20 G 428). La chaire, oeuvre du sculpteur Le Goff de Saint-Brieuc, date du XIXème siècle (l'ancienne chaire datée de 1757 et a coûté 160 livres). L'aigle-lutrin date du XVIIIème siècle et provient de l'ancienne église. Le tableau de la Sainte Famille date du XVIIIème siècle. Le maître-autel (avec son rétable du XVIIIème siècle abritant les statues de la Vierge Marie, de Sainte Madeleine et Saint Charles Borromée), les petits autels latéraux (autel de la Vierge et de Saint-Joseph) et les lambris du choeur sont l'oeuvre de Le Goff. Voici ce que stipule le Messager de Pommeret, en 1961 : « Les deux lustres suspendus aux voûtes de la grande nef ont été offerts par un généreux anonyme (300 fr.), M. le chanoine Baudouin, recteur de 1885 à 1904, offrit l'autel Saint-Joseph. L'autel de la Sainte-Vierge a été payé par les dons de quelques paroissiens et une quête faite à l'église. Ces deux autels coûtent chacun 1 440 fr. Le maître-autel est le don de M. le Comte Ollivier de la Villéon dont les armes " un houx surmonté d'une couronne de comte " et la devise " qui si frotte s'y pique " y furent gravées. Il coûta avec une belle parure de chandeliers offerts par le même donateur, 4 000 fr. Les fonts baptismaux (268 fr.) ont été offerts par Mathurin Guinard de la rue Gicquel qui avait déjà versé 400 fr. à la souscription. L'abbé Heme, vicaire à Plérin et l'abbé Chapelain, vicaire à Corseul, ont payé le vitrail de Saint-Pierre, patron de la paroisse (273 fr.). Les religieuses du Saint-Esprit nées à Pommeret, les soeurs Morin, de Denard, Roland, Modeste Botrel, Guinard, Octavie Hinault, Cauret, ont offert le vitrail du Sacré-Coeur et le vitrail de Saint-Jean-Baptiste, second patron de la paroisse (400 fr.). Les Tertiaires du Mont-Carmel de la paroisse ont offert le vitrail, côté nord, représentant l'apparition de Notre-Seigneur à Sainte-Thérèse (230 fr.). L'abbé Pérennes, vicaire, a offert le vitrail, côté midi, représentant le Fuite en Egypte (230 fr.). Les vitraux du transept, côté midi, ont été offerts par Jean Montier, de la Ville Hélen, Président du Conseil de Fabrique, Jean Montier, son fils, Osmane Even, sa belle-fille (1437,50 fr.) ». A noter qu'en 1762-1765, un dénommé Bahier (ou Baier) réalisa le retable du grand autel de l'ancienne église. Le 13 juillet 1788, M. Desury, orfèvre, reçut « la somme de 160 livres pour supplément de prix du ciboire neuf après lui avoir cédé l'ancien ciboire » ;
la chapelle Notre-Dame-de-la-Rivière (XVIIème siècle), construite par les seigneurs de Cargouët à l'emplacement dune chapelle beaucoup plus ancienne qui datait du XIVème siècle, et restaurée en 1816 par Mgr Charles-Louis de Lesquen, recteur de Pommeret de 1810 à 1817, puis par l'abbé Jean Gautier (1974-1988). Elle est édifiée au XVIIème siècle (vers 1641), comme semble le stipuler cet extrait "... ayant recogneu à plusieurs qui font voeux et prières à la Sainte Vierge Marie en la chapelle de Nostre Dame de La Rivière ... et sous le proche fief dudit seigneur et de laquelle il est fondateur, et voyant s'augmenter la dévotion du peuple en ladite chapelle où plusieurs désirent donner et fonder quelques revenu pour entretenir une frairie de Nostre Dame à l'advenir ". René Bertho, conseiller du Roi, accorde en avril 1641 " le droit d'érection de cette frairie et accorda la somme de 60 livres de rente et revenu annuel ". L'abbé Louis Pincemin était le titulaire de la fondation de cette chapellenie au moment de la Révolution Française. Prêtre réfractaire, ce dernier dut s'exiler en Espagne en décembre 1792. Il était le frère de François Pincemin, métayer du château de Cargouët et maire de Meslin, qui fut guillotiné pour avoir participé à l'insurrection du 23 mars 1793. Il s'agit d'un édifice en forme de croix latine, dont le chevet et les ailes sont à pans coupés. Toute cette dernière partie date du XVIIème siècle tandis que le bas de la nef date du XIXème siècle, ainsi que le précise d'ailleurs l'inscription sur le pignon ouest : 1848 P. L. Une porte du XVIème siècle a été réemployée. " Mobilier : Retable du XVIIIème siècle, décoré d'anges retenant curieusement leurs robes ; statues de sainte Madeleine, saint Joseph, saint Charles Borromée, saint Gilles, saint Mathurin et curieuse statue de saint Pierre du XVIIIème siècle : il tient un livre de la main gauche et les clefs suspendues à son bras, et, de la main droite, une épée nue avec garde terminée par une tête de coq. Sur le lambris en bois, armes des Sauvaget " (R. Couffon). Les armes " de gueules à la croix pattée d'argent " de la famille Sauvaget (alliée aux Bertho, par le mariage d'Olive Bertho, soeur de René) décorent les voûtes de la chapelle ;
les anciennes chapelles aujourd'hui disparues : - la chapelle Sainte-Anne des Ponts-Garnier, désaffectée en 1938. Edifice, de plan rectangulaire avec chevet à pans coupés datant du XIXème siècle. - la chapelle de Melean, mentionnée au XVIIème siècle ;
la croix Hingant (XVIIème siècle) ;
la croix de Méléan ;
la croix Bertho (XVIIème siècle), érigée, dit-on, suite à une épidémie ;
le manoir du Fresche-Clos ou Frèche-Clos (XVIIème siècle). La propriété appartient à la famille Champion au XVème siècle, puis à Jehan Hus en 1536 et à Mathurin Hus en 1569. Il est habité au XVIIIème siècle par l'amiral de La Villéon. L'édifice est flanqué à l'arrière d'une tourelle. On y voyait jadis un menhir taillé en forme de croix ;
le manoir de Bréfeillac (XV-XVIème siècle). Le domaine appartient à Guillaume de Breiffeillac (en 1426), à Roland de Breffeillac (en 1460), à Jean de Breffeillac et Guyonne de Langourla, son épouse (en 1513), puis à Yves Le Roux et Julienne de Brefeillac ou Breffeillac, son épouse (en 1536) ;
le manoir de Méléan ou Mesléan ou Méliau (XVIème siècle). Le domaine appartient à Jean Piron en 1460, aux enfants de Jehan Pyron ou Piron en 1536 et à Alain Piron en 1569. Ce manoir comportait jadis des douves, une chapelle et un colombier : " Le curieux manoir-ferme de Méliau ou Mesliau à demi cerné de douves, bâtisse de pierre et de torchis tout à fait particulière avec ses toits d'ardoises moussues, ses fenêtres grillées, le bâti de son porche en feuille de fougère, sa tourelle d'escalier, l'arcade ogivale de la porte du logis " (Vicomte Frottier de la Messelière, 1921) ;
la maison de Marchix (1796). On y trouve un cadran solaire daté de 1701 ;
la maison Le Portail-Vert (XVIIIème siècle). Il s'agit à l'origine d'un relais de poste ;
les fermes des Landes (XVIIIème siècle, propriété d'Yves Le Roux et de son épouse Julienne de Breffeillac en 1536), de la Ville-Frébout (1769), des Chênes (vers 1600), de Floveneuf (XVIème siècle), de la Ville-Mauny (XVIIème siècle, propriété de Tristan de La Motte en 1536), du Vieux-Moulin (XVIIème siècle) et dans le bourg (XVIIème siècle) ;
3 moulins dont le moulin à eau de Ste-Anne et le moulin à vent Duault ;
A signaler aussi :
l'ancien relais de diligence (XVIIIème siècle) ;
la découverte près de la Ville-Corbin d'une centaine de monnaies romaines. La Ville-Corbin appartient à Georges Madeuc en 1569 ;
Voir " Informations diverses sur la ville de Pommeret ".
ANCIENNE NOBLESSE de POMMERET
En 1789, les terres nobles de Pommeret étaient Ourxigné (moyenne justice), Limoelan (moyenne justice qui s'exerçait à Sainte-Anne), Carlan (moyenne justice qui s'exerçait à Sainte-Anne et qui appartenait à M. Le Noir de Carlan).
Lors de la réformation du 4 octobre 1426, plusieurs nobles de Pommeret sont cités : Guillaume du Boyshardy, Olivier du Boyshardy, Olivier Chenet, Roland Giquel, Denis de Quefreguen et son épouse, Guillaume Chastel, Guillaume Geffrelin, Jouhan Piron, Jehan Piron, Olivier Piron, Pierre Le Vaer et son frère Olivier, Roland Boschier, Guillaume Le Blanc, Perrin Vollete, Mathelin Leon, Guillaume de Breiffeillac.
Lors de la "revue et monstre généralle des nobles, ennobliz,
exemptz et aultres tenantz fiefs nobles et subjects aux armes de l’Evesché de
Saint-Brieuc, tenue à Moncontour par haut et puissant Messire Tristan du
Perrier, Comte de Quintin ; noble et puissant Messire Guyon de la Motte,
Chevalier, sieur de l’Orfeuil et de Vauclerc ; Messire Amaury de la Moussaye,
Chevalier, sieur du dict lieu de la Moussaye, commissaires commis et députez par
mandement patent du Duc nostre souverain seigneur, quant à ce, les viije, ixe et
xe jours de janvier l’an mil iiiie lxix ", on mentionne, en janvier 1469, pour
Pommeret :
– Jean de Bréfeillac, homme d’armes de l’ordonnance.
– Me
Olivier Piron.
– Eon Halerc.
– Rolland Léon.
– Guillaume du Boishardy,
par Pierre du Boishardy.
– Olivier du Boishardy.
– Olivier Le Moënne, par
Me Jean, son fils.
– Pierre Geffrelin.
– Marguerite Jagu, par Rolland
Volette.
– Guillaume Volette.
– Mathelin du Boishardy.
– Jean Le Blanc,
pouvre.
– Jean Rouault.
– Geffroy Juhel, pouvre.
– Rolland Boschier.
– Jean Carmené, fils Guillaume, pouvre.
Lors de la réformation du 2 mars 1536, plusieurs maisons nobles de Pommeret sont mentionnées : La Ville-Tanvez, les Landes et Bréfeillac (à Yves Le Roux et son épouse Julienne de Breffeillac), Mauny et les Touches (à Tristan de La Motte), Méléan (à Jehan Pyron, puis à Alain Piron en 1569), Ville-es-Noës et Le Plessis (à Guillaume de La Motte, sieur de Kergouet), La Ville-Garnier et Breuil (à Raoul Le Forestier, sieur du Busson), Le Fresche-Clos (à Jehan Hus, puis à Mathurin Hus en 1569), La Coaere (à Jehanne de Langourla), Maingreucaulx (à Alain Guylloper), La Ville-Houeix (à Mathurin Le Forestier, sieur de Lestangue), une maison au bourg de Pommeret (à Gilles du Boyshardy), Les Salles-Guenart (au sieur de Vauclair, en Plémy). Georges Madeuc est signalé comme habitant la Ville-Corbin en 1569.
A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Saint-Brieuc de 1480, on comptabilise la présence de 17 nobles de Pommeret :
Roland BOSCHIER : porteur dune brigandine et comparaît en archer ;
Jehan CARMELO : défaillant ;
Jehan DE BREFFEILLAC (250 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie dordonnance ;
Guillaume DU BOISHARDY (8 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Mathelin DU BOUESHARDY (2 livres de revenu) : défaillant ;
Olivier DU BOUESHARDY (20 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Pierre GEFFRELIN (12 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Eon HALERC (12 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Margot JAGU (5 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît en archer ;
Geoffroy JUHEL (2 livres de revenu) : défaillant ;
Robin JUHEL (10 livres de revenu) ;
Jehan LE BLANC : défaillant ;
Olivier LE MOENNE (17 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Roland LEON de Fresche-Clos (30 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Olivier PIRON (40 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Jehan ROUAUST (2 livres de revenu) : porteur dune brigandine et comparaît armé dune vouge ;
Guillaume VILLECTE (5 livres de revenu) : défaillant ;
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