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TREGROM

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La commune de Trégrom (bzh.gif (80 octets) Tregrom) fait partie du canton de Plouaret. Trégrom dépend de l'arrondissement de Lannion, du département des Côtes d'Armor (Trégor - Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de TREGROM

Trégrom vient du breton "Treb" (village) et du vieux breton "crum" ou "croum" (courbé) attesté comme nom de personne dans les chartes de l'abbaye de Beauport en 1271.

Trégrom est un démembrement de la paroisse de Louargat. Trégrom est cité comme paroisse dès 1308 (Archives Côtes d'Armor 1H) dans une charte de l'abbaye de Bégard, mais son recteur Johannes de Castro Audreni est mentionné dès 1261 dans un acte de l'abbaye de Beauport (Obligation du recteur de Goudelin envers Beauport) : " Omnibus , etc., Johannes de Castro Audreni, clericus, persona ecclesie de Tregrom, officialis seu allocatus tunc temporis venerabilis viri archidiaconi Trecorensis, etc. Noverit universitas vestra quod Briencius, persona de Godeline, teneretur ab antiquo reddere annuatim, racione ecclesie de Godeline, tredecim rasa frumenti ad venalem mensuram Guoloie, religiosis viris et honestis abbati et conventui Belli Portus ; tandem de consensu dictorum Briencii et religiosorum fuit ordinatum in nostra presencia et [statutum quod, in] escambium et recompensacionem dictorum tredecim rasorum frumenti, habebunt et pacifice possidebunt, quandiu vixerit predictus Briencius, religiosi supradicti tres decimas apud parrochiam de Godelin, videlicet Tremeler Godeline, Treveneu et Quenkis en Roch, ita videlicet quod idem Briencius in vita sua nichil in dictis decimis ad proprium usum suum vel alterius cujusque poterit retinere : et juravit sepedictus Briencius super sancta evangelia coram nobis quod contra hujusmodi ordinacionem per se vel per alium non veniet in futurum, et quod dictas decimas dictis religiosis garantizabit pro posse suo, quamdiu vixerit, contra omnes : sepedicti vero religiosi considerantes tenuitatem et paupertatem ipsius Briencii, ullo pacto ullaque condicione interveniente, omnia arreragia in quibus tenebatur eidem racione dicte ecclesie eidem Briencio, caritatis intuitu, pure et simpliciter remiserunt ; etc. Datum mense maii, anno Domini M° CC° LX° primo ".

La paroisse de Trégrom est mentionnée en 1330, lors du procès de canonisation de Saint-Yves. En effet " Pétronille, épouse de Guillaume (Ancipitris) Daoubennek, de la paroisse de Trégrom, âgée de 28 ans et plus " (témoin n° 201) et son mari (témoin n° 202) déposent lors de l'enquête sur la vie de Saint Yves.

Certains lieux-dits tels que Coz-Castel (vieux château) et Ar Glast (le cloître) semblent révéler la présence d'un ouvrage fortifié et d'un établissement religieux ou monastique.

L'ancienne paroisse de Trégrom dépendait de l'évêché de Tréguier, de la subdélégation et du ressort de Lannion. Elle relevait du roi au moment de la Révolution. La cure était à l'alternative. Durant la Révolution, la paroisse de Trégrom dépendait du doyenné de Plouaret.

On rencontre l'appellation Tregrom dès 1261.

Ville de Trégrom (Bretagne)

Note 1 : la commune de Trégrom est formée des villages : Kergueffiou, Pellem-Huellan, Pellem-Izellan, Pont-Eren, Quilly-Gouen, Gouern-Bras, Crec'h-Allic, Prat-Salic, Kermenou, la Boessière, Penquer-Kermenou, Kergrun, Keranpoudou, Coat-Leven, Kernaman, Kergrist, le Gouer, Keranscot, Keransquillec, Keranfloc'h, Kerarvoën, Traou-Stivel, Pors-Pluzunet, Coat-Leguer, le Squivit, Run-ar-Vinen, Pabu, Keravel, Kernoleriou, Kervot.

Note 2 : Liste non exhaustive des recteurs de TREGROM : Yves le Diouris jusqu’en 1702. - Jean Guyon (1702-1722). - Julien Hamon (1722-1742). - Pierre le Bouété (1742-1771). - François Roger (1771-1790), curé à Trégrom, etc ..

Note 3 : Les Soeurs du Saint-Esprit qui tenaient l'école libre de Trégrom ont comparu le 28 janvier 1903 devant le tribunal correctionnel de Lannion, pour ouverture illégale d'école. Voici brièvement les faits : « Au mois de juillet dernier, les Soeurs, de Trégrom, effrayées par la fermeture des écoles de Brélévenez et de Ploubezre et s'attendant au même sort, crurent plus prudent d'avancer de quelques jours le départ de leurs élèves, afin, de ne pas avoir à s'en occuper en cas d'expulsion. On ne les a pas inquiétées ; aussi, à la mi-septembre, elles ont rouvert leurs classes. On prétend qu'elles avaient fermé leur école volontairement en juillet et qu'elles ont rouvert sans autorisation. Or, il s'agit, en l'espèce, d'une école privée, fondée il y a cinq ans, dont la fermeture avait été ordonnée par la citculaire de M. Combes en date du 15 juillet 1902 ; M. Combes ayant lui-même reconnu l'illégalité de sa circulaire, la supérieure de l'école de Trégrom se croyait en droit de continuer à tenir son école ouverte, aucun décret de fermeture n'ayant accompagné ladite circulaire. M. Henriot, substitut, a soutenu la prévention. Il a prétendu que Mme Leroy, en avançant de huit jours, en juillet 1902, la distribution des prix, a obtempéré à la circulaire Combes et fermé son école. Cette circulaire, à son avis, constituait un acte de gouvernement parfaitement légal : l'inculpée ne pouvait donc plus rouvrir son école après les vacances sans remplir les formalités édictées par la loi du 30 octobre 1886, c'est-à-dire faire une déclaration d'ouverture pour une nouvelle école. Me Bienvenue, avocat du barreau de Saint-Brieuc, a facilement démontré que l'école n'avait jamais été réellement fermée, que la circulaire de M. Combes ; du propre aveu de son auteur, était illégale et inopérante et que, pour ordonner la fermeture d'une école, un décret est absolument exigé par l'article 13 de la loi du 1er juillet 1901. Le tribunal s'est rangé à cette interprétation et a prononcé l'acquittement de la Soeur Marie de Béthanie. Ce verdict a été salué par les applaudissements de la foule qui assistait à l'audience. Notons que l'inspecteur Degrais, sur le rapport duquel était basé le procès, avait conclu — dans un langage d'ailleurs barbare — qu'on suspendît " le traitement du recteur, M. l'abbé Joanno, qui devrait enseigner aux autres, prêtre, la mansuétude, et, fonctionnaire, le.respect des lois ". Naturellement, M. Combes s'est empressé de procéder au cambriolage de l'indemnité concordataire du recteur sans attendre la décision du tribunal » (Bulletin des Congrégations).

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PATRIMOINE de TREGROM

l'église Saint-Brandan (XVème et XVIème siècles), reconstruite en 1895 (choeur, haut du pignon ouest et nef). L'édifice qui est en forme de croix latine, possède un clocher-mur, une nef à six travées, un choeur et deux chapelles latérales. On y voit des restes du XVème siècle (ailes, enfeus, base du pignon ouest). L'enfeu qui se trouve sous la fenêtre du transept sud porte les armes de la famille Kersauzon-Coatléven (ou Coetleven ou Coëtléguer ou Coatléguer). La sacristie date du XVIème siècle. La Christ en croix, en bois, date du XVIIIème siècle. Les seigneurs de Tonquédec et de Coatléven sont les fondateurs de l'église de Trégrom. Les seigneurs de Coatléven et Kernaman possédaient jadis des prééminences dans l'église paroissiale. " Patronage et prééminences en l'église de Trégrom, évêché de Tréguier, qui renferme le tombeau du sr. marquis de Kersauson, châtelain de Coëtléguer et son fondateur " ;

Ville de Trégrom (Bretagne)

Voir aussi   Ville de Trégrom (Bretagne) " Description de l'église Saint-Brandan de Trégrom ".

Voir aussi   Ville de Trégrom (Bretagne) " Les pardons de Plounévez-Moëdec et Trégrom "

la chapelle du Christ (XVIème siècle). Cette chapelle de plan rectangulaire appartient à la famille de La Lande avant la Révolution. Mise en vente en 1808, elle est acquise par la commune moyennant 300 fr. Le clocher mur possède un lanternon. La tribune, en bois polychrome, date du XVIème siècle et présente sept panneaux sculptés de scènes de l'Evangile. La chapelle abrite des statues anciennes : Crucifix, sainte Vierge, Pieta, saint Joseph, et une statue de Saint Brandan, en bois polychrome, datée du XVI-XVIIème siècle. Le seigneur de Coatléven possédait jadis des prééminences dans la chapelle. La chapelle est mise en vente en 1808 comme bien national et acquise par la commune pour la somme de 300 francs ;

la chapelle du Gouer (XVIIIème siècle). Il s'agit d'une chapelle privée. Edifice de plan rectangulaire datant du XVIII-XIXème siècle. Son clocheton date de 1932 et elle est restaurée vers 1938 ;

Trégrom (Bretagne) : la chapelle du Gouer.

les anciennes chapelles, aujourd'hui disparues : - la chapelle Saint-Miliau, détruite en 1920 ; - la chapelle de Pabu, dédiée à Saint-Tugdual. Détruite vers 1920 ; - la chapelle Saint-Fiacre, mentionnée en ruines vers 1940. Elle datait du XVème siècle ; - la chapelle Saint-Thurian ;

Voir aussi   Ville de Trégrom (Bretagne) " Histoire de l'église et des chapelles de Trégrom ".

le calvaire de Kergreun (XVIIème siècle). On y voit les armoiries du pape (à l'Ouest) et celle des familles Kerdeval et Coatléven ou Coëtléguer (à l'Est) ;

les croix de Kerhouars (XVIIIème siècle), Rumerrien (XVIIIème siècle), à l’intérieur de la chapelle du Christ (haut Moyen Age), Kerarvoen (moyen âge), du Christ (1774), de Kernoteriou (XVIIIème siècle) ;

la fontaine du Christ (1740), dépendante de la chapelle du Christ ;

le château de Coatléven ou Coatléguer ou Coëtléguer (XVIème siècle). On mentionne un Guillaume Coetleven en 1481 ;

les manoirs de Lennic (XVIème siècle), de la Boissière (1741), du Gouer (XVIIIème siècle, 1806), de Kernaman-Izellan (1665), de Pont-Even (XVII-XVIIIème siècle), de Penn-ar-Getz (XVIIème siècle) ;

les fermes de Kernotériou-Bian (1724), de Squivit (XVIIIème siècle), de Rumerrien (1745) ;

9 moulins ont été recensés dont les moulins à eau de rivière tels que : Kergueffiou, la Boissière, du Front, Cleuziou, Coat-Leguer, du vicomte (à foulon), ....

A signaler aussi :

les deux menhirs de Keranscot (ou Kerscot). L'un d'une hauteur de 10 mètres avec des vestiges d'allées couvertes (époque néolithique) ;

les chambres souterraines de Kergeffiou (âge de fer) ;

un dolmen ruiné au Saint ;

l'enceinte circulaire de Kermenou (moyen âge) ;

un pont romain (XVIème siècle), édifié sur le Frout et situé au Moulin du Cleuziou ;

les substructions gallo-romaines de Croaz-an-Marchesiou et de Par-an-Champou (Kerjéfion), ancienne voie romaine de Carhaix au Yaudet ;

la présence autrefois dans le cimetière d'un cercueil monolithe qui d'après la tradition était le tombeau de saint Brandan ;

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ANCIENNE NOBLESSE de TREGROM

A l'époque de la Révolution, Trégrom avait pour maisons nobles : Le Nas, sieur de Kernasquirec. Cette famille a produit un auditeur des comptes en 1445 et un maître des comptes en 1505. Les Menou, sieur de Kerdaval : cette famille s'est fondue vers 1480 dans la famille Bégaignon. Les Coëtlaven, sieur dudit lieu, se sont fondue dans la famille Rosmar.

La seigneurie de Lande-Ploumilliau (Lann Plouillio), unie à celle de Kernotériou, possédait jadis un droit de moyenne et basse justice. La seigneurie appartient successivement à Pierre de Rosmar, seigneur de Kerdaniel et de Coatléven (en 1621), au seigneur de Kerouzy (en 1711), aux familles de Marboeuf (en 1766) et La Monneraye (en 1785). Les Marboeuf était originaire du Poitou. Cette famille a produit un évêque de Rennes en 1223, trois abbés de Langonnet de 1649 à 1754 et un abbé de Saint-Jacut, devenu archevêque de Lyon en 1788. Une partie des terres (Kernotériou) aurait appartenu aussi à la famille Quemper (comte de Lanascol) vers 1770.

La seigneurie de Coatléven possédait jadis un droit de haute, moyenne et basse justice. Propriété de Guillaume de Coatléven (vers 1541). Cette seigneurie passe ensuite entre les mains successives des familles de Rosmar (vers 1581, suite au mariage de Marie de Coatléven, fille de Hervé de Coatléven et de Marguerite de Boiséon, avec Prigent de Rosmar, seigneur de Kerdaniel-Rosmar) et La Monneraye (en 1785).

La seigneurie de Kernaman est unie avant 1621 à la seigneurie de Coatléven et possédait jadis un droit de haute, moyenne et basse justice.

SEIGNEURIE DE COETLEGUER. — Paroisse de Trégrom, ancien évêché de Tréguier, nunc de Saint-Brieuc. Cette terre fut apportée, vers l'an 1270, à Olivier Ier de Kersauson, par Marguerite de Coëtléguer, père et mère de Guillaume, évêque de Léon. La seigneurie de Coëtléguer est restée fort longtemps dans la famille, sans que l'on sache ni quand ni comment elle en est sortie. La qualification de seigneur de Coëtléguer fut, jusqu'au XVIIème siècle, l'apanage du fils aîné de Kersauson. L'église de Trégrom renferme le tombeau du marquis de Kersauson, son fondateur. Cette église datant du XVème siècle, il est à penser que ce dut être Jehan de Kersauson ou son fils Hervé II qui la firent construire. Seulement la dénomination de marquis est fautive, et il eût été plus correct, croyons-nous, d'écrire que ce fut le sire de Kersauson qui en fut le fondateur.

La maison de Coëtléguer (ou Coatléven ou Coeteleven), qui possédait la seigneurie de ce nom, en Trégrom, ancien évêché de Tréguier, portait : Ecartelé au 1 et 4 : contrécartelé d'or et d'azur (comme Tournemine et Botloy), chacun chargé d'une étoile de l'un en l'autre ; au 2 et 3 : vairé d'argent et de gueules ; sur le tout, fascé d'or et d'azur (Guy le Borgne). Coëtléguer s'est fondue dans Richard, puis le Borgne. « L'église de Trégrom, dit M. du Mottay, sous le patronage de saint Brandan, abbé, dont la fête se célèbre le 6e dimanche après Pâques, a été restaurée en 1843. Quelques-unes de ses parties datent du XVème et du XVIème siècles. Elle renferme le tombeau du marquis de Kersauson, qui fut, dit-on, son fondateur » (Géographie départementale des Côtes-du-Nord, rédigée sur les documents officiels de M. Gaultier du Mottay). Nous avouons ici en toute sincérité n'avoir pu découvrir le nom du fondateur de l'église de Trégrom. Le titre de sire de Coëtléguer resta jusque dans le XVIIème siècle, la qualification du fils aîné de notre maison, du vivant de son père ; mais l'époque de la construction de l'église paroissiale est trop élastique pour que nous puissions désigner clairement son bienfaiteur (J. de Kersauson).

En 1710, dans un " Rolle de répartition de la somme de treize mil sept cent trente livres qui doit estre imposée sur touttes les seigneuries et fiefs ecclésiastique et laïques de l'évesché de Tréguier " (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, C 3479), on trouve mentionnée à Trégrom la seigneurie de la Lande Ploumeliau, Coatlequerer et Kernoteriou au sieur de Querouzy (30 livres) [Note : En 1535 Coatléguer Vihan est à Yvon Richard et Coat Léguer Vraz à Guillaume de Kersauzon. En 1678 il est fait mention de Le Borgne, sieur de Coatléguer], la seigneurie de Coatlevin au sieur de La Villeguessiau ou héritiers (10 livres) (Y. Botrel).

Lors de la Réformation des fouages de 1426, les nobles suivants sont mentionnés à Trégrom : Olivier de Coetleven, Henry Quelennec, Guillaume Quelennec, Rollant Parcevaux, Jehan de Kerres, Henry Menou, Alen le Gris, Yvon le Gouver, Guillaume le Gouver, Jehan Frelly, Aliz Kerousy, la dégrépie Follougris, la dégrépie Guillaume Frely, la dégrépie Botcazou, la dégrépie Yvon Conen. On y mentionne aussi le manoir de Ker Groaziou (appartenant à Alen de Plusquellec, exploité par Jehan Huet), Pont Even (appartenant à Alen de la Lande, exploité par Yvon Breton), Ker Amarrou (appartenant à Olivier Quoetleven, exploité par Guillaume Hemon).

Voir aussi   Ville de Trégrom (Bretagne) " Les fiefs de la vicomté de Tonquédec en Trégrom ".

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Tréguier de 1481, on comptabilise la présence de 7 nobles de Trégrom (il y avait 15 nobles en 1426) :

BERTEVAULX (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine, comparaît en archer ;

Guillaume COETLEVEN de Coetlevan (200 livres de revenu) : porteur d’une brigandine, omparaît en archer ;

Charles DU CLEUZIOU (80 livres de revenu) : porteur d’une brigandine, comparaît en rcher ;

FRELY (30 livres de revenu) : défaillant ;

Jehan LE NAS de Kernechquiriec (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine, comparaît en rcher ;

Roland LESCAUT (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine, comparaît en archer ;

NEUPVEU (10 livres de revenu) : défaillant ;

 

Dans une "Montre" de Tréguier en 1503 (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1 C 184 et 74 J 49), plusieurs nobles de Trégrom sont mentionnés :

- Hervé Quoitleven comparu à cheval "et luy est enioint comparoir et fournir au premier mandement en estat de lance garnie deuement armé et monté de cinq chevaux".

- Guillaume Le Naz comparu à cheval à brigandines manches salade espée arbalestre o virs "et luy est enioint avoir une banniere".

- Jean Pertevaulx a defailly.

- Jean de la Lande comparu à brigandines "et luy est enioint avoir salade espée arc et trousse au premier mandement".

- Henry de la Boessiere par Yvon Le Goff comparu à cheval à brigandines espée et javeline "et luy est enioint fournir arc et trousse au premier mandement".

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