|
Bienvenue ! |
NOTRE-DAME de LA SALETTE DE MORLAIX. |
Retour page d'accueil Retour page "Ville de Saint-Martin-des-Champs" Retour page "Ville de Morlaix"
Nous sommes à Morlaix ; partons de la place de l'Hôtel-de-Ville, passons sous les arches du gigantesque viaduc, suivons le quai de Léon, rive gauche, admirons les yachts élégants qui hivernent ou relâchent dans le port, les grands bateaux à vapeur chargés de marchandises précieuses, longeons la façade un peu monotone et officielle de la manufacture des tabacs ; passons les allées de Porz-an-Trez, les écluses du bassin à flot, voyons des deux côtés de la rivière, les collines boisées et les grasses prairies ; sur la rive droite, du côté du Tréguier, donnons un coup d'oeil au château du Nec'hoat ; plus loin nous apercevons le château de Keranroux ; puis, à un léger détour du chemin, apparaît brusquement à nos yeux le Couvent de Saint-François de Cuburien, avec sa grande chapelle gothique, ses vieux bâtiments conventuels et ses édifices modernes du pensionnat et de l'Hôtel-Dieu.
Au haut du coteau qui le domine émerge, du milieu des arbres, une chapelle svelte et élancée, couronnée par un petit clocher central : c'est la Salette.
Ce sanctuaire est le centre d'un pèlerinage très important. S'il n'a pas l'antiquité de Rumengol, du Folgoat et de Sainte-Anne-la-Palue, s'il n'attire pas à des dates périodiques les grandes foules de ces pardons célèbres, il ne leur cède en rien pour la piété et la dévotion ; il l'emporte peut-être par le concours quotidien de pèlerins isolés ou de groupes de fidèles.
Quelle est l'origine de ce pèlerinage, quelle est son histoire depuis sa fondation ? C'est ce que nous allons essayer d'exposer dans cette notice.
Voir " L'apparition de la Salette".
Voir " L'origine et l'histoire de la Salette de Morlaix".
Voir " La Salette de Grenoble : le développement et les contradictions".
Voir " Le pèlerinage, les oeuvres, les chapelains et la confrérie de la Salette de Morlaix".
Voir " Les avertissements, plaintes et menaces de Notre-Dame de la Salette".
J.-M. Abgrall.
© Copyright - Tous droits réservés.